Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mali, Niger et Mauritanie

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numidia
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par numidia »

Foxbat a écrit :Cette frontière est une honte et une haute trahison des autorités du pays !
De l'autre côté a Oudja c'est une cellule spéciale envoyé de Rabat (et qui n'agit qu'en fonction des oukazes du palais) qui gère le trafic en fonction des besoins du royaume , avec des points de passages dédiés par produits ! tous y passe médicaments, céréales, cuivre, ovins,bovins,pièces détachées de voitures et de camions,et bien sûr du carburant ... la liste est très longue ! savez vous avec quoi payent les marocains ? avec du hachich !
Ce plan machiavélique mit en place par les autorités marocaines ,pompe annuellement dans les environs de 3 milliards de $ a l'Algérie ! et par dessus le marché lui envoie du poison en contre partie !

Le fait qu'Alger laisse faire et synonyme de haute trahison ! sinon comment expliquer qu'aucune mesure ne soit prise sérieusement pour arrêter de saigner le pays tel que cela se fait aux frontières ! de l'autre côté ça travaille pour le bien du royaume en aidant le trésor public a supporter sa lourde facture en mettant en place une vraie machine de pompage ! et en Algérie on pille le pays pour enrichir le royaume !
De plus plus de 300 000 marocains travaillent en Algérie en toute illégalité ! certains traversent même la frontière quotidiennement pour travailler et rentrer le soir chez eux !!!!
Bref Allah yarahmek yal houari !
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Rebell
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par Rebell »

numidia a écrit :
Foxbat a écrit :Cette frontière est une honte et une haute trahison des autorités du pays !
De l'autre côté a Oudja c'est une cellule spéciale envoyé de Rabat (et qui n'agit qu'en fonction des oukazes du palais) qui gère le trafic en fonction des besoins du royaume , avec des points de passages dédiés par produits ! tous y passe médicaments, céréales, cuivre, ovins,bovins,pièces détachées de voitures et de camions,et bien sûr du carburant ... la liste est très longue ! savez vous avec quoi payent les marocains ? avec du hachich !
Ce plan machiavélique mit en place par les autorités marocaines ,pompe annuellement dans les environs de 3 milliards de $ a l'Algérie ! et par dessus le marché lui envoie du poison en contre partie !

Le fait qu'Alger laisse faire et synonyme de haute trahison ! sinon comment expliquer qu'aucune mesure ne soit prise sérieusement pour arrêter de saigner le pays tel que cela se fait aux frontières ! de l'autre côté ça travaille pour le bien du royaume en aidant le trésor public a supporter sa lourde facture en mettant en place une vraie machine de pompage ! et en Algérie on pille le pays pour enrichir le royaume !
De plus plus de 300 000 marocains travaillent en Algérie en toute illégalité ! certains traversent même la frontière quotidiennement pour travailler et rentrer le soir chez eux !!!!
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borznayadouti
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par borznayadouti »

il faut créer une zone tampon avec un passeport spécial pour les locaux; le probleme c la trahison des gardes frontières; une situation a résoudre en urgence et a la plus haute instance
http://www.elwatan.com/actualite/rencon ... 44_109.php

tayeb
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par tayeb »

borznayadouti a écrit :il faut créer une zone tampon avec un passeport spécial pour les locaux; le probleme c la trahison des gardes frontières; une situation a résoudre en urgence et a la plus haute instance
http://www.elwatan.com/actualite/rencon ... 44_109.php
Les gardes frontières ne traduisent que la volonté de la politique de Bouteflika a l'égard du Maroc , une intransigeance de façade avec derrière une bienveillance tacite. Si les ordres et les moyens avaient étés donnés un peu comme avec la frontière tuniso-libyenne, des moyens conséquents et une réelle politique efficace aurait été mis en place. Le problème c'est que notre gouvernement face au Maroc ne veut pas franchir le cap d'une guerre économique hors s'il y a bien un moyen de faire payé le Maroc pour son attitude belliqueuse c'est bien ce moyen, hors c'est quand même incroyable cette passivité depuis une décennie...

Rebell
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par Rebell »

Le problème c'est que notre gouvernement face au Maroc ne veut pas franchir le cap d'une guerre économique hors s'il y a bien un moyen de faire payé le Maroc pour son attitude belliqueuse c'est bien ce moyen, hors c'est quand même incroyable cette passivité depuis une décennie...
mon cher tayeb c'est pas une guerre économique car les frontiére sont fermer donc tout ce qui font et illégale surtout le trafique de drogue oui notre pays veux pas franchir ce cap et c'est assez lourd...car le Maroc n'a rien a dire d'un coté on lui ferra payer sa politique d’hypocrite enfantin et d'un autre on et toute a fait on notre droit
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tayeb
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par tayeb »

Rebell a écrit :
Le problème c'est que notre gouvernement face au Maroc ne veut pas franchir le cap d'une guerre économique hors s'il y a bien un moyen de faire payé le Maroc pour son attitude belliqueuse c'est bien ce moyen, hors c'est quand même incroyable cette passivité depuis une décennie...
mon cher tayeb c'est pas une guerre économique car les frontiére sont fermer donc tout ce qui font et illégale surtout le trafique de drogue oui notre pays veux pas franchir ce cap et c'est assez lourd...car le Maroc n'a rien a dire d'un coté on lui ferra payer sa politique d’hypocrite enfantin et d'un autre on et toute a fait on notre droit
Rebell ce n'est pas parce que la frontière est officiellement fermé et que l'économie légale est atone qu'il ne faut pas voir que l'économie parallèle illégale elle est en pleine croissance, c'est bien pour cela que la répression vis à vis du trafic de carburant a été plus tranchante ces derniers temps. Je te prouve mon principe de guerre économique par cet exemple:
Maroc : le gouvernement augmente les prix de l'essence
http://www.jeuneafrique.com/Article/ART ... 917083054/
Bien sûr suite à cette augmentation le panier du ménage Marocain est considérablement touché, pour pallié à cette hausse le trafic de carburant via l'Algérie s'intensifie. Cela permet à l'économie Marocaine de soulagé la pression sociale interne très sensible à ce genre d'augmentation et très porteuse de grogne sociale, le Maroc ainsi par ces filières de trafic clandestine soulage sa pression en la déportant sur l'économie Algérienne qui elle favorise un prix des carburants des plus abordables, mais au final les comptes sont en notre défaveur puisque nous produisons plus que nous ne consommons et ceci parce que une partie de notre production finis dans le réservoir des voitures Marocaines, ceci est une guerre économique et pour l'instant le Maroc sur ce point nous met en difficulté, si un réel effort avec une politique extrêmement répressive se dessinais , le Maroc verrait la pression sociale tôt ou tard s'accentué, les effets à termes seraient une baisse de la croissance du pays et une augmentation de son déficit structurel, j'ajoute que la fermeture de la frontière pénalise déjà grandement ce pays, si on poussait le curseur un peu plus en expulsant pas exemple les 200 000 Marocains qui travaille illégalement dans le pays , on fragiliserais un peu plus ce pays qui ne peux pas à l'heure actuelle assimilé cette masse de demandeurs d'emplois dans son marché du travail. Avant de gagné une guerre par les armes il faut la gagné économiquement en affaiblissant au maximum la capacité financière de son ennemi. Pourquoi penses tu qu'avant d'attaqué un pays de nos jours, on le met systématiquement sous embargo avant de le frappé :?:

Rebell
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par Rebell »

Bien sûr suite à cette augmentation le panier du ménage Marocain est considérablement touché, pour pallié à cette hausse le trafic de carburant via l'Algérie s'intensifie. Cela permet à l'économie Marocaine de soulagé la pression sociale interne très sensible à ce genre d'augmentation et très porteuse de grogne sociale, le Maroc ainsi par ces filières de trafic clandestine soulage sa pression en la déportant sur l'économie Algérienne qui elle favorise un prix des carburants des plus abordables, mais au final les comptes sont en notre défaveur puisque nous produisons plus que nous ne consommons et ceci parce que une partie de notre production finis dans le réservoir des voitures Marocaines, ceci est une guerre économique et pour l'instant le Maroc sur ce point nous met en difficulté, si un réel effort avec une politique extrêmement répressive se dessinais , le Maroc verrait la pression sociale tôt ou tard s'accentué, les effets à termes seraient une baisse de la croissance du pays et une augmentation de son déficit structurel, j'ajoute que la fermeture de la frontière pénalise déjà grandement ce pays, si on poussait le curseur un peu plus en expulsant pas exemple les 200 000 Marocains qui travaille illégalement dans le pays , on fragiliserais un peu plus ce pays qui ne peux pas à l'heure actuelle assimilé cette masse de demandeurs d'emplois dans son marché du travail. Avant de gagné une guerre par les armes il faut la gagné économiquement en affaiblissant au maximum la capacité financière de son ennemi. Pourquoi penses tu qu'avant d'attaqué un pays de nos jours, on le met systématiquement sous embargo avant de le frappé :?:
héhé :twisted: je connait bien la guerre Economique de l'embargo et justement on devrait l'appliqué au Maroc oui sa les soulage un peut de faire du trafique de carburant sauf que nous sa nous fait perdre 1million...et on devrait couper cours totalement a ce trafique comme sa on va les ettoufer bien comme il faut et les 200 000 marocain on Algérie..franchement on devrait les balancer chez eux que ce sois arête leur trafique ou leur expulsion on et toujours dans les règle et la on leur fera mal bien comme il faut sans entré dans leur jeu de gamin d'arracher les drapeau ou d'insultez l'autre ouvertement

de toute façon même la guerre il pourrons pas la menée les zombie va t'en guerre qui suive aveuglément on l'air d'oublier que leur principale source de revenue et le tourisme par conséquent au 1er seconde de la déclaration de guerre ta plus de touriste au Maroc et donc plus d’économie qui et déjà fragile il pourrons tenir un peut en demandant des prêt mais la encore sa va augmentez leur dette la guerre c'est q'un fantasme de plus le peut de leur nourriture et champ de hchih partira en fumer et il deviendrons comme la somalie le sais pas a quoi joue mimi6 on augmentant la haine du peuple marocain contre l’Algérie mais une chose et sur ce n'est pas pour nous intimider mais bien pour essayer de frapper au niveau international et a Washington pour avoir plus de soutiens et la aussi on peut l'asphyxier :lol:
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sadral
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par sadral »

Paralysie libyenne

Alger a décidé d’arrêter sa collaboration avec Tripoli pour la surveillance de la frontière entre les deux pays.
Du côté libyen, ce sont des milices composées d’ex-rebelles, dépendant en principe du pouvoir de Tripoli, qui assurent la “sécurité “de cette frontière. Mais, pour les autorités algériennes, la collaboration sécuritaire bilatérale pose problème, car elles soupçonnent les services de sécurité libyens d’être dominés par les milices radicales, notamment le Groupe islamique libyen combattant.
Les Algériens craignent que la frontière commune entre les deux pays, longue d’environ 900 kilomètres, puisse être traversée en toute quiétude par des groupes terroristes. A l’exemple de ce qui se passe déjà à la frontière tuniso-libyenne, devenue un foyer d’insécurité.
Cette situation a poussé Alger à dépêcher 3 000 gendarmes à ses frontières avec la Libye. Suite à des opérations de ratissage dans la zone frontalière, les gendarmes algériens ont tué deux trafiquants et mis la main sur 130 roquettes antiaériennes, des mines terrestres et quelque 2 000 roquettes antichars RPG.
L’Algérie est opposée à la volonté libyenne de confier la sécurisation de ses frontières sud et sud-est à des sociétés privées, étant réticente à toute présence armée étrangère, notamment occidentale, à ses frontières.
L’anarchie politico-sécuritaire régnant à Tripoli étant pour Alger un facteur aggravant. Depuis les élections législatives en juillet 2012, le Congrès général national (CGN) libyen a en effet subi 18 attaques de la part de groupes armés, dans le but de faire pression sur les parlementaires, la dernière attaque datant du 22 octobre.
La dernière attaque contre le CGN aurait été commanditée par le Conseil de Cyrénaïque, une instance aux revendications indépendantistes dirigée par Ibrahim Jedran. Ce dernier commande également une milice de la tribu des Magharbiba, basée dans la région d’Ajdabiya, laquelle contrôle un certain nombre d’installations pétrolières. L’attaque du 22 octobre visait à faire pression sur la rédaction de la nouvelle Constitution libyenne, afin que celle-ci octroie à ces groupes le droit de gérer les ressources pétrolières des zones qu’ils contrôlent.
Par ailleurs, près d’une centaine de membres du CGN ont quitté leur siège le 27 octobre, privant l’assemblée du quorum nécessaire pour lui permettre de poursuivre ses travaux. Ces députés souhaitaient protester contre un changement de dernière minute apporté à l’ordre du jour par le président Nouri Abou Sahmein. Cette session devait, au départ, être consacrée à la création du Comité opérationnel des révolutionnaires libyens (CORL) et des fonds à lui allouer, qui s’élèvent à 900 millions de dinars libyens (670 millions d’euros). Ces députés ont demandé l’abrogation de la délégation donnée au président du CGN pour commander les forces armées ainsi que la mise en place d’une commission parlementaire, pour enquêter sur le dossier des fonds attribués au CORL et l’enlèvement éphémère du Premier ministre Zeidan.
Le Parlement devait également débattre de la déclaration du gouvernement de Cyrénaïque. En effet, les autorités de Benghazi ont annoncé la constitution d’un gouvernement régional autonome pour gérer les affaires de la région. Le nouveau gouvernement est présidé par Abd-Rabbo al-Baraasi, proche des Frères musulmans. Au cours d’une conférence de presse tenue à Ajdabiya, ce dernier a annoncé la formation d’un cabinet de 24 ministres, précisant que son action ne visait pas une partition mais la construction de la Libye dans le cadre d’un système fédéral. Il a, en outre, annoncé la création d’une Force de défense de la Cyrénaïque et la division administrative de la région en quatre provinces : Benghazi, Tobrouk, Ajdabiya et le Jebel Akhdar.
Ce nouveau gouvernement vient concurrencer, en quelque sorte, le Conseil intérimaire de la Cyrénaïque, présidé par cheikh Ahmed Zoubaïr al-Sénoussi, cousin de l’ancien roi Idriss renversé par le colonel Kadhafi en 1969.
http://www.ttu.fr/paralysie-libyenne/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

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L’Italie surveillera la frontière Sud et Est de la Libye
Le Premier ministre libyen, Ali Zeidan, a indiqué, le 3 novembre 2013, que l’Italie avait proposé d’assurer le contrôle des frontières du pays, y compris la zone d’Al-Awaynat, à la jonction du Soudan et de l’Égypte.

La campagne dans la presse occidentale, discrètement conduite par l’Otan, sur le naufrage d’une embarcation de réfugiés au large de Lampédusa, le 3 octobre, a donc porté ses fruits. L’opinion publique européenne a admis la nécessité de prévenir le flux de migrants en provenance de Libye, sans que les journaux s’interrogent sur les accusations portées par les survivants : les navires de l’Otan n’auraient pas répondu à leurs appels au secours, laissant mourir plus de 300 d’entre eux pour les besoins de cette campagne.

Le plan initial, présenté par l’Italie dans une lettre à Catherine Ashton, prévoyait que Rome encadrerait la police et l’armée libyennes défaillantes, de manière à tarir les départs. Cependant, le chaos est tel en Libye que ce travail paraît pour le moment impossible. On se dirige donc vers un contrôle des frontières Sud et Est du pays par l’Italie, ancienne puissance coloniale. Concrètement, cela signifie que l’Union a admis l’immigration de Libyens et cherchera à stopper celle en provenance d’Afrique noire.
http://www.voltairenet.org/article180853.html

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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par Rebell »

aucun signal a écrit :L’Italie surveillera la frontière Sud et Est de la Libye
Le Premier ministre libyen, Ali Zeidan, a indiqué, le 3 novembre 2013, que l’Italie avait proposé d’assurer le contrôle des frontières du pays, y compris la zone d’Al-Awaynat, à la jonction du Soudan et de l’Égypte.

La campagne dans la presse occidentale, discrètement conduite par l’Otan, sur le naufrage d’une embarcation de réfugiés au large de Lampédusa, le 3 octobre, a donc porté ses fruits. L’opinion publique européenne a admis la nécessité de prévenir le flux de migrants en provenance de Libye, sans que les journaux s’interrogent sur les accusations portées par les survivants : les navires de l’Otan n’auraient pas répondu à leurs appels au secours, laissant mourir plus de 300 d’entre eux pour les besoins de cette campagne.

Le plan initial, présenté par l’Italie dans une lettre à Catherine Ashton, prévoyait que Rome encadrerait la police et l’armée libyennes défaillantes, de manière à tarir les départs. Cependant, le chaos est tel en Libye que ce travail paraît pour le moment impossible. On se dirige donc vers un contrôle des frontières Sud et Est du pays par l’Italie, ancienne puissance coloniale. Concrètement, cela signifie que l’Union a admis l’immigration de Libyens et cherchera à stopper celle en provenance d’Afrique noire.
http://www.voltairenet.org/article180853.html
j'haluccine..aucun nif aucune fierté..c'est comme si nous aujourd’hui on appellera la France pour surveiller nos frontiére..c'est bien la la différence entre les peuple du Maghreb et l’Algérie
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scorpion-rouge35
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Message par scorpion-rouge35 »

Paralysie libyenne

Alger a décidé d’arrêter sa collaboration avec Tripoli pour la surveillance de la frontière entre les deux pays.

Du côté libyen, ce sont des milices composées d’ex-rebelles, dépendant en principe du pouvoir de Tripoli, qui assurent la “sécurité “de cette frontière. Mais, pour les autorités algériennes, la collaboration sécuritaire bilatérale pose problème, car elles soupçonnent les services de sécurité libyens d’être dominés par les milices radicales, notamment le Groupe islamique libyen combattant.

Les Algériens craignent que la frontière commune entre les deux pays, longue d’environ 900 kilomètres, puisse être traversée en toute quiétude par des groupes terroristes. A l’exemple de ce qui se passe déjà à la frontière tuniso-libyenne, devenue un foyer d’insécurité.

Cette situation a poussé Alger à dépêcher 3 000 gendarmes à ses frontières avec la Libye. Suite à des opérations de ratissage dans la zone frontalière, les gendarmes algériens ont tué deux trafiquants et mis la main sur 130 roquettes antiaériennes, des mines terrestres et quelque 2 000 roquettes antichars RPG.

L’Algérie est opposée à la volonté libyenne de confier la sécurisation de ses frontières sud et sud-est à des sociétés privées, étant réticente à toute présence armée étrangère, notamment occidentale, à ses frontières.

L’anarchie politico-sécuritaire régnant à Tripoli étant pour Alger un facteur aggravant. Depuis les élections législatives en juillet 2012, le Congrès général national (CGN) libyen a en effet subi 18 attaques de la part de groupes armés, dans le but de faire pression sur les parlementaires, la dernière attaque datant du 22 octobre.

La dernière attaque contre le CGN aurait été commanditée par le Conseil de Cyrénaïque, une instance aux revendications indépendantistes dirigée par Ibrahim Jedran. Ce dernier commande également une milice de la tribu des Magharbiba, basée dans la région d’Ajdabiya, laquelle contrôle un certain nombre d’installations pétrolières. L’attaque du 22 octobre visait à faire pression sur la rédaction de la nouvelle Constitution libyenne, afin que celle-ci octroie à ces groupes le droit de gérer les ressources pétrolières des zones qu’ils contrôlent.

Par ailleurs, près d’une centaine de membres du CGN ont quitté leur siège le 27 octobre, privant l’assemblée du quorum nécessaire pour lui permettre de poursuivre ses travaux. Ces députés souhaitaient protester contre un changement de dernière minute apporté à l’ordre du jour par le président Nouri Abou Sahmein. Cette session devait, au départ, être consacrée à la création du Comité opérationnel des révolutionnaires libyens (CORL) et des fonds à lui allouer, qui s’élèvent à 900 millions de dinars libyens (670 millions d’euros). Ces députés ont demandé l’abrogation de la délégation donnée au président du CGN pour commander les forces armées ainsi que la mise en place d’une commission parlementaire, pour enquêter sur le dossier des fonds attribués au CORL et l’enlèvement éphémère du Premier ministre Zeidan.

Le Parlement devait également débattre de la déclaration du gouvernement de Cyrénaïque. En effet, les autorités de Benghazi ont annoncé la constitution d’un gouvernement régional autonome pour gérer les affaires de la région. Le nouveau gouvernement est présidé par Abd-Rabbo al-Baraasi, proche des Frères musulmans. Au cours d’une conférence de presse tenue à Ajdabiya, ce dernier a annoncé la formation d’un cabinet de 24 ministres, précisant que son action ne visait pas une partition mais la construction de la Libye dans le cadre d’un système fédéral. Il a, en outre, annoncé la création d’une Force de défense de la Cyrénaïque et la division administrative de la région en quatre provinces : Benghazi, Tobrouk, Ajdabiya et le Jebel Akhdar.

Ce nouveau gouvernement vient concurrencer, en quelque sorte, le Conseil intérimaire de la Cyrénaïque, présidé par cheikh Ahmed Zoubaïr al-Sénoussi, cousin de l’ancien roi Idriss renversé par le colonel Kadhafi en 1969.

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sadral
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par sadral »

scorpion-rouge35 a écrit :
Paralysie libyenne

Alger a décidé d’arrêter sa collaboration avec Tripoli pour la surveillance de la frontière entre les deux pays.

Du côté libyen, ce sont des milices composées d’ex-rebelles, dépendant en principe du pouvoir de Tripoli, qui assurent la “sécurité “de cette frontière. Mais, pour les autorités algériennes, la collaboration sécuritaire bilatérale pose problème, car elles soupçonnent les services de sécurité libyens d’être dominés par les milices radicales, notamment le Groupe islamique libyen combattant.

Les Algériens craignent que la frontière commune entre les deux pays, longue d’environ 900 kilomètres, puisse être traversée en toute quiétude par des groupes terroristes. A l’exemple de ce qui se passe déjà à la frontière tuniso-libyenne, devenue un foyer d’insécurité.

Cette situation a poussé Alger à dépêcher 3 000 gendarmes à ses frontières avec la Libye. Suite à des opérations de ratissage dans la zone frontalière, les gendarmes algériens ont tué deux trafiquants et mis la main sur 130 roquettes antiaériennes, des mines terrestres et quelque 2 000 roquettes antichars RPG.

L’Algérie est opposée à la volonté libyenne de confier la sécurisation de ses frontières sud et sud-est à des sociétés privées, étant réticente à toute présence armée étrangère, notamment occidentale, à ses frontières.

L’anarchie politico-sécuritaire régnant à Tripoli étant pour Alger un facteur aggravant. Depuis les élections législatives en juillet 2012, le Congrès général national (CGN) libyen a en effet subi 18 attaques de la part de groupes armés, dans le but de faire pression sur les parlementaires, la dernière attaque datant du 22 octobre.

La dernière attaque contre le CGN aurait été commanditée par le Conseil de Cyrénaïque, une instance aux revendications indépendantistes dirigée par Ibrahim Jedran. Ce dernier commande également une milice de la tribu des Magharbiba, basée dans la région d’Ajdabiya, laquelle contrôle un certain nombre d’installations pétrolières. L’attaque du 22 octobre visait à faire pression sur la rédaction de la nouvelle Constitution libyenne, afin que celle-ci octroie à ces groupes le droit de gérer les ressources pétrolières des zones qu’ils contrôlent.

Par ailleurs, près d’une centaine de membres du CGN ont quitté leur siège le 27 octobre, privant l’assemblée du quorum nécessaire pour lui permettre de poursuivre ses travaux. Ces députés souhaitaient protester contre un changement de dernière minute apporté à l’ordre du jour par le président Nouri Abou Sahmein. Cette session devait, au départ, être consacrée à la création du Comité opérationnel des révolutionnaires libyens (CORL) et des fonds à lui allouer, qui s’élèvent à 900 millions de dinars libyens (670 millions d’euros). Ces députés ont demandé l’abrogation de la délégation donnée au président du CGN pour commander les forces armées ainsi que la mise en place d’une commission parlementaire, pour enquêter sur le dossier des fonds attribués au CORL et l’enlèvement éphémère du Premier ministre Zeidan.

Le Parlement devait également débattre de la déclaration du gouvernement de Cyrénaïque. En effet, les autorités de Benghazi ont annoncé la constitution d’un gouvernement régional autonome pour gérer les affaires de la région. Le nouveau gouvernement est présidé par Abd-Rabbo al-Baraasi, proche des Frères musulmans. Au cours d’une conférence de presse tenue à Ajdabiya, ce dernier a annoncé la formation d’un cabinet de 24 ministres, précisant que son action ne visait pas une partition mais la construction de la Libye dans le cadre d’un système fédéral. Il a, en outre, annoncé la création d’une Force de défense de la Cyrénaïque et la division administrative de la région en quatre provinces : Benghazi, Tobrouk, Ajdabiya et le Jebel Akhdar.

Ce nouveau gouvernement vient concurrencer, en quelque sorte, le Conseil intérimaire de la Cyrénaïque, présidé par cheikh Ahmed Zoubaïr al-Sénoussi, cousin de l’ancien roi Idriss renversé par le colonel Kadhafi en 1969.

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Déja posté ;) juste au dessus .
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Message par tayeb »

De nouveaux moyens seront déployés à la frontière algéro-marocaine
L'Algérie déterminé à mener une lutte inflexible contre la contrebande


Les résultats plus qu'édifiants enregistrés par la mise en service des nouveaux postes avancés de contrôle et de surveillance de Marsat Ben-M’hidi et de Honaïne ont incité la direction générale des douanes nationales à inscrire 23 autres postes qui seront installés le long de la bande frontalière avec le Maroc, dont quatre viennent d'être inaugurés par le directeur général des douanes, Mohamed Abdou Bouderbala, lors de la visite qu'il a effectuée mercredi et jeudi dans toutes les unités de la wilaya de Tlemcen au cours de laquelle il a affirmé que «l'Etat est déterminé à mener une lutte inflexible contre la contrebande sous toutes ses formes. Tous les moyens humains et matériels seront mis à la disposition des différentes inspections relevant de la direction régionale des douanes de Tlemcen afin qu'elles mènent à bien leur mission et l'accomplissent dans des conditions appropriées», tout en soulignant que tous ces postes seront équipés dans un avenir très proche d'équipements très modernes de surveillance, notamment des caméras ultrasophistiquées qui permettront, de jour comme de nuit, de faire un balayage visuel de toute la bande frontalière.

L'enveloppe allouée à la réalisation de ce vaste programme stratégique pour la protection de notre frontière avec le Maroc s'est élevée à 2,250 milliards DA.

Afin de renforcer en effectifs ces nouvelles infrastructures, une promotion de 236 agents de contrôle, dont 49 femmes, est sortie de l'école des douanes d'Oued Mimoun.

Ont assisté à cette cérémonie le wali, le directeur général des douanes, les autorités civiles et militaires de la wilaya et de nombreux invités, avant qu'une inspection ne soit entreprise par le premier responsable des douanes nationales et le chef de l'exécutif de la wilaya le long de la bande frontalière avec le Maroc, plus précisément à El-Abed, El-Bouihi et Magoura où quatre nouveaux postes de surveillance ont été inaugurés par les deux responsables.

De nouveaux postes de douanes
Situés à l'extrême sud-ouest du chef-lieu de la wilaya, les localités d'El-Abed et de Magoura, relevant de la commune d'El-Bouihi, ne sont qu'à un jet de pierre de la ligne frontalière avec le Maroc et font partie d'une très vaste steppe qui s'étend de la mine d'El-Abed au nord jusqu'à El-Aaricha au sud et qui est parsemée par endroits par une dense forêt de pins.

A partir de ces nouveaux postes des douanes, intercalés par ceux des gardes-frontières de la Gendarmerie nationale, on observe sans difficulté les postes et les hameaux épars marocains, reconnus à leur couleur rouge ocre et qui offrent des images de désolation.

On comprendra alors l'importance de la contrebande pour ces populations marocaines vivant sur des terres nues et presque désertiques sur lesquelles aucune culture n'est possible.

Les villages algériens limitrophes sont pour ces Marocains une sorte de bouée de secours puisqu'ils s'y approvisionnent en toutes sortes de produits et équipements à travers la contrebande.

Dans ces zones, on échange le cheptel, le carburant et les produits alimentaires de première nécessité, notamment le sucre, le lait et le thé, contre des effets vestimentaires, de l'alcool frelaté ou de la drogue, saignant ainsi notre économie nationale et mettant en péril la santé de nos concitoyens.

«Cette situation n'est plus tolérée aujourd'hui et tous les moyens seront mis à la disposition des douaniers pour mettre un terme à ce phénomène qui porte atteinte à notre sécurité nationale», a affirmé M. Bouderbala qui ajoutera que «toutes les unités qui opèrent le long de la bande frontalière seront bientôt équipées de nouveaux véhicules très robustes et de nouvelles armes pour faire face à ces trafiquants sans foi ni loi».

Cette visite des frontières a été très riche en enseignements et a permis aux responsables de mesurer l'ampleur du phénomène de la contrebande, comme l'attestent les importantes saisies enregistrées dans cette zone de transit, et les retards cumulés en matière de développement de toute cette région enclavée qui attend depuis des lustres sa part de la richesse nationale. Magoura et El-Bouiha en sont un exemple édifiant.
http://www.letempsdz.com//content/view/106284/177/
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sadral
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Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par sadral »

Mise en échec d’une tentative d’introduction de 8,3 tonnes de kif provenant du Maroc

Des éléments du 13ème escadron du premier groupement des Garde-frontières de Maghnia (Tlemcen) ont mis en échec dimanche une tentative d’introduction de 8,255 tonnes de kif traité provenant du Maroc, selon des services de la Gendarmerie nationale.

Dans la périphérie de la daira de Maghnia, non loin de la bande frontalière, deux fourgons provenant du Maroc ont du être abandonnés par leurs conducteurs qui ont pris la fuite vers le pays voisin à la vue des éléments de la brigade de la Gendarmerie nationale, a expliqué la même source, ajoutant que les deux véhicules ne portent pas de plaques d’immatriculation.

La section de recherche du groupement de wilaya de la Gendarmerie nationale de Tlemcen a ouvert une enquête pour déterminer les tenants et les aboutissants de cette affaire, a-t-on signalé.

Les services combinés de sécurité ont réussi vendredi dernier, dans la wilaya de Nâama à déjouer une tentative d’introduction de près de 22 quintaux de kif traité provenant du Maroc. Cette opération a permis d’appréhender deux individus et la saisie d’un véhicule portant immatriculation marocaine.
http://www.algerie1.com/flash-dactu/mis ... -du-maroc/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

sepof

Re: Frontières Algériennes: Tunisie, RASD, Maroc, Libye, Mal

Message par sepof »

Je viens de le voir , 8,3 tonnes :huh!: . L'inefficacité des tranchées est encore démontrée , à part si je me trompe et qu'elles n'ont pas encore été creusées aux environs de Maghnia .
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