Armée Turque

[camron29]

C'est des engagements a court terme basee sur l'actualite des deux pays ! Les deux ont des convergences avec les US. C'est plutot les US qui sont versatile avec le N°2 de l'otan, cad la Turquie !

Chacun se debrouille avec ce qu'il a comme carte dans l'actualite mais chacun ont une vision pour le long terme ! Pour ce qui est les deux nations, regarde leur histoire et l'etendu territoriale et tu comprendras que le futur ne peut etre construit sans le passe.

[geronimo]

Je comprends pas la position des russes,d'un côté il engage un bras de fer avec les américains pour stopper la progression de l'otan dans l'Europe de l'est et de l'autre ils s'apprêtent à vendre un système de missiles SAM ultra moderne à la Turquie membre de l'otan avec à sa tête un erdogan très versatile et imprévisible,la confiance règne chez les russes!

L’intérêt fait la politique donc toute est question d’intérêt mutuel

[geronimo]

Negotiating Missile Defense in the Turkish Bazar
Turkey is negotiating a mega deal worth billions of dollars in a ‘Turkish Bazar’ style, where the European Eurosam consortium faces a competing offer from the Russians, through their largest missile exporter Rostec, as Ankara opens its missile defense program to foreign bidders.

Until 2013 Turkey, a major NATO ally considered only the weapon systems produced by its allies. However, in 2013 Ankara broke this tradition favoring the Chinese FD-2000 air defense system over costlier US and European competitors that restricted Turkish work sharing in the development of the system, something the Chinese were happy to offer for the US$3.4 billion they asked for.

http://defense-update.com/20170719_turk ... fense.html

[HADDAD]

La Turquie achete les s-400 russe officiellement
http://balkaneu.com/turkey-has-made-an- ... t-erdogan/
https://themoscowtimes.com/news/russia- ... rkey-58924
https://fr.sputniknews.com/internationa ... ie-russie/

[geronimo]

New Aircraft to Turkish Air Force

Turkey has been reinforcing its Air Force fleet with manned and unmanned systems. Turkish Aerospace Industries (TAI) will increase production and delivery of T129 ATAK advanced attack and tactical reconnaissance helicopters, ANKA unmanned aerial systems and new generation HÜRKUŞ training aircraft.

TAI is the country’s main producer of fixed and rotary wing aircraft, unmanned air vehicles (UAV) and space technology

The T129 ATAK helicopter is a new generation, tandem, two-seat, twin-engine helicopter specifically designed for attacks and reconnaissance. Developed from the combat-proven AgustaWestland A129CBT, the new aircraft incorporates a new system philosophy with a new engine new avionics, sight systems and weapons, modified airframe, uprated drive train and new tail rotor.

The company will produce 59 ATAK helicopters, all of which are scheduled for delivery by 2018, for the military, and it is expected to deliver 12 ATAK helicopters by the end of 2017.

With the delivery of 14 helicopters in the ATAK Project, the configuration of phase 2 will commence. ATAK phase 1 includes a missile warning system, counter-measure systems, infrared countermeasure systems and MXF-484 and 9651 radios. Phase 2 has additional features such as laser warning systems, a radio frequency (RF) mixer, a radar warning receiver and 9681/VUHF radio systems.

https://i-hls.com/archives/78968

[geronimo]

Shifting Alliances – NATO Member Purchases Russian Defense Systems

Turkey, a NATO member, is now purchasing defense systems from Russia. Moscow received an advance payment from Turkey for S-400 surface-to-air missile systems, Russian presidential aide Vladimir Kozhin confirmed.

The S-400 is a next-generation Russian air defense system. It carries three different types of missiles, capable of destroying aerial targets at short-to-extremely-long ranges. It is designed to track and destroy various types of aerial targets, from reconnaissance aircraft to ballistic missiles.

Ankara reportedly made the first payment on the delivery of Russian S-400 surface-to-air missiles to Turkey. “Yes, we have received it. We cannot name the dates of supply yet. They want earlier [than 2019], but the issue is still being discussed,” Kozhin told reporters, according to sputniknews.com.

oday, Turkey completely lacks long-range anti-aircraft missile capability. The military is equipped with medium-range MIM-14 Nike Hercules and MIM-23 Hawk missiles, US and NATO designs which were first introduced in the 50s and 60s. Its forces are also outfitted with short-range Rapier missiles, produced in the UK since the 70s. These weapons are also considered obsolete.

https://i-hls.com/archives/78991

[Chifboubara]

La Russie vendra-t-elle ses missiles S-400 à la Turquie?
SCIENCES & TECH MARS 16, 2017 NIKOLAÏ LITOVKINE
Un S-400.
Un S-400.
AP
Ankara souhaite acquérir le système antiaérien russe S-400. Mais les experts militaires russes estiment que ces déclarations constituent un «marchandage turc» visant à faire baisser le prix de systèmes équivalents produits par ses alliés de l’Otan.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayip Erdogan ont évoqué leurs de leur rencontre à Moscou le 10 mars la possibilité de livraisons à Ankara de systèmes antiaériens et antimissiles S-400 ; une information qui n’a été rendue publique qu’une semaine plus tard, mais que le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov a confirmé lors d’une conférence de presse. Le ministre russe de la défense Sergueï Choïgou a lui aussi confirmé que les deux parties avaient abordé cette question durant la rencontre.

Selon les médias russes, Ankara souhaite acquérir ces systèmes de défense et évalue en ce moment le futur contrat potentiel. À l’heure actuelle, la Turquie précise toute une série de détails : quelle version du S-400 pourra être livrée par Moscou, son prix, ses délais de livraison, etc. Si les parties parviennent à s’entendre sur ces questions, les institutions des deux pays passeront à la commande en elle-même.

L’Otan pourra-t-elle empêcher les livraisons d’armes russes ?

La Russie et les Emirats créeront un chasseur de cinquième génération
« La Turquie est membre de l’Alliance atlantique et il ne fait aucun doute que Bruxelles et Washington essaieront d’empêcher la vente des Russes », considère Viktor Mourakhovski, colonel à la retraite et rédacteur en chef du journal L’Arsenal de la Patrie.
« Les pays vont essayer de faire valoir leurs intérêts. On verra des déclarations selon lesquelles le S-400 n’est pas adapté aux standards de l’Alliance, qu’il ne peut pas être intégré au système antiaérien commun, etc. La même histoire s’est produite avec la vente de S-300 russes à la Grèce (elle aussi membre de l’Otan), mais nous étions alors parvenus à « garder notre client » et à vendre 12 appareils à Athènes », raconte l’expert.

Selon lui, les Américains mettront en avant leur propre système antiaérien Patriot, l’équivalent du S-400 russe. « Il est plus cher et moins efficace que le russe en de nombreux points : portée, capacité de lutte antimissiles, durée de préparation, etc. Mais étant donné que les États-Unis et la Turquie sont alliés au sein de l’Otan, il faudra aussi prendre en compte des pressions économiques et politiques de la part du Congrès américain », ajoute Mourakhovski.



Il fait remarquer qu’une division de S-400 standard (8 systèmes de lancement et leurs équipements de soutien) et leur réserve de missiles coûte 500 millions de dollars. Reste à savoir combien de divisions la Turquie décidera d’acheter. Et compte tenu des modernisations des entreprises du complexe militaro-industriel russe, les livraisons des systèmes antiaériens pourraient commencer d'ici trois ans, si les négociations se déroulent sans accroc.

Marchandage à la turque
Cependant, Viktor Litovkine, analyse militaire de l’agence TASS, considère que « les déclarations ‘d’intérêt’ et les ‘évaluations’ ne signifient pas encore que la Turquie va signer un contrat d’achat d’armes à la Russie ».

Lire aussi : Buk-M3 et Kalibr: de nouvelles armes pour l’armée russe
« Tout ceci reste des paroles en l’air. Par le passé, les Turcs avaient aussi négocié avec nous pour acheter des S-300. Puis il s’était avéré qu’ils s’étaient servis de nous pour faire baisser leurs prix aux Chinois, qui proposaient à Ankara leurs propres systèmes de missiles HQ-9 », déclare l’analyste.

Selon lui, une situation similaire s’était encore produite avec les hélicoptères Ka-52 destinés à l’armée de l’air turque. La Russie avait modernisé son appareil pour le faire correspondre aux besoins d’Ankara, mais le contrat avait été attribué à l’américain Bell. « Mais en cas de succès, ce sera le contrat militaire le plus important jamais conclu entre les deux pays », ajoute l’expert.

Source : https://fr.rbth.com/defense/2017/03/16/ ... uie_720793

[geronimo]

La la turquie est entre deux front d'un côte membres de l'Otan est desire etre membre de la CE,et de l'autre elle veut un systeme russe de defense aérienne,un grand dilem a resoudre.

[geronimo]

Troc en mer Noire: la Turquie va acheter du C-400 pour les tomates?

Bien qu'Ankara reste à l'ordre du jour des rapports sur l'achat du S-400 en provenance de Russie, le point de vue prévaut parmi les pays membres de l'OTAN que ces négociations ne sont rien de plus qu'une négociation par conjoncture. Ceci est écrit par le plus vieux journal turc Cumhuriyet, opposant au parti au pouvoir Justice et Développement (AKP).

Selon la logique des interviewés par la publication d'experts turcs et de diplomates d'autres pays de l'OTAN, les membres de l'Alliance atlantique partagent souvent non seulement des informations, mais aussi des développements spécifiques. Par conséquent, il est peu probable que Moscou s'engage sérieusement à fournir à la Turquie un système avancé de défense antiaérienne et antimissile, car cela signifie que ces technologies seront éventuellement reprises par l'OTAN.

diplomate occidental à parler avec Cumhuriyet La personne, a exprimé une vue similaire: « Les signatures peuvent être fournies, mais cela ne signifie pas que les missiles seront déployés en Turquie. Imaginez si Erdogan n'est pas réélu en 2019, et la personne qui vient le remplacer le donnera à l'OTAN. La Russie ne sera pas si risquée ", a-t-il déclaré.

Selon le diplomate, Moscou, conduisant à la Turquie négociation C-400, veut créer une faille dans l'OTAN, et « la réaction de l'alliance est considérée dans ce cadre. » Un autre diplomate, insistant sur le fait que le commerce turco-russe est en fait destiné à la déstabilisation des relations entre Washington et Ankara, a déclaré: « Je ne peux pas empêcher même la possibilité que la Russie va vendre turc C-400. »

Pendant ce temps, le gouvernement et le président Recep Tayyip Erdogan ont rapporté que les signatures dans le document ont été livrées. Et le directeur général de Rosoboronexport Alexander Mikheev 22 Août que dit le contrat nécessaire pour le système de défense aérienne S-400 a signé avec la Turquie, mais il n'a pas encore entré en vigueur. Mikheev a expliqué que l'accord "laissait des nuances techniques".

Plus tôt, le 14 juillet, Bloomberg a rapporté que les termes de l'accord entre la Russie et la Turquie avaient été convenus. Selon une source militaire de haut rang, nous parlons de quatre divisions du système S-400 pour un total d'environ 2,5 milliards de dollars. Deux divisions devraient être transférées par la Russie sous forme prête dans un délai de deux ans à compter de la signature du contrat. Deux autres sont censés être assemblés en Turquie avec le transfert de technologie.

Cumhuriyet La personne comme indiqué, les négociations qui ont conduit la Turquie avec la Chine au cours de ses cours depuis 2010 tentatives d'acquisition de missiles à longue portée, a provoqué une forte réaction de l'OTAN, mais en réponse à des négociations avec la Russie sur le C-400 de l'OTAN n'a pas suivi la réaction attendue. Après qu'Ankara a maintenu cette question à l'ordre du jour et a déclaré que l'accord avait été signé, le porte-parole du département de la Défense américain, Jeff Davis, s'est inquiété de l'incompatibilité du S-400 avec les systèmes de défense aérienne de l'OTAN.

Est-il vrai que la Russie, craignant le transfert de technologie, ne vendra pas le S-400 à un pays membre de l'OTAN, même s'il est aussi volontaire que la Turquie?

Rappelons que la Russie a encore de l'expérience dans le transfert des systèmes de missiles antiaériens de la S-300 SAM à l'Etat, qui fait partie du bloc de l'Atlantique Nord. Les deux divisions de S-300PMU1 ont été achetés par Chypre en 1996, cependant, l'adoption du C-300 a été bloqué par les Etats-Unis sur les armes, le Royaume-Uni et la Turquie, qui a estimé qu'il pourrait perturber l'équilibre militaire dans la région. En 2006-2007, les droits sur le système ont été transférés de Chypre à la Grèce. 13 décembre 2013 Athènes pour la première fois tiré du russe "trehsotok". Actuellement en service avec les forces armées grecques sont le système de défense aérienne américain Patriot PAC-2, le russe S-300PMU1, ainsi que des complexes de courte portée de fabrication soviétique - « Osa-AKM » et « Tor-M1 ». Tous les moyens sont intégrés dans le système de défense aérienne national et font partie du système de défense aérienne de l'OTAN.

Chercheur au Centre d'analyse des stratégies et technologies, rédacteur en chef du magazine Andrei Frolov « des exportations d'armes », estime que le refus de fournir S-400 côté turc en raison du fait que les experts de l'OTAN quelque chose podsmotrena - pas un argument.

- En tout cas c'est une question de système dans la version export. Tout le monde comprend que au pouvoir en Turquie, bien que M. Erdogan, bien que Fethullah Gyulen, les Américains trouvent encore une façon de voir. Si officiellement annoncé que les négociations sont en cours et le contrat est en cours de nuances techniques coordonnés, la possibilité de familiariser les Américains avec le C-400 nous ne cessons pas. Surtout que le contrat pour la livraison du S-400 a déjà été signé avec la Chine, le système est beaucoup où il a été montré. Sans oublier le fait que la ligne entre le S-300PMU2 et le S-400 est plutôt mince. Je vous rappelle que le S-400, alias C-300PM3, a commencé à se développer dès les années 1980 dans le développement de la famille « de trehsotok ».

Ainsi, les problèmes technologiques sont peu susceptibles d'effrayer les développeurs russes, en tant que facteur de l'inspection du système par nos adversaires dans la fourniture d'équipements militaires à l'étranger est mis, pour ainsi dire, par défaut.

"JV": - Quoi qu'il en soit, Ankara utilise le facteur russe dans ses différends avec l'OTAN. Les Turcs sont vraiment intéressés à acheter le S-400?

- Un exemple classique: l'avion de combat Rafale de la firme française Dassault Aviation a été déclaré vainqueur du plus grand dans l'histoire de l'offre internationale de l'Inde en Janvier 2012, mais le contrat a été finalisé que dans le 2012ème. Tous les contrats de fourniture d'armes - longue procédure, alors que, à tout stade de la coordination, et même après la signature du document il y a un risque d'échec de l'opération en raison de l'intervention d'un facteur.

Les Turcs ont longtemps considéré les options pour renforcer son air et la défense antimissile, et en 2009, a annoncé un appel d'offres T-LORAMIDS (turc à long terme et le système de défense contre les missiles) pour l'achat de composants pour le système de défense antimissile. Le renforcement de son propre système de défense aérienne lui donne l'opportunité, entre autres, de montrer une voie indépendante dans les relations avec les Etats-Unis, l'Europe et l'OTAN. En même temps, nous ne savons pas les termes de l'accord dans les coulisses, et à quelles conditions le rapprochement entre Moscou et Ankara en 2016.

Évidemment, il y a un certain échange ici, qui concerne non seulement le programme syrien, mais aussi les questions économiques. Il y a quelques jours, les médias ont rapporté que les tomates turques peuvent tolérer pendant un mois en Russie et, paradoxalement, le délai de reprise de l'offre de légumes peut être lié au C-400. En tout cas, je ne l'exclurais pas.

En outre, Moscou et Ankara pourraient signer un accord intergouvernemental et négocier les détails du contrat lui-même pendant des années. D'autre part, comme je l'ai dit, même un contrat ferme ne signifie pas que la Turquie va transférer l'argent demain. Grosso modo, ils ont la possibilité de sauter même si l'avance est transférée, si le contrat est établi en conséquence. La pratique des livraisons d'armes est riche, et dans chaque cas, il peut y avoir des centaines de nuances.

« SP »: - Comment les préoccupations valides membres de l'OTAN sur la compatibilité des systèmes S-400 à l'alliance?

- En soutien à la défense aérienne, les forces armées turques dépendent de l'aviation. Par conséquent, si elles organisent le déploiement du système sur le principe de celui-ci effectuera une couverture pour la protection d'Ankara, les bases militaires ou de la même centrale nucléaire « Akkuyu » sur place, un problème purement turc. Il est clair que la tâche de couvrir tout le pays n'en vaut pas la peine et qu'elle ne peut être assurée par quatre divisions. En ce qui concerne le radar, pour autant que je sache, il se connecte simplement au système général de contrôle de l'espace aérien.

"JV": - L'agence Bloomberg a rapporté que deux divisions devraient être collectées en Turquie avec le transfert de technologie. Est-ce réaliste?

- Nous pouvons supposer que certaines choses peuvent être recueillies à partir de kits de voiture ou de mettre des composants du système sur le châssis turc. Mais pour les Turcs d'acheter la technologie pour la production et l'organisation est la plus production pour deux divisions - est excessivement cher. Par exemple, dans la fourniture de combattants Su-30MKI en Inde dans leur production, nous avons utilisé certains composants indiens, et en principe, il est possible d'empêcher la modification du C-400 avec quelques composants privés turcs, mais il est peu probable que le scénario extrêmement.

Chef du Centre d'études islamiques à l'Institut de développement de l'innovation, expert INF Kirill Semenov ne considère pas les préoccupations des arguments au sujet du transfert de technologie.

- Le Caire, par exemple, est devenu un client de S-300VM « Antey-2500 » et a déjà commencé à recevoir le premier composant, donc ici aussi il est possible d'empêcher l'émergence d'experts occidentaux. Il suffit de regarder la relation du président égyptien al-Sisi et l'Arabie Saoudite, pour se rendre compte qu'il est aujourd'hui une position et Zavriev - autre.

Bien sûr, il faut noter que l'intérêt de M. Erdogan en C-400 coïncide avec la période d'exacerbation des relations américano-turques en Syrie. Ankara peut faire un tel geste pour montrer qu'il voit à Washington, un allié fiable, qui fonctionne avec le Parti des travailleurs du Kurdistan en Turquie. C'est, tente de « agacer » les Américains sont probablement présents, mais il ne nie pas l'intérêt réel dans les systèmes de missiles de défense aérienne russe.

1534/5000
Turtsiya — strana NATO s Erdoganom ili bez nego. I yesli vsego opasat'sya, to S-400 nuzhno postavlyat' tol'ko blizkim i nastoyashchim soyuznikam, koikh u Rossii nemnogo. Vse mogut libo chto-to podsmotret', libo peredat', no sama po sebe peredacha tekhnologiy dlya organizatsii proizvodstva — eto krayne dorogoy i dolgiy protsess. Yedinstvennyy risk — popadaniye sistemy v ruki sil v rezul'tate zakhvata vlasti, no pri takom stsenarii nado bol'she bespokoit'sya ne o sredstvakh PVO-PRO, a takticheskikh yadernykh zaryadakh na Indzhirlike.


— Obychnaya praktika dlya oppozitsionnogo izdaniya — kritikovat' vlast' i podcherkivat', chto deystvuyushchiy rezhim obrechen. Popytka gosperevorota naoborot mobilizovala turetskoye obshchestvo, ukrepilo ryady storonnikov Erdogana. Oni uvideli, chto sushchestvuyet real'naya, a ne mnimaya ugroza, prichem ne tol'ko dlya PSR, no i dlya unichtozheniya vsekh dostizheniy v oblasti preslovutoy demokratii. Kak by Erdogana ni kritikovali, nyneshniy rezhim — demokraticheskiy, a ne kakaya-libo voyennaya diktatura. S drugoy storony, vlast', konechno, vospol'zovalas' situatsiyey i zachistila svoikh protivnikov i konkurentov.

Erdogan zarabotal mnogo politicheskikh ochkov, reshivshis' na provedeniye operatsii v Sirii po ustanovleniyu bufernoy zony. S odnoy storony, turkam udalos' predotvratit' soyedineniye kurdskikh kantonov v sploshnuyu dugu na siriysko-turetskoy granitse. S drugoy — na sever siriyskoy provintsii Aleppo vozvrashchayutsya bezhentsy-sunnity, kotoryye ne khotyat zhit' pod vlast'yu Damaska, tam stroyatsya shkoly, bol'nitsy, mecheti, sozdayutsya pravookhranitel'nyye organy iz tekh zhe siriytsev.
La Turquie est un pays de l'OTAN avec ou sans Erdogan. Et si vous avez peur de tout, alors le S-400 ne devrait être livré qu'à des alliés proches et réels, dont la Russie en a peu. Tout le monde peut espionner quelque chose ou le transmettre, mais le transfert de technologie pour l'organisation de la production en soi est un processus extrêmement coûteux et long. Le seul risque - obtenir le système entre les mains des forces à la suite de la prise du pouvoir, mais dans ce scénario ont besoin de plus à se soucier de systèmes de défense aérienne et de missiles, que les armes nucléaires tactiques à Incirlik.


- La pratique habituelle pour une publication de l'opposition est de critiquer les autorités et de souligner que le régime actuel est condamné. Au contraire, la tentative de coup d'Etat a mobilisé la société turque et renforcé les rangs des partisans d'Erdogan. Ils ont vu qu'il y avait une menace réelle et non imaginaire, non seulement pour l'AKP, mais aussi pour la destruction de toutes les réalisations dans le domaine de la démocratie notoire. Peu importe combien Erdogan a été critiqué, le régime actuel est démocratique, et non une dictature militaire. D'un autre côté, les autorités, bien sûr, ont profité de la situation et ont blanchi leurs adversaires et rivaux.

Erdogan a gagné beaucoup de points politiques, ayant décidé de mener une opération en Syrie pour établir une zone tampon. D'une part, les Turcs ont réussi à empêcher la connexion des cantons kurdes dans un arc continu sur la frontière syro-turque. Sur l'autre - dans la province syrienne au nord d'Alep, les réfugiés de retour sont sunnites, qui ne veulent pas vivre sous l'autorité de Damas, il y a construit des écoles, des hôpitaux, des mosquées, sont les organismes d'application de la loi des mêmes Syriens.

http://svpressa.ru/war21/article/181167/?aft=1 traduction Googlr

[masterdz]

@Izenzaren @ imbrator

Poste HS il faut poster dans le bon sujet la Moderation Geronimo

[guidher]

Missile antimissiles : la Turquie confirme avec Eurosam
igné en juillet 2017, le protocole d'accord de coopération signé entre Eurosam et les sociétés turques Aselsan et Roketsan se traduit par un contrat d'étude de définition d'un futur système de missiles anti-missiles.

La Turquie vient de franchir un pas de plus dans son choix d'un futur système de missiles anti-missiles s'appuyant sur les technologies et l'expérience développées par le consortium Eurosam assoçiant des versions encore plus performantes du missile Aster 30 et radar GM400 réunis sous la formule SAMP/T. La visite d'Etat du président turc à Paris a en effet été l'occasion pour le consortium Eurosam, qui réunit MBDA et Thales, et les sociétés turques Aselsan et Roketsan, de signer un contrat d'étude de définition d'un futur système de missiles anti-missiles pour la Turquie. En juillet 2017, Eurosam, Aselsan et Roketsan avaient signé à Ankara un protocole d'accord pour "travailler conjointement à l'étude de définition d'un système de défense aérienne et antimissiles qui sera lancé dans le mois à venir. Ce contrat d'étude confirme donc la volonté de la Turquie de travailler avec le consortium Eurosam dans le cadre de contreparties industrielles demandées par l'industrie de défense turque et d'une version adaptée aux besoins sécuritaires de la Turquie.

Une version prenant en compte les améliorations apportées aux systèmes d'Eurosam italien et français. En décembre 2016, la France a notifié à Eurosam la modernisation du SAMP/T et de son missile Aster. Baptisé "B1NT", le programme prévoit le développement d'une nouvelle version du missile Aster 30 Block 1 avec livraison des premiers exemplaires en 2023. Une décision française qui a aidé le dossier à avancer aux yeux de la Turquie qui avait fait le choix en 2014 du système proposé par la Chine tout en décidant "d'étendre la validité des offres" et en demandant à Eurosam de "clarifier et d'améliorer son offre".

http://www.air-cosmos.com/missile-antim ... sam-105431

[sadral]

Le nouveau Fusil d’assaut turc MTP-55 (Garde Présidentielle)

[Izenzaren]

Quand je vois rien que ce FA made in turkey magnifique et moderne , j'ai honte en tant que marocain et maghrébin wallah ta 7chouma a 3ibad allah , on est a des années lumières intergalactiques d'un pays comme la Turquie en terme de production militaire, et ce pays c'est ni les USA ni l'allemagne ni la France, il y a 30 ans il été dans la catégorie tiers monde.
Ils developpent et produisent at home avec des cerveaux TURCS des drones, des missiles, des hélicos d'attaque, des armes de toutes sortes. Et des projets en marche de chars, d'avions de chasses , de système anti aérien. ... dans la zone monde arabo-musulman c'est les leader dans ce domaine incontestablement, un pays comme l'Iran par exemple n'est pas du tout au niveau de la Turquie, beaucoup de cinéma les iraniens, les turcs c'est du palpable du concret.

j'ai mal au coeur, les turcs font la différence face aux maghrebins avec le sérieux notamment dans le travail, ils sont beaucoup plus disciplinés aussi et beaucoup mieux éduqués , ils ont un vrai nationalisme et patriotisme économique et le résultat est clair et pas que dans le militaire, des Turkish Airlines, des Beko et j'en passe.

7na ri lhedra bla bla bla

[Amine Ind]

@Izenzaren, On est beaucoup à partager cette frustration. Il y a un complexe au Maghreb qui croit qu tout ce qui n'est pas bougnoule c'est le top qualité et si l'un des notre innove, crée, invente bah c'est de la merde.. Je croise régulièrement des ingénieurs, supports tech etc.. dans l'aéro d'origine maghrebine et souvent ils ont était formé dans leur pays d'origine mais faute de volonté politique et de confiance bah c'est Airbus, Dassault, Thales Safran qui les récupères et pendant ce temps la nous on fait qu'achèter comme des gonzesses durant les soldes.

[FULCRUM]

Il faut dire aussi que c'est Erdogan qui a sorti ce pays de la merde, sous son règne la Turquie est devenue une puissance mondiale, dommage que cet enfoirés a voulu maitre main basse sur d'autres pays en les détruisant complétement. Pour les pays Maghrebin on es maudits! Le tiers du tiers monde, tout nos ingénieurs sont chassés de leurs pays par manque de volontés de développement et ils sont absorbés par les grandes firmes internationales.