Actualité militaire au Niger

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malikos
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Re: Actualité militaire au Niger

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Niger : des avions de chasse pour combattre Boko Haram 0
BY A. LAKHS ON 18 AVRIL 2019 POLITIQUE

Le ministre nigérien de la Défense, Kalla Moutari, a annoncé que son pays a décidé d’acquérir, d’ici la fin de l’année, de nouveaux avions de chasse dans le but de combattre le groupe terroriste Boko Haram.

« Le président de la République a décidé d’acquérir d’autres avions de chasse, d’autres avions de combats. Il a autorisé des dépenses pour des avions de transports, nous les aurons en fin d’année 2019, peut-être début 2020 », a souligné le Premier ministre nigérien, Brigi Rafini.

« Nous aurions encore multiplié notre capacité de frappe, notre capacité de vitesse et notre capacité de maîtrise de notre espace », a-t-il ajouté.

Sur les trois dernières années, le gouvernement nigérien a dépensé quelque 737 milliards de F CFA (1,269 milliard de dollars) dans le secteur de la sécurité, selon M. Rafini.

http://sahel-intelligence.com/14343-nig ... haram.html

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A Agadez, pour renforcer les forces locales face à l’immensité du désert
Nicolas Gros-Verheyde,/club.bruxelles2.eu/11-04-2019

Le Français Philippe Pons * est le nouveau chef d’antenne à Agadez de la mission de soutien aux forces de sécurité intérieure du Niger (EUCAP Sahel Niger). Un secteur qu’il connait bien puisqu’il était, depuis juin 2018, adjoint au chef d’antenne. Un point stratégique dans la présence européenne dans le Sahel.


(crédit : EUCAP Sahel Niger)

Quel est l’objectif de ce poste d’Agadez situé au nord du pays ?

Le poste à Agadez a été ouvert il y a trois ans, en avril 2016, pour porter au plus loin l’action d’EUCAP Sahel Niger. C’est une nécessité compte tenu de la géographie, de l’étendue du territoire. Il est difficile de se projeter au Nord à partir de la capitale Niamey (NDLR : deux heures d’avion si les conditions météo s’y prêtent, trois jours par la route, six jours en transport en commun). C’est aussi un carrefour touristique bien connu, avec des populations différentes de Niamey. Enfin, il a une organisation politique spécifique. Outre les autorités administratives classiques, les forces de sécurité, on y trouve un des deux sultanats historiques du Niger avec la présence d’un sultan, le sultan Oumarou, un personnage extrêmement important.

On aurait pu penser que le Niger serait impacté par le conflit qui ne semble pas éteint chez son voisin malien. Cela ne semble pas s’être produit. Comment l’expliquez-vous ?

Les problèmes qui ont affecté le Mali depuis 2012 n’ont pas impacté le Niger, en effet. Le retour du MNLA [NDLR : le mouvement national de libération de l’Azawad, d’obédience touareg] n’a pas causé de trouble. Il s’est contenté de traverser le pays. La raison, il faut la chercher dans le positionnement du pays, différent. Il y a une place reconnue pour les Touaregs et les Haoussas dans le pays. Ils sont au cœur de l’État. Le Premier ministre, lui-même, est issu de leurs rangs, c’est un Touareg. L’État n’est pas failli. Les forces de sécurité sont mobilisées et travaillent. On est, en fait, sur un terreau sain. On a des entités commandées, structurées…

… Si les forces de sécurité sont présentes, quelle est votre fonction ?

Notre fonction, c’est de leur apporter un ‘plus’, de leur offrir l’opportunité de se spécialiser dans certains domaines. Nous visons le renforcement capacitaire. Il s’agit de contribuer à la montée en puissance des forces locales et de renforcer le niveau de connaissances. Cela comprend les techniques d’intervention, la procédure pénale, le renseignement criminel, la lutte contre le trafic de drogues et d’armes. Nous faisons de la formation et apportons des équipements en complément. Nous avons plusieurs projets pour fournir du matériel de communication — radios, téléphones… —, des moyens de mobilité — que ce soit des motocyclettes qui sont très utilisées ici ou véhicules tous terrains —, du matériel bureautique et pédagogique, ou pour fournir les échelons techniques permettant d’entretenir leur parc automobile. Nous formons aussi des formateurs. Car notre objectif n’est pas de rester ici.

Dans cette région qui est une plaque tournante du commerce, il y aussi des trafics de drogues, d’armes, est-ce considéré comme un problème par les Nigériens ?

Le problème de la drogue est bien réel. Il est double. Au niveau de la consommation tout d’abord. C’est un défi important pour le pays car il touche des jeunes adolescents aux jeunes adultes. Un phénomène plutôt nouveau. On a une jeunesse désœuvrée, qui souffre du manque d’emploi, car il n’y a plus le tourisme qui existait il y a encore une vingtaine d’années. Elle peut être tentée d’entrer dans le cycle infernal de la consommation drogues de synthèse (NDLR : Le Niger vient ainsi d’inscrire le Tramadol au tableau des stupéfiants). Il y a aussi un second niveau de problèmes : le trafic (cocaïne, haschich …) qui concerne non seulement le Niger, mais toute la sous-région : du Golfe de Guinée au Tchad en passant par le Mali ou la Mauritanie. Nous avons soutenu une caravane itinérante du comité régional de la jeunesse, qui a visité durant une semaine les endroits les plus reculés à Arlit, pour sensibiliser les jeunes, avec un message essentiel : la prévention des trafics. Cela a suscité beaucoup d’intérêt. Beaucoup de jeunes se sont sentis concernés, ont participé aux discussions.

… et le trafic d’armes

C’est aussi une priorité pour les Nigériens. Les armes sont bien présentes même si elles ne sont pas visibles. Les coupeurs de route agissent avec des armes de guerre. Le Niger a été en proie à plusieurs rebellions armées dans le passé. Il y a la proximité de la Libye (avec différents trafics). Les caravanes parcourent le désert. Les opérations du général Haftar [dans le sud de la Libye] ont provoqué des mouvements de population. Malgré tout, c’est une région assez calme. A la différence du Mali, il n’y a pas de remise en cause l’autorité de Niamey.

(Nicolas Gros-Verheyde), https://club.bruxelles2.eu/2019/04/a-ag ... ippe-pons/
...ca me etonne si ca reste calme, mais bon. Wait and see...

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Aïr-Info Agadez
April 20 at 2:24 PM ·
#Niger_Tahoua: 5 militaires meurent et plusieurs autres blessés suite à une explosion

Au moins cinq (5) soldats nigériens sont morts à la suite de l'explosion d'un engin ce jour 20 avril 2019 aux alentours de Agendo dans le département de Tillia, région de Tahoua selon une source locale. Selon la même source plusieurs autres soldats seraient également blessés.

Ahmed Tarnane
#Niger _ Tahoua: 5 military die and several others injured following an explosion At least five (5) Nigerian soldiers died as a result of the explosion of a device this day 20 April 2019 around agendo in the department of tilia, region of tahoua according to a local source. According to the same source several other soldiers would also be injured. Ahmed tar
Translated

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Why Counter-Terrorism Won’t Stabilize the Sahel
April 6, 2019 Fredrik Hellem




The vast area of the Sahel is increasingly believed to be the next battlefield in fighting global terrorism. The Sahel is struggling with several terrorist groups operating there, such as Al Qaeda in the Islamic Maghreb (AQIM), Boko Haram, Jama’at Nasr al-Islam wal Muslimin (JNIM), Ansaru-Islam, and two IS affiliates, Greater Sahara (ISGS) and West Africa Province (ISWAP). Particularly Lake Chad Basin, Mali, and Burkina Faso suffer from violent attacks. In trying to stabilize the region and increase the level of security, several measures have been initiated to curtail the threat, such as the Sahel G5, Operation Barkhane, and the Multinational Joint Task Force (MNJTF). While their purpose and objective are by no means insignificant, a strategy aimed at solving the root of the problems could be more successful than a strategy dealing with the bi-product of root cause.









Violence in the Sahel


While the groups mentioned represent the Salafist-Jihadist groups in the region, they are not the only ones contributing to bloodshed. In Mali, for instance, you could separate the armed actors into four categories;





The Coordination of Azawad Movements (CMA) – Coalition of armed groups with aligned interests, mainly territorial control and self-determination. The Tuareg rebellion in 2012 was led by the MNLA which fall under this category.

Salafist-Jihadist Groups.

The Platform Coalition – Coalition of armed groups with aligned interests, mainly pro-government and nationalistic.




Similarly, in Niger close to the Malian border, Fulani herders have organized and armed themselves, not because of any resentment against the state or foreigners, but to protect their livestock against Tuareg cattle raiders. The head of ISGS, Chefou, was one of these herders. According to Nigerien officials, Chefou had no interest in Jihadism, but at one point he changed from being a vigilante group member protecting livestock to jihadist carrying out complex attacks. Particularly following the ouster of Ghaddafi, Tuaregs who had served in the Libyan army returned to the Sahel, some of which raided cattle, others pursued territorial control in northern Mali. In such, believing that terrorists are the one obstacle to achieving a stable Sahel is an incorrect assessment as there are tribal, local, and cultural nuances to the violence as well.









Western Reinforcement of Root Causes




Western security presence in the Sahel is largely based on agreements with the Sahelian state leaders. Such as the US drone base and arming of the drones in Agadez comes from the agreement between the two. Similarly, Chad hosts shared military exercises, participates in the war on terror through MNJTF and Sahel G5, and allows US and French troops on the ground. The issue is that these states are violating human rights, depriving people of opportunity and prosperity, failing to provide security, and participating in grave corruption. When the states then receive assistance, funding, and support for their participation in the war on terror and for allowing Western military presence within their territory, they are not incentivized to improve the domestic situation.



While reforms could be the beginning of solving the root causes for violence and for achieving stability, there are no incentive do so as the most rewarding course of action is to fight terror in order to become invaluable to the Western. Once invaluable, Western powers will interfere, as France did in February in Chad, enabling Déby to continue his autocratic regime safely, without reforms. There is a governance vacuum in that security and protection is weak, making armed groups, or taking to arms oneself become a viable option. Additionally, the corruption fused into the judicial system discredits the state, while unequal distribution or lack of distribution of state resources due to corruption further fuels the discontent. Meanwhile, 65% of the Sahelian population is under 25 years old, many unemployed and somewhat excluded due to a lack of belonging to school, work, or family.



If a truly stable Sahel is the objective, then the first course of action must be to assist in state-building to improve the reasons for why people take to arms. Additionally, the West must incentivize reforms and anti-corruption measures, embracing a counter-terrorism strategy that focuses just as much on building stability as security.









Image: The North Africa Post (link)


Disclaimer: The views and opinions expressed in this article are those of the authors and do not necessarily reflect the official policy or position of Grey Dynamics LTD.

https://www.greydynamics.com/greyzone/geopolitics/1414/
(PS...the article seems OK, but the source (I would agree on most of its content/website appears to be linked in one way or another...I guess Russian services)

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Niger lays foundation stone for domestic intelligence agency’s new headquarters
Thursday, 18 April 2019 17:32
Niger lays foundation stone for domestic intelligence agency’s new headquarters
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(Ecofin Agency) - In Niger, a new headquarters will soon be built for the directorate in charge of border control, immigration and ID management (DST). The foundation stone of this headquarters was laid on April 17 by the minister of interior Mohamed Bazoum in the presence of the US ambassador to Niamey Eric P. Whitaker and the head of IOM in Niger Martin Wyss.

The infrastructure for which the US state department provided XOF1.5 billion will be better equipped and modern. It is the focal point of Niger’s security amid fights against illegal migration and terrorist threats, cross-border crime and all kinds of illicit trafficking.

Eric P. Whitaker indicated that to address these challenges, the DST’s role as an agency facilitating migration management while securing borders is essential and unique.

The US official also added that the work setting of this infrastructure would concur to the improvement of DST’s daily activities that are to perform sovereign state tasks and keep a harmonious environment for visitors.

The new headquarters will span over more than one hectare. It will host sixty equipped offices and a meeting room.

The DST will also be granted legal and IT support while regional cooperation with G5 Sahel border securities will be strengthened.

https://www.ecofinagency.com/public-man ... adquarters
(...sounds for me like another CIA outlet...to "help" understand the "host nation" what is good for them.
Then a few years from now probably the chief of that organisation will become the next president...)

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Waldhauser: "that border with Algeria is a problem".
...I guess that says it all:

"drones flying around the clock"..." magnet for terrorist activities"..."no development strategy for crushing poverty"

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RIP.
Ces operations devient de plus en plus professional (cote terro). Je me demande aussi la proximite de la base Quallam, avec les etranger qui ont justement pas envoyer de renfort..."Nigerienne lives matter...yes?"
Niger: une embuscade meurtrière contre l’armée, plusieurs soldats disparus
RFIPublié le 15-05-2019


C’est une attaque d’envergure qui a visé l’armée nigérienne mardi 14 mai au soir à Baley Beri, près de la frontière avec le Mali. Le bilan reste incertain mais au moins 17 militaires ont été tués et 11 autres sont portés disparus.

Des soldats nigériens patrouillent dans la région d’Ayorou, au nord-ouest de Niamey, au Niger. (Photo d’archives)
© ISSOUF SANOGO / AFP
Le déroulé des événements est encore assez flou. Ce que l’on sait, c’est que les militaires impliqués font partie de l’opération Dongo, qui a été lancée il y a plusieurs mois déjà. Après l’attaque de la prison de haute sécurité de Koutoukalé, lundi 13 mai, ils ont reçu l’ordre de prendre en chasse les présumés assaillants. Lors de cette poursuite, un véhicule militaire saute sur un engin explosif, peu avant la tombée de la nuit mardi soir. Et lorsque le reste de la compagnie arrive en renfort, il tombe dans une embuscade minutieusement préparée. L’appel d’urgence est ralenti car, au moins une semaine auparavant, plusieurs antennes relais téléphoniques ont été saccagées, on peut penser que cela était prévu.

Le bilan est encore très incertain, mais il est déjà très lourd : au moins 17 morts, des blessés et des disparus. Certains ont pu rejoindre la base militaire de Ouallam, un peu plus au sud. Mais du côté du Niger, rien ne filtre. Personne ne souhaite pour l’instant commenter. On a pu apprendre que des renforts nigériens avaient été déployés sur place et que les Français de la force Barkhane pourraient appuyer les opérations dans les heures à venir.

Aucune revendication de l’attaque

Pour l’instant, il n’y a aucune revendication. Mais on sait qu’il s’agit de la zone d’influence du groupe État islamique au grand Sahara (EIGS). Dans cette région, aux confins du Mali et du Niger, le mot frontière n’est qu’un concept. Elle n’est pas délimitée et surtout les groupes armés et les terroristes passent d’un côté à l’autre sans aucun problème.

C’est une région où les combattants d’Abou Walid al-Sahraoui sont extrêmement présents, très mobiles et surtout capables d’organiser des embuscades complexes. On se souvient, en octobre 2017, des militaires américains et des soldats nigériens avaient dû affronter près d’une centaine d’assaillants dans de violents combats à Tongo Tongo, à quelques kilomètres du lieu de cette attaque. Quatre militaires américains et cinq nigériens avaient perdu la vie. Il avait alors fallu l’intervention d’avions de chasse et d’hélicoptères d’attaque des Français de Barkhane pour mettre fin à plusieurs heures d’affrontements.

Depuis, la répartition des forces a quelque peu évolué. La force Barkhane s’est en partie redéployée vers Gossi, du côté malien. Mais les soladats américains sont toujours présents avec une base à Ouallam, du côté nigérien.

Mais il n’y a pas que les hommes du terroriste Abou Walid al-Sahraoui qui sont actifs dans cette zone. Ceux du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans, très présents au Mali y mènent aussi des opérations. Il arrive d’ailleurs à ces deux entités jihadistes de collaborer ensemble, ils se prêtent des hommes et du matériel pour mener des attaques d’envergure. Difficile pour l’instant d’affirmer que cela a été le cas dans l’attaque perpétrée à Baley Beri.

http://www.rfi.fr/afrique/20190515-nige ... rgM&ref=fb

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Des troupes elite Allemand a Tahoua (debut du no mans land...)

Spezialkräfte der Bundeswehr
Rechtsbruch in "Camp Wüstenblume"?
Im nordafrikanischen Niger bilden deutsche Kampfschwimmer seit Oktober 2018 Spezialkräfte aus - ohne Parlamentsmandat. Eine Intervention des Wehrbeauftragten bringt die Bundesregierung nun in Erklärungsnot.

Von Matthias Gebauer und Konstantin von Hammerstein
Kampfschwimmer der Bundeswehr (Archivbild)
Fabian Bimmer/REUTERS
Kampfschwimmer der Bundeswehr (Archivbild)

Dienstag, 07.05.2019 17:35 Uhr Drucken NutzungsrechteFeedbackKommentieren
Das deutsche Camp bestehe aus einem zweistöckigen Gebäude, einem Parkplatz und Stacheldraht. Niamey, die Hauptstadt des bitterarmen Sahel-Staats Niger, liegt weit entfernt. Die 20 Männer schliefen in einem Raum, rundherum vor allem karge Steppe. "Camp Wüstenblume" - so würden die Kampfschwimmer der Bundeswehr ihren trostlosen Stützpunkt in Niger nennen. Seit Oktober sollen sie in der öden Gegend Tahoua nigrische Spezialkräfte ausbilden.

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So beschreibt das Bundeswehrmagazin "Y", das vom Verteidigungsministerium herausgegeben wird, die Szenerie.

Doch mit welchem Mandat agieren die deutschen Kämpfer eigentlich in Niger? Das Parlament ist über die Mission nie richtig informiert und formell auch nicht befragt worden. Ein Mandat des Bundestags liegt nicht vor.

Der Wehrbeauftragte Hans-Peter Bartels hat deswegen am Mittwoch im Verteidigungsausschuss interveniert. "Es darf nicht zwei verschiedene Bundeswehren geben", kritisierte er hinter verschlossenen Türen. Mal würden Auslandseinsätze mandatiert, mal nicht, monierte der SPD-Politiker.

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Dabei sei das Parlamentsbeteiligungsgesetz eindeutig. "Ein Einsatz bewaffneter Streitkräfte liegt vor, wenn Soldatinnen oder Soldaten der Bundeswehr in bewaffnete Unternehmungen einbezogen sind oder eine Einbeziehung in eine bewaffnete Unternehmung zu erwarten ist", heißt es dort in Paragraf 2.

Genau damit muss in Niger gerechnet werden. Im vergangenen Jahr starben vier Angehörige der US Special Forces bei einem Einsatz. Bartels verlas im Ausschuss zudem eine Reisewarnung. Laut dem Dokument des Auswärtigen Amts kommt es in der Region Tahoua "immer wieder zu dschihadistischen Angriffen".

Die Warnung ist ziemlich drastisch. Allen ausländischen Personen, die sich trotzdem dort aufhalten, raten die Berliner Diplomaten die Begleitung durch "eine bewaffnete Eskorte (ausgestattet mit Langwaffen)", um Attacken zurückzuschlagen.

Nachdem Bartels hinter verschlossenen Türen seine Zweifel an der Rechtmäßigkeit des Einsatzes vorgetragen hatte, versuchten Generalinspekteur Eberhard Zorn und ein weiterer General aus dem Verteidigungsministerium, die Abgeordneten zu beschwichtigen.

Die deutsche Teilnahme an der "Mission Gazelle" sei nicht mandatspflichtig, führte der Vier-Sterne-General aus, denn es sei unwahrscheinlich, dass die Marine-Kampfschwimmer in Kampfhandlungen verstrickt würden. Zwar seien die Männer jeweils mit einer Pistole und einer Langwaffe bewaffnet, aber nur für den Notfall.

Ursula von der Leyen 2018 mit ihrem nigrischen Amtskollegen Kalla Moutari
Michael Kappeler / DPA
Ursula von der Leyen 2018 mit ihrem nigrischen Amtskollegen Kalla Moutari

Im Verteidigungsministerium scheint man ohnehin kein schlechtes Gewissen wegen der Mission zu haben. Als Ministerin Ursula von der Leyen im Oktober 2018 nach Niger reiste, wurden mehrere Kampfschwimmer aus der Spezialkräfte-Mission sogar der Presse vorgeführt.

Ungewöhnlich auskunftsfreudig berichteten zwei durchtrainierte Männer in einem heruntergekühlten Container, sie würden Spezialkräfte aus Niger ausbilden, auf Missionen aber begleite man die Kameraden nicht.

Auch über die Frage der Legitimation sprachen die beiden Soldaten damals offen. Demnach finde die Ausbildungsunterstützung "unterhalb der Mandatsschwelle" statt, da die Kameraden hauptsächlich im Umgang mit modernen Kommunikationsmitteln oder dem Lesen von militärischen Karten ausbildeten.

So viel Nonchalance im Umgang mit Parlamentsrechten ist für Bartels nicht nachvollziehbar. Er forderte im Verteidigungsausschuss einen Bericht der Bundesregierung an. Darin soll rechtlich dargelegt werden, warum die "Mission Gazelle" nicht mandatspflichtig ist.

Die Grünen schlossen sich dem Wehrbeauftragten inzwischen an. "Die Bundesregierung versucht seit Jahren in einem schleichenden Prozess, Auslandsmissionen der Bundeswehr nicht zu mandatieren oder Mandate in absurder Form zu überdehnen", sagte der Sicherheitspolitiker Tobias Lindner. "Für die Transparenz, aber auch zum Schutz der eingesetzten Soldaten muss die Bundesregierung die Mission in Niger auf eine saubere rechtliche Grundlage stellen", forderte er.

Der Verteidigungsausschuss wird nun kommende Woche noch einmal über Niger beraten.https://www.spiegel.de/politik/ausland/ ... 66228.html

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....In Niger, in response to terrorist attacks the government declared a state of emergency on 3 March 2017 in Diffa region, in Ouallam, Ayorou, Bankilare, Abala and Banibongou (Tillabéri region) and Tassara and Tillia (Tahoua region). These three countries, Mali, Burkina Faso and Niger, are now the epicenter of instability in the Western Sahel.

The response to increased insurgency has been mostly military. In 2014, as a successor to its first mission, Operation Serval, the French set up Operation Barkhane, named after a crescent-shaped dune in the Sahara desert. The main goal of the operation was two-fold: to assist the G5 Sahel armed forces in fighting terrorist networks in the Sahel-Sahara region and allow for a "rapid and efficient intervention in the event of a crisis" in the region.

Although the operation has had some successes, it is acknowledged that it is not the long term solution. The same can be said of the United Nations Multidimensional Integrated Stabilization Mission in Mali (MINUSMA). The Mission which was set up to support the transitional authorities of Mali in the stabilization of the country and implementation of the transitional roadmap has not had much success. Dubbed the most dangerous peacekeeping operations in the world, the UN Security Council has indicated its intention to downsize the mission in the absence of any progress since the signing of the “Agreement for Peace and Reconciliation in Mali, resulting from the Algiers Process” (the “Bamako Agreement”) in 2015.

Following the setting-up of Operation Barkhane by the French, the leaders of Niger, Burkina Faso and Mali – together with Mauritania and Chad – came together to launch a counterterrorism alliance known as G5 Sahel. Although it was created in December 2014 in Nouakchott under the leadership of Mauritanian President Mohamed Ould Abdel Aziz, it remained largely dormant. Its mandate is to fight terrorism, cross-border organized crime and human trafficking in the G5 Sahel region and to coordinate their efforts to combat the growing threat from Al Qaeda and indigenous terror groups.......
http://www.politicosl.com/articles/expa ... r_second=0

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La BA d'Agadez ouvrira à l'été, selon le nouveau patron de l'USAF en Europe/Afrique
agadez.jpg

Le nouveau patron de l'USAF en Europe et en Afrique (USAFE-AFAFRICA), le général Jeffrey L. Harrigian, a confirmé il y a quelques jours que l'Air Force se prépare à l'ouverture de la nouvelle base aérienne d'Agadez (AF 201), une ouverture qui devrait intervenir "au cours de l'été".

Il y a encore quelques semaines, les travaux se poursuivaient sur le site nigérien qui doit accueillir des drones Reaper du 323e Expeditionary Reconnaissance Squadron et des avions de transport.

Le général Harrigian, lors d'un discours à Ramstein, en Allemagne (lire ici), a aussi précisé que les effectifs US ne devraient pas augmenter sur place. Actuellement, une grande partie du personnel provient du 724e Expeditionary Air Base Squadron.

Cette nouvelle implantation va permettre de lancer des opérations "aussi bien vers le Nord, que vers l'Est ou l'Ouest" et elle va accroître "la flexibilité dont le commandement Afrique a besoin".

A noter que le futur marché de soutien "USAFE-AFAFRICA Base Operations Support (UA-BOS)" n'a pas encore été attribué. Il concerne les sites suivants: "Morón Air Base (AB), Spain, Incirlik Air Base (IAB), Izmir Air Station (IAS), Office of Defense Cooperation- Turkey (ODC-T), Ankara Support Facility (ASF), Turkey", auxquels doit s'ajouter la BA 201 d'Agadez.

A noter aussi que l'Inspection générale US (Office of Inspector General) a lancé en février dernier, une évaluation des travaux effectués depuis 2016 sur le site de la base aérienne d'Agadez ("Evaluation of Niger Air Base 201 Military Construction. Project No. D2019-D000PT-0112.000). Voir le memorandum ici.
http://lignesdedefense.blogs.ouest-fran ... 20227.html

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Niger: manifestation contre la présence de bases militaires étrangères à Niamey
Niamey, 25 mai 2019 (AFP)

Un millier de personnes ont manifesté samedi à Niamey contre la présence au Niger des bases militaires françaises et américaines, accusées d’inertie face aux attaques jihadistes meurtrières, a rapporté un journaliste de l’AFP.Au rythme de musiques locales dédiées à l’armée nigérienne, les protestataires ont sillonné les rues aux cris de: « Vive le Niger, vive l’armée nigérienne » avant de tenir un meeting devant le parlement.
« A bas les bases militaires étrangères », « A bas l’armée française », « A bas l’armée américaine », « A bas les jihadistes et Boko Haram », ont scandé les manifestants, essentiellement des étudiants, des lycéens et des collégiens, qui répondaient à l’appel du l’Union des scolaires nigériens (USN), leur syndicat.

Sur des pancartes on pouvait aussi lire: « Non à la sous-traitance de notre souveraineté nationale », « Notre territoire est indépendant depuis le 3 août 1960 ».

« Nous ne voyons pas la plus-value de la présence de ces bases militaires étrangères parce que chaque jour que dieu fait, notre pays est victime d’attaques », a déclaré à l’AFP Idder Algabid, le dirigeant de l’USN. Ces attaques pourraient être évitées si toutefois il y avait « une franche collaboration et un soutien extérieur » des armées étrangères.

La manifestation « autorisée par la mairie de Niamey », selon lui, vise « à soutenir nos Forces de défense et de sécurité (FDS) victimes d’attaques répétées, enregistrant des morts et des blessés ».

Le dirigeant estudiantin a « exigé du gouvernement la dotation en moyens suffisants et adéquats des FDS afin de garantir la sécurité du pays et sa souveraineté nationale ».

Vendredi, il avait demandé « le départ pur et simple de ces bases militaires qui ne sont ici que pour obstruer notre souveraineté nationale ».

Le 17 mai, le groupe Etat islamique a revendiqué une attaque perpétrée dans l’Ouest, ayant tué 28 soldats et un assaut – infructueux – contre une prison de haute sécurité proche de la capitale, où sont détenus de nombreux jihadistes.

– Coopération renforcée –

Niamey, qui combat aussi le groupe jihadiste nigérian Boko Haram dans le Sud, a toujours justifié la présence des forces américaines et françaises sur son sol par la nécessité de « sécuriser les frontières » contre des infiltrations de groupes jihadistes venant du Mali voisin.

« Sans les renseignements que nous donnent les pays comme la France, nous sommes un peu aveugles », avait affirmé en 2014 le président nigérien Mahamadou Issoufou.

« Les terroristes tentent de reprendre pied au Niger, ce que nous n’accepterons pas. Nous nous battrons pour qu’ils ne s’installent pas au Niger », a déclaré la semaine passée le ministre nigérien de la Défense, Kalla Moutari.

Vendredi, M. Moutari a visité la base aérienne de la force française Barkhane à Niamey. « (…) Nous avons parlé des moyens de renforcer cette coopération (militaire) opérationnelle » entre le Niger et la France, a commenté l’ambassadeur de France au Niger, Alexandre Garcia.

Au Niger, la France possède une base sur l’aéroport de Niamey à partir de laquelle des avions de chasse et des drones – non armés – opèrent. Dans le cadre de l’opération Barkhane, les forces françaises disposent aussi d’une base à Madama, dans le Nord.

Le Niger a également permis la construction d’une importante base américaine de drones à Agadez (nord), dont le coût est estimé à une centaine de millions de dollars, et qui donne aux Etats-Unis une plate-forme de surveillance de premier plan.

Le Niger a récemment autorisé les Américains à armer leur drones.

L’Allemagne dispose d’une base logistique à Niamey pour ravitailler ses troupes engagées au Mali voisin.

Publié le 25/05/2019 04:21
http://www.tamoudre.org/geostrategie/ni ... -a-niamey/

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Re: Actualité militaire au Niger

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Drone runway in Niger done, but security concerns have delayed takeoffs
Drone runway in Niger done, but security concerns have delayed takeoffs

WIB AIRWIB FRONT May 23, 2019 John Vandiver 0

John Vandiver
Stars and Stripes

The U.S. military has finally completed runway work at a new air base in Agadez, Niger, but Air Force officials said Wednesday it will still be several months before flight operations can begin at what is anticipated to be a major intelligence gathering hub in western Africa.

The $110 million initiative — one of the largest Air Force-managed building project in history — is almost two years behind schedule. Operations were initially planned to begin in late 2017, but the effort ran into repeated delays as a result of complications connected to working in the austere southern Sahara desert.

The bulk of the construction is now complete at the site referred to as Air Base 201. However, the U.S. needs to sort out various operational procures with the government before flying can start, the military said.


“We are working closely with the Government of Niger and Department of State to assist the Nigeriens with the challenges of air traffic control and airfield security, “ Lt. Col Dustin Hart, a spokesman for U.S. Air Forces in Europe-Air Forces Africa, said in a statement.

Hart said the hope is that flights will commence in late summer or early fall.

For years, the U.S. military has operated drones out of Niger’s capital of Niamey. But a decision was made to set up a new site to the north in Agadez, which would extend the drones’ reach for more effective surveillance and reconnaissance missions in the volatile Lake Chad Basin area as well as Libya.

There are a range of militant groups that operate in the region, but the Islamic State in West Africa has emerged as a top U.S. Africa Command concern around the borders of Niger, Nigeria and Chad.

Technically, the base in Agadez is Nigerien, but the U.S. has exclusive rights to about 20 percent of the compound’s 9-mile perimeter. Military officials have declined to say how many drones or what other types of aircraft will be based at the facility.

While the mission at Agadez will focus on surveillance, Niger’s government granted the U.S. authority in 2018 to carry out armed drone flights in the country. That host nation approval was granted soon after the October 2017 ambush in Niger that left four U.S. soldiers dead.

When the Agadez mission finally begins, about 600 airman are expected to be deployed to the site on six-month tours, military officials have said.

“The U.S. Air Force is committed to supporting Niger in the opening of the new runway … and responding to regional security issues,” Hart said in a statement.

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©2019 the Stars and Stripes

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malikos
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Re: Actualité militaire au Niger

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German parliament extends army’s Africa missions #Niger #Mali

2019/05/09 – The German Bundestag, or lower house of parliament, voted overwhelmingly to extend three army missions in Africa for another year on Thursday. The army, known as the Bundeswehr, is currently engaged in one UN and one EU mission in Mali and another EU mission in Somalia.

The mandate for all three missions will run until late May of 2020.

Yet the deployment of German special forces units in Niger and Cameroon drew harsh criticism from parliamentarians who accused the government of illegally bypassing lawmakers.

UN peacekeeping mission MINUSMA

The Bundeswehr’s UN peacekeeping mission MINUSMA in Mali, which began in 2013, is designed to bolster Mali’s government and deny quarter to terrorists.

As terrorist groups are heavily involved in organized crime and human trafficking, the mission is considered a priority for its impact beyond Mali’s borders.

Some 50 nations currently deploy about 13,000 soldiers and 1,700 police in the West African county. Around 840 German soldiers actively participate in the mission at the moment, though the mandate allows for up to 1,100.

Mali has been roundly criticized for not doing enough to bring about a political solution to the local conflicts. More than 150 UN troops have been killed since the mission began.

The German government has called the security situation in Mali « fragile, » and calculates mission extension costs for MINUSMA at €314 million ($352 million).

European Union advisory and training mission EUTM

The Bundeswehr also participates in the EUTM mission sponsored by the European Union, which is designed as a training mission for Mali’s armed forces.

The EUTM mandate does not call for European troops to directly engage in missions carried out by the Malian army.

The Bundeswehr is tasked with advising Mali’s Defense Ministry and army leadership, as well as protecting MINUSMA staff.

Some 620 soldiers from 22 EU member states participate in the mission, which also began in 2013. The Bundeswehr mandate allows for up to 350 troops, though that number is currently lower, with 190 German soldiers deployed. Berlin says that a year-long extension of the EUTM mission will cost €41 million.

EU Somalia mission Operation Atalanta

The Bundeswehr is also involved in the EU’s Operation Atalanta mission designed to combat piracy off the coast of Somalia. The mission, which was launched in 2008, is tasked with securing shipping routes for international convoys transporting aid to suffering Somali citizens.

Piracy in the strategically important Horn of Africa has been greatly hampered due to the presence of EU naval forces according to the German government’s extension request to the Bundestag.

Currently, 80 German soldiers participate in the Atalanta mission. The mandate for the coming year, which the government estimates will cost around €40 million, will drop to a maximum of 400 soldiers, down from 600.

Contentious deployments in Niger and Cameroon

The deployment of special forces units in Niger and Cameroon, however, drew sharp parliamentary criticism. At issue are two units deployed to train local forces.

As the Bundeswehr is a parliamentary army, its deployments require a parliamentary mandate. A number of parliamentarians decried the lack of such mandates in Niger and Cameroon as illegal.


Although the Bundeswehr and Chancellor Angela Merkel’s government argue that is not the case for training forces, those opposed to the deployment called it « obviously illegal. »

Opposition Left Party parliamentarian Sevim Dagdelen, for instance, demanded, « The government must immediately present a special forces deployment mandate to parliament for a vote. »

Green Party defense expert Tobias Lindner, who is also in the opposition, said, « The government must put its Niger mission on solid legal footing, both in the interest of transparency and for the protection of deployed soldiers. »

‘Not actively participating in operations’

Concerns over safety were also voiced by Peter Bartels, parliamentary commissioner for the armed forces and a member of the Social Democratic Party (SPD), which governs with Merkel’s Christian Democratic and Christian Social Union (CDU/CSU) parties.

Speaking of the deployments, Bartels said he was worried that German troops could be dragged into armed conflicts. Bartels acknowledged that other forces deployed to Niger had a mandate, but the special forces units did not.

Chancellor Merkel’s spokesman, Steffen Seibert, brushed off concerns about the legality of the special forces deployments, saying soldiers were only tasked with training local forces and « not actively participating in operations. »

Seibert’s sentiments were echoed by the Defense Ministry. The speaker did, however, say that the government would provide parliamentarians with written information about the scope of the Niger and Cameroon missions.

Jon Shelton / DW

Sahel-Elite

https://httpsahel-elite.com/2019/05/09/ ... iger-mali/

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malikos
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Re: Actualité militaire au Niger

Message par malikos »

...bientot aussi les francais a AGADEZ?????....non c est trop. Bezzaf.
Visite du ministre de la Défense nationale au détachement de l’armée française basé à Niamey : Renforcer la collabaration avec les FAN dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé
27 MAI 2019 PUBLIÉ DANS POLITIQUE

Visite du ministre de la Défense nationale au détachement de l’armée française basé à Niamey : Renforcer la collabaration avec les FAN dans la lutte contre le terrorisme et le crime organiséLe ministre de la Défense nationale M. Kalla Moutari, accompagné des hauts responsables des Forces armées nigériennes (FAN), a visité le vendredi 24 mai dernier, le détachement de l’armée française basé à Niamey sis à la base aérienne. Le ministre Kalla Moutari est allé visiter le dispositif de l’armée française sur place et échanger avec les responsables français sur le renforcement de la coopération dans la lutte contre le terrorisme.

Sur place, le ministre de la Défense nationale et la délégation qui l’accompagne a eu droit à une visite guidée des installations et des moyens disponibles notamment les drones et les avions de combat (Mirages). Le ministre Kalla Moutari a reçu d’amples explications de la part des responsables de la base. Ce dispositif, rappelle-t-on, s’inscrit dans le cadre de l’Opération Barkhane, déployée par la France ‘’pour lutter contre le terrorisme au Sahel’’. Au cours de cette visite, le ministre de la Défense nationale a invité le détachement de l’opération Barkhane à plus d’engagement et de soutien aux côtés du Niger et des pays du Sahel en général, pour faire face au phénomène terroriste.

Il s’agit aussi à travers cette visite de discuter avec les responsables de l’opération française en vue de repartir sur une nouvelle base dans la lutte commune contre le terrorisme. Ce qui devait se matérialiser à travers une meilleure collaboration entre les hommes de Barkhane et les FAN en vue d’une réaction plus prompte et efficace face aux menaces terroristes.

Il faut rappeler que cette visite du ministre Kalla Moutari, intervient un jour seulement après la réunion présidée par le Président de la République, Chef de l’Etat SE. Issoufou Mahamadou avec les ambassadeurs des USA et de la France, au cours de laquelle, il était justement question du renforcement de la coopération sécuritaire avec ces deux partenaires dans la lutte contre le terrorisme et la criminalité transnationale organisée.

Le ministre Kalla Moutari était accompagné, au cours de cette visite, par l’ambassadeur de France au Niger SE. Alexandre Garcia ; le Chef d’Etat major général des armées, le général de corps d’armée Ahmed Mohamed ; le Secrétaire général du ministère de la Défense nationale ; le chef d’Etat major de l’armée de l’air ainsi que plusieurs cadres des Forces armées nigériennes (FAN).

Siradji Sanda(onep)

27 mai 2019
Source : http://lesahel.org/
Dernière modification par malikos le 05 juin 2019, 12:35, modifié 1 fois.
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Re: Actualité militaire au Niger

Message par FULCRUM »

Oui ils forment des nids, Niger, Mali, Djibouti, ils se rassemblent tous sur des bases aérienne pour foutre la M....
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