Département du Renseignement et de la Sécurité [Dissou !]

Venez discuter et débattre a propos de l'Armée Algérienne "uniquement" lorsque le sujet débattu ne concerne pas spécifiquement une armée (contrats, doctrine...).
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KI?
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par KI? »

De plus cette année le jour de l'an tombe un vendredi 13!!!!
Ok je prends la porte. :lol!:
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tahiadidou
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par tahiadidou »

:shock: Tout d'un coup tout le monde est au courant du calendrier du bonhomme ?!

tayeb
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par tayeb »

LANDSKNECHT a écrit :lE CPP DE mAGHREBeMERGENT à ce sujet
https://youtu.be/avJJLDzfxgY

Je suis assez étonner de certains propos qualifiant de hauts gradés de criminel et ayant la TPI aux fesses...et ça se dit journaliste, des fois je fermerais les yeux que je me croirais dans un documentaire Canal+ avec Rivoire et A...watch...y a pas à dire l'Algérie y va à toute allure.
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BerrouLana
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par BerrouLana »

AAF 2020 a écrit :Image

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Comment t'as eu les photos :?: :!: :huh!:
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tayeb
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par tayeb »

Diffusé sur le web Si Berrou.

tayeb
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par tayeb »

Retour sur les batailles Bouteflika-Toufik : l’épisode du troisième mandat (2)
10 juillet. Nicolas Sarkozy débarque à Alger en terrain conquis. Il sait que deux clans l’y attendent. L’un de pied ferme, l’autre avec fébrilité. Le directeur du Nouvel observateur qui l’accompagne, écrit : « Les généraux sont loin d’avoir perdu toute influence. L’autorité de Bouteflika tire une bonne partie de sa force de ce qu’il n’existe aucun autre recours politique dans le pays. »

Sarkozy caresse deux gros projets : l’association entre Gaz de France (GDF) et Sonatrach qui ne paraît avoir d’autre but que d’encapsuler Sonatrach ; l’Union méditerranéenne, son grand dessein méditerranéen dont dépendent une forme de recolonisation déguisée et la réhabilitation d’Israël.

Au même moment, la plus grande banque du pays, le Crédit populaire (CPA), est proposé à cession aux étrangers. Un bloc de 51 % du capital doit être cédé à un partenaire stratégique unique, les Algériens ne conservant qu’une participation de 49 %.

Sur les six banques étrangères candidates au rachat, quatre sont françaises ! Tout ce pack contre un soutien pour le troisième mandat ! L’Élysée joue la carte Bouteflika sans toutefois s’engager fermement pour un troisième mandat. Il le tient, discrètement, par le nombril. Jean Daniel révèle dans son récit sur la rencontre Bouteflika-Sarkozy : « Le premier partenaire de la France devrait être le président Bouteflika, avec lequel Nicolas Sarkozy a entrepris, depuis longtemps et à l’insu de tous, de tisser des liens d’estime et de sympathie. Il avait son plan. C’est du président d’Algérie que le président français a reçu les premières félicitations, à 20 h 10, le soir de son élection. »

L’Élysée veut déloger les Américains du marché des hydrocarbures, profiter de la faiblesse géopolitique de Bouteflika pour imposer Israël à travers son Union méditerranéenne et racler les élites. Les États-Unis et l’Algérie venaient de signer un protocole d’accord dans le délicat domaine du nucléaire civil. « C’est la signature de ce protocole qui a conduit Nicolas Sarkozy à une stratégie immédiate et offensive, préconisant, outre un rapprochement de GDF et de Suez avec la société algérienne d’hydrocarbures Sonatrach, la fourniture par la France des équipements indispensables à l’édification d’un nucléaire civil algérien. Ce sont ces données qui commandent l’avenir des relations franco-algériennes, franco-maghrébines et euro-méditerranéennes », avoue Jean Daniel.

Sur tous ces points, Bouteflika donne son accord, mais opte pour ne pas l’annoncer. En conférence de presse commune, l’ordre, strict, est de ne surtout pas porter la contradiction au Président Sarkozy. Il sera observé par les journalistes, comme le confirme le journal Le Monde par cette révélation : « Au cours de la conférence de presse, seul M. Sarkozy a pris la parole. Le service de presse avait fait passer la consigne : pas de questions à Bouteflika… »

Le président algérien écoute son homologue français étaler son arrogance sans réagir. « Je suis pour une reconnaissance des faits, pas pour le repentir, qui est une notion religieuse et n’a pas sa place dans les relations d’État à État. »

En plus clair, pas question de remords sur la colonisation. Sarkozy enchaîna par l’ambition de l’Hexagone de mettre la main sur Sonatrach. « Nous avons besoin de sécuriser nos approvisionnements en gaz pour le futur (…) On ne peut donc que souhaiter un rapprochement entre les compagnies françaises — GDF, mais aussi Suez et Total — et Sonatrach. »

Il termina par l’équation du mépris : on chassera les émigrés sans grande qualification (« On ne peut ignorer la question des personnes en situation irrégulière, à l’égard de laquelle j’ai pris des engagements vis-à-vis du peuple français qui m’a élu. »), mais on gardera les cerveaux (« Quant à l’immigration choisie, c’est autre chose (…) Il est normal que, comme c’est le droit de tout pays souverain, nous décidions des critères qui vont nous amener à les sélectionner. Il faut d’ailleurs bien distinguer cette immigration, destinée à répondre aux besoins de la société et de l’économie françaises, de la situation de vos compatriotes qui séjournent en France pour se former et ont vocation à retourner dans leur pays… »)


Bouteflika encaisse en silence. L’heure est à gagner les bonnes grâces de la France et des réseaux de Sarkozy pour un troisième mandat. L’honneur national attendra.

La visite de Nicolas Sarkozy à Alger semblait s’être terminée par une brillante victoire de Bouteflika. Le triomphe français semblait total. De Tunis, Sarkozy exulte : « Je crois que le Président Bouteflika est devenu un ardent ambassadeur de l’Union méditerranéenne. »

Dans la foulée, le chef de l’État français annonce que le renouvellement des contrats d’approvisionnement à long terme de Gaz de France à partir de l’Algérie était « bien parti », allusion à l’alliance GDF-Sonatrach.

Le lendemain, c’est Bouteflika lui-même qui applaudit au « rapprochement de vision entre les deux bords de la Méditerranée » dans un message à Sarkozy à qui il rappelle que « nos récents entretiens à Alger nous ont permis de constater la concordance de nos visions et la convergence de nos approches quant aux conditions de réalisation du partenariat d’exception entre nos deux pays. »

Un grand boulevard s’offrait à la France sur le sol algérien. « Si le président français tient sa promesse de s’engager personnellement dans une coopération maghrébine et méditerranéenne dont l’axe serait en quelque sorte Paris-Alger, le voyage officiel d’État de décembre prochain de Nicolas Sarkozy à Alger pourrait déboucher sur un accord historique », prédit Jean Daniel.

Mais c’était là, parler trop tôt. Le 29 juillet, le ministre de l’Énergie et des Mines, Chakib Khelil, annonce le rejet de la proposition française d’alliance entre Sonatrach et Gaz de France. En novembre, les Affaires étrangères évoquent « beaucoup de choses à clarifier dans le projet d’Union méditerranéenne, proposé par le Président Sarkozy » suggérant un possible boycott par le Territoire. Puis, la privatisation du CPA est suspendue par le gouvernement ! Les raisons invoquées seraient liées à « la crise bancaire internationale », mais personne n’est dupe : le DRS de Toufik avait agi.

Le troisième mandat paraît bien compromis.
http://www.tsa-algerie.com/20150919/ret ... -mandat-2/

Tsa et Benchicou qui démontre le rôle positif du Drs ....tout arrive.
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sadral
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par sadral »

Suite et fin des #révélations# de Benchicou
Retour sur les batailles Bouteflika – Toufik : l’épisode du troisième mandat

Bouteflika n’aura le feu vert pour le troisième mandat qu’en novembre 2008, lui qui a annoncé la révision de la Constitution pour décembre 2006 ! Durant ces deux années, un incroyable bras de fer avait opposé le chef de l’État au DRS de Toufik, une partie dans laquelle s’était invité Nicholas Sarkozy (voir nos deux précédents articles), mais aussi les islamistes du Front islamique du salut (FIS, dissous) et ceux de l’Armée islamique du salut (AIS), à qui le Président avait accordé en catimini le droit de revenir à la politique, à charge pour les islamistes de faire du 3e mandat leur affaire.

Madani Mezrag, arrogant, annonce, le 16 août, en conférence de presse, la création prochaine d’une nouvelle formation politique qui succéderait au FIS. « Des droits politiques et civils nous ont été accordés dans le cadre de l’amnistie, et notamment la participation aux élections, et ces droits inquiètent déjà certaines personnes influentes au pouvoir, qui cherchent à nous barrer la route. Nous concrétiserons ce projet s’il le faut sans l’approbation du ministre de l’Intérieur », ajoute-t-il, laissant entendre l’appui direct de Bouteflika.

Le dit ministre de l’Intérieur, Yazid Zerhouni en l’occurrence, se résigna à confirmer, le 2 septembre, les propos de Mezrag : « Les activistes de l’Armée islamique du salut dissoute, qui ont fait part de leur intention de revenir à l’activité politique dans un nouveau parti, peuvent présenter leurs dossiers ! » Mais deux jours plus tard, le mardi 4 septembre, le même ministre Zerhouni se rétracte à partir de Jijel, déclarant devant des journalistes ébaubis : « Tout retour des responsables du parti dissous sur la scène politique est exclu. Ceux qui évoquent aujourd’hui le retour des anciens responsables du FIS à l’activité politique semblent oublier que la plaie du terrorisme est encore ouverte ».

Le DRS venait de faire capoter un autre plan de Bouteflika. Le troisième mandat s’éloignait de plus en plus. Mais Bouteflika ne s’avoue pas vaincu : il va retourner la situation avec l’aide de l’épouvantail TPI.

Sarkozy à peine parti d’Alger, un mandat d’arrêt est émis en France le 7 décembre contre un officier de la Sécurité militaire (devenue entre-temps le DRS : Département du renseignement et de la sécurité). L’homme est désigné comme un des assassins d’Ali Mécili, cet opposant proche d’Aït-Ahmed, assassiné dans le hall de son immeuble parisien, le 7 avril 1987.

La résurgence, à cette période précise, d’une affaire vieille de vingt ans, semblait troublante. Il reste que dans la guerre d’ombres qui l’opposait à la hiérarchie militaire, l’opportunité était la bienvenue pour rappeler aux généraux leur vulnérabilité et les neutraliser.

La renaissance de l’affaire Mécili n’avait pas fini de secouer les hommes du général Toufik que, quatre jours plus tard, le 11 décembre, fusa l’innocente interrogation : qui avait commis les deux attentats à la voiture piégée qui venaient de tuer entre 50 et 72 personnes à Alger et détruit le siège du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) ainsi que celui du Conseil constitutionnel ?

La question, qui désignait d’un doigt nonchalant les généraux, venait au bon moment pour Bouteflika : elle suggérait, au mieux, l’incompétence du DRS de Toufik, au pire, son implication dans le crime. Le Président profitera intelligemment de l’aubaine.

Le 19 décembre, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, insinue, à Alger, que les États membres sont responsables en premier ressort de la sécurité du personnel des Nations Unies. Bouteflika, heureux d’isoler ses rivaux du sérail, laisse dire…

Le lendemain, le syndicat des fonctionnaires des Nations Unies demande une « enquête indépendante » sur les attentats, signifiant par-là que l’ONU n’accordait aucun crédit aux enquêteurs d’Alger et à la « version Al-Qaïda ». Les ministres et les organisations satellites reçoivent d’El-Mouradia l’ordre de se taire. Ce réquisitoire de l’ONU qui établissait « l’incompétence » de Toufik si ce n’est son « implication », venait à point nommé.

Le quotidien Liberté s’étonne de la passivité du président Bouteflika : « Il faut tout de même relever l’absence de la diplomatie nationale à ce moment précis où le pays fait face à une campagne de désinformation semblable à celle que l’Algérie a connue il y a dix ans. ».

Le 14 janvier, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon franchit le Rubicon : il crée sa commission d’enquête après avoir reçu de ses services un rapport préliminaire sur ces attaques. On le saura plus tard, ce rapport était accablant pour le pouvoir algérien.

Bouteflika, ravi de cette charge contre le DRS, encourage en sous-main l’idée de Ban Ki-moon. L’ordre est donné aux médias de l’État de se faire les relais de la requête de Ban Ki-moon. D’un même élan, le quotidien gouvernemental El-Moudjahid, la télévision d’État, l’agence de presse gouvernementale APS ainsi que les quatre radios d’État diffusèrent généreusement l’information sur la création d’une commission d’enquête de l’ONU !

À la une du quotidien gouvernemental, la photo de Ban Ki-moon côtoie celle de Bouteflika et le titre y est grassement annoncé : « Attentats d’Alger du 11 décembre 2007 : Ban Ki-moon désigne une équipe d’enquête indépendante ». Dans l’article, Ban Ki-moon y parle « d’établir tous les faits concernant l’attaque d’Alger ».

« Tous les faits » ? Voilà qui sous-entend que les dirigeants algériens ont dissimulé des vérités à l’opinion. Lesquelles ? Et pourquoi le quotidien gouvernemental El-Moudjahid, si prompt d’habitude à brocarder les attaques contre l’État, avait-t-il mis en exergue cette information ?

L’initiative venant de médias dirigés par le palais d’El-Mouradia, elle signifiait que Bouteflika appuyait l’idée de commission d’enquête et allait très probablement accepter de « coopérer » avec l’ONU.

En plein bataille pour le troisième mandat, ce n’était pas négligeable.

Le quotidien gouvernemental El-Moudjahid suggèrera, le 17 janvier 2008, dans un éditorial rédigé en haut lieu et éloquemment intitulé « Une collaboration décisive » que l’Algérie s’acheminait bel et bien vers une collaboration avec les enquêteurs de l’ONU sur les attentats du 11 décembre. « L’Algérie est connue pour la collaboration qu’elle offre dans le cadre de la lutte internationale contre le terrorisme, en matière de recueil et de traitement de l’information en vertu de la qualité de l’expérience acquise par ses forces de sécurité. »

Belkhadem, alors Premier ministre, rencontre en tête-à-tête Ban Ki-moon à Madrid. Deux jours plus tard, il annonce triomphalement à Alger : « Nous avons assuré aux responsables de l’organisation onusienne que nous sommes prêts à coopérer avec eux. ».

Puis Bouteflika porte l’estocade. Il profite du Sommet de l’Union africaine à Adis Abéba pour rencontrer Ban Ki-moon et lui donner son aval. Ce dernier se dit « encouragé par les arrangements convenus entre l’Algérie et les Nations Unies en ce qui concerne la Commission qui doit enquêter sur l’attaque du 11 décembre. »

Bouteflika avait réussi son coup. Il venait de démontrer aux généraux et à ceux qui l’empêchaient d’abroger l’article 74 de la Constitution, qu’il avait le pouvoir de les laisser s’enfoncer dans les sables mouvants de la juridiction international et celui de les en protéger. À eux de choisir…
http://www.tsa-algerie.com/20150920/ret ... -mandat-3/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

tayeb
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par tayeb »


Despite Shakeups, Algerian Security Apparatus Stronger Than Ever


On Sept. 13, Algerian President Abdelaziz Bouteflika announced the retirement of Gen. Mohamed “Toufik” Mediene, head of the Department of Intelligence and Security (DRS), days after sacking several top generals who worked under Mediene and weeks after the arrest of a former intelligence chief. Bouteflika’s office claimed that the retirement decision was made “in line with the constitution.” But that muted explanation belied the stunning decision to remove Toufik, as he is widely known in Algeria, who has been the head of Algeria’s state intelligence service for 25 years.

Created in 1958 during Algeria’s War of Independence as the Ministry of Ammunitions and General Liaisons, the DRS soon became the country’s main internal security force, especially after the failed coup attempt led by Chief of Staff Tahar Zbiri in 1967 against Houari Boumediene. Through its networks, the DRS permeated public debates, penetrating the civil service, universities, the police and even the ruling National Liberation Front (FLN). It played a key role in co-opting elites, as well as repressing opponents of the regime. Heading this organization for a quarter of a century, Mediene played an active role among what came to be known as the “Janvieristes,” the generals who canceled the second round of legislative elections in early 1992 in order to avoid an overwhelming victory by the Islamic Salvation Front (FIS), an Islamist political party, setting off a decade-long civil war.

Mediene was considered to be Algeria’s undeniable strongman and the power behind Bouteflika’s throne. Yet the “God of Algeria,” as he called himself, had never appeared in public until Sunday, when a local television channel broadcast footage of him talking to senior military officials. His removal signals major shifts within Algeria’s opaque power structure, which has exhibited surprising signs of public tension in recent years, as a battle to succeed Bouteflika looms.

The DRS and its aging generals came under heavy criticism after the heavy-handed response to the terrorist attack on the In Amenas gas complex in January 2013. In response, Bouteflika shuffled out, fired and retired several DRS leaders. In January 2014, Mediene’s right-hand man and head of the Central Directorate for Army Security (DCSA), Maj. Gen. Mhenna Djebbar, was dismissed. The former intelligence chief Abdelkader Ait-Ouarabi, known as Gen. Hassan, who was in charge of counterterrorism and counterintelligence, was arrested and brought before a military court in February 2014 for insubordination. He was removed from duty and then released. But late last month, Ait-Ouarabi was once again arrested and reportedly brought to the Blida military prison south of Algiers, charged with possessing stocks of weapons and forming an armed group.

There were other maneuvers. In 2013, the DRS branch of the judiciary police, created by presidential decree in 2008 to investigate financial scandals, was dissolved. The same year, the DCSA and the communication departments were placed under the command of the army’s chief of staff, Gen. Ahmad Gaid Salah. More recently in July, Bouteflika replaced three senior army officers responsible for domestic security and his own safety: the director of internal security, Ali Bendaoud; the head of the Republican Guard, Ahmed Moulay Meliani; and the head of presidential security, Djamel Kehal Medjdoub.

The relationship between Bouteflika and the DRS has been the subject of much speculation among the Algerian public and outside observers. Several observers interpreted these reshuffles as security purges and part of a cold war between the military and Bouteflika’s inner circle—made all the more intriguing given Bouteflika’s fragile health and the mystery over his successor. It is true that there are tensions between a faction of the military and the political establishment. But despite the enmities, the military knows how to act cohesively for the sake of its own interests. For example, despite Mediene’s criticism of Bouteflika’s decision to stand for a fourth presidential term, he and his followers eventually supported the president in order to give the military more time to prepare for Bouteflika’s succession.

Moreover, however surprising, Mediene’s departure will not change anything for the military and the Algerian security apparatus, both of which are stronger than ever. The DRS has experienced this kind of restructuring before, and none of the past purges and retirements affected the core of its power. Technically, the command and strength of the People’s National Army, Algeria’s ground force, remain the same, too. And one has to keep in mind that Bouteflika simply substituted one devoted DRS officer for another: Mediene’s successor, Gen. Athman Bachir, known as Tartag, was his dedicated student and is a pure product of the Algerian military, having joined the ranks in 1970. During the dark decade of the 1990s, he was the head of the Center for Military Investigation and last year became the special security adviser to Bouteflika.

Given regional circumstances and the rising instability in neighboring Libya, Tunisia, Mali and Niger, Algerian authorities would not risk turning the DRS into an empty shell now. Instead, the restructuring reflects a recognition by the military, including its security branches, that it must prepare for Bouteflika’s successor by bringing in a younger generation. Age is a key factor: Mediene is 76 years old and Gaid Salah, the army chief of staff, is 75. He will most likely be the next one to leave. The moves have not changed the reality that Algeria’s military is still a political force and will remain a prominent player in the country’s politics.

Ultimately, the growth of civilian power in the country will depend on whether the DRS maintains its influence on Algerian politics, economics and society. For now, however, it is too early to tell whether the recent developments represent the initial steps toward such a transformation into a civil state.

http://www.ocnus.net/artman2/publish/In ... Ever.shtml

tayeb
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par tayeb »

tayeb a écrit : Je vais faire une lecture chirurgicale dans cette histoire, Tartag n'a pas pardonné à Mediéne de l'avoir lâché, il lui a fait payer cher et ça Médiene ne l'a pas vu venir.
Changement à la tête du DRS

Comment Toufik a perdu l’ultime bataille


Une mise à la retraite rendue nécessaire par les impératifs de restructuration des services de renseignement ou résultat de règlements de comptes entre généraux rivaux qui se disputaient le pouvoir réel de décision ? Deux thèses s’opposent pour analyser le limogeage du général Toufik, jusque-là l’homme le plus influent du pays. Décryptage…

Les hostilités entre le général de corps d’armée, Mohamed Mediène dit Toufik, désormais ex-chef du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), et le nouveau patron de la maison, qui n’est autre que l’ex-n°2, Athmane Tartag dit Bachir, ont commencé dès le limogeage de ce dernier dans la foulée de l’affaire Tiguentourine.
Cette attaque terroriste de janvier 2013 qui s’est soldée par la plus grande prise d’otages de l’histoire, dénouée dans le sang avec la perte d’une quarantaine de ressortissants étrangers et l’arrêt du site gazier de Tiguentourine dont la production représente 15% des exportations algériennes, devait être punie et la responsabilité de Bachir était donc engagée au même titre que celle de son chef qui dirige le pays depuis un quart de siècle.
Mais, au lieu d’assumer son échec et démissionner, Toufik, dont la position est ébranlée au sein de l’establishment militaire suite à cet attentat, a sacrifié son poulain Bachir qu’il a lui-même rappelé en 2011 pour gérer la situation sécuritaire que le chaos provoqué par la chute des régimes politiques dans plusieurs pays voisins risquait d’impacter.
Toufik a fait alors valoir l’efficacité du Service de coordination opérationnelle et de renseignement antiterroriste (Scorat) du général Abdelkader Aït Ourabi dit Hassan, qui aurait alerté contre un imminent attentat ciblant des installations pétrolières deux semaines avant la prise d’otages.
Un affront que Bachir n’a jamais digéré, lui qui s’est sacrifié dans la sale besogne qu’on lui avait confiée durant la décennie 1990, en usant de méthodes exécrables qui lui ont valu de prendre la tête des listes noires de la plupart des ONG de défense des droits de l’Homme. Sauf que Bachir, qui venait de sortir d’une longue traversée du désert imposée par la mise en œuvre de la politique de réconciliation, a bien ficelé ses alliances cette fois-ci.
D’autant que l’argument de Toufik imputant en partie la responsabilité dans la prise d’otages de Tiguentourine aux responsables de l’état-major qui n’auraient pas exploité convenablement les renseignements, mêmes tronqués, obtenus par les éléments de Hassan sur le plan des assaillants. Il n’y avait donc pas mieux pour se mettre dans les bonnes grâces du chef d’état-major Ahmed Gaïd Salah dont la rancœur vis-à-vis de Toufik est de notoriété publique depuis que ce dernier, en accord avec l’ancien chef d’état-major, feu Mohamed Lamari, avait suggéré au président de la République de le mettre à la retraite en 2004. Cette alliance Gaïd Salah-Tartag a scellé le sort de Toufik quelques mois avant l’élection présidentielle d’avril 2014.

Gaïd Salah-Tartag : le duo qui a scellé le sort de Toufik
L’hospitalisation du président de la République au Val-de-Grâce en avril 2013 et l’opposition de Toufik au 4e mandat ont fait le reste. La panique qui s’est emparée du clan présidentiel face à la réticence du faiseur attitré de présidents l’a contraint à se mettre sous le parapluie du duo Gaïd Salah-Tartag qui a profité de la situation pour la redistribution des cartes au sein de l’institution militaire, colonne vertébrale du régime et source du pouvoir en Algérie.
Un Bouteflika diminué, qui n’est plus maître de ses actes et à qui on attribue symboliquement les décisions, est l’instrument adéquat pour faire le nécessaire en vue de torpiller Toufik jusque-là l’homme le plus puissant du pays. Et, il n’en fallait pas plus pour que le duo Gaïd Salah-Tartag mette la machine en branle. En s’appuyant sur Tartag qui connaît bien le DRS et ses méthodes, Gaïd Salah a bloqué toutes les velléités d’opposition de Toufik au 4e mandat. Ainsi, la bravade signée par le SG du FLN Amar Saâdani, deux mois avant le scrutin, contre Toufik, un entretien accordé au journal électronique TSA et qui ressemble à un audit de l’activité du DRS sous le commandement du général Mohamed Mediène, est venue démystifier le département le plus redouté en Algérie.
C’était pour baliser le terrain à la restructuration du DRS qui participe de la stratégie de Gaïd Salah et Tartag visant à affaiblir Toufik. Si Tartag, même sans poste après son limogeage, peut se prévaloir de réseaux aux ramifications tentaculaires, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, son rappel à la Présidence comme conseiller, quelques mois après la bravade de Saâdani, l’a encore légitimé dans son action.
Ce faisant, toutes les structures qui ne relèvent pas des métiers de base du renseignement ont été enlevées à Toufik, soit en les rattachant à l’état-major, soit, carrément, en les dissolvant. Il a fallu aussi neutraliser les concurrents potentiels aspirant au poste qu’occupe Mohamed Mediène.
L’arrestation du général Hassan dans des conditions qui restent encore à élucider et le limogeage du général Kehal Medjdoub dit Djamel, chef de la Direction générale de sécurité et de la protection présidentielle (DGSPP), après “l’incident de Zéralda”, au demeurant deux hommes de confiance de Toufik, ont ouvert la voie à Tartag pour imposer son autorité au sein du DRS. De la sorte, Gaïd Salah et Tartag ont poussé Toufik vers la sortie, lui laissant suffisamment de temps pour démissionner et préserver son honneur.
Mais, lui n’a pas su quitter la table. Ce qui s’est passé n’augure en tout cas ni d’un changement dans l’attitude du régime ni n’intègre une démarche de modernisation des services de renseignement en les recentrant sur leur métier. Cela a juste recentré la décision autour d’un autre noyau du régime et d’un nouveau marionnettiste.
http://www.liberte-algerie.com/actualit ... lle-233183

LANDSKNECHT
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par LANDSKNECHT »

Pierre Vermeren au Monde : «Hollande évoquera avec Mohammed VI le départ du général Toufik»

Cité par le journal Le Monde pour commenter la visite officielle qu’effectue François Hollande au Maroc à partir de samedi, l’universitaire français et spécialiste du Maroc Pierre Vermeren a estimé qu’au-delà de la volonté de mettre en scène l’amitié entre les deux pays, les dossiers de fond qui seront évoqués par les deux souverains «ne manquent pas», citant «le récent départ du chef du renseignement algérien, le général Toufik» en tête d’une longue liste de questions d’actualité : «(…)
La question des combattants étrangers qui rejoignent l’Etat islamique en Syrie et en Irak, la guerre au Yémen, la situation au Sahara, ou encore le soutien de la France à la position marocaine sur le Sahara occidental…» C’est dire l’extrême sensibilité que revêt cet événement pour les Français et nos partenaires régionaux, certainement plus concernés que d’autres par les éventuelles répercussions de ces changements sur la situation régionale, vu le rôle prépondérant que joue l’Algérie dans le domaine de la sécurité et plus particulièrement dans celui de la lutte contre le terrorisme et la contrebande transfrontalière.
Il faut dire que le changement intervenu à la tête des services de sécurité algériens a suscité de larges commentaires dans la presse parisienne, mais, surtout, au Maroc où la presse locale s’interroge sur l’avenir des relations avec l’Algérie, et de ce qui adviendra notamment du dossier épineux du Sahara Occidental et de la question des frontières qui revêt pour Rabat une importance vitale.
D’où l’intérêt accordé par les journaux marocains au profil du nouveau patron des services algériens, le général Athmane Tartag, et à sa position par rapport à la question nodale du Sahara Occidental, en se lançant dans des spéculations. Dans leurs campagnes d’hostilité contre l’Algérie, les journalistes à la solde du Makhzen n’ont jamais cessé de qualifier le pouvoir algérien de «régime totalitaire», et se gargarisent sur les plateaux de télévision en disant que le peuple algérien est «gouverné par les moukhabarate», «ploie sous la misère», tout en dénonçant le «surarmement» de l’Algérie et ses intentions «expansionnistes». Mis à mal par l’échec de toutes les pressions que leurs alliés européens, dont les Français, tentent d’exercer sur Alger pour l’amener à accepter un «dialogue direct et ouvert» avec Rabat, les Marocains ne désespèrent pas de regagner la confiance de leur parrain, en lui accordant davantage de facilités, puisque des représentants de grandes entreprises françaises, dont la SNCF, Alstom, CMA-CGM, Renault ou encore Veolia, feront partie de la délégation française.
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mounircasadi
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par mounircasadi »

LANDSKNECHT a écrit :
Pierre Vermeren au Monde : «Hollande évoquera avec Mohammed VI le départ du général Toufik»

Cité par le journal Le Monde pour commenter la visite officielle qu’effectue François Hollande au Maroc à partir de samedi, l’universitaire français et spécialiste du Maroc Pierre Vermeren a estimé qu’au-delà de la volonté de mettre en scène l’amitié entre les deux pays, les dossiers de fond qui seront évoqués par les deux souverains «ne manquent pas», citant «le récent départ du chef du renseignement algérien, le général Toufik» en tête d’une longue liste de questions d’actualité : «(…)
La question des combattants étrangers qui rejoignent l’Etat islamique en Syrie et en Irak, la guerre au Yémen, la situation au Sahara, ou encore le soutien de la France à la position marocaine sur le Sahara occidental…» C’est dire l’extrême sensibilité que revêt cet événement pour les Français et nos partenaires régionaux, certainement plus concernés que d’autres par les éventuelles répercussions de ces changements sur la situation régionale, vu le rôle prépondérant que joue l’Algérie dans le domaine de la sécurité et plus particulièrement dans celui de la lutte contre le terrorisme et la contrebande transfrontalière.
Il faut dire que le changement intervenu à la tête des services de sécurité algériens a suscité de larges commentaires dans la presse parisienne, mais, surtout, au Maroc où la presse locale s’interroge sur l’avenir des relations avec l’Algérie, et de ce qui adviendra notamment du dossier épineux du Sahara Occidental et de la question des frontières qui revêt pour Rabat une importance vitale.
D’où l’intérêt accordé par les journaux marocains au profil du nouveau patron des services algériens, le général Athmane Tartag, et à sa position par rapport à la question nodale du Sahara Occidental, en se lançant dans des spéculations. Dans leurs campagnes d’hostilité contre l’Algérie, les journalistes à la solde du Makhzen n’ont jamais cessé de qualifier le pouvoir algérien de «régime totalitaire», et se gargarisent sur les plateaux de télévision en disant que le peuple algérien est «gouverné par les moukhabarate», «ploie sous la misère», tout en dénonçant le «surarmement» de l’Algérie et ses intentions «expansionnistes». Mis à mal par l’échec de toutes les pressions que leurs alliés européens, dont les Français, tentent d’exercer sur Alger pour l’amener à accepter un «dialogue direct et ouvert» avec Rabat, les Marocains ne désespèrent pas de regagner la confiance de leur parrain, en lui accordant davantage de facilités, puisque des représentants de grandes entreprises françaises, dont la SNCF, Alstom, CMA-CGM, Renault ou encore Veolia, feront partie de la délégation française.
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par PSG78 »

mounircasadi a écrit :
LANDSKNECHT a écrit :
Pierre Vermeren au Monde : «Hollande évoquera avec Mohammed VI le départ du général Toufik»

Cité par le journal Le Monde pour commenter la visite officielle qu’effectue François Hollande au Maroc à partir de samedi, l’universitaire français et spécialiste du Maroc Pierre Vermeren a estimé qu’au-delà de la volonté de mettre en scène l’amitié entre les deux pays, les dossiers de fond qui seront évoqués par les deux souverains «ne manquent pas», citant «le récent départ du chef du renseignement algérien, le général Toufik» en tête d’une longue liste de questions d’actualité : «(…)
La question des combattants étrangers qui rejoignent l’Etat islamique en Syrie et en Irak, la guerre au Yémen, la situation au Sahara, ou encore le soutien de la France à la position marocaine sur le Sahara occidental…» C’est dire l’extrême sensibilité que revêt cet événement pour les Français et nos partenaires régionaux, certainement plus concernés que d’autres par les éventuelles répercussions de ces changements sur la situation régionale, vu le rôle prépondérant que joue l’Algérie dans le domaine de la sécurité et plus particulièrement dans celui de la lutte contre le terrorisme et la contrebande transfrontalière.
Il faut dire que le changement intervenu à la tête des services de sécurité algériens a suscité de larges commentaires dans la presse parisienne, mais, surtout, au Maroc où la presse locale s’interroge sur l’avenir des relations avec l’Algérie, et de ce qui adviendra notamment du dossier épineux du Sahara Occidental et de la question des frontières qui revêt pour Rabat une importance vitale.
D’où l’intérêt accordé par les journaux marocains au profil du nouveau patron des services algériens, le général Athmane Tartag, et à sa position par rapport à la question nodale du Sahara Occidental, en se lançant dans des spéculations. Dans leurs campagnes d’hostilité contre l’Algérie, les journalistes à la solde du Makhzen n’ont jamais cessé de qualifier le pouvoir algérien de «régime totalitaire», et se gargarisent sur les plateaux de télévision en disant que le peuple algérien est «gouverné par les moukhabarate», «ploie sous la misère», tout en dénonçant le «surarmement» de l’Algérie et ses intentions «expansionnistes». Mis à mal par l’échec de toutes les pressions que leurs alliés européens, dont les Français, tentent d’exercer sur Alger pour l’amener à accepter un «dialogue direct et ouvert» avec Rabat, les Marocains ne désespèrent pas de regagner la confiance de leur parrain, en lui accordant davantage de facilités, puisque des représentants de grandes entreprises françaises, dont la SNCF, Alstom, CMA-CGM, Renault ou encore Veolia, feront partie de la délégation française.
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Il ne lui reste plus que ça, laisse le :lol:

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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par LANDSKNECHT »

Pour le général Benhadid, Said Bouteflika se prépare à succéder à son frère

https://youtu.be/k9dwjT_e7Rk
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mounircasadi
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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par mounircasadi »

continue de rever et continue de poster des anneries , ce méme benhadid disait avant que le DRS et son chef sont intouchable , ceux qui sont hors de porté des decisions se retrouvent a ecrire des bouquins ou se faire mediatisé :D

En 2014 : « Toufik est un loup parmi les plus féroces, et il sera difficile de prendre le dessus sur lui. » Et sur la restructuration du DRS, Hocine Benhadid minimise les derniers changements décidés. Avec une étonnante contre-vérité « la (DCSA) était depuis longtemps sous l’autorité de l’état-major. Elle était dirigée par le DRS. Et c’est Khaled Nezzar (en tant que ministre de la défense) qui l’a transférée à l’état-major. » Ensuite sur la dissolution du service judiciaire, il dit que cette décision n’a aucun effet du fait que les dossiers de corruption demeurent entre les mains du DRS. Il continue « L’éviction de Toufik crée l’anarchie et des divisions au sein de l’armée, et Bouteflika le sait très bien, et s’il remplace Toufik dans cette configuration, il va donner l’impression qu’il s’est vengé de lui, et cela aura des suites impitoyables, c’est pour cela qu’il n’ira pas dans cette direction. »

:!: Edit admin : lien url non autorisé :!:
Dernière modification par mounircasadi le 22 septembre 2015, 20:34, modifié 1 fois.

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Re: Département du Renseignement et de la Sécurité [DRS]

Message par LANDSKNECHT »

mounircasadi a écrit :continue de rever et continue de poster des anneries , ce méme benhadid disait avant que le DRS et son chef sont intouchable , ceux qui sont hors de porté des decisions se retrouvent a ecrire des bouquins ou se faire mediatisé :D
Cet homme n'est pas un ancien responsable de kebab mais un ancien général de l'anp.
Et ce qu'il raconte '(et ce qu'on comprend entre les lignes) sur le fonctionnement des coulisses du pouvoir de la RADP est dévastateur en terme d'image.
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