Les Services Secrets dans le Monde

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AAF 2020
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Re: Les services secrets dans le monde

Message par AAF 2020 »

Espionnage: l'UE pourrait se doter d'un service de renseignement
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La commissaire européenne à la justice Viviane Reding
L'Union européenne doit se doter de son propre service de renseignement, estime la commissaire européenne à la justice Viviane Reding.
"Il faut former un contrepoids à l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA). C'est pourquoi je propose de créer un Service européen de renseignement à l'horizon 2020", a déclaré Mme Reding dans une interview accordée au journal grec Naftemporiki.
Ces déclarations interviennent sur fond du vaste scandale provoqué par la publication en octobre de données fournies par l'ex-agent de la NSA et de la CIA Edward Snowden, selon lequel le renseignement américain aurait massivement intercepté les communications téléphoniques de citoyens européens, et placé sur écoute les chefs d'Etat d'au moins 35 pays, notamment la chancelière allemande Angela Merkel.
Plusieurs personnalités politiques européennes ont qualifié ces activités des services secrets US d'inadmissibles, inamicales et susceptibles d'entraver la conclusion de l'accord de libre-échange entre les Etats-Unis et l'Union européenne.
http://fr.ria.ru/world/20131105/199714343.html

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Message par AAF 2020 »

L'agence de surveillance GCHQ, cette petite sœur britannique choyée par la NSA
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Le quartier général de la GCHQ, près de Cheltenham, dans l'ouest de l'Angleterre, est surnommé le «doughnut».
Le Government Communications Headquarters, la plus importante agence de renseignement britannique avec 6 130 employés, est aussi la plus méconnue.

Quand on appelle le standard du GCHQ, on est tout de suite mis dans l'ambiance: «Merci pour votre appel qui peut être enregistré pour des raisons légales». Au service de presse, pas la moindre opération de relations publiques. «Nous ne commentons pas les allégations récentes parues dans les journaux», répond-on sèchement. Le très discret chef du service de renseignement britannique, Iain Lobban, ne s'en cache pas sur le site Internet de l'agence: «Nous sommes une organisation secrète. Nous ne pouvons pas rendre public tout ce que nous faisons.»

Le MI6 a James Bond. Le MI5 a sa série télé (Spooks, MI5 en VF). Le Government Communications Headquarters (GCHQ), troisième et plus importante agence de renseignement britannique, est aussi la plus méconnue. Jusqu'à ce que les révélations d'Edward Snowden dans le Guardian montrent l'ampleur des interceptions pratiquées à grande échelle, main dans la main avec la National Security Agency (NSA) américaine. Des découvertes qui ont provoqué un choc international et auraient surpris jusqu'au plus haut niveau de l'État britannique. Selon l'ancien ministre Chris Huhne, le gouvernement et le Conseil national de sécurité n'étaient pas au courant de toutes ces pratiques.

Dans son siège près de Cheltenham, dans l'ouest de l'Angleterre, surnommé le «doughnut» pour sa forme circulaire, et ses deux annexes de Cornouailles et du Yorkshire, les 6 130 employés du GCHQ sont des espions des temps modernes, assis derrière des ordinateurs. Officiellement, ils assurent la sécurité numérique de l'État et des services britanniques, déchiffrent les communications ennemies et mènent des opérations contre la cybercriminalité.

Le GCHQ recrute des cracks des maths et parfois des pirates informatiques sélectionnés lors de concours en ligne pour décrypter des énigmes complexes. L'agence est associée à la NSA dans le programme d'interceptions des communications électroniques Echelon. Depuis les révélations de Snowden, on sait aussi qu'elle est un maillon important du dispositif Prism qui enregistre les données des utilisateurs de Google, Facebook ou Yahoo. Et que, à travers le système Tempora lancé en 2011, elle détourne tous les échanges (téléphoniques, mails, données Internet) transitant par les câbles transatlantiques sous-marins qui débouchent, commodément, au pied de son antenne de Cornouailles, pour les stocker dans ses serveurs jusqu'à 30 jours.
http://rpdefense.over-blog.com/2013/11/ ... a-nsa.html

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Message par AAF 2020 »

Washington a mis Alger sur écoute
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Ce n’est (presque) pas une surprise : l’Algérie est écoutée depuis des années par plusieurs agences de renseignements américaines. Et elle l’est plus que la Tunisie et le Maroc. Officiellement, les Etats-Unis se refusent à tout commentaire.
Si l’Algérie figure dans le club assez fermé des pays les plus «écoutés» au monde, ce n’est pas pour les conseils qu’elle administre dans les coulisses de l’ONU ni pour ses prouesses diplomatiques. En épluchant les centaines d’informations que commencent à distiller certains organes de presse occidentaux suite aux révélations d’Edward Snowden sur les activités de l’agence de renseignement électronique américaine NSA, il apparaît que l’Algérie figure parmi les cibles prioritaires des agences. L’hebdomadaire allemand Der Spiegel publie notamment une carte, tirée d’une présentation classée «top secret», portant l’indicatif Comint — pour Communication Intelligence (écoutes et interceptions de signaux).

Cette carte montre la répartition des différents sites SCS sur la planète, avec une liste exhaustive de villes et leurs statuts. SCS sont les initiales d’une véritable joint-venture entre la CIA et la NSA, chargée de collecter des données électroniques et de procéder à des écoutes in situ par des moyens technologiques et humains. Le Special Collection Service s’appuie sur le Ukusa Agreement de 1946, qui permet aux Etats-Unis d’utiliser les renseignements récoltés par les quatre pays du Royaume-Uni (Angleterre, Canada, Australie et Nouvelle-Zélande) et même d’utiliser leurs représentations diplomatiques pour la collecte d’informations. D’où aussi l’indicatif FVEY sur le document, qui signifie qu’il est destiné aux cinq pays. Selon la carte du Spiegel, Alger et Tripoli étaient, au 13 août 2010, les deux seules ambassades du Maghreb pourvues d’équipes et d’équipements du SCS.
http://www.elwatan.com/actualite/washin ... 84_109.php
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anzar
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Message par anzar »

On en parle ici :arrow: viewforum.php?f=24
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sadral
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Message par sadral »

Il a demandé l’asile en Espagne:
Said Sahnoune : « J’ai travaillé avec le Mossad »


L’Algérien Saïd Sahnoune, condamné par la justice pour espionnage au profit du Mossad et de l’Espagne, vient de formuler une demande d’asile en Espagne. « Je suis actuellement dans une zone de transit avec mon fils mais j’ai laissé ma femme et mes deux filles en Algérie », a assuré à TSA, ce mercredi 27 novembre, M. Sahnoune, joint au téléphone.

Son affaire remonte à la fin de l’année 2005. Said Sahnoune a été arrêté en Algérie. Deux ans plus tard, il est condamné à dix ans de prison ferme pour espionnage au profit des services secrets israéliens et de l’Espagne. « Le procès s’est tenu à huis clos à Tizi-Ouzou. J’ai passé six ans et demi en prison et j’ai été libéré en juillet 2012, après avoir bénéficié de différentes grâces », explique-t-il.
M. Sahnoune ne dément pas avoir travaillé avec le Mossad dès 1999 ou avec les Espagnols sur des affaires liées au terrorisme mais « jamais sur l’Algérie », selon lui. « Le DRS était au courant dès le début que j’étais en relation avec eux. Je remettais des copies des dossiers aux services algériens », affirme-t-il.

Se présentant comme journaliste d’investigation, Saïd Sahnoune préfère parler d’infiltration du Mossad pour son propre compte. « Le Mossad et les Espagnols m’ont payé », ajoute toutefois notre interlocuteur.

Les raisons ayant motivé sa demande d’asile ? « La condamnation injuste, les deux ans de mandat de dépôt », explique-t-il. « Dans mon dossier, il n’y a rien. J’ai travaillé avec le Mossad sur le terrorisme mais jamais sur l’Algérie. Je n’ai jamais nui à l’Algérie. Il n’y avait pas d’espionnage », insiste M. Sahnoune qui estime qu’il a été victime d’une lutte de clans.
http://www.tsa-algerie.com/actualite/it ... -le-mossad
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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sadral
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Message par sadral »

La NSA cherche à mettre au point un ordinateur quantique

La mémoire d’un ordinateur se compte en bits, lesquels ne peuvent prendre que deux valeurs : 0 ou 1. Grâce aux transistors, l’on peut faire des opérations logiques avec ces derniers. Et la puissance de calcul des machines n’a fait que croître depuis l’apparition du microprocesseur (le premier commercialisé étant l’Intel 4004, en 1971).

Maintenant, imaginez qu’un bit prenne la valeur 0 et 1 à la fois. A ce moment, la puissance de calcul serait démultipliée. Tel est l’enjeu de l’informatique quantique, dont les bases furent jetées en 1981 par Richard Feynman, prix Nobel de Physique, lors d’un discours prononcé à l’Institut de Technologie du Massachusetts MIT.

L’idée serait ainsi d’utiliser les propriétés fondamentales de la matière pour mettre au point un ordinateur quantique qui serait en mesure de réaliser d’innombrables calculs en même temps en utilisant une nouvelle unité de calcul : le qubit.

Seulement, le développement d’une telle machine se heurte à de grandes difficultés. Ainsi, il est encore compliqué, par exemple, de “fabriquer” des qubits, ou du moins de maintenir les propriétés quantiques des particules qui les composent.

Cependant, des progrès ont été réalisés ces dernières années. En 2001, le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) a ainsi réussi à mettre au point une puce en silicium (quantronium) utilisant les trois nanojonctions de Josephson, dont deux servent de qubit, la troisième étant utilisée comme instrument de mesure lorqu’un courant la traverse. Plus de 8 ans plus tard, une équipe de l’université de Yale a réalisé un circuit de calcul quantique solide pouvant être utilisé dans un calculateur.

Dans l’intervalle, l’entreprise D-Wave a annoncé, en février 2007, avoir réalisé un ordinateur quantique de 16 qubits, puis avoir vendu, en mai 2011, un calculateur de 128 qubits à Lockheed-Martin pour 10 millions de dollars. Mais les annonces de cette société, souvent non suivies d’effet, laissent sceptiques les spécialistes. Reste que ce constructeur collabore désormais avec la NASA, Google et l’Universities Space Research Association dans ce domaine.

Quoi qu’il en soit, les possibilités offertes par un ordinateur quantique sont inimaginables. En théorie, une telle machine permettrait de retrouver une information ou de casser les codes les plus compliqués en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. D’où l’intérêt que porte la National Security Agency à cette technologie si l’on en croit le Washington Post, qui a évoqué des documents diffusés par Edward Snowden, l’ex-consultant de cette agence américaine de renseignement, actuellement réfugié en Russie.

Dans le cadre du programme secret “Penetrating Hard Targets”, la NSA consacre un budget de 79,7 millions de dollars pour développer une telle machine. Les documents sortis par Snowden indiquent que les spécialistes de l’agence travaillent sur ce projet dans des “cages de Faraday”, lesquelles offrent une protection aux pollutions électromagnétiques venues de l’extérieur.

Est-ce que la NSA est sur le point de mettre au point la machine miracle? “Il semble peu probable qu’elle soit si en avance par rapport aux entreprises civiles sans que personne ne le sache”, a estimé Scott Aaronson, du MIT, dans les colonnes du Washington Post.

Comme on le voit, dans ce domaine, il est compliqué de faire la part des choses entre les annonces d’entreprises qui évoquent des avancées majeures et les doutes exprimés par les spécialistes.

Co-lauréat du Prix Nobel de physique en 2012 avec le Français Serge Haroche pour des travaux en physique quantique, le physicien américian David Wineland est un pionner de l’informatique quantique. Autrement dit, une sommité en la matière. “Nous sommes encore très loin d’un ordinateur quantique utile, mais je pense que nous sommes nombreux à croire en son apparition à long terme”, avait-il estimé à l’époque.
http://www.opex360.com/2014/01/05/la-ns ... quantique/
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L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Message par AAF 2020 »

Espionnage: Snowden aurait dérobé 1,7 million de documents militaires secrets

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Un rapport du Pentagone estime que l’ex-consultant de la NSA aurait dérobé un nombre sans précédent de documents portant sur des opérations de renseignement menées par les forces armées américaines. Les sénateurs américains dénoncent un danger pour les soldats déployés hors des Etats-Unis.
De toute évidence Edward Snowden, l’ex-consultant de l’agence de sécurité américaine, a de quoi alimenter la presse internationale pendant de nombreuses années. Selon un rapport du Pentagone en effet, Edward Snowden aurait dérobé pas moins de 1,7 million de documents secrets portant sur des opérations de renseignement menées par les Etats-Unis et ses forces armées.
La plupart des documents contiendrait en effet des informations sur les opérations courantes de l’armée de Terre, de l’US Air Force et de l’US Navy, selon un rapport secret du département militaire américain, dont certains détails ont été révélés à la presse par deux membres du Congrès : Mike Rogers président de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants, et Dutch Ruppersberger, membre de la même commission et habilité au secret défense.
Un « grand danger pour les soldats américains »
Si le rapport lui-même n’a pas été rendu public, il «confirme mes plus grandes craintes, à savoir que les actes de trahison de Snowden mettent en grand danger les soldats américains», estime le républicain Mike Rogers dans un communiqué. Et d’ajouter que les « actes de Snowden auront probablement des conséquences mortelles pour nos soldats sur le terrain».
«Snowden a fourni aux terroristes une copie du manuel de notre pays, et nous en payons aujourd’hui le prix, ce que ce rapport confirme», a déclaré de son côté le démocrate Dutch Ruppersberger, membre de la même commission et habilité au secret défense. Et d’ajouter « «nous avons commencé à voir que les terroristes changeaient leurs méthodes grâce aux fuites, et ce rapport indique que notre pays et nos citoyens vont continuer à en subir les conséquences».
http://www.lesechos.fr/economie-politiq ... 642109.php

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Message par Annabi »

USA: une réforme des services secrets évoquée le 17 janvier (Obama)

Le président Barack Obama présentera le 17 janvier un projet de réforme portant sur les méthodes utilisées par les services secrets américains pour recueillir les informations, a annoncé vendredi aux journalistes le porte-parole de la Maison Blanche Jay Carney.
Il a refusé de citer les détails du projet.
En décembre dernier, le président a reçu le rapport d'un groupe d'experts chargés de formuler des propositions concernant la collecte d'informations par les services secrets.
La Maison Blanche affirme que la surveillance électronique révélée par l'ex-consultant de la CIA et de la NSA Edward Snowden était conforme à la législation américaine en vigueur. Cependant, estime M. Obama, la surveillance ne doit pas être effectuée pour la seule raison qu'il en existe la possibilité technique.
Selon les révélations faites par M. Snowden, l'Agence de sécurité nationale américaine (NSA) a intercepté les conversations téléphoniques et le courrier électronique de centaines de millions de personnes aussi bien aux Etats-Unis que dans le reste du monde. Les services secrets américains ont en outre mis sur écoute les téléphones portables de nombreux dirigeants étrangers, dont la chancelière allemande Angela Merkel et la présidente brésilienne Dilma Rousseff. Les lois américaines n'imposent aucune restriction à la NSA quant à la surveillance pratiquée à l'extérieur des Etats-Unis.

http://rpdefense.over-blog.com/2014/01/ ... obama.html
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sadral
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Message par sadral »

:lol: :lol:
Un permis de foncer pour les espions britanniques

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L’information est très sérieuse, même si l’on ne peut s’empêcher d’en tirer un trait d’humour. Le secrétaire d’Etat britannique aux Transports, Robert Goodwil, s’apprête cette semaine à exempter les agents des services de renseignement, les transporteurs d’organes ainsi que les démineurs de limites de vitesse.

Même si cela semble dur à croire, la loi ne les y autorisait toujours pas. Ainsi, les agents du MI5 et du MI6 obtiendront ce passe-droit, uniquement valable en mission. Ils n’en bénéficieront toutefois qu’une fois après avoir satisfait un stage de conduite rapide. Pas sûr qu’un espion ou un transporteur d’organes n’ait suivi aucune formation à la conduite rapide pour exercer son métier.

Comme le relaient sérieusement les tabloïds britanniques, un espion en train de poursuivre une cible risquait jusqu’à présent une amende s’il était pris en flagrant délit d’excès de vitesse.

Les agents français ont-ils eux aussi l’autorisation de circuler comme les véhicules de secours, lorsque la situation l’exige ? Comme le dit le célèbre adage savamment repris dans les milieux du renseignement, « tous les coups sont permis, à condition de ne pas se faire prendre ».
http://www.infosdefense.com/un-permis-d ... ues-11073/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Message par AAF 2020 »

La NSA peut pénétrer des ordinateurs qui ne sont pas connectés à internet
La NSA peut pénétrer des ordinateurs qui ne sont pas connectés à internet grâce à un système d'ondes radio, assure le New York Times mercredi, à deux jours du discours de Barack Obama sur la réforme des programmes de surveillance. Selon le quotidien, l'Agence de sécurité nationale américaine a implanté dans près de 100.000 ordinateurs dans le monde un logiciel qui lui permet de surveiller ces machines, mais aussi de créer des autoroutes numériques pour le lancement de cyberattaques.
Dans la plupart des cas, ce logiciel est implanté en accédant aux réseaux informatiques, poursuit le Times sur la base de documents de la NSA notamment. Mais la NSA a de plus en plus souvent recours à une technologie secrète qui lui permet d'entrer dans des ordinateurs et d'y endommager des données même s'ils ne sont pas connectés à internet, assure le journal.
ette technologie, que l'Agence de sécurité nationale utilise depuis au moins 2008, fonctionne grâce à des ondes radio qui peuvent être transmises depuis de petites circuits électroniques ou depuis des cartes USB installées secrètement dans les ordinateurs, ajoute le NYT.
Dans la plupart des cas, le système émettant les ondes radio doit être physiquement installé par un espion, un fabricant ou un utilisateur qui ne s'en douterait pas, poursuit encore le journal.
Les activités de la NSA se concentrent et sont spécifiquement déployées pour viser des cibles de renseignement étrangères valables, et uniquement elles, a commenté dans une déclaration envoyée à l'AFP la porte-parole de la NSA Vanee Vines, rappelant en outre que l'usage des outils à disposition de l'Agence se faisait sous le contrôle de la loi, des règlements, de la politique, des procédures, des garde-fous technologiques (...) et de l'éthique.
La publication continue (...) des techniques et des outils utilisés par la NSA (...) sape la sécurité des Etats-Unis et de nos alliés, a-t-elle également jugé.
Les révélations du New York Times surviennent à l'avant-veille du discours attendu de Barack Obama sur la réforme du système américain de surveillance des communications, qui suivra plusieurs mois de réflexion déclenchée par les révélations de l'ex-consultant de la NSA Edward Snowden depuis juin.
A la mi-décembre, des experts mandatés par Barack Obama avaient émis une quarantaine de recommandations pour réformer les programmes de surveillance du renseignement américain, jugeant notamment que la NSA devrait ne plus conserver les métadonnées téléphoniques qu'elle collecte, ou que Washington se devait de mieux coopérer avec ses alliés proches.
Selon le Times, qui cite des sources proches du dossier, Barack Obama ne devrait pas vendredi suivre les recommandations les plus radicales de ses conseillers et demandera au Congrès de se prononcer sur les questions les plus difficiles
D'après le quotidien new-yorkais, Barack Obama devrait en particulier accroître les limitations dans l'accès aux métadonnées téléphoniques, appeler à la mise en place de garde-fous pour protéger la vie privée des étrangers et proposer la création d'un représentant public pour se pencher sur les problèmes de protection de la vie privée devant les cours secrètes régissant le système de renseignement américain.
Il ne devrait pas en revanche se prononcer pour que les métadonnées téléphoniques recueillies par la NSA soient conservées par les groupes de télécommunications, et non par l'Agence elle-même.
http://www.letempsdz.com//content/view/112958/1/
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Bernard Bajolet : "La DGSE n'est pas Big Brother"

Le patron des services définit le rôle de sa maison : un "outil de réduction de l'incertitude pour nos autorités"

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Le numéro de janvier de la Revue Défense nationale publie un long article de fond de Bernard Bajolet, directeur de la DGSE, dont on peut lire l'intégralité ici. Il y répond en particulier aux accusation formulées dans la presse, notamment Le Monde, qui comparait les capacités d'interceptions électroniques à un Big Brother.

La DGSE " doit faire évoluer ses capacités d’interception[ en fonction des mutations technologiques sans fin, tout en les maintenant dans un cadre parfaitement conforme à sa mission et au droit, qui ne peuvent en aucun cas être assimilées à un “big brother” comme on peut parfois le lire" écrit-il. Il insiste sur l'importance de la "légitimité" de l'action du Service : "Notre démocratie doit avoir recours à des services de renseignement efficaces opérant dans un cadre légal conforme aux droits français et européen, et dument contrôlés par la représentation nationale. Aussi, les Français doivent-ils avoir l’assurance du caractère démocratique de la DGSE et de sa mission ; cela passe par un contrôle adapté et renforcé de la représentation nationale, que le Service appelle d’ailleurs de ses vœux"

Bernrd Bajolet pose également les "quatre raisons" qui justifient l'existence d'un service de renseignement extérieur comme la DGSE : "éviter à notre pays toute surprise stratégique, fournir à nos autorités une expertise de long terme, apporter au processus décisionnel une contribution unique et exclusive, et enfin déjouer la menace de façon opérationnelle". Il développe surtout le concept d' "outil de réduction de l'incertitude". "Le Service adresse chaque année plusieurs milliers de notes à nos autorités. En plus des « notes de renseignement » élaborées par les exploitants de la DGSE sur la base de renseignements bruts recoupés, le Service produit des « notes d’évaluation ». Ce type de note évalue l’incertitude et met en avant l’interprétation que fait l’expert du Service d’une situation". (...) "La centaine de destinataires institutionnels (...) de la production de la DGSE, qui ont besoin de maîtriser l’incertitude sans forcément pouvoir la réduire, exigent d’être approvisionnés en permanence par du renseignement répondant à leurs besoins. La plus-value de la DGSE est d’apporter aux autorités nationales du renseignement ayant la plus haute valeur ajoutée : une information confidentielle, originale, pertinente et opportune, obtenue par des moyens souverains ou de coopération".

Bernard Bajolet reconnait toutefois que, "de façon plus inattendue, un service de renseignement extérieur, en révélant une vision du monde sans doute plus lucide et plus crue, peut aussi contribuer à renforcer l’incertitude…" D'ou l'importance de cette dernière affirmation : "il est attendu de la DGSE qu’elle demeure un outil fidèle et objectif, et non servile ou pire encore, acteur de politique étrangère et de sécurité nationale, en soutenant telle ou telle option".
http://www.lopinion.fr/blog/secret-defe ... other-8282
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Message par AAF 2020 »

L’ex-agent algérien du Mossad, Said Sahnoune s’est réfugié en Espagne
Le journaliste Algérien, Said Sahnoune, qui avait espionné au profit des services secrets israéliens « le Mossad » et pour « la Guardia civile, Espagnole », s´est réfugié en Espagne après avoir passé 17 jours dans la zone internationale de l’aéroport de Barajas à Madrid.
En effet, l'ancien agent, Said Sahnoune, a profité d´une escale à Madrid en provenance d’un pays africain en compagnie de son fils Kamel, 20 ans, pour introduire sa demande d´asile politique à travers l’association espagnole des réfugiés politiques. Les autorités espagnoles ont accepté sa demande après 17 jours, grâce aux avocats de la Commission espagnole pour les réfugiés. Par contre, Sa femme et ses deux filles sont restées en Algérie.
Dans une déclaration au journal Espagnol « El pais », Said Sahnoune a avoué qu’il a été condamné par la justice algérienne pour espionnage au profit du Mossad et de l’Espagne. « J ai travaillé avec le Mossad dès 1999 et après avec les Espagnols sur des affaires liées spécialement au terrorisme mais jamais sur l’Algérie. Le DRS était au courant dès le début de tous les détails. Je leurs remettais des copies de tous les dossiers», affirme-t- il.
Son aventure commence, quand Sahnoune avait publié un reportage sur l'assassinat du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin en 1995. Ce travail l´avait conduit à un premier contact avec l'ambassade d'Israël qui l'avait d´ailleurs félicité. Il débarque alors à Tel Aviv après avoir émigré d’abord, au début des années 90 en Afrique de l’Ouest, notamment au Bénin où il avait fondé le journal « Le Matin » et En Côte-d’Ivoire, où il collaborait avec le journal « La Paix ».
L’ancien agent, (50 ans) a été arrêté en Algérie en 2005. En 2007, il a été condamné à 10 années de prison ferme pour espionnage au profit des services secrets israéliens et de l’Espagne. « Le procès s’est tenu à huis clos à Tizi-Ouzou. « J’ai passé six ans et demi en prison et j’ai été libéré en juillet 2012, après avoir bénéficié de différentes grâces ». Il avait reconnu avoir travaillé pour le compte des services secrets israélien et espagnols, “sans nuire à l’Algérie”, en contre partie de l’argent pendant qu’il se trouvait dans les pays africains notamment en Côte d’Ivoire et au Bénin.
« La condamnation injuste, les deux ans de mandat de dépôt », sont les raisons ayant motivé sa demande d’asile, explique-t-il. « Dans mon dossier, il n’y a rien. J’ai travaillé avec le Mossad et l´Espagne sur le terrorisme et l´immigration clandestine mais jamais sur l’Algérie. Je n’ai jamais nui à l’Algérie. Il n’y avait pas d’espionnage », insiste t il. Said Sahnoune estime qu’il a été victime d’une lutte entre les clans. En Algérie il est considéré comme un traître et un criminel et il ne peut exercer aucune profession.
L’ancien agent vit actuellement dans un centre de réfugiés géré par la Croix-Rouge dans la banlieue de Madrid en attendant des jours meilleurs.
http://www.elwatan.com/une/l-ex-agent-a ... 32_108.php

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Le vice amiral Michael Rogers pressenti à la NSA
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C’est un changement attendu depuis plusieurs mois qui touche la plus puissante agence d’écoute au monde, alors qu’Edward Snowden poursuit ses révélations dans les médias. Le Washington Post l’annonçait il y a deux jours, l’information doit être prochainement officialisée.
Le vice amiral Michael Rogers devrait ainsi succéder au général Keith Alexander, en poste depuis 2005 à la tête de la NSA. Un aviateur succèdera ainsi à un officier issu de l’US Army. Depuis 2010, le directeur de la NSA dirige également l’US Cyber Command en charge des opérations à la fois défensives et offensives.
D’après le quotidien américain, le vice amiral Michael Rogers a été reçu la semaine dernière par Barack Obama. Sa nomination doit être validée par le Congrès après une audition habituelle par la commission du renseignement du Sénat. Âgé de 53 ans, le vice amiral Michael Rogers est à en juger par sa biographie officielle un militaire issu du sérail du renseignement. Spécialiste en cryptologie, il a exercé diverses fonctions dans le renseignement au sein de la Navy puis auprès du Joint Chief of Staff.
Le tempo de ce changement ne doit rien au hasard, il intervient en plein affaire Snowden. Pour autant, le général Keith Alexander fait valoir légitimement ses droits à la retraite à partir du mois de mars. L’ancien analyste de la NSA, Edward Snowden, poursuit toujours ses élucubrations médiatiques annonçant au cours de ces derniers jours que l’Agence américaine participait à des opérations d’espionnage économique et que la Chancelière allemande n’était sans doute pas la seule personnalité allemande mise sur écoute. Depuis le mois de juin 2013, la tempête médiatique qui s’est abattue sur la NSA a conduit Barack Obama à annoncer dernièrement une réforme de l’Agence, afin de mieux encadrer ses pratiques, dont les missions d’interception et d’écoute de communications perdureront quoiqu’il en soit au nom de la lutte antiterroriste et de la guerre économique.
http://www.infosdefense.com/le-vice-ami ... nsa-11325/
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medhak
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Re: Les services secrets dans le monde

Message par medhak »

La justice allemande condamne Samraoui pour escroquerie et confirme qu’il est un agent de la DST

Algeriepatriotique a réussi à se procurer un document secret dont la teneur, d’une extrême gravité, confirme les liens entre un certain nombre d’opposants installés en Europe et des services secrets étrangers. Le document en question, émis par la justice allemande, condamne Mohamed Samraoui pour «faux et usage de faux» et «activités criminelles» sur le sol allemand. Mais cette condamnation est loin d’être l’élément le plus grave dans le document en notre possession. En effet, le jugement de la Cour fédérale allemande, frappé du sceau de la confidentialité, contient un passage qui établit une preuve définitivement irréfutable sur l’appartenance de l’ancien officier du DRS aux services du contre-espionnage français, la DST, actuelle DGSI. «Les juges du 2e Panel criminel de la Cour suprême fédérale, à la demande du service des renseignements fédéral, vu la sensibilité du cas et des relations avec les services secrets français (DST), dont fait partie l’accusé Lahbib Samraoui, ont jugé unanimement de la nécessité de protéger les données du jugement et d’interdire leur diffusion dans les médias», lit-on dans l’arrêt daté du 16 avril 2013. Il aura donc fallu que le parti des Verts allemand intentât un procès à l’officier félon réfugié en Allemagne pour que la pièce manquante achève de confondre cet espion au service d’intérêts étrangers hostiles. Une nouvelle question s’impose, dès lors, à la lumière de cette preuve irréfutable : Mohamed Samraoui a-t-il été récupéré par les services secrets étrangers après qu’il eut déserté les rangs de l’armée algérienne ou a-t-il été retourné alors qu’il était encore en poste au sein du DRS ? Cette révélation, en fait, n’en est pas une ; c’est une confirmation d’un fait qu’Algeriepatriotique n’a eu de cesse de dénoncer, mais à laquelle il manquait un indice, une empreinte pour démasquer le traître. C’est désormais chose faite. Le document secret de la Cour fédérale allemande, qui fait s’écrouler comme un château de cartes tous les mensonges sur lesquels s’est construite la cabale contre l’armée algérienne – sous l’égide du faux éditeur français François Gèze et du conseiller du roi marocain André Azoulay –, ne manquera pas de mettre à nu la camarilla qui a pris part à la mise en place d’un des plus grands complots contre l’Algérie depuis son indépendance.
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http://algeriepatriotique.com/article/l ... gent-de-la
Déchéance de la nationalité et extradition
Les faits remontent au début de l’année 2012 lorsque le parti allemand des Verts a entrepris une action en justice, en vue de faire condamner Mohamed Samraoui pour «faux et usage de faux» et le faire déchoir de sa nationalité allemande. Le principal grief retenu contre Samraoui – qualifié de «danger absolu» par le juge chargé de l’application des sanctions – est l’établissement «abusif», par ce dernier et par sa femme, d’attestations de membres de l’exécutif de l’ex-Union des réfugiés algériens en Europe, à de faux réfugiés, leur permettant ainsi l’accès à la nationalité allemande. Ainsi, quarante-six ressortissants algériens ont bénéficié de la nationalité allemande suite à la délivrance d’attestations d’adhésion à l’ex-Union des réfugiés algériens par le même Samraoui qui a été reconnu coupable de cette escroquerie. L’ancien officier des services touchait entre 500 à 1 000 deutsche marks à l’époque, contre ce sésame signé par lui-même après avoir falsifié le document officiel en tronquant le nom du président ainsi que sa signature. Treize des quarante-six Algériens ayant traité avec Samraoui seront entendus par la police criminelle dans plusieurs régions de l’Allemagne. Le verdict de la justice allemande est sans appel : déchéance de l’accusé de sa nationalité allemande, expulsion d’Allemagne, paiement d’une pénalité et des frais de justice, soit près de 400 000 euros, et restitution des aides sociales dont il a bénéficié entre 1997 et 2012. Le ministère allemand de l’Intérieur a été chargé de l’exécution de la décision de déchoir le condamné de la nationalité allemande et de lui «proposer» un pays d’accueil. Les autorités allemandes ont, par ailleurs, émis le vœu que l’extradition de Samraoui se fasse «le plus tôt possible», mais il semblerait que cette décision n’ait pas été appliquée en raison du partenariat qui lie les services secrets allemands et français, lesquels ont souhaité que toute cette affaire soit étouffée. Hormis le BND, l’ex-DST, les magistrats et les avocats proches du dossier, d’autres institutions ont été tenues informées de cette affaire, à savoir la Cour constitutionnelle, la Cour régionale de la Rhénanie-Du-Nord-Westphalie, le tribunal de Bonn et le quartier général de la police fédérale à Berlin.
Karim Bouali

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Re: Les services secrets dans le monde

Message par Meko2000 »

Salam

Ont devrais plus sur vieller les gents et Condamne à des peine plus ce verre et protéger nos site contre Espionnage :avo: :algerie01:
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