Dans cette histoire, Je n'arrive pas à comprendre le MDN
Leurs revendications sont légitimes et les prendre en charge ne va pas "ruiner" l'ANP donc y a t-il une volonté de pourrissement de la situation ?
Enfin, je n'était pas au courant sur cette pétition contre cet enfoiré de Madani, est elle en ligne ? Je suis sur que bcp de "FDZistes" voudraient la signer
si quelqu'un a une adresse url ou autre merci de me la communiquer.
Ils tirent à boulets rouges sur Madani Mezrag: Les Patriotes menacent d’investir la rue
La Coordination nationale des Patriotes (CNP), qui ont participé activement à la lutte antiterroriste, menace de recourir à des actions de terrain si ses revendications ne sont pas satisfaites par les responsables concernés.
C’est ce qui ressort de la réunion de cette structure tenue, hier, à la bibliothèque municipale de Larbaâ Nath Irathen, à 30 km à l’est de Tizi Ouzou. «Nous allons interpeller encore une fois le ministère de la Défense pour qu’il réponde à nos doléances. S’il n’y a pas de réponse favorable à notre plateforme de revendications, nous investiront la rue», a précisé Ali Bougtaya, président de la CNP.
«Nous demandons que l’Etat nous assure des salaires comme ceux des militaires (djounoud) que nous avons secondés durant la période de la décennie noire», a clamé le représentant des Patriotes de la wilaya de Médéa qui estime que les manifestations de rue restent l’ultime recours pour maintenir la pression sur les pouvoirs publics. «Il y a des gens qui ont des kalachnikovs à la maison, mais il ne sont pas payés depuis 15 ans.Dans cette situation, les autorités poussent-elles ces personnes à braquer des citoyens pour nourrir leurs familles ?» s’est interrogé un autre membre de la coordination locale de Tizi Ouzou, et d’ajouter qu’il y a des personnes qui touchent des salaires de 30 à 40 millions, alors que ceux qui ont permis à Algérie de rester débout durant la période du terrorisme sont oubliés.
Les présents se sont également pris, avec virulence, à l’ancien chef de l’AIS, Madani Mezrag, qui compte créer un parti politique. «Nous ne laisserons pas ce criminel créer un parti politique.Là où il organisera une rencontre, nous l’en empêcherons. S’il veut faire son congrès, qu’il le fasse au maquis», ont fulminé des intervenants qui ajoutent : «Notre conscience ne nous laissera pas trahir nos collègues qui sont morts assassinés par les acolytes de ce sanguinaire.»
«Nous réclamons également un statut particulier à l’exemple du statut des moudjahidine, la prise en charge des familles des Patriotes victimes du terrorisme et des invalides blessés lors des opérations antiterroriste, ainsi que les Patriotes atteints de maladies chroniques.
Nous avons mené un combat pour la sauvegarde de la République algérienne», a déclaré le délégué de la wilaya de Chlef avant de poursuivre : «Nombre d’entre nous vivent aujourd’hui dans des conditions familiales et sociales très difficiles, voire pénibles.» Par ailleurs, une représentante de l’Association des victimes du terrorisme de la wilaya de Blida a souligné, pour sa part, la nécessité de signer la pétition qui circule pour le dépôt de plainte contre Madani Mezrag au Tribunal international de La Haye, pour crime contre l’humanité. «20 000 signatures pour 20 000 victimes», a-t-elle demandé.
Enfin, notons que la réunion d’hier, à Larbaâ Nath Irathen, a regroupé des représentants des Patriotes, ceux des membres des Groupes de légitime défense (GLD) ainsi que des gardes communaux venus de 38 wilayas du pays, comme Alger, Blida, Boumerdès, Tizi Ouzou et Djelfa.
http://www.elwatan.com/actualite/les-pa ... 66_109.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.