L'Agriculture en Algérie [planification et développement]

[Sifax]

Salon national des dérivés du palmier-dattier à Biskra:
Un café est à 100 %" préparé à base de noyaux de dattes (Par Djamel.B, 29/12/2012)

Le produit phare du 2e salon national des dérivés du palmier-dattier, clôturé mercredi à Biskra, aura été un café un peu spécial, préparé à partir d'une mouture de noyaux de dattes. Ce café est "à 100 %" préparé à base de noyaux de dattes moulus et sa saveur "est quasiment identique à celle du café du caféier", affirme Adam Medjoudja de Touggourt (Ouargla) qui a accueilli, dans son stand, de nombreux visiteurs curieux de déguster ce breuvage insolite. Les noyaux subissent plusieurs lavages successifs, avant d'être séchés pendant plusieurs jours puis torréfiés et, enfin, moulus, explique ce producteur qui souligne que le processus actuel de production de ce ''café'' reste éminemment artisanal. Dans les oasis d'Oued Righ où active cet artisan, ce produit ''est connu mais c'est la première fois qu'un artisan aidé par sa famille tente d'en faire la promotion'', assure Medjoudja avant de souligner avec une fierté non dissimulée que toute la quantité de "café" qu'il a apportée au salon a trouvé preneur. La seconde édition du salon national des dérivés du palmier-dattiers était organisée par la chambre de l'artisanat et des métiers avec le concours de la direction du Tourisme de l'artisanat.

http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=51712

[Sifax]

Produits du palmier dattier
Un moyen d'assurer la sécurité alimentaire en zones sahariennes (Par Mohamed K. A, 30/12/2012)

La phoeniciculture est l'une des cultures qui pourront contribuer à assurer la sécurité alimentaire, au moins dans les zones sahariennes où le dattier constitue la culture de base a indiqué Mme Souad Babahani, chef de l’équipe productions végétales de la palmeraie du laboratoire de recherche « Bio ressources sahariennes, préservation et Valorisation. »

Cette responsable de la Filière Agronomie a affirmé que :« Le dattier nous donne les dattes, utilisées comme aliment pour l'homme et parfois même pour l'animal. Donc il est contribue à l'augmentation des revenus des agriculteurs, des commerçants, des exportateurs et des transformateurs. »

Plusieurs produits et sous produits a-t-elle expliqué, sont élaborés à base de dattes et du dattier. « Ces produits contribuent donc à l'élévation du niveau social des populations qui le cultivent. La plupart de ces produits et sous produits sont restés à l'état primitif en Algérie. »

La valorisation des dattes et des autres produits du dattier a-t-elle estimé, reste toujours possible si le développement technique en matière de technologie alimentaire est assuré. « L'appel à l'expérience des autres pays, surtout arabes, dans ce domaine pourrait accélérer ce développement puisque l'Algérie possède une diversité très importante qui arrive à plus d'un millier de cultivars ; d’où uniquement cinq cultivars, à leur tête la Deglet Nour, sont valorisés.

En effet à partir de ce produit on peut produire entre autre pâte de dattes, la farine de dattes, des dattes fourrées, des dattes au sirop, du miel, du sirop et des jus des dattes ou boissons non alcoolisées, du sucre liquide ; mais également de l'acide citrique, des levures boulangère, alimentaire et fourragère, du vinaigre et de l'alcool médical, etc.

Mme Babahan a souligné par ailleurs que même les graines sont valorisées puisqu'elles entrent dans certaines industries entre autre la fabrication des huiles, du café et des aliments de bétail. Elle ci a rappelé que les importations en thé et café par exemple, ont été évaluées à 120 millions de dollars en 2010.

La phoeniciculture, a-t-elle précisé, avec toutes ses activités, engendre des revenus très intéressants en dépit de tous les problèmes que vit ce secteur, dont l’absence de gestion et surtout de coordination entre les structures qui gèrent le secteur. « En effet, les dattes restent parmi les rares produits agricoles exportés. « L’Algérie produit plus de 600.000 tonnes et exporte, ces dernières années, entre 13000 à 15000 tonnes ; soient des revenus qui varient entre 20.000 à 25.000 millions de dollars »

Ce produit a-t-elle assuré, pourra être développé à travers sa diversification, dont des produits qui assureront la sécurité alimentaire des phoeniciculteurs et autres citoyens. « Dans ce sillage il est utile de penser à faire connaître les autres cultivars dans les marchés mondiaux, développer les différentes catégories de dattes Deglet Nour, y compris la commercialisation des dattes dénoyautées.

http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 47_291.php

[tchpako]

(APS) samedi 5 janvier 2013 17 : 01
Le 4ème Salon international de l’agroalimentaire en février prochain à Oran

ORAN - Plus de 70 opérateurs activant dans le secteur agricole et les industries alimentaires prendront part à la 4ème édition du Salon international de l’agroalimentaire (SIAL 2013) prévu du 5 au 7 février prochain au Centre des conventions "Mohamed Benahmed" d’Oran, a-t-on appris samedi des organisateurs.

Une quarantaine d’exposants algériens et étrangers ont confirmé à ce jour leur participation à ce rendez-vous économique, a indiqué le secrétaire général de l’Association des professionnels de la sécurité alimentaire (APSA), M. Bendenia Saada.

Du matériel agricole, à l’aliment de bétail, les phytosanitaires, les vaccins et aux dérivés du lait et des viandes blanches, seront exposés lors du salon.

Sont prévus au cours du salon de l’agroalimentaire, des rencontres de spécialistes devant aborder et débattre, entre autres sujets, la gestion des ressources en eau, la promotion de la consommation de viandes blanches et les substituts aux céréales.

Organisée en partenariat avec la Chambre nationale d’agriculture et les conseils interprofessionnels des filières avicole et du lait, cette manifestation verra la présence de sociétés étrangères spécialisées issues d’Allemagne, de France, d’Espagne, d’Italie, de Jordanie, du Maroc et de la Tunisie, selon la même source.

Le salon international de l’agroalimentaire, initié également par la Direction des services agricoles d’Oran et le groupe avicole de l’ouest, permettra aux opérateurs économiques algériens de faire connaître leurs produits dans le domaine de l’industrie agroalimentaire et d’échanger leurs expériences avec leurs homologues étrangers.

Le thème de l’agroalimentaire a été choisi pour cette édition eu égard à son importance capitale en Algérie qui £uvre à développer la production agricole sur les plans qualitatif et quantitatif afin de garantir la sécurité alimentaire dans le pays au regard de la cherté des céréales sur le marché mondial.

Les précédentes éditions du SIAL avaient été axées sur la promotion de la consommation des viandes blanches et le développement de la production laitière.

http://www.aps.dz/Le-4eme-Salon-international-de-l.html

[tchpako]

(APS) dimanche 6 janvier 2013 16 : 43
La valeur de la production agricole en hausse de près de 32% en 2012

ALGER - La valeur de la production agricole en Algérie a dépassé 29 milliards de dollars en 2012, en hausse de près de 32% par rapport à 2011, selon les chiffres présentés dimanche par le ministère de l’Agriculture et du Développement rural qui s’attend toutefois à une baisse en volume.

Selon le directeur des statistiques agricoles du ministère, Hocine Abdelghafour, la valeur de la production agricole réalisée durant la campagne 2011/12, a atteint 2.223 milliards de DA, soit l’équivalent de 29,3 milliards de dollars, contre 22 milliards de dollars en 2011.

Ce responsable s’exprimait lors de la réunion d’évaluation du premier trimestre de la campagne agricole 2012/13 qui a commencé le 1er octobre dernier ainsi que les chiffres de la campagne précédente.

En valeur, c’est les produits maraîchers qui ont tiré la production agricole vers le haut avec 29,2% du total, suivis par les viandes rouges (18,2%), les grandes cultures (céréales) avec 11,8%, les dattes (8,4%), les fruits (7,8%), les agrumes (5,9%) et le lait (6,7%).

En volume, le taux de croissance de la production de la campagne précédente n’a pas été encore établi, selon le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, qui mise sur une croissance de 6,7% contre 10,6% en 2011.

"A l’exception de la filière céréales, les autres spéculations comme les maraîchers, et l’arboriculture fruitière, ont pâti des intempéries du début de 2012 en plus d’un été très chaud marqué par plusieurs feux de forêts", a expliqué le ministre lors d’un point de presse.

M. Benaïssa a relevé aussi des indicateurs "importants" enregistrés par le secteur durant les quatre dernières années, citant un taux de croissance moyen de 13,8% contre un objectif annuel de 8,3% inscrit dans les contrats de performances à l’horizon 2014.

"Ce sont des indicateurs qui augurent de résultats très positifs à l’avenir étant donné que la marge du progrès reste énorme", a-t-il prédit.

http://www.aps.dz/La-valeur-de-la-production,79553.html

[Sifax]

Contrats de performances pour le renouveau agricole et rural
Une croissance annuelle de 13,8% (Par Lahcene Brahmi, 06/01/2013)

Le taux de croissance annuel de la production agricole est de 13.8% de 2009- 2012, dépassant l’objectif retenu au titre des contrats de performances des wilayas pour le renouveau agricole et rural qui est de 8,3%, a annoncé, aujourd’hui, le ministère de l’Agriculture et du Développement Rural.

Ainsi, «la première phase de la politique du renouveau agricole et rural a réussi, a indiqué M.Rachid Benaissa lors d’une conférence de presse organisée en marge de la 16 ème session d’évaluation trimestrielle des contrats de performances des wilayas. Il a fait savoir que pour l’année 2012 la valeur de production agricole est de 2.223 milliards de dinars, soit plus de 29 milliards de dollars.

Pour ce qui est des importations agricoles, le ministre a ajouté qu’elles sont de 8 à 8.5 milliards de dollars pour la même année. Ce qui fait que la valeur de l’alimentation disponible en Algérie durant 2012 est de 37 milliards de dollars, a précisé M. Benaissa, soulignant que la production nationale est de 70% et les importations sont de 30% de cette alimentation.

S’exprimant lors de cette 16ème réunion, M. Hocine Abdelghafour, directeur des statistiques agricoles et d’information au niveau du ministère de l’Agriculture, a donné les résultats de l’évaluation de ces contrats de performance par filière. Concernant les céréales, la production enregistrée au cours de la compagne céréalière (octobre2011- octobre2012) est définitivement arrêtée à 51.2 millions de quintaux (Qx), contre 42.45 millions de qx réalisés lors de la compagne précédente, a-t-il indiqué, précisant que l’objectif annuel retenu pour 2012 est de 46.7 millions de qx.

La production laitière enregistrée au cours de la même compagne est arrêtée à 3.088 milliards de litres, contre 2.92 milliards de litres lors de la compagne précédente. S’agissant de la production laitière enregistrée au cours de quatrième trimestre de l’année 2012, elle a atteint 700 millions de litres, ce qui représente 25% de l’objectif annuel retenu pour la compagne 2012-2013, fixées à 3.048 milliards de litres. Pou ce qui de la filière pomme de terre, la production réalisée durant la compagne 2011-2013 est arrêtée à 44.2 millions de qx, contre 38.49 millions deqx en 2011, 32 millions de qx en 2010, 26.7 millions de qx en 2009 et 22 millions de qx en 2008, selon M. Abdelghafour.

Lequel a ajouté qu’en ce qui concerne la production de la pomme de terre enregistrée au cours du quatrième trimestre 2012, elle a atteint 4.5 millions de qx, soit 14% de l’objectif global annuel retenu au titre des contrats de performance (2012-2013), estimé à 31.6 millions de qx.

La production des viandes rouges réalisée lors de la compagne 2011-2012 est de 4.4 millions de qx, contre 4.2 millions de qx réalisés lors de la compagne précédente, toute production confondue, pour un objectif annuel retenu pour 2012 de 3.8 millions de qx. Pour la production réalisée aux cours du quatrième trimestre, elle a atteint 1.3 millions de qx, soit 35% de l’objectif annuel fixé pour 2012-2013, estimé à 3.9 millions de qx. Les viandes blanches, a connu une production, lors de la compagne 2011-2012, de 3.6 millions de qx, toute production confondue, contre 3.36 millions de qx en 2010-2011. S’agissant de la production réalisée au cours du quatrième trimestre, elle a atteint elle a atteint 950.000qx, ce qui représente 30% de l’objectif annuel retenu pour la compagne 2012-2013 estimée à 3.1 millions de qx. M. Abdelghafour, a souligné que la seule filière qui a connu un résultat négatif (- 16%) est celle de l’oléiculture. La production enregistrée au cours le la compagne 2011-2012 est de 3.92 millions de qx pour un objectif retenu pour cette campagne de 4.62 millions de qx. Il a cependant, ajouté que pour la compagne 2012-2013, la production oléicole a atteint 55% de l’objectif annuel retenu, soit 2.8 millions de qx.

http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 07_291.php

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(APS) dimanche 13 janvier 2013 12 : 42
Des opérateurs autrichiens intéressés par l’investissement dans le secteur agricole

ALGER - Des opérateurs économiques autrichiens sont intéressés par l’investissement dans le secteur agricole en Algérie et comptent établir en 2013 des partenariats avec des professionnels algériens du secteur, a indiqué dimanche à Alger, un diplomate autrichien.

http://www.aps.dz/Des-operateurs-autrichiens.html

[1984dz]

Salon national des dérivés du palmier-dattier à Biskra:
Un café est à 100 %" préparé à base de noyaux de dattes (Par Djamel.B, 29/12/2012)

Le produit phare du 2e salon national des dérivés du palmier-dattier, clôturé mercredi à Biskra, aura été un café un peu spécial, préparé à partir d'une mouture de noyaux de dattes. Ce café est "à 100 %" préparé à base de noyaux de dattes moulus et sa saveur "est quasiment identique à celle du café du caféier", affirme Adam Medjoudja de Touggourt (Ouargla) qui a accueilli, dans son stand, de nombreux visiteurs curieux de déguster ce breuvage insolite. Les noyaux subissent plusieurs lavages successifs, avant d'être séchés pendant plusieurs jours puis torréfiés et, enfin, moulus, explique ce producteur qui souligne que le processus actuel de production de ce ''café'' reste éminemment artisanal. Dans les oasis d'Oued Righ où active cet artisan, ce produit ''est connu mais c'est la première fois qu'un artisan aidé par sa famille tente d'en faire la promotion'', assure Medjoudja avant de souligner avec une fierté non dissimulée que toute la quantité de "café" qu'il a apportée au salon a trouvé preneur. La seconde édition du salon national des dérivés du palmier-dattiers était organisée par la chambre de l'artisanat et des métiers avec le concours de la direction du Tourisme de l'artisanat.

http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=51712

Ca c'est du scoop

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(APS) dimanche 27 janvier 2013 13 : 12
Des avancées importantes dans le domaine agricole à Ghardaïa

GHARDAIA - Considérée comme l’ossature principale de l’économie locale, l’agriculture a réalisé ces dernières années des avancées importantes dans la wilaya de Ghardaïa, à la faveur de la dynamique insufflée par les différents programmes mis en oeuvre par les pouvoirs publics pour promouvoir le secteur dans le sud du pays

http://www.aps.dz/Des-avancees-importantes-dans-le.html

[Meko2000]

salam

Il faut développe l'Agriculture dans le Sud Algérie comme dans les Wilaya d'el-oued ,Biskra,Touggourt,Ghardaya et les autres Wilaya

[tchpako]

(APS) lundi 4 février 2013 15 : 05
Algérie-UE : jumelage pour la création d’un observatoire agricole et agroalimentaire

ALGER- Un projet de jumelage entre l’Algérie et l’Union européenne (UE) relatif à la création d’un observatoire des filières agricole et agroalimentaire a été lancé lundi à Alger en présence du ministre de l’Agriculture et du développement rural, M. Rachid Benaissa, et de responsables de la Délégation européenne en Algérie.

Ce projet devrait "apporter un appui concret au ministère algérien de l’Agriculture dans la mis en oeuvre de la politique de renouveau agricole et rural", a indiqué l’ambassadeur, chef de la Délégation de l’UE en Algérie M. Marek Skolil.

Ce partenariat permettra aussi aux experts algériens "de pouvoir profiter de la très grande expérience acquise par leurs homologues français et italiens", a-t-il ajouté.

Cet observatoire, installé au sein de l’Institut national de la recherche agronomique d’Algérie (INRAA), est mis en oeuvre par un consortium constitué par deux pays membre de l’UE, la France et l’Italie.

"Ce projet s’inscrit dans le cadre spécifique de l’accord stratégique d’association entre l’UE et l’Algérie dans le secteur de l’agriculture, des forêts et de la pêche", a rappelé M. Skolil.

A terme, ce projet devrait être en mesure d’assurer une meilleure connaissance du secteur agricole et agroalimentaire grâce à la collecte de donnés, au meilleur suivi de la dynamique des différentes filières, notamment les filières stratégiques comme les céréales, la pomme de terre et le lait.

Ce projet vise aussi "à rendre transparent le fonctionnement du marché à travers la diffusion d’informations sur les prix, et à aider à faciliter la décision publique en matière de régulation des marchés agricoles", a expliqué encore le diplomate européen.

D’une durée de 2 ans, ce projet de jumelage est financé à hauteur de 1,2 million d’euros par l’UE. Il fait partie du programme d’appui à la mise en oeuvre de l’accord d’association (P3A-II) entre l’Algérie et l’UE, doté d’une enveloppe de 29 millions d’euros pour une quinzaine de projets de jumelage.

Le ministre de l’Agriculture et du développement rural, M. Rachid Bassage, a indiqué que ce projet, qui s’ajoute à d’autres en cours dont celui du recensement agricole, "démarre sous de bons auspices"

Il a rappelé, à cet effet, les avancées enregistrées par le secteur depuis le lancement de la politique de renouveau agricole et rural en 2008, citant notamment le règlement du problème du foncier, l’organisation des filières agricole et la mobilisation des professionnels.

Ce projet de jumelage "vient à un moment important" dans la mise en ouvre de cette politique visant à transformer le secteur agricole en un véritable moteur de la croissance économique nationale.

Le ministre a rappelé, par ailleurs, que d’autres projets de partenariat sont en cours citant, entre autres, celui avec le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) portant sur le renforcement des capacités humaines et celui avec la Banque mondiale visant l’amélioration du système d’information du développement des territoires ruraux.

De son côté, l’ambassadeur français à Alger, M. André Parant, a estimé que cet observatoire constituait "une grande importance pour l’agriculture algérienne".

"Avec la mise en place de cet observatoire le ministère algérien de l’Agriculture disposera d’un instrument moderne et fiable de collecte de données et de statistiques relatives à ce secteur", a-t-il dit.

Il constituera ainsi un "outil particulièrement précieux de pilotage de la politique de renouveau agricole qu’a engagée le ministère", a ajouté le diplomate français.

http://www.aps.dz/Algerie-UE-lancement-d-un-projet.html

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(APS) mercredi 13 février 2013 11 : 46
Projet de coopération pour le développement et la commercialisation de produits camélins

ALGER- Un projet de développement de la production et la commercialisation de produits camélins, dont le lait de chamelle a été lancé récemment par le ministère de l’Agriculture et du Développement rural dans le cadre d’un projet de coopération avec le Centre arabe des études sur les zones arides et semi-arides.

Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un programme visant à protéger, à promouvoir et à développer l’élevage camelin, a indiqué à l’APS la sous-directrice chargée de la filière animale au ministère, M. Ichou. En plus des experts nationaux, le centre arabe va mettre à la disposition du ministère et des instituts techniques son expertise dans le domaine de la filière cameline.

Ce projet s’inscrit dans le cadre de l’amélioration de la sécurité alimentaire, la protection et l’amélioration des revenus des éleveurs, la valorisation des produits et la promotion du savoir faire régional. Plusieurs actions sont prévues par ce projet, en consultation avec les éleveurs, dont la réalisation d’un diagnostic de la situation de la filière cameline, la détermination des spécificités de ce type de production ainsi que les priorités d’intervention et la formulation des recommandations.

A l’issue de ces actions, le ministère bénéficiera d’éléments supplémentaires à même de lui permettre de renforcer son programme, en cours, notamment dans le domaine du développement de l’élevage camelin et du développement de la filière lait.

Plusieurs rencontres ont eu lieu entre les producteurs, les transformateurs de lait de chamelle pour organiser cette filière.

La filière cameline est accompagnée par la subvention de l’orge, des primes aux éleveurs, aux collecteurs et aux transformateurs ainsi qu’à la création de mini-laiteries.

La production du lait de chamelle s’est établie à 40 millions de litres en 2012, selon le ministère de l’agriculture, alors que l’effectif camelin est estimé à 350.000 têtes dont 200.000 chamelles.

http://www.aps.dz/Projet-de-cooperation-pour-le.html

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(APS) jeudi 14 février 2013 12 : 51
De nombreux projets pour impulser les secteurs agricole et hydraulique à Illizi

ILLIZI - De nombreux projets ont été accordés à la wilaya d’Illizi, au cours des trois dernières années, pour impulser le secteur de l’agriculture et accroitre les capacités de mobilisation de la ressource hydrique.

http://www.aps.dz/De-nombreux-projets-p ... ulser.html

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(APS) jeudi 14 février 2013 12 : 42
Rencontre de concertation sur le développement à Illizi

ILLIZI - Une rencontre de concertation avec les acteurs du développement de la wilaya d’Illizi s’est ouverte jeudi à la salle des conférences de la wilaya en présence notamment du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia et du ministre de l’Agriculture et du développement rural, Rachid Benaissa.

La réunion qui s’inscrit dans le cadre des rencontres de concertation sur le développement des régions du sud du pays regroupe, outre les représentants du gouvernement, les acteurs locaux et la société civile pour débattre des programmes engagés en faveur de cette wilaya distante de près de 2.000km d’Alger.

Placée sous le slogan de "l’agriculture, la base du développement national", l’évènement réunit des agriculteurs, des éleveurs, des opérateurs économiques, des investisseurs et des notables locaux.

L’objectif de cette rencontre, la troisième du genre après celle de Ghardaïa, qui a concerné les wilayas du sud-est du pays et d’Adrar pour les wilayas du sud-ouest, est de se pencher sur les préoccupations des acteurs de développement d’Illizi afin de mettre en place les mécanismes permettant d’"impulser davantage la dynamique de développement".

Les programmes engagés par les pouvoirs publics en faveur de la wilaya d’Illizi et l’importance de l’implication des acteurs de cette région dans le processus de développement afin de participer à l’amélioration de la sécurité alimentaire du pays, seront également abordés.

Nombreux projets pour impulser les secteurs agricole et hydraulique

ILLIZI - De nombreux projets ont été accordés à la wilaya d’Illizi, au cours des trois dernières années, pour impulser le secteur de l’agriculture et accroitre les capacités de mobilisation de la ressource hydrique.

La réalisation et l’équipement de forages, l’aménagement de points d’eau, en plus de la réalisation de bassins de stockage d’eaux destinées à l’irrigation et l’ouverture de pistes agricoles, figurent parmi les projets agricoles retenus pour une enveloppe globale de 1,29 milliard DA, dans le cadre d’un programme d’initiatives locales, a indiqué le directeur des services agricoles de la wilaya.

M. Ahmed Brahimi a également fait état de projets de 31 périmètres agricoles, totalisant une superficie de 660 hectares et destinés à la promotion de l’investissement agricole, à travers le territoire de la wilaya, dont 5 ont été déjà créés et le reste en cours d’étude par le Bureau national des études de développement rural (BNEDER-Alger).

Le secteur a bénéficié, au titre du programme complémentaire de 2011, de projets de raccordement des périmètres agricoles au réseau d’électrification sur un linéaire de 100 km, actuellement en cours d’études et dont les travaux devront démarrer au premier semestre de 2013, a-t-il fait savoir.

Les services agricoles signalent, en outre, des projets de protection et d’extension des palmeraies et des cultures oasiennes, et de développement de leurs capacités de production, et ce dans le cadre du programme de développement des régions du sud.

Ils relèvent aussi la réalisation, entamée en janvier dernier, d’une base logistique pour la lutte antiacridienne, susceptible de permettre de promptes interventions contre les essaims de cet insecte ravageur, au lieu d’attendre, comme c’est le cas jusqu’ici, que des équipes soient dépêchées d’Alger pour mener ce type d’actions.

Il est fait état, par ailleurs, dans le cadre du programme de soutien à la croissance économique, de l’étude et la réalisation en cours de subdivisions du secteur agricole dans les daïras de Djanet et d’In-Amenas pour un meilleur suivi et encadrement de l’activité agricole dans ces régions distantes de 400 et 250 km respectivement du chef lieu de leur wilaya de rattachement.

L’ensemble de ces projets permettront l’extension des superficies agricoles mises en valeur, la mobilisation de la ressource hydrique, la création de quelques 1.600 emplois permanents, et le désenclavement des périmètres par l’ouverture de pistes d’accès.

En appui au secteur agricole, le secteur des ressources en eau a bénéficié d’une opération d’extension du réseau d’électrification d’un linéaire de 8 km, destinée principalement à raccorder les exploitations agricoles et alimenter en énergie quelques 25 puits d’irrigation, dans le cadre du programme de développement des régions du Sud.

La Direction des ressources en eau de la wilaya, signale de son côté, d’importants projets d’approvisionnement en eau potable et d’assainissement, visant l’amélioration du cadre de vie du citoyen, y compris en zones rurales et nomades.

Le responsable local du secteur, M.Abdelkrim Kacemi, cite notamment les projets de stations d’épuration des eaux usées à Djanet, d’un coût de 700 millions DA, actuellement réalisée à 65 %, et à Illizi dont les travaux seront lancés avant la fin de 2013, en plus de l’extension progressive des réseaux d’AEP et d’assainissement.

http://www.aps.dz/Ouverture-d-une-rencontre-de.html

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Agriculture : Cap sur le renouveau rural et la sécurité alimentaire

Cinquante ans après l’indépendance, et malgré une production nationale non négligeable, l’Algérie continue à être dépendante de l’importation de ses produits alimentaires agricoles. Les différentes politiques agricoles mises en œuvre depuis 1962 n’ont pu lui permettre de réaliser son autosuffisance alimentaire.

Dans un entretien accordé à l’APS, le ministre du secteur, Rachid Benaïssa, dessine les grandes lignes d’une nouvelle vision pour le monde agricole. Celle-ci comporte, notamment, des objectifs clairs pour les acteurs du développement agricole, dont la sécurité alimentaire du pays en est le principal.
Revenant sur les différentes politiques agricoles appliquées depuis l’indépendance et les enseignements à tirer de ces expériences, il a estimé que «l’indépendance nous a permis de récupérer notre souveraineté sur les terres agricoles qui ont toujours été au centre d’enjeux importants avant et après la colonisation», mais, a-t-il souligné, que les politiques agricoles devaient «aller de pair».

«On ne peut pas imaginer un développement de l’agriculture sans l’amélioration des conditions de vie et de travail dans les espaces ruraux», a-t-il indiqué. C’est pourquoi la nouvelle vision élaborée par son département aborde l’ensemble des aspects de la question et avec «des objectifs qui sont assignés à l’ensemble des acteurs du monde agricole et rural».

L’adoption de la loi d’orientation agricole en 2008 et le lancement de la politique du renouveau agricole et rural en 2009 ont déjà permis d’apporter des réponses à certaines des questions posées, notamment celles liées au problème du foncier agricole, a indiqué le ministre. De même que la loi foncière en 2010 a mis fin à un débat compliqué posé depuis l’indépendance concernant la gestion des terres agricoles. Celle-ci, a-t-il rappelé, a adopté le principe de la concession agricole pour une période de 40 ans renouvelable comme mode de gestion des terres du domaine public de l’Etat en veillant à ce qu’elles soient exploitées dans le sens qui sert la communauté nationale. L’autre disposition ayant permis d’améliorer la situation du secteur de l’agriculture est l’intégration des autres secteurs à travers la construction de milliers de logements ruraux et le raccordement des localités au gaz naturel et au réseau électrique. D’après les statistiques, affirme Benaïssa, «le renouveau rural a touché pas moins de sept millions de personnes pendant les quatre dernières années».

«La question qui se pose aujourd’hui, c’est comment faire pour nourrir une population de plus en plus nombreuse et produire plus en préservant la qualité», affirme le ministre. Prenant conscience des enjeux de la sécurité alimentaire, après les dernières crises qui ont secoué plusieurs pays dans le monde, l’Algérie a fait de la sécurité alimentaire une question de souveraineté nationale. «Pendant ces crises, certains pays avaient refusé de vendre des produits essentiels à d’autres. Les systèmes de régulation mondiaux ont été bafoués et beaucoup de pays se sont retrouvés dans des situations très difficiles au point où leur stabilité et la paix intérieure étaient menacées», a-t-il rappelé. Cette question, a-t-il indiqué, «doit être partagée par tous les acteurs, que ce soit les petits ou les grands producteurs. C’est pour cela qu’on dit qu’il faut inverser la vision, c’est-à dire ne pas continuer à regarder le monde rural comme un monde arriéré, au contraire, c’est lui qui va produire de la richesse».

http://www.reporters.dz/index.php?optio ... &Itemid=10

Mardi prochain à Washington : Forum mondial contre le gaspillage agricole

1,3 milliard de tonnes de produits alimentaires produits dans le monde sont perdus ou gaspillés. Le chiffre représente un tiers de ce qui est cultivé sur terre aujourd’hui.

Il est d’autant plus inacceptable que des millions de gens souffrent de malnutrition et qu’en 2050, lorsque la population mondiale aura atteint 9 milliards d’habitants, la demande alimentaire sera de 60 fois plus élevée que les besoins actuels. Comment lutter contre ce gaspillage ? Mardi, un forum sur la lutte mondiale contre les déperditions agricoles dans les pays en développement sera organisé à Washington par le département d’Etat américain en présence de chercheurs et de chefs d’entreprise, ainsi que de représentants d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie du Sud.

La rencontre, qui sera dirigée par le secrétaire d’Etat adjoint américain aux Affaires économiques et commerciales, M. José Fernandez, devra permettre de se pencher sur les moyens permettant de renforcer la préservation des produits agricoles depuis le moment où ils sont récoltés jusqu’à ce qu’ils aboutissent aux consommateurs.
Le débat portera essentiellement sur les causes de la déperdition de la production alimentaire dans les pays en développement.

Outre les conditions météorologiques défavorables, la spécificité de cette région enclavée et n’ayant pas accès à des marchés susceptibles de leur servir de débouchés, ces causes sont le plus souvent relatives au manque de stockage et d’équipements de traitement et de moyens de transport adéquats, notamment ceux respectant la chaîne du froid. Les Etats-Unis veulent travailler avec leurs partenaires internationaux à partir d’exemples concrets comme ceux de l’Ethiopie. L’agence américaine pour le développement international (Usaid) est impliquée dans un programme visant à aider les petits exploitants dans ce pays à réduire de 20% leurs pertes après récolte.

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[tchpako]

Avec un chiffre d’affaires de 255 milliards de dinars en 2012 : Cevital lance son projet agricole «Grand Sud»

Le groupe Cevital dégage ses meilleurs résultats depuis plusieurs années. Outre une croissance qui s’établit depuis 1999 au-dessus de
10 %, le groupe a fait un chiffre d’affaires de 255 milliards de dinars en 2012.

Depuis 2009, le groupe d’Issad Rebrab réinvestit un peu moins de la moitié des bénéfices réalisés, alors que ces mêmes profits contribuent à près de 60 % au budget de l’Etat sous forme d’impôts (IBS, TAP, TVA, droits de douanes, IRG et autres taxes) et 1 % des dividendes furent distribués aux actionnaires. Tel est le tableau de bord de Cevital à fin 2012, dont les voyants sont au vert pour la plupart.

Présent déjà dans plusieurs secteurs porteurs et à forte valeur ajoutée, dont l’agro-industrie, l’automobile et services et la grande distribution, le groupe Cevital n’entend pas s’arrêter à ce stade d’investissement et envisage de s’investir dans d’autres domaines en Algérie et à l’international. C’est à ce titre que le groupe annonce le lancement officiel de son nouveau projet agricole « Grand Sud ». « Ce projet à haut potentiel vise l’exploitation de plusieurs dizaines de milliers d’hectares

pour la production intensive de céréales, de graines oléagineuses, de fourrages et de légumineuses », apprend-on auprès de l’entreprise d’Issad Rebrab. A travers ce projet de grande envergure, le groupe Cevital veut démontrer qu’il « reste fidèle à ses valeurs d’entreprise citoyenne ».
Par la même, le groupe participe ainsi à la mise en valeur des terres agricoles et contribue au renforcement des potentialités agricoles du pays.

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