Actualités Chinoises

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L'aéroport de Daxing bientôt prêt pour son ouverture en 2019 .





Le 26 octobre, la capitale a invité les médias locaux et internationaux à visiter l'aéroport international de Daxing de Beijing, qui devrait entrer en service au milieu de l'année prochaine.

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Selon Zhang Xiaofeng, directeur adjoint du département construction du terminal, le nouvel aéroport, situé à la limite entre Beijing et Langfang, dans la province du Hebei, qui sera le deuxième aéroport international de la capitale chinoise et est appelé à devenir un grand pôle international, fait actuellement l'objet de travaux de décoration intérieure. Il a ajouté que ceux-ci seraient terminés d'ici la fin de l'année et que l'aéroport devrait ouvrir ses portes en 2019.

Le projet, qui a coûté 80 milliards de yuans (10,09 milliards d'euros), est situé à 46 km de la place Tian'anmen, à 26 km du centre-ville de Langfang, dans le Hebei, à 55 km de la zone nouvelle de Xiong'an et à 67 km de l'aéroport international de Beijing Capitale et jouera un rôle de plaque tournante aéroportuaire pour le nord de la Chine.

Avec quatre pistes et une zone de terminal de 700 000 mètres carrés, l'aéroport devrait, une fois achevé, devenir le plus grand aéroport du monde.

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Xi Jinping s'engage à élargir l’ouverture du pays .





Le président a mis en avant un approfondissement de la réforme lors de sa tournée d'inspection dans le Guangdong .

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Alors qu’il concluait jeudi sa tournée d'inspection de quatre jours dans la province du Guangdong, le président Xi Jinping a réaffirmé la détermination de la Chine à approfondir les réformes et à élargir son ouverture face aux profonds changements qui surviennent en Chine et à l'étranger.

M. Xi, également secrétaire général du Comité central du Parti communiste chinois (PCC), a tenu ces propos après avoir écouté les rapports de travail du Comité provincial du PCC du Guangdong et du gouvernement provincial à Guangzhou. C’était la dernière étape d'une tournée qui l'a également amené à Zhuhai, Qingyuan et Shenzhen.

Le président a déclaré que le Guangdong était le pionnier, la frontière et la zone pilote de la réforme et de l'ouverture, ajoutant que le comité central du Parti avait toujours encouragé la province à faire preuve d'audace dans l'exploration et la pratique.

Les 40 dernières années de développement au Guangdong ont pleinement démontré que la réforme et l’ouverture sont le seul moyen de pratiquer le socialisme à la chinoise, mais sont aussi un facteur clé pour réaliser le grand renouveau de la nation chinoise, a affirmé le président.

La réforme et l'ouverture sont confrontées à de nouvelles conditions et à de nouveaux défis dans la nouvelle ère, mais plus l'environnement est compliqué, plus il y a de raisons de continuer avec une confiance ferme et des mesures plus fortes, a indiqué M. Xi.

Il a ajouté que la construction de la région de la Grande Baie Guangdong-Hong Kong-Macao représentait une excellente occasion d'approfondir la réforme et l'ouverture au Guangdong.

M. Xi a ainsi appelé à davantage d'efforts pour construire la Zone de libre-échange pilote du Guangdong selon des normes élevées.

Alors qu’il se trouvait mercredi à Qianhai et Shekou, dans la zone de libre-échange pilote du Guangdong près de Shenzhen, M. Xi a déclaré que de plus grands miracles seraient créés en restant sur la bonne voie de la réforme et de l'ouverture.

Dans cet ancien village de pêcheurs, il a noté qu'un développement rapide avait démontré la faisabilité du projet de Qianhai et que son expérience devait être reproduite et promue à l'échelle nationale.

En 2010, le Conseil d’état a approuvé le plan de développement global de Qianhai afin de moderniser sa structure industrielle et de l'ouvrir davantage au monde extérieur.

M. Xi a également appelé à la poursuite des efforts pour améliorer l'expérience réussie des zones économiques spéciales telles que Shenzhen et Zhuhai.

Plus tôt, lors d'une réunion avec les participants de la réforme et de l'ouverture du Guangdong, le président chinois a affirmé que le développement et les réalisations de la Chine au cours des 40 dernières années avaient impressionné le monde et qu'il n'y avait aucune raison de ne pas continuer.

Même s'il survient des difficultés et des problèmes de natures diverses, ils doivent être résolus et surmontés au cours du processus, a-t-il déclaré.

Il a poursuivi en notant que la voie de la réforme et de l'ouverture devait être suivie avec détermination d'une manière plus profonde et plus large.

China.org.cn

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Un vaisseau spatial habité en développement .





Les ingénieurs chinois développent la deuxième génération de vaisseaux spatiaux habités du pays, qui auront pour mission de desservir la station spatiale chinoise et de participer à des missions lunaires habitées, a fait savoir un chercheur impliqué dans le programme.

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Le vaisseau spatial de nouvelle génération, qui n’a pas encore été baptisé, se verra doté d’un nouveau concept aérodynamique qui sera plus simple que Shenzhou, la gamme de vaisseaux spatiaux habités de première génération de Chine, a déclaré Yang Lei, concepteur principal à la l’Académie des technologies spatiales de Chine, lors d’une allocution prononcée à l’occasion de la 5ème conférence sur les vols spatiaux habités, mercredi à Xi'an, province du Shaanxi.

Il comprendra deux sections: un module de rentrée qui hébergera des taïkonautes et contrôlera l’ensemble du vaisseau pendant le vol, et un module de service qui contiendra les systèmes d’alimentation et de propulsion, a-t-il précisé. En comparaison, le vaisseau spatial actuel Shenzhou comprend trois modules chargés de la rentrée, de l’orbite et de la propulsion.

Le nouvel engin spatial sera réutilisable et adoptera un large éventail de technologies de pointe telles que de nouveaux matériaux résistants à la chaleur, des propulseurs non toxiques, des systèmes d'interaction homme-machine et des batteries solaires performantes, a remarqué M. Yang, ajoutant que sa conception interne et la disposition de ses équipements seront plus ergonomiques.

Selon M. Yang, l'Académie des technologies spatiales de Chine a mené des expériences et des tests sur les principaux composants du nouvel engin spatial. Elle prévoit de réaliser des lancements d'essai avec la fusée Longue Marche 5B, qui est également en cours de développement et devrait effectuer son lancement inaugural en juin. Le nouveau vaisseau spatial sera utilisé pour les futurs programmes spatiaux de la Chine, y compris la station spatiale, les missions lunaires habitées et les expéditions habitées dans l'espace lointain, a-t-il ajouté.

A l'heure actuelle, seules la Chine et la Russie possèdent des engins spatiaux habités. Les Etats-Unis n'ont plus eu de vaisseau spatial habité depuis 2011, année durant laquelle ils ont retiré toutes les navettes spatiales.

Les trois puissances spatiales développent de nouveaux engins spatiaux habités. Les Etats-Unis construisent les véhicules polyvalents à équipage Orion, Dragon 2 et CST-100 Starliner, et la Russie travaille sur son engin spatial Federation. Zhang Hongtai, président de l'académie, a déjà déclaré aux journalistes que les capacités globales de l'engin spatial habité de prochaine génération seraient bien plus substantielles que celles de la série Shenzhou, et seraient aussi bonnes que celles des prototypes américains et russes.

China.org.cn

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Li Keqiang souhaite une plus grande confiance entre la Chine et la Japon .





La Chine et le Japon devraient renforcer la confiance politique mutuelle et considérer les relations bilatérales comme un partenariat plutôt que comme une menace quelconque, a déclaré jeudi le premier ministre chinois Li Keqiang.

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Une remarque qui intervient alors que Li Keqiang et Shinzo Abe, son homologue japonais en visite en Chine, ont chacun prononcé une allocution à l’occasion d’une réception pour commémorer le 40ème anniversaire du Traité de paix et d'amitié sino-japonais.

M. Abe est en effet arrivé jeudi à Beijing pour entamer une visite officielle de trois jours en Chine. Il s'agit de la première visite officielle d'un premier ministre japonais en Chine en sept ans.

M. Li a déclaré que le traité reflétait le désir commun des deux pays de vivre dans une paix et une amitié perpétuelles, et incluait le concept selon lequel le Japon devrait profondément réfléchir à ses actions durant la guerre, ainsi que son adhésion à la politique d' « Une seule Chine ».

Le traité, avec les trois autres documents politiques clés, représente ce qui est nécessaire pour le développement sain des relations bilatérales, a-t-il poursuivi.

Les deux parties doivent suivre la direction générale de la paix, de l'amitié et de la coopération, et œuvrer conjointement pour des relations bilatérales plus complètes, stables, pragmatiques et entreprenantes, a-t-il remarqué. Il est important que les deux parties gèrent de manière constructive les différends et les différences et créent un meilleur environnement pour le développement stable et sain des relations bilatérales, a ajouté M. Li.

M. Li a indiqué que la Chine était en train d'étendre sa réforme et son ouverture, ce qui créerait plus d'espace et donnerait aux deux pays plus d'occasions afin de mener une coopération à des niveaux supérieurs. Les deux pays devraient constamment faire progresser la coopération pragmatique, exploiter leurs forces complémentaires et explorer conjointement les marchés tiers, a enjoint le premier ministre chinois. La Chine invite le Japon à participer activement à la construction de « La Ceinture et la Route » et à apporter la coopération mutuellement bénéfique à encore davantage de plateformes, a-t-il ajouté.

En tant que principaux pays d'Asie et principales économies du monde, les deux pays doivent à la fois préserver le multilatéralisme, le libre-échange et la paix régionale, ainsi que promouvoir le développement et la prospérité régionaux, a fait savoir M. Li.

M. Li a également exprimé son soutien à l'intensification des échanges interpersonnels entre les deux pays et au renforcement de la coopération dans les domaines de la culture, de l'éducation et du sport au niveau local. La Chine soutient la promotion des échanges entre les deux peuples, notamment parmi les jeunes, afin de cimenter l'opinion publique en faveur de l'amitié, a ajouté le premier ministre.

Dans son discours, Abe a déclaré que le Japon et la Chine avaient tous deux joué un rôle irremplaçable dans la croissance économique de l'Asie et dans le monde. Le dirigeant japonais a précisé qu'il espérait que les deux pays pourraient travailler ensemble pour renforcer le développement durable de l'amitié et de la coopération au niveau bilatéral.

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Beijing épuise son quota annuel de plaques d'immatriculation pour les véhicules à énergie nouvelle .





Au 8 octobre 2018, plus de 3 millions de personnes avaient fait une demande de plaque d'immatriculation pour des véhicules à combustibles fossiles à Beijing, tandis que 393014 autres attendaient de recevoir des plaques d'immatriculation pour des véhicules à énergie nouvelle.

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Les données d'un bureau gouvernemental ont montré que le nombre de demandes pour les véhicules attribués aux entreprises publiques a respectivement atteint 60980 et 9119 pour les deux types de véhicules.

Les quotas annuels de plaques d'immatriculation pour véhicules à énergies nouvelles, réservés à la fois aux particuliers et aux entreprises publiques, sont déjà épuisés. Ces acheteurs potentiels seront ajoutés au groupe de candidats déjà existant et rejoindront le système de tirage au sort lorsque les nouveaux quotas seront disponibles.

Le bureau a annoncé que Beijing émettrait ce mois-ci 6420 plaques d'immatriculation pour les particuliers et 266 pour les entreprises publiques via le système de tirage au sort.

Il a également déclaré qu'un total de 4681 personnes discréditées, généralement celles qui ont manqué à leurs obligations légales, se verront interdites de demande de plaque d'immatriculation.

China.org.cn

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Ouverture d'une exposition de fleurs de chrysanthèmes à Beijing .





La 39e édition de l'exposition de fleurs de chrysanthème sera tenue à Beijing du 25 octobre au 20 novembre au parc Beihai. Près de 10000 fleurs ont été installées pour l’occasion.

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Jack Ma reprend la tête du classement des personnes les plus riches de Chine .





Le magazine Forbes a publié jeudi sa liste 2018 des 400 personnes les plus riches de Chine, cumulant entre elles une fortune totale de 1060 milliards de dollars.

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Le fondateur d'Alibaba, Jack Ma (de son vrai nom Ma Yun), a retrouvé son titre d'homme le plus riche de Chine qu’il avait perdu en 2014, avec une fortune de 34,6 milliards de dollars. Il est suivi de Pony Ma, le fondateur de Tencent, avec 32,8 milliards de dollars, et de Xu Jiayin, d'Evergrande, avec 30,8 milliards de dollars, a indiqué Forbes.

Cependant, la fortune des trois personnes en haut du classement a diminué par rapport à l'an dernier, avec des baisses respectives de 4 milliards, 6,2 milliards et 11,7 milliards de dollars.

Xu Jiayin a perdu le plus, et Wang Wei (7e au classement), président de la société de distribution SF Holdings, est le second à avoir perdu le plus, alors que sa fortune a diminué de 7,4 milliards de dollars.

Cette année, la liste accueille 43 nouveaux arrivants, dont certains ont bénéficié des offres publiques initiales en bourse de leur entreprise.

Huang Zheng, fondateur du site de vente en ligne Pinduoduo, s'est classé au 12e rang de la liste, avec une fortune de 11,25 milliards de dollars. Il fait figure d’outsider parmi les nouveaux arrivants.

Haidilao, la plus grande chaîne de fondue chinoise de Chine continentale, a été inscrite à la bourse de Hong Kong en septembre. Ses fondateurs, Zhang Yong et Shi Yonghong, sont ainsi entrés sur cette liste des 400 personnes les plus riches de Chine, avec des fortunes respectives de 7,7 et 3,65 milliards de dollars.

En raison de l'inscription en bourse du fabricant de smartphones Xiaomi cette année, la fortune de son fondateur Lei Jun est passée de 6,8 milliards à 11,9 milliards de dollars, tandis que celui de Wang Xing, fondateur de la plateforme d’achat de groupe et de livraison de repas Meituan Dianping, est passée de 4,05 milliards à 5,1 milliards de dollars.

L’inscription de Xiaomi en bourse a également fait gagner des places à cinq autres de ses cofondateurs sur la liste, avec trois nouveaux arrivants.

Parmi ces 400 personnes, la plus âgée est Liang Shezeng, du promoteur immobilier Shirong Zhaoye, âgée de 86 ans. Le plus jeune, Wang Han, de Juneyao Air, est âgé de 31 ans. Quinze personnes de la liste ont moins de 40 ans.

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Haikou célébrée parmi les villes internationales des zones humides .





Haikou a été honorée parmi les premières villes internationales reconnues lors de la 13e Conférence des parties à la Convention internationale de Ramsar sur les zones humides (COP13), qui s’est tenue à Dubaï le 25 octobre. Cela signale une reconnaissance internationale de la protection écologique entreprise par la ville au cours des dernières années.

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Dix-huit villes de sept pays ont eu l'honneur de figurer sur la première liste mondiale des villes de zones humides, dont six en Chine: Haikou, Harbin, Changde, Changshu, Dongying et Yinchuan.

Un membre de la délégation chinoise a présenté l'expérience de Haikou en matière de conservation et de restauration des zones humides en présence des délégués de 170 pays.

Haikou, capitale de la province tropicale de Hainan, possède une zone humide de 29 093 hectares, ce qui représente 12,7 % de sa superficie. Qualifiée de ville d'eau depuis l'Antiquité, elle bénéficie d'abondantes ressources côtières, fluviales, lacustres et artificielles d'une grande diversité.

Environ 22 % de la faune des zones humides de Chine se trouve à Haikou, avec un total de 514 espèces. Les zones humides de Haikou abritent également 439 espèces végétales, soit 20,31 % du total des espèces du pays.

La ville agit pour protéger les trésors que représentent une eau pure et des montagnes verdoyantes, en faisant de la protection et de la restauration des zones humides un projet central dans la construction de foyers heureux.

Haikou a mis en place une association novatrice de la protection de ses précieuses ressources de zones humides et de la restauration de ses écosystèmes. Elle a été la première capitale provinciale de Chine à élaborer et mettre en œuvre un plan général de protection des zones humides.

Selon ce plan, entre 2017 et 2025, la ville prévoit la construction de la réserve naturelle nationale des zones humides de Dongzhaigang, du parc national océanique de la baie de Haikou et du parc national océanique de l'île Beigang, de quatre parcs des zones humides de niveau national et de trois parcs de niveau provincial, ainsi que de 45 zones de protection des zones humides et de la zone de gestion polyvalente des zones humides de Yangshan.

Haikou a acquis de l’expérience dans la planification et la supervision intégrées de la mise en œuvre des mesures juridiques, afin de garantir une protection efficace et de qualité des zones humides.

Ce placement sur la liste mondiale a aussi été rendu possible par le réseau local de communication, créé pour faire mieux connaître les zones humides de Haikou, et soutenu par des associations de protection des zones humides, des organisations publiques et des bénévoles provenant d'écoles, de communautés et d'entreprises locales.

Selon le centre de protection des zones humides, Haikou compte désormais plus de 9000 bénévoles répartis en 54 équipes qui œuvrent à la protection des zones humides.

« Notre bon environnement écologique est le principal atout et le meilleur élément de compétitivité du développement de Haikou », a affirmé Wen Bin, maire adjoint et chef de la délégation de Haikou.

China.org.cn

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Haikou célébrée parmi les villes internationales des zones humides .





Haikou a été honorée parmi les premières villes internationales reconnues lors de la 13e Conférence des parties à la Convention internationale de Ramsar sur les zones humides (COP13), qui s’est tenue à Dubaï le 25 octobre. Cela signale une reconnaissance internationale de la protection écologique entreprise par la ville au cours des dernières années.

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Dix-huit villes de sept pays ont eu l'honneur de figurer sur la première liste mondiale des villes de zones humides, dont six en Chine: Haikou, Harbin, Changde, Changshu, Dongying et Yinchuan.

Un membre de la délégation chinoise a présenté l'expérience de Haikou en matière de conservation et de restauration des zones humides en présence des délégués de 170 pays.

Haikou, capitale de la province tropicale de Hainan, possède une zone humide de 29 093 hectares, ce qui représente 12,7 % de sa superficie. Qualifiée de ville d'eau depuis l'Antiquité, elle bénéficie d'abondantes ressources côtières, fluviales, lacustres et artificielles d'une grande diversité.

Environ 22 % de la faune des zones humides de Chine se trouve à Haikou, avec un total de 514 espèces. Les zones humides de Haikou abritent également 439 espèces végétales, soit 20,31 % du total des espèces du pays.

La ville agit pour protéger les trésors que représentent une eau pure et des montagnes verdoyantes, en faisant de la protection et de la restauration des zones humides un projet central dans la construction de foyers heureux.

Haikou a mis en place une association novatrice de la protection de ses précieuses ressources de zones humides et de la restauration de ses écosystèmes. Elle a été la première capitale provinciale de Chine à élaborer et mettre en œuvre un plan général de protection des zones humides.

Selon ce plan, entre 2017 et 2025, la ville prévoit la construction de la réserve naturelle nationale des zones humides de Dongzhaigang, du parc national océanique de la baie de Haikou et du parc national océanique de l'île Beigang, de quatre parcs des zones humides de niveau national et de trois parcs de niveau provincial, ainsi que de 45 zones de protection des zones humides et de la zone de gestion polyvalente des zones humides de Yangshan.

Haikou a acquis de l’expérience dans la planification et la supervision intégrées de la mise en œuvre des mesures juridiques, afin de garantir une protection efficace et de qualité des zones humides.

Ce placement sur la liste mondiale a aussi été rendu possible par le réseau local de communication, créé pour faire mieux connaître les zones humides de Haikou, et soutenu par des associations de protection des zones humides, des organisations publiques et des bénévoles provenant d'écoles, de communautés et d'entreprises locales.

Selon le centre de protection des zones humides, Haikou compte désormais plus de 9000 bénévoles répartis en 54 équipes qui œuvrent à la protection des zones humides.

« Notre bon environnement écologique est le principal atout et le meilleur élément de compétitivité du développement de Haikou », a affirmé Wen Bin, maire adjoint et chef de la délégation de Haikou.

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L’objectif de croissance annuelle est réalisable, selon Li Keqiang .





Le Premier ministre a exprimé sa confiance dans l'économie lors d'un congrès syndical .

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La Chine pourra atteindre ses objectifs de développement social et économique de cette année, car elle connu une augmentation constante de l'emploi et des revenus résidentiels tout en maintenant des prix à la consommation stables sur fond de conditions nationales et mondiales complexes, a affirmé mercredi le Premier ministre chinois Li Keqiang.

M. Li a tenu ces propos dans un rapport présenté lors d’une session du 17e Congrès national de la Fédération des syndicats de Chine, qui a débuté lundi et durera jusqu’à vendredi.

L'économie chinoise est fondamentalement stable et fonctionne dans une fourchette raisonnable, avec un taux de croissance du PIB élevé au cours des trois premiers trimestres, a affirmé M. Li face à plus des 3000 participants du congrès. Plus de 11 millions de nouveaux emplois ont été créés dans les zones urbaines au cours de cette période, a-t-il précisé.

Les nouvelles technologies et les nouveaux modèles économiques se développent parallèlement à la vitalité du marché, avec plus de 18000 nouvelles entreprises enregistrées chaque jour, a-t-il fait savoir.

Parallèlement, l'économie étant confrontée à des défis et des risques externes croissants, la pression de la croissance augmente, affectant les attentes du marché et la confiance de nombreuses entreprises en difficulté opérationnelle, a déclaré le Premier ministre.

M. Li a ainsi appelé à un approfondissement de la réforme et de l'ouverture, à davantage d'innovation et à une amélioration de l'environnement des affaires, ainsi qu'à un allégement des charges fiscales et des taxes.

Davantage de mesures devraient être mises en place pour stimuler les marchés et exploiter le potentiel de consommation domestique, a-t-il proposé. Les problèmes de l'économie réelle doivent être résolus et le niveau de vie de la population devrait être amélioré afin de maintenir le développement économique dans des limites raisonnables et parvenir à un développement de haute qualité, a poursuivi le Premier ministre.

La Chine dispose de la plus grande main-d'œuvre au monde, ce qui lui confère un potentiel et des avantages considérables, a déclaré M. Li. Avec l'amélioration du système éducatif du pays, la qualité de la main-d'œuvre du pays s'est également améliorée, avec un nombre croissant de professionnels techniques de haute qualité, a-t-il affirmé. Les difficultés peuvent être surmontées tant que l’enthousiasme et la créativité des millions de travailleurs seront stimulés, a indiqué le Premier ministre aux représentants syndicaux du congrès.

M. Li a ajouté que les droits légitimes de tous les travailleurs devraient être garantis. Il a ainsi appelé à faire de l'emploi stable une priorité absolue dans les politiques macroéconomiques de la Chine, mais aussi à pourvoir des garanties d'emploi pour les groupes clés et de transférer des travailleurs d'entreprises en difficulté vers d'autres postes.

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La nouvelle liste Forbes témoigne de la vitalité économique de la Chine .





Selon les experts, le nouveau classement des personnes les plus riches de Chine de Forbes China (Forbes China Rich List), publié le 25 octobre reflète certains défis difficiles auxquels l'économie chinoise a été confrontée au cours de l'année écoulée, allant de pressions baissières chez elle au renforcement du protectionnisme commercial à l'étranger, mais elle fournit également de nouvelles preuves d'une économie de plus en plus mature et dynamique.

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La Forbes China Rich List de 2018 montre que la richesse de certains des entrepreneurs les plus riches de Chine a considérablement diminué au cours de l'année écoulée, mais elle inclut aussi de nouveaux visages qui représentent la montée en puissance de la nouvelle économie chinoise et l'accélération du rythme de modernisation de la fabrication en Chine, ont-ils noté.

Un résumé de la liste publiée par Forbes China montre que plus de 75% des 400 Chinois les plus riches figurant sur la liste de l'année dernière ont vu leur fortune se réduire, et que 93 d'entre eux sont même sortis du classement de cette année. Parallèlement, parmi les personnes qui sont réapparues sur la liste cette année, 229 ont vu leur fortune chuter et près du tiers ont connu une baisse de 20% ou plus selon le résumé, qui attribue la diminution des fortunes aux inquiétudes relatives au crédit et au commerce, à la baisse des actions et à l'affaiblissement du yuan.

Cao Heping, professeur d'économie à la Peking University, estime pour sa part que la dépréciation du yuan par rapport au dollar américain pourrait être la raison principale pour laquelle les fortunes ont été évaluées plus bas cette année et que le classement ne fournit pas une image « complète » de l'économie chinoise. « C'est principalement la dépréciation du yuan par rapport au dollar qui fait que les actifs de ces personnes sont évalués beaucoup plus bas », a déclaré M. Cao au Global Times le 25 octobre. « Cela n'a pas grand-chose à voir avec la croissance économique globale ».

Le yuan s'est affaibli d'environ 6,7% par rapport au billet vert depuis le 25 octobre 2017, tandis que la croissance économique de la Chine a ralenti pour s'établir à 6,5% au troisième trimestre de 2018.

Une robuste vitalité de l'économie chinoise

« Le classement Forbes donne un aperçu des tendances de l'économie chinoise, mais il est inexact de dire que l'économie chinoise est en graves difficultés », a de son côté déclaré Li Daxiao, économiste en chef chez Yingda Securities, basée à Shenzhen. « Le classement montre plutôt une économie plus mature et une robuste vitalité ».

D'après M. Li, qui s'est exprimé le 26 octobre dans le Global Times, la montée en puissance de nouveaux entrepreneurs des secteurs de l'Internet et de la technologie témoigne de la montée en puissance de la nouvelle économie, que la Chine cherche à stimuler.

Il est par ailleurs à noter que la Forbes China Rich List 2018 est dominée par des patrons de l'Internet et de la technologie. Ainsi, sur les 20 premières places du classement, on compte pas moins de 7 milliardaires d’Internet, dont les deux premiers de la liste.

C'est Jack Ma Yun d'Alibaba qui a été classé la personne la plus riche de Chine avec une fortune nette de 34,6 milliards de dollars (30,30 milliards d'euros), suivi de Pony Ma Huateng de Tencent Holdings à la deuxième place avec 32,8 milliards de dollars (28,72 milliards d'euros). Les magnats de l'immobilier, qui dominaient la liste depuis des années, ne représentent aujourd'hui plus que 3 places, le premier d'entre eux étant le président du groupe Evergrande, Xu Jiayin, qui s'est classé troisième avec une fortune nette de 30,8 milliards de dollars (26,97 milliards d'euros).

« C’est un signe de la transition de l’économie chinoise vers une économie davantage axée sur la haute technologie », a souligné M. Li, ajoutant que « les opportunités dans les secteurs de la haute technologie et de l’Internet sont encore tellement nombreuses qu'on peut s'attendre à voir beaucoup plus de milliardaires de l’Internet et de la technologie ».

La liste de cette année a également vu 12 nouveaux patrons de la technologie, dont Huang Zheng, fondateur du site de vente en ligne Pinduoduo, qui s'est classé au 12e rang avec une fortune nette de 11,25 milliards de dollars (9,85 milliards d'euros). Certains ont vu leur richesse s’accroître de manière significative, notamment le PDG du fabricant de téléphones intelligents Xiaomi Lei Jun, dont la fortune nette est passée de 6,8 milliards de dollars (5,95 milliards d'euros) il y a un an à 11,9 milliards de dollars (10,42 milliards d'euros).

« Ce sont des points positifs dans l'économie chinoise qui indiquent qu'elle va dans la bonne direction, malgré un environnement étranger de plus en plus difficile et complexe », a commenté M. Cao. « Si nous pouvons apprendre quelque chose de ce classement, c'est que la consommation en ligne en Chine est toujours très robuste », a-t-il conclu.

China.org.cn

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Lancement d’un projet pilote d’élevage moderne sur le plateau Qinghai-Tibet .





La province du Qinghai a récemment lancé un projet pilote d’élevage à l’aide de technologies modernes pour la modernisation de l’élevage traditionnel.

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La province du Qinghai, province source des trois grands cours d’eau de la Chine – à savoir le Changjiang (NDLR: Yangtsé est la traduction phonétique du nom chinois de son aval, soit la partie entre Nanjing et l'embouchure), le fleuve Jaune (en chinois Huanghe) et le Lancangjiang (l’amont du fleuve Mékong) - figure parmi les quatre plus grandes régions pastorales du pays.

Le projet couvre, quant à lui, la ferme d’élevage écologique des monts Qilian, la ferme d’élevage organique de Sanjiangyuan (source des trois cours d’eau), la ferme d’élevage intelligente de la rivière Huangshui, la ferme d’élevage d’expérience du lac Qinghai et la ferme d’élevage de l’oasis de Chaidamu.

Selon une source de l’Office des technologies de la province, avec un financement de 18 millions de yuans (2,3 millions d’euros) alloué sur quatre ans, le projet devra développer un modèle intégrant l’approvisionnement et l’exploitation précise d’herbes de fourrage, la production écologique et organique de l’élevage, la gestion et l’exploitation de ressources d’élevage à l’aide de techniques modernes, des bases de données sur la culture d’herbes de fourrage et la production d’élevage, ainsi que la démonstration des caractéristiques de la ferme d’élevage moderne.

A l’issue du projet, les cinq fermes pilotes possèderont 2000 hectares de prairie naturelle, 667 hectares de prairie artificielle, 5000 bovins et 10 000 ovins.

China.org.cn

[Henri K.]

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Les restrictions américaines aux exportations technologiques sous le feu des critiques .





La décision des États-Unis d'imposer des restrictions sur les exportations à destination d'un fabricant de puces en Chine a été critiquée mardi par le gouvernement chinois. Plusieurs experts ont estimé que cette décision va à l’encontre des règles et principes fondamentaux de la coopération internationale.

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Le département américain du Commerce a décidé d'empêcher le fabricant de circuits intégrés Jinhua d'acheter des composants américains, en prétendant que cela constitue une « menace pour la sécurité nationale » des États-Unis.

Un communiqué publié lundi par le département du Commerce américain affirme que Jinhua a presque achevé sa construction d’une importante capacité de production de circuits intégrés à mémoire vive dynamique (DRAM).

Cette production, « rendue possible par une technologie probablement d'origine américaine », menacerait la viabilité économique à long terme des fournisseurs de ces « composants essentiels aux équipements militaires américains », selon le communiqué.

Le ministère chinois du Commerce a publié mardi sur son site officiel un communiqué disant que « la Chine s'oppose au comportement des États-Unis qui consiste à abuser du prétexte de sécurité nationale et des mesures de contrôle des exportations, ainsi qu'aux sanctions unilatérales des États-Unis et à leur ingérence dans la coopération commerciale internationale normale entre entreprises ».

« La Chine prie instamment les États-Unis de mettre immédiatement fin à ces mesures infondées et de promouvoir la coopération commerciale bilatérale », a indiqué le communiqué.

Le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Lu Kang, a rappelé lors d'une conférence de presse de routine que le gouvernement chinois avait toujours encouragé les entreprises chinoises à coopérer dans le domaine des investissements extérieurs conformément aux règles du marché et à respecter les lois et réglementations locales.

La Chine a également demandé à d'autres pays d’assurer le traitement juste et raisonnable des entreprises chinoises et un bon environnement d'investissement, a ajouté M. Lu.

« Nous souhaitons que les États-Unis aillent davantage dans le sens de la confiance mutuelle et de la coopération entre nos deux pays, et non l'inverse », a-t-il déclaré.

Des mesures injustes

Les experts interviewés par le Global Times mardi ont jugé que la décision des États-Unis contre Jinhua était arbitraire et injuste.

L'utilisation d'une « excuse infondée » pour restreindre les exportations à destination de Jinhua signifie la perte de la crédibilité des États-Unis au sein de la communauté internationale, a déclaré Xiang Ligang, directeur général du site d’actualité des télécoms cctime.com.

« Les mesures prises par le gouvernement américain contre Jinhua ne sont étayées par aucun fait concret et prouvé. Si les États-Unis se permettent de bloquer sans raison les transactions commerciales avec Jinhua, ils peuvent accuser n'importe quelle entreprise de menacer la sécurité nationale et la survie de leurs entreprises. En suivant cette logique, ils peuvent décider d’imposer arbitrairement des sanctions envers toutes les entreprises chinoises », a déclaré M. Xiang, en ajoutant que ce type de comportement « met en péril la coopération et les échanges commerciaux internationaux ».

Il a également jugé que les mesures protectionnistes américaines contre les entreprises de communication de haute technologie chinoises comme Jinhua et ZTE montrent que les États-Unis cherchent à perturber le rythme de la modernisation du secteur manufacturier chinois, ces entreprises étant au cœur du programme Fabriqué en Chine 2025, qui vise au développement de nouvelles industries de haute technologie.

« Les États-Unis veulent maintenir leur hégémonie dans le secteur des micropuces », a-t-il observé. « Ils veulent étrangler tous les concurrents chinois potentiels. »

Cet avis est repris par Wang Yanhui, secrétaire général de la Mobile China Alliance, qui a déclaré mardi que les restrictions étaient totalement infondées, car les États-Unis ont interdit les « atteintes aux droits de propriété intellectuelle » sans l’appui de la moindre décision de justice.

Le fournisseur américain de solutions de semi-conducteurs Micron Technology a intenté un procès à Jinhua en décembre dernier, en l'accusant d'avoir « enfreint les secrets commerciaux relatifs aux circuits DRAM ».

« En réalité, la capacité de production de Jinhua n’atteint qu'un dixième de celle de Micron, au plus. Elle ne représente pas la moindre menace à la survie de Micron, et encore moins aux intérêts de l’armée américaine », a souligné M. Wang.

Un « blocus » au long cours

Les experts ont estimé que les mesures prises par le gouvernement américain contre les entreprises chinoises de haute technologie risquaient de former une tendance de long terme.

« Les mesures américaines à l’encontre de Jinhua ne sont pas surprenantes. Le président américain Donald Trump a imposé des restrictions strictes au développement du commerce chinois dans le secteur des hautes technologies, ce qui revient pratiquement à un blocus », a résumé Shi Yinhong, directeur du Centre d'études américaines de l'Université Renmin de Chine.

« Je pense que le différend commercial peut prendre fin, mais la politique américaine visant à restreindre, voire à bloquer le commerce et le développement des hautes technologies en Chine risque de durer », a-t-il observé.

Il a déclaré que si la Chine dispose de preuves montrant que certaines entreprises chinoises sont ciblées par des politiques injustes du gouvernement américain, le pays se battra pour faire reconnaître ses droits.

M. Xiang a indiqué que si Jinhua ne pouvait plus traiter avec ses fournisseurs aux États-Unis, l’entreprise pourrait se tourner vers des fournisseurs sud-coréens.

« Toutefois, il est difficile de dire si la société sera en mesure de trouver une solution appropriée au blocus américain », a-t-il noté.

China.org.cn

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Tibet : Jilong, le pivot reliant la Chine à l'Asie du Sud .





Le xian de Jilong se situe à une altitude de 4200m en plein cœur des chaînes montagneuses de l'Himalaya, dans la région autonome du Tibet. La vallée de Jilong est un pivot reliant la Chine au Népal et à l'Asie du Sud, et témoigne de la communication sino-népalaise ainsi que du développement de la Chine.

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