Actualités Chinoises

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Liaoning : le port de Dandong est aujourd'hui un port de réputation mondiale .





La ville de Dandong est située dans la province chinoise du Liaoning (nord), près de la frontière sino-nord-coréenne. Des dizaines d'années après sa création, ce port est aujourd'hui devenu un port commercial de réputation mondiale.

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Ouverture de la 124e édition de la Foire de Guangzhou .





La 124e édition de la Foire automnale de Guangzhou s'est ouverte lundi au Centre international des conventions de Pazhou, à Guangzhou, dans la province chinoise du Guangdong.

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Ouverture du festival de la montgolfière de Chine au Guizhou .





Le festival international de la montgolfière a débuté le 14 octobre à Xingyi, dans la province du Guizhou. De nombreuses montgolfières originales se sont réunies à cette occasion et ont attiré un grand nombre de visiteurs.

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[Henri K.]

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Xi Jinping : la Chine va renforcer les applications de technologies de pointe .





La Chine va intensifier ses efforts pour promouvoir l'application des technologies de pointe, et notamment la réalité virtuelle, dans un large éventail de secteurs dans le cadre d'efforts plus vastes visant à rechercher une croissance de haute qualité, a déclaré vendredi le président Xi Jinping.

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Selon Xi Jinping, qui s'est exprimé dans une lettre de félicitations adressée à la Conférence mondiale de l'industrie de la réalité virtuelle 2018, qui se tient à Nanchang, dans la province du Jiangxi (est de la Chine), à l'heure où une nouvelle vague de révolution technologique et de transformation industrielle prend de l'am[pleur, la technologie de réalité virtuelle arrive à maturité, élargissant les capacités de perception humaine et transformant les produits et services.

La Chine, a-t-il ajouté, souhaite approfondir les échanges internationaux et la coopération dans le domaine de la réalité virtuelle, partager les opportunités de développement et faire des efforts communs pour créer un avenir meilleur et plus intelligent pour la société humaine.

De son côté, Miao Wei, ministre de l'Industrie et des Technologies de l'information, principal organisme de réglementation du pays, a déclaré qu'en intégrant une foule de technologies, la réalité virtuelle sera très probablement une plate-forme fondamentale pour l'innovation, la création de nouveaux produits et entreprises, et même un pionnier de la prochaine grande modernisation industrielle.

« La réalité virtuelle approche du point critique, les consommateurs comprennent de mieux en mieux la technologie et les entreprises commencent à en tirer parti pour la conception de produits, la fabrication, la chirurgie et d'autres choses », a souligné M. Miao lors de la conférence.

Selon un rapport de l'Académie chinoise des technologies de l'information et de la communication, le marché mondial de la réalité virtuelle dépassera les 200 milliards de yuans (25 milliards d'euros) d'ici 2020, contre 100 milliards actuellement.

Jack Ma, président d’Alibaba Group Holding, a pour sa part noté lors de la conférence qu’il était crucial d’intégrer la réalité virtuelle à l’économie réelle. « Quelle que soit la popularité d'une technologie auprès des consommateurs ou des investisseurs, cette technologie n'a de véritable valeur que si elle est étroitement associée à l'économie réelle et au développement social », a-t-il dit.

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Le premier ministre Li Keqiang assiste à l'ouverture de la Réunion Asie-Europe .





Le premier ministre chinois Li Keqiang a assisté jeudi à la cérémonie d'ouverture du 12ème sommet de la Réunion Asie-Europe à Bruxelles dans le cadre de l'engagement de la Chine à intensifier le partenariat entre les deux continents.

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Le sommet de cette année, qui aura pour thème « L'Europe et l'Asie : des partenaires mondiaux pour relever les défis mondiaux », devrait réunir les dirigeants de plus de 50 pays asiatiques et européens ainsi que des représentants d'organisations internationales.

« Ce sera une réunion entre des esprits convergents, tous à la recherche des moyens de mieux préserver un ordre international fondé sur des règles, à un moment où la mondialisation est attaquée », a déclaré Nicolas Chapuis, envoyé de l'Union européenne à Beijing. Il a ajouté que la réunion devrait être une bonne occasion de renforcer la coopération Chine-UE. « En raison du contexte général dans lequel la mondialisation est en cause et alors que la Chine est confrontée à de nouveaux défis, nous […] voulons continuer à travailler avec elle pour apporter la stabilité et la prospérité aux deux parties », a-t-il souligné.

M. Chapuis a estimé que la Chine et l'UE devaient œuvrer par le biais de plus de dialogue et d'actions communes afin de relever les défis et les problèmes clés auxquels le monde est confronté aujourd'hui, tels que l'unilatéralisme et la réforme de l'Organisation mondiale du commerce. « Ce que l’UE pense, c'est que l'avenir de la paix, de la sécurité, de la stabilité et de la prospérité réside dans le cadre multilatéral », a-t-il remarqué. « Nous devons tous répéter ce que la Chine et l'UE ont fait à Paris lors de la COP 21 [Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2015], afin de trouver des solutions créatives aux défis auxquels le monde est confronté à l'heure actuelle. Le monde est un. Le temps de la fermeture des frontières, c’est le passé. L’avenir, ce sont des frontières ouvertes. »

Il a précisé que lors du sommet de cette année, une réunion prévue entre M. Li et le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, devrait permettre de discuter de deux documents de coopération, dans le but de réaliser des progrès clairs. « Le premier est un accord sur les appellations géographiques entre la Chine et l'UE, qui est une indication utilisée sur des produits ayant une origine géographique spécifique et destinée à protéger les droits de propriété intellectuelle des produits des deux pays », a-t-il déclaré. L’autre document est un accord global d'investissement UE-Chine, qui vise à élargir l'accès des entreprises au marché, ainsi qu'à fixer des règles pour protéger les investisseurs des deux côtés. Il s’agit d’un traité en discussion depuis six ans, a-t-il fait savoir.

Il a ajouté que la lutte contre le changement climatique et la réponse aux développements internationaux étaient deux domaines dans lesquels il existe un fort potentiel de coopération entre la Chine et l'UE, ajoutant que les deux parties avaient superbement coopéré dans la lutte contre le changement climatique. « La lutte contre la pauvreté, l’éducation des jeunes femmes, l’accès à l'eau potable, les petites et moyennes entreprises, la création d'emplois, la réalisation des objectifs de développement pour 2030. Ce sont des domaines dans lesquels la Chine et l'UE peuvent travailler ensemble », a-t-il noté.

China.org.cn

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Jiangxi : ouverture de l'Exposition internationale de céramiques de Jingdezhen .





Un visiteur (à gauche) regarde des porcelaines lors de l'Exposition internationale de céramique de Jingdezhen 2018 à Jingdezhen, dans la province du Jiangxi (est de la Chine), le 18 octobre 2018. L'Exposition internationale de céramique de Jingdezhen 2018 a été inaugurée jeudi dans cette ville, attirant plus de 3 000 exposants venant de près de 500 entreprises de céramique du monde entier.

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En photos : le charme des paysages d'automne du Ningxia .






Avec le riz prêt à être récolté et les arbres qui virent au jaune, la plaine de Yinchuan, capitale de la région autonome Hui du Ningxia (nord-ouest de la Chine) offre, sur ces photos prises d’un drone, de splendides paysages de fin d’automne.

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Beijing et Manille vont renforcer leur dialogue maritime .





La Chine et les Philippines ont convoqué la troisième réunion du Mécanisme de consultation bilatérale jeudi à Beijing, qui sert de plate-forme pour résoudre les différends, prévenir et gérer de manière correcte les incidents en mer et renforcer le dialogue et la coopération maritimes.

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Le dialogue entre les deux pays a été reconnu comme un lieu d’échanges renforcés et réguliers pouvant jouer un rôle important dans le développement stable des relations bilatérales.

Le vice-ministre des Affaires étrangères, Kong Xuanyou, était à la tête de la délégation chinoise qui a rencontré la délégation philippine conduite par le sous-secrétaire aux Affaires étrangères, Enrique Manalo.

M. Kong a déclaré que les deux parties « sont capables de gérer correctement les différences, de faire progresser la coopération maritime pratique, et de renforcer constamment la compréhension et la confiance » par le biais du mécanisme, qui « a permis de nombreux progrès et résultats concrets ».

Selon le communiqué publié après la réunion, le dialogue a été « fructueux et productif », les deux parties ayant procédé à un échange de vues sur des sujets de préoccupation d'actualité et autres, et envisagé des solutions pour traiter ces questions de manière « mutuellement bénéfique ».

Les deux parties ont réaffirmé leur attachement aux principes de liberté de navigation et de survol au-dessus de la mer de Chine méridionale, de liberté du commerce international et d'autres utilisations pacifiques de la mer, estimant que la bonne gestion des différends en mer de Chine méridionale était essentielle à la sauvegarde de la paix et de la stabilité régionales. La Chine et les Philippines continueront de régler leurs différends territoriaux et juridictionnels par des moyens pacifiques, sans recourir à la menace ou à l'emploi de la force, par le biais de consultations et de négociations amicales menées par des États souverains directement concernés et par l'exercice de la retenue, conformément aux principes universellement reconnus du droit international.

Les participants ont réitéré que les questions maritimes controversées ne constituaient pas la totalité des relations sino-philippines et se sont accordés pour dire que des relations de plus en plus dynamiques devraient servir les intérêts des peuples philippin et chinois et contribuer à la paix, à la stabilité et au développement de la région.

Les deux parties ont également reconnu l'importance des autres plates-formes multilatérales complémentaires, notamment les Relations de dialogue ASEAN-Chine, le Forum régional de l'ASEAN et le Sommet de l'Asie de l'Est, dans la promotion de la paix et de la stabilité régionales.

Les représentants ont aussi procédé à un échange de vues sur les moyens de renforcer la coopération maritime dans divers domaines, tels que la recherche et le sauvetage en mer, la sécurité maritime, la protection de l'environnement marin, la recherche scientifique marine et la pêche.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lu Kang, avait auparavant affirmé mardi que les deux pays sont revenus sur la bonne voie pour résoudre les problèmes maritimes en établissant le mécanisme de consultation bilatérale début 2017, et qu'ils géraient correctement leurs différences et favorisaient une coopération maritime pragmatique par le biais de celui-ci.

Les première et deuxième réunions du mécanisme se sont tenues à Guiyang, dans la province chinoise du Guizhou, en mai 2017, et à Manille, aux Philippines, en février 2018.

La quatrième réunion aura lieu aux Philippines au premier semestre 2019. La date et le lieu exacts seront déterminés et convenus par voie diplomatique.

China.org.cn

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Mise en service de la station de recherche arctique sino-islandaise .





La station de recherche arctique sino-islandaise, projeté conjointement par les deux pays, a été mise en service le 18 octobre en Islande, marquant un grand pas de la recherche arctique de la Chine après l'installation de la station de recherche Huanghe (Fleuve jaune) au Pôle nord.

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Un spectacle de drones à Chongqing .





Quelque 150 drones ont présenté hier soir un spectacle de lumière près de la rue commerciale de Xijie, à Chongqing. Les drones ont réalisé des formes représentatives de la ville telles que la fondue chinoise et le pont Qiansimen enjambant la rivière Jialing.

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Des journalistes allemands s’initient à la broderie du Hunan .





Une délégation de journalistes allemands ont visité le 17 octobre l’Institut de broderie du Hunan, à Changsha, et ont profité de l’occasion pour apprendre à broder.

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La Chine privilégiée par les étudiants originaires des pays traversés par les Nouvelles Routes de la soie .





En quarante ans de réforme et d’ouverture, la Chine a réalisé d’énormes progrès en matière de développement. Elle a accumulé une expérience de modernisation dans de nombreux domaines, tels que la construction urbaine et la gestion sociale, et a réalisé de nombreuses innovations technologiques. Les possibilités infinies de la Chine forment un champ magnétique qui attire des idéalistes du monde entier, notamment des étudiants originaires des pays traversés par les Nouvelles Routes de la soie.

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Selon les données publiées par le ministère chinois de l'Éducation, 489 200 étudiants étrangers étaient inscrits dans les universités du pays en 2017. Parmi eux, on comptait 317 200 étudiants originaires des pays traversés par les Nouvelles Routes de la soie, soit 64,85 % du total, et 11,58 % de plus que l’année précédente, une croissance record.

Miao Lü, directrice adjointe et secrétaire générale du Centre sur la Chine et la mondialisation (CCG). Crédits photo: Miao Lü

Comment la Chine choisit-elle les étudiants originaires des pays des Nouvelles Routes de la soie? Quel attrait représente la Chine pour ces étudiants? Avec l’approfondissement de la réforme et de l’ouverture, quelles sont les tendances à prévoir? China.org.cn a posé ces questions au Dr Miao Lü, qui est directrice adjointe et secrétaire générale du Centre sur la Chine et la mondialisation, un think tank établi à Beijing.

Un lien émotionnel entre les peuples

Miao Lü nous a révélé que la Chine choisissait les étudiants des pays traversés par les Nouvelles Routes de la soie en tenant compte de quatre considérations.

Le recrutement de ces étudiants est tout d’abord un élément important de la promotion de la construction des Nouvelles Routes de la soie. Cela doit contribuer à faire pleinement jouer le rôle fondamental et prédominant de l'éducation, à promouvoir la coopération pour l’ouverture de l'éducation, à développer la collaboration dans la formation de talents et à construire un mécanisme de construction commune des Nouvelles Routes de la soie.

Deuxièmement, l’inscription d’étudiants de ces régions fait partie d'un plan visant à développer les études à l’étranger pour les jeunes Chinois et le rayonnement de l’éducation internationale en Chine. Cela doit contribuer à réduire le déséquilibre entre le nombre d’étudiants chinois outre-mer et d’étudiants étrangers en Chine, et à améliorer ainsi le niveau de formation internationale en Chine.

Troisièmement, cela doit contribuer à améliorer l'environnement de développement des talents internationaux en Chine et à exploiter pleinement les talents nationaux et internationaux, avec la mise en place d'un système plus pratique d'entrée et de sortie du territoire pour les étrangers et de services dédiés à l'innovation et l'entrepreneuriat.

Enfin, cela est également une opportunité pour faire rayonner la langue et la culture chinoises. Après leur séjour en Chine, les étudiants deviendront des ambassadeurs de la promotion de la culture chinoise, soutiendront le lien émotionnel entre les pays des Nouvelles Routes de la soie et travailleront pour faire avancer l’initiative.

La Chine est déjà la destination de prédilection de nombreux étudiants internationaux

Le 7 janvier dernier, le journal India Times a rapporté que la Chine est devenue la destination préférée des étudiants internationaux après les États-Unis et le Royaume-Uni. C’est un lieu lointain qui fait rêver de nombreux jeunes.

Miao Lü a déclaré qu'après des décennies de développement, les universités chinoises ont réalisé de grands progrès pour améliorer leur niveau et leurs infrastructures. Aujourd’hui, certaines d’entre elles dominent internationalement à bien des égards.

Sous l’effet des politiques menées par l’État et le ministère de l’Éducation, les universités et les administrations à tous les échelons ont formulé une série de politiques et de projets d’appui, en fondant notamment l’Alliance des universités des Nouvelles Routes de la soie, en signant un mémorandum de coopération internationale sur l’action éducative dans les pays traversés, en établissant une reconnaissance mutuelle des accords et des diplômes, en fondant une bourse spéciale des Nouvelles Routes de la soie destinée aux étudiants étrangers à Beijing, une bourse de la Route de la soie au Gansu et une bourse spéciale du gouvernement provincial du Hubei.

Miao Lü estime que la coopération entre la Chine et ces pays en matière de capacités de production notamment créera des emplois et réduira le chômage local. « La politique de la Chine encourage les étudiants étrangers d’excellence à rester travailler et créer des entreprises, cela contribue à l’allocation de ressources humaines internationales au service du développement et de la construction du pays. »

L’importance d’une ouverture continue

Le 6 janvier 2017, le ministère des Ressources humaines et de la Sécurité sociale, le ministère des Affaires étrangères et le ministère de l'Éducation ont publié conjointement un Avis relatif à l'emploi des diplômés étrangers d’excellence en Chine.

Cette politique préférentielle a permis selon le Dr Miao une avancée décisive dans la politique de l'emploi de jeunes diplômés étrangers d’établissements chinois.

Elle a suggéré la mise en place par le gouvernement d’un nouveau mécanisme permettant aux étudiants originaires des pays traversés par les Nouvelles Routes de la soie d’effectuer des stages et de travailler, de tirer parti de l'expérience de la réforme des entrées et sorties du territoire à Beijing, à Shanghai, et dans le Guangdong, et de tester graduellement une approche ciblée sur le marché de l’emploi.

« Cette année marque le cinquième anniversaire de l’initiative des Nouvelles Routes de la soie », a souligné Miao Lü. Au cours de cette période, nous avons achevé la rédaction des grandes lignes du projet, nous allons désormais pouvoir nous pencher sur les détails en donnant la plus grande importance à la transition vers une croissance de haute qualité. »

Elle a souligné qu'avec l'avancement de l'initiative des Nouvelles Routes de la soie et l'approfondissement des réformes et de l'ouverture, les échanges entre la Chine et les pays traversés par les circuits commerciaux deviendraient de plus en plus étroits et que les professionnels ayant une bonne connaissance des cultures et de la situation nationale de la Chine seraient en forte demande. Le nombre d’étudiants originaires de ces pays devrait donc continuer à augmenter dans les années à venir. Dans le même temps, le profil des étudiants étrangers venant en Chine sera de plus en plus élevé et les domaines d’études choisis deviendront de plus en plus vastes.

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6000 non-natifs de Beijing reçoivent un hukou de la capitale .





Lundi, le Bureau municipal des ressources humaines et de la sécurité sociale de Beijing a publié une liste de noms des 6019 personnes ayant le plus de points sur les 124 000 candidatures déposées pour l’obtention d’un hukou de Beijing.

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Si leur score est confirmé, ces personnes âgées entre 31 et 58 ans, et travaillant dans des secteurs incluant la technologie, la production manufacturière, la finance, les médias, l’éducation et la santé publique, pourront recevoir leur hukou dès le 23 octobre. Celui-ci durera jusqu’à fin 2020, a indiqué le Bureau.

Ce statut, convoité par de nombreuses personnes non originaires de Beijing, est un document crucial, qui permet aux résidents de bénéficier de la sécurité sociale de Beijing. La procédure très attendue pour faire une demande de hukou dans la capitale chinoise a débuté le 16 avril et s’est terminée le 14 juin.

Pour Wang Yong, le PDG de l’entreprise de conseil Brand Union (Beijing) Consulting, lundi dernier a été un jour mémorable, car son nom figurait sur la liste : « Il s’agit d’un essai positif, car cela ouvre une nouvelle porte pour les non-natifs travaillant dans la ville », explique ce titulaire d’un doctorat, qui travaille à Beijing depuis 22 ans.

« Ce système d’enregistrement des foyers par points est gagnant-gagnant », note Mme Hu, qui travaille depuis 19 ans dans un think tank à Beijing et dont le nom était également sur la liste.

« La ville peut difficilement se développer sans la contribution des non-natifs et dans le même temps, les non-natifs travaillant dans la ville ont également besoin de la sécurité sociale apportée dans tous les aspects par le gouvernement municipal », ajoute-t-elle.

Grâce à cette nouvelle mesure, les personnes non natives de Beijing, qui n’ont pas atteint l’âge légal de la retraite, qui détiennent un permis de résidence temporaire à Beijing avec des documents de sécurité sociale sur sept années consécutives et qui ont un casier judiciaire vierge, sont éligibles pour accumuler des points, afin d’obtenir un hukou.

Ceux qui ont un bon emploi, paient plus d’impôts et bénéficient d’une résidence stable à Beijing, mais aussi qui présentent un bon niveau d’instruction et ont réalisé des accomplissements dans l’innovation et l’établissement de startups à Beijing,

peuvent obtenir des scores plus élevés dans ce système concurrentiel par points.

Cette mesure d’enregistrement des foyers basé sur des points est un choix pratique pour les mégapoles comme Beijing, qui ont des objectifs de contrôle de la population, mais doivent continuer d’attirer des talents pour stimuler une croissance de qualité.

Selon le Bureau des ressources humaines et de la sécurité sociale de Beijing, au cours de cette période pilote, le quota pour les nouveaux détenteurs de hukou est fixé à 6000 par an. Il se base sur la planification du développement de la ville et sa capacité démographique.

A la fin 2017, 13,59 millions de personnes détenaient un hukou local à Beijing, tandis que la population permanente de la ville totalisait 21,7 millions de personnes.

China.org.cn

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Le chemin de fer Sichuan-Tibet passe du bassin du Sichuan au « toit du monde » .





Une machine de pose de voie travaille sur le site de construction du tronçon Lhasa-Nyingchi du chemin de fer Sichuan-Tibet, dans le comté de Gonggar de la région autonome du Tibet (sud-ouest de la Chine), le 16 octobre 2018. Le chemin de fer Sichuan-Tibet grimpe depuis le bassin du Sichuan, situé à quelques centaines de mètres au-dessus du niveau de la mer jusqu'au « toit du monde », à une altitude supérieure à 4 400 mètres.

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