Ressources hydriques en Algérie

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sadral
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Les responsables de l’ouvrage ont procédé à l’évacuation des eaux : Alerte aux fissures sur le barrage de Tichy-Haf de Béjaia

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La vallée de la Soummam fait face à l'éventualité d'une rupture du barrage de Tichy-Haf, situé à Mahfoudha, près d’Akbou. Les habitants des villages et communes proches de l’ouvrage craignent une catastrophe humaine en cas de débordement des eaux.



Le barrage constitue une menace potentielle pour la sécurité des habitants. Il semblerait qu’il y a des fissures dans sa muraille de béton de 90 mètres de haut. L’ouvrage peut s'écrouler à tout moment, disent avec angoisse les riverains.

Les responsables de l’ouvrage ont pris la décision évacuer un volume important d’eau afin d’éviter toute catastrophe, affirme une source au sein de l’entreprise gestionnaire. Plus rassurant encore, « l’évacuation des eaux répond à un besoin de procéder à des travaux routiniers », insiste un autre responsable sous couvert de l'anonymat. « Il n y’a rien à craindre ni pour la rupture ni pour l'approvisionnement en eau de la population », a-t-il ajouté, avant de préciser que « les travaux ne tarderont pas, ils dureront entre 4 à 6 mois ».

Mais ces précisions semblent ne pas trop rassurer les milliers d’habitants qui vivent en contrebas du barrage. La psychose n'est pas prête de retomber dans la mesure où les responsables de l’ouvrage évitent d’aborder la question de manière officielle. Ce donnent naissance aux plus folles rumeurs.

Pour plus d’éclairages, nous avons tenté de joindre par téléphone les responsables de l’Agence nationale des barrages et transfère (ANBT), mais nos tentatives sont restées vaines.

Mis en service en 2009, le barrage de Tichy-Haf produit 47 millions de m3/an destinés à l’alimentation en eau potable du couloir Akbou-Béjaia et 43 millions de m3/an pour l’irrigation. Il est composé essentiellement de quatre ouvrages, à savoir un barrage-voûte de 90 mètres de hauteur et d’une capacité de 80 millions de m3 ; une station de traitement d’une capacité de 120 000 m3/jour ; une conduite d’eau traitée en B.P.A.T d’une longueur de 70 Km et des réservoirs de stockage d’une capacité totale de 42 000 m3.
http://www.leconews.com/fr/regions/est/ ... 80_277.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Algérie-Le dessalement, un choix onéreux mais sûr pour sécuriser les grandes villes

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L’eau issue de la station du Hamma coûte près d’un dollar le mètre cube

L’eau issue du dessalement de l’eau de mer coûte cher. Mais pour les grandes villes du nord de l’Algérie, elles constituent un choix douloureux, en attendant de trouver mieux.
L’inauguration d’une station de dessalement géante à Oran met définitivement à l’abri d’une pénurie la seconde ville du pays, qui souffrait d’un manque chronique d’eau potable, mais repose brutalement deux questions essentielles occultées jusque-là, le coût de l’eau et les questions liées à la pollution. Ces questions polémiques refont surface alors que le gouvernement est sur le point d’achever le grand programme d’équipement des villes côtières en stations de dessalement, pour éviter tout risque de répétition de l’épisode de 2001, lorsqu’une sévère sècheresse avait créé la panique, poussant le gouvernement à entamer les travaux nécessaires pour des infrastructures destinées à accueillir l’eau importée par bateau à partir de l’Europe.
Installées tout le long de la côte, les stations de dessalement devraient produire un peu plus de deux millions de mètre cube par jour. De Annaba à Beni Saf, en passant par Alger et Béjaïa, elles vont sécuriser toutes les villes côtières, et même certaines villes de l’intérieur. La station d’Oran, d’une capacité théorique d’un demi-million de mètres cube, devrait, avec celle de Ténès, Arzew et Beni Saf, couvrir de larges bandes de territoire à l’intérieur du pays, allant jusqu’à Tlemcen, Relizane, Mascara et même Tiaret. Au centre, Blida est déjà partiellement alimentée à partir de la station de Douaouda, alors que Skikda est déjà sécurisée grâce à une station de 100.000 mètres cube. Béjaïa le sera à son tour en 2015.

Un prix élevé
Ces investissements immenses, lancées à partir de 2005, offrent une eau relativement chère. Près d’un dollar le mètre cube pour celle issue de la première station, celle du Hamma, un prix ensuite revu à la baisse pour les suivantes. L’eau est achetée intégralement, avec une garantie d’achat de 25 ans, par une entreprise créée par Sonatrach, Sonelgaz et l’ADE. De plus, les entreprises qui vendent de l’eau ont une garantie de pouvoir acheter de l’électricité à un coût très bas. Mais comme c’est Sonatrach et Sonelgaz qui achètent l’eau, avant de la transférer à l’Algérienne des Eaux, cela permet de créer un rideau de fumée qui évite de parler du coût réel de l’eau produite.

La situation est aggravée par le refus du gouvernement de revoir les prix de l’eau, demeurés inchangés depuis une décennie. Les prix sont si bas qu’ils ne permettent pas de mettre en place une gestion rationnelle de la ressource. L’eau issue du dessalement, qui coûte entre 60 et 80 dinars, est gérée de la même manière que l’eau issue des barrages, cédée aux ménages à un prix social de six dinars.
Risques réduits
Quant aux risques de pollution, causés par le rejet en mer d’une eau à forte teneur en sel, ils restent méconnus. Les pays qui utilisent le dessalement n’ont pas enregistré d’impact majeur sur la faune marine. Toutefois, les experts recommandent d’installer les stations de dessalement dans des zones où l’eau est relativement saine, ce qui n’est pas le cas pour la station du Hamma d’Alger. Les membranes, utilisées pour filtrer l’eau injectée à haute pression, s’usent plus rapidement quand l’eau est polluée. Or, les membranes, qu’il faut changer périodiquement, et l’énergie, constituent l’essentiel du coût de l’eau, après l’investissement initial.
Le ministre des ressources en eau Hocine Necib a toutefois implicitement admis qu’une station de dessalement peut avoir un impact négatif sur la flore marine, peu étudiée jusque-là. Interrogé sur la question il y a un mois, il a déclaré qu’à l’avenir, « une étude d’impact sera obligatoire » dans tout nouveau projet de station dessalement. Ce n’était pas le cas sous M. Abdelmalek Sellal, l’actuel premier ministre, qui a géré pendant près d’une décennie le secteur des ressources en eau. M. Necib a toutefois réfuté l’idée d’une délocalisation de la station de dessalement du Hama, à Alger. Ce « n’est pas envisagé pour le moment », a-t-il dit.
Il a aussi assuré qu’une révision du prix de l’eau « n’est pas à l’ordre du jour pour le moment », ce qui montre clairement que toutes les décisions susceptibles de changer quoi que ce soit sont reportées à plus tard. Elles n’auront visiblement pas lieu sous Bouteflika.
http://www.maghrebemergent.info/economi ... illes.html
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sadral
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Un groupe malaisien opérant en Algérie soupçonné de surfacturation

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Une procédure judiciaire aurait été engagée contre une société malaisienne opérant en Algérie et chargée de la réalisation de la méga-station de dessalement de l’eau de mer de Ghazaouet, Tlemcen. Nous apprenons, en effet, de sources bien informées, que le groupe Malakof Corporation Berhad, qui avait décroché en 2007 le marché de la construction de cette centrale, la plus grande d'Algérie, à travers la joint-venture Almiyah Attilemçania Spa (AAS), créée avec Algerian Energy Company (détenue par la Sonatrach et la Sonelgaz), a été pris la main dans le sac après qu’il a surfacturé l’importation d’équipements destinés à la station de dessalement. Et le groupe malaisien a tout de suite notifié à ses actionnaires, le 12 novembre dernier, qu'Almiyah Attilemcania Spa était visée par une procédure judiciaire pour «violation à la réglementation des changes». Dans cette affaire, les équipements livrés par le singapourien Hylux, qui avait décroché le contrat de construction en consortium avec Malakof et a fourni les membranes de dessalement, auraient été surfacturés d'environ 27 millions de dollars. La surfacturation des produits et marchandises importés est, en effet, devenue le nouveau stratagème auquel ont souvent recours les groupes étrangers opérant en Algérie pour contourner l'interdiction de rapatrier des dividendes. Par ailleurs, le groupe malaisien Malakof se serait retrouvé dans de beaux draps avec le projet de centrale de dessalement de Tlemcen à cause des eaux finalement jugées trop polluées à l’endroit de la prise de la station. Un élément qui n’aurait pas été pris en considération lors des études portant sur le projet de station de dessalement. Selon des observateurs, le groupe malaisien avait dû lancer en 2013 de nouveaux travaux pour adapter la centrale à des eaux beaucoup plus troubles que prévu. Selon certaines sources, la localisation de la centrale avait été imposée par le gouvernement algérien, qui n'avait pas fourni, au moment de l'appel d'offres, suffisamment de données techniques sur le site retenu.
http://www.algeriepatriotique.com/artic ... acturation
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L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Le ministre des Ressources en eau en visite, hier, à Tizi Ouzou
Un nouveau barrage sera réalisé près d’Azeffoun

D’une capacité de 21,40 hm3, ce barrage va alimenter quelque 286 villages, soit une population de 162 907 habitants.
Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, s’est rendu, hier, en visite d’inspection, dans la wilaya de Tizi Ouzou où il a annoncé, lors d’un point de presse, que le taux de remplissage des barrages sur le territoire national atteint actuellement un taux appréciable de 68%, tout en précisant que deux barrages seulement connaissent quelques difficultés en matière de remplissage, ceux d’Aïn Zada dans la wilaya de Bordj Bou-Arréridj et d’Aïn Dahia à Souk-Ahras, tout en rappelant que l’Algérie compte 84 barrages d’une capacité globale de 8,5 milliards m3.
Interpellé sur les fréquentes coupures d’eau qui exaspèrent les citoyens, notamment durant la saison estivale, dans la wilaya de Tizi Ouzou, Hocine Necib a répondu : “En concertation avec les autorités locales, nous avons mis en place un programme qui est en train de se réaliser afin de parer à ce problème. Ce sont là des mesures d’urgence auxquelles s’ajoutent les projets entrepris dans le programme de l’année 2014 ainsi que quelques projets de l’année 2013, dont les montants globaux totalisent quelque 320 milliards de centimes. Tous ces projets-là sont de nature à améliorer la distribution de l’eau potable à travers toute la wilaya de Tizi Ouzou.”
Dans le même contexte, le ministre des Ressources en eau dira encore que l’ADE sera désormais complètement déchargée de la gestion des grands ouvrages relevant de son secteur, tout en annonçant le lancement d’un nouveau barrage à Sidi Khelifa, dans la daïra d’Azeffoun.
D’un volume de 21,40 hm3, ce barrage va alimenter pas moins de 286 villages pour une population actuelle de 162 907 habitants. Au cours de sa tournée dans la wilaya de Tizi Ouzou, Hocine Necib a visité le chantier du barrage de Souk-Tleta, dans la commune de Tadmaït.
Sur place, des jeunes citoyens, munis de banderoles, ont affiché leur mécontentement quant à la gestion du dossier des indemnisations, réclamant notamment des logements. Le barrage de Souk-Tleta, situé à 8 km au sud de la ville de Draâ Ben Khedda, alimentera 188 villages situés à Tirmitine, Sidi Namane, Sidi Ali-Bounab, Maâtkas, Aït Yahia Moussa, Mkira et la nouvelle ville d’Oued Falli à Tizi Ouzou, chef-lieu de wilaya. L’autre point visité par Hocine Necib est le site d’implantation d’un réservoir de 5 000 m3 à Tleta dans la commune d’Iflissen relevant de la daïra de Tigzirt, à partir du projet de dessalement d’eau de mer de Cap-Djinet.
Sur place, il a procédé au dépôt de la première pierre du projet, avant de se rendre dans la commune de Bouzeguène pour s’intéresser à un projet de renforcement d’un réseau d’alimentation en eau potable de cette commune à partir de l’oued Boubhir. La daïra de Bouzeguène a également bénéficié d’un projet de réfection et d’aménagement de sources avec conduites d’adduction et de la réhabilitation de la conduite d’adduction depuis la source Adardar, un projet qui va permettre de récupérer un volume journalier évalué à 500 m3 et améliorer ainsi la situation de crise que connaît l’alimentation en eau potable dans la région, notamment en période estivale
http://www.liberte-algerie.com/actualit ... ffoun-3880

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Le taux de remplissage des barrages dépasse les 68%

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LGER- Le taux de remplissage des 65 barrages en exploitation à travers le pays a atteint 68,43%, dont 14 barrages ont dépassé les 90% suite aux précipitations enregistrées dans plusieurs wilayas, a appris mercredi l'APS auprès du ministère des Ressources en eau.
L'apport supplémentaire en eau enregistré a dépassé les 206 millions de m3, portant la réserve d'eau stockée actuellement à près de 4,7 milliards de m3. La région ouest du pays a été abondamment arrosée, enregistrant des apports conséquents alors que les autres régions du pays ont connu une faible pluviométrie, souligne le ministère.
Sur les 206,13 millions de m3 d'apports enregistrés à l'échelle nationale, un volume de 163,5 millions de m3 (79%) ont été reçus au niveau des barrages de l'ouest.
Par contre, la région centre a été la moins desservie puisque seulement 6,9 millions de m3 d'apports ont été enregistrés. Sur l'ensemble des barrages opérationnels au niveau national, 14 barrages ont dépassé 90% de leurs capacités respectives de stockage, la moitié se trouvant à l'ouest du pays.
Sur le région est du pays, les précipitations enregistrées lors des dernières averses ont atteint les 448 mm, engendrant un apport global de 13,38 millions de m3, ajoute la même source.
Selon le ministère, ce faible volume d'apport enregistré dans l'est n'a pas engendré une progression du volume total mobilisé dans les 23 barrages de cette région.
De fortes pluies et des chutes de neige ont été enregistrées depuis mardi sur les régions ouest, centre et est du pays, suite à l'arrivée progressive d'une perturbation pluvieuse sur la région du bassin méditerranéen et du nord du pays.
Ces chutes de pluies ont atteint et ont dépassé localement les 60 et 70 mm, alors que des chutes de neige ont été enregistrées sur les massifs dépassant les 700 mètres d'altitude.
http://www.aps.dz/economie/15033-le-tau ... sse-les-68

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La méga-station de dessalement d’El-Mactaâ (Oran) produira 268.000 m3/j en février 2015
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RAN- La méga-station de dessalement d’eau de mer d’El-Mactaâ la plus grande du monde, produira, à compter de la première semaine de février 2015, quelque 268.000 mètres cubes d’eau potable par jour, a indiqué lundi à l’APS le P-DG de la société Tahlyat Miyah Mactaâ (TMM), M. Madjid Bekkouche.
"Nous sommes en train de finaliser les contrats avec nos différents clients et la production débutera durant la première semaine de février 2015.
Cette production, qui sera de l’ordre de 268.000 mètres cubes par jour, sera commercialisée à l’Algérienne Des Eaux (ADE), le distributeur, qui achète ainsi toute la quantité produite", a précisé ce responsable.
D’autre part, à compter de janvier 2016, la station devra produire une quantité de 430.000 m3/J d’eau potable et, à partir de janvier 2017, sa production atteindra les 500.000 m3/j, soit sa pleine capacité, ceci pour fournir Oran et des wilayas limitrophes, en l’occurrence Mostaganem, Relizane, Mascara et Tiaret.
La station d’El-Mactaâ, inaugurée le 10 novembre dernier par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, utilise le système de l’osmose inverse, qui reste le système le plus économique existant dans cette industrie. En outre, la particularité de cette usine est qu’elle utilise un autre système pour la filtration d’eau de mer par l’utilisation de membranes (technologie japonaise).
Il est à noter que le projet, qui a coûté 491 millions USD, est géré par Tahlyat Myah Maqtaâ. La société est détenue à 43% par Algerian Energy Company (AEC), à 10% par l’Algérienne Des Eaux (ADE) et à 47% par Menaspring Pte Ltd (Singapour).
Lors d’une visite effectuée à Oran, en août dernier, le ministre des ressources en eau, Hocine Necib, avait affirmé que l'Algérie a capitalisé une expérience de leader mondial en matière de dessalement de l'eau de mer.
"L'investissement dans la mobilisation des eaux dites non conventionnelles a permis à l'Algérie de gagner une position de leader, et cela pas seulement en Afrique mais à l'échelle planétaire", a-t-il déclaré, ajoutant que "la stratégie nationale continuera d'être axée sur la consolidation des investissements pour la mobilisation et la diversification des ressources hydriques".
http://www.aps.dz/regions/15796-la-m%C3 ... vrier-2015

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Mila: un volume d’un milliard de m3 d’eau stocké au barrage de Beni-Haroun

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MILA - Le volume d’eau emmagasiné par le barrage de Beni Haroun (Mila) a atteint, au début de ce mois de janvier, son niveau maximum, soit un milliard de m3, a affirmé samedi le directeur d’exploitation de l'ouvrage.
Selon Azzedine Lemanaâ, le plus grand ouvrage hydraulique du pays, qui a reçu ces derniers jours des apports d’eau "très importants" d'eau du fait de précipitations de pluie et de la neige, "a vu fonctionner l'évacuateur de crues afin de débarrasser l’ouvrage du trop-plein d'eau".
Une opération de sensibilisation a été par ailleurs lancée, selon M. Lemanaâ, en direction des populations des régions situées en aval du barrage, dans les wilayas de Mila et de Jijel, pour les appeler à la vigilance.
"Ils doivent surtout éviter de s’approcher des cours d’au alimentés par cet ouvrage, en prévision du lancement, à partir de lundi prochain, d'une importante opération de vidange de demi fond du barrage", a souligné ce responsable.
Il a précisé que les lâchers d’eau prévus peuvent atteindre "jusqu'a un débit de 700 m3 par seconde, afin de permettre, en premier lieu, l'évacuation de la vase accumulée au fond du barrage, pour le +renouvellement+ des eaux".
Cette opération permettra, selon M. Lemanaâ, de favoriser une amélioration de la qualité des eaux du barrage qui alimentent actuellement les populations des wilayas de Mila, de Constantine et de Batna au moyen d’un volume acheminé de quelque 450.000 m3 par jour.
http://www.aps.dz/regions/15957-mila-un ... eni-haroun

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Alors que la période des crues n’est qu’à son début : Les barrages font déjà le plein

L’importance des pluies qui se sont abattues et maintenues le long de la première semaine du mois de février en cours, ont permis d’enregistrer un apport record en eau de 855 359 411 m3. Cette situation confortable permettra aisément de passer un été en toute sécurité en garantissant l’alimentation en eau potable des populations.
Cette situation hydrique a eu une conséquence favorable sur le taux de remplissage des barrages à l’échelle nationale qui a atteint un niveau jamais égalé depuis l’Indépendance. 18 barrages ont fait le plein alors que plus d’une trentaine affiche un taux de remplissage qui dépasse 95%, apprend-on au niveau du ministère des Ressources en eau.
Notre source précise que le volume mobilisé dans les barrages a ainsi atteint 5 442,13 millions de m3, soit un taux de remplissage global de 78.38%. Par région, un taux de remplissage de 88,83% a été enregistré dans la région ouest du pays avec un «apport enregistré de 25 945 000 m3, pour un volume mobilisé de l’ordre de 899,14 millions de m3».
Pour la région du Cheliff, les services concernés du département de Hocine Necib notent un «apport enregistré de 157 448 000 m3, pour un volume mobilisé de l’ordre de 1201,52 millions de m3 et un taux de remplissage de 70,33%.
Même taux appréciable pour la région centre du pays. En effet, le ministère des Ressources en eau soutient que pour cette région, le taux de remplissage des barrages est de l’ordre de 71,77% alors que l’apport enregistré est de l’ordre de 284 862 411 m3, pour un volume mobilisé de l’ordre de 1 190,74 millions de m3.
«Pour la région Est, l’apport enregistré est de l’ordre de 387 104 000 m3, pour un volume mobilisé de l’ordre de 2 150,73 millions m3 et un taux de remplissage de 83,82%», précise notre source. Et de conclure que «cette situation confortable permettra aisément de passer un été en toute sécurité en garantissant l’alimentation en eau potable des populations, à l’exception de Koudiat Medouar (Batna) qui malgré les 60 000 m3 qu’il reçoit quotidiennement grâce à la ligne d’urgence du transfert Béni Haroun, affiche un niveau en dessous des prévisions saisonnières».
Toutefois, assure-t-elle, «ce barrage connaîtra, cependant, une nette amélioration avec la mise en service de la dernière tranche du transfert Béni Haroun programmée avant la fin de l’année en cours».
Par ailleurs, indique le ministère des Ressources en eau, la période des crues n’est qu’à son début, la probabilité de recevoir de nouveaux apports est très forte. Il est ainsi attendu une amélioration quantitative de la réserve en eau dans les prochains mois.
La fonte des neiges pourrait en constituer une source non négligeable. «Pendant la période de crues, en particulier pour les barrages pleins, il est procédé systématiquement à l’ouverture des vidanges de fond conformément aux consignes d’exploitation et ce, pour assurer l’entretien du barrage contre l’envasement et aussi pour évacuer l’eau excédentaire très chargée en sédiments.
Cette pratique communément utilisée est une mesure de mise en sécurité des barrages qui, de par leur rôle d’excréteur, protègent contre les crues» explique enfin la même source.
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/ ... 4445&cid=2

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Le barrage de Tabellout livré le mois d’août prochain

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Les réserves de l’Algérie en ressources hydrique ne cessent d’augmenter avec notamment la réception de nouvelles infrastructures. Parmi elles, le barrage Tabellout, situé sur l’Oued Djendjen dans la commune de Djimla à Jijel, qui a fait objet ce mercredi d’une visite inspection effectuée par le ministre de Ressources en Eau, Hocine Necib.
Le barrage alimentera dès son achèvement 16 communes de la wilaya de Sétif et 07 communes issues de la wilaya de Jijel. La réalisation de ce barrage, dont les travaux ont été lancés mars 2010 sera livré fin août de l’année en cours, est confiée à un groupement constitué d’une entreprise française (Razel) et italienne (Ravenna) pour un montant avoisinant 40 milliards DA.

Selon les informations recueillies lors de cette visite à Djimla , le barrage de Tabellout est classé 4ème plus grand barrage du pays de par son importance, sa capacité de stockage mais aussi par sa position stratégique. « Le barrage de Tabellout est intégré dans le plan national d’irrigation », a expliqué Hocine Nacib, qualifiant cette structure d’«hydro-solidarité entre région. C’est-à-dire, la région à faible pluviométrie est approvisionnée à partir d’une autre région plus arrosée par les eaux de pluie. C’est le cas de la wilaya de Jijel, à travers le barrage Tabellout, qui approvisionnera la wilaya de Sétif notamment pour l’irrigation de 20 000 hectares de terres agricoles, la wilaya de Souk Ahres, Biskra, El Oued, Oum El Bouaghi et Constantine.

Pour l’acheminement de l’eau vers ces localités, un système de transfert hydraulique est en cours de réalisation. Conçu selon la technique de construction BCR, (béton compacté au rouleau), le Barrage, situé entre trois montagnes, occupe une superficie de 22 km². « Ce lieu sera l’attraction de beaucoup de touristes. Il boostera l’économie de cette localité déshéritée. Des activités commerciales seront créées aux alentours de ce site magnifique. Une aubaine pour les jeunes », s’est félicité un cadre de la wilaya de Jijel.
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 30_296.php

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Mise en service en mai de la méga-station de dessalement d’El Mactaâ à Oran

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La plus grande station de dessalement d’eau de mer d’Afrique, située à El Mactaâ (Oran), sera mise en service d’ici un mois, a indiqué mardi le directeur général de l’Algérienne des eaux (ADE), Abdenour Aït Mansour.

« Les essais de performance, de qualité et de canalisation sont en voie d’achèvement. Dans une vingtaine à une trentaine de jours, nous allons commencer à produire de l’eau à partir de cette station », a précisé le même responsable à l’agence de presse APS, en marge d’une journée d’information sur les métiers de l’eau tenue à Alger.

500.000 m3 d’eau par jour, seront destinés non seulement à satisfaire les besoins de la wilaya d’Oran mais également ceux des wilayas limitrophes, à savoir Mascara, Relizane et Mostaganem et, plus tard, la wilaya de Tiaret, ce qui va réduire le poids qui pèse sur la wilaya de Mostaganem dont les infrastructures hydrauliques alimentent, jusque-là, plusieurs wilayas de la région.

Ainsi, les eaux provenant des deux barrages de Mostaganem seront destinés essentiellement à des fins agricoles dans cette wilaya, tandis que
sa propre station de dessalement, d’une capacité de 200.000 m3/an, servira à l’approvisionner en eau potable. Pour M. Aït Mansour, « avec tout ce système, c’est un nouveau schéma directeur d’eau potable qui se dessine dans l’ouest du pays ».

491 millions de dollars

D’un investissement de 491 millions de dollars, le projet de dessalement de l’eau de mer d’El Mactaâ relève de la Société par actions « Tahliyat Miyah El Mactaâ » (TMM spa) selon le principe des 51/49% édicté par la loi depuis 2009.

Le capital de cette société est réparti à raison de 43% par l’Algerian Energy company (AEC, détenue par Sonatrach et Sonelgaz) et 10% par l’ADE, pour
la partie algérienne, et de 47% par l’investisseur singapourien Hyflux Menaspring Ltd.

Pour la gestion de la station, il a été créé la société Hyflux Operating Maintenance Algeria (HOMA) qui a conclu un contrat avec TMM spa pour gérer ce
projet pour une durée de 25 ans.

Une station de dessalement pour Ténès

Une autre station de dessalement d’eau de mer est prévue à Ténès (Chlef), qui devra assurer, avec la réhabilitation du réseau de distribution
dans cette wilaya, une distribution permanente H24 en eau potable dans cette région.

Ces deux prochaines stations d’Oran et de Ténès s’ajouteront aux 9 stations déjà en exploitation représentant un volume de 11% de la production globale en eau potable.
http://www.algerie1.com/actualite/mise- ... aa-a-oran/

AAF 2020
Amid (عميد)
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Re: Ressources hydriques en Algérie

Message par AAF 2020 »

Les capacités de stockage des eaux augmenteront à 9 milliards m3 à l'horizon 2017

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ALGER- Les capacités nationales de stockage des eaux augmenteront à près de 9 milliards m3 à l'horizon 2017 contre 7,5 milliards m3 actuellement après la mise en service de nouveaux barrages, a révélé mardi le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib.
M. Necib qui intervenait devant les membres de la commission de l'habitat, de l'équipement, de l'hydraulique et de l'aménagement du territoire à l'Assemblée populaire nationale (APN), M. Necib a précisé que le nombre des barrages va passer de 65 grands barrages, actuellement, à 86 unités en l'espace de deux mois, ce qui augmentera les capacités de stockage de 7,5 milliards de m3, actuellement, à plus de 9 milliards m3.
12 barrages sont en cours de réalisation dont 5 grands barrages à Souk Ahras, Khenchla, Médéa, Tipaza et Mascara. Les projets devraient être réceptionnés durant l'année en cours en attendant le lancement d'autres projets.
Des opérations de dévasement des vieux barrages sont également prévues, a indiqué le ministre qui a ajouté que ces opérations avaient déjà été lancées au niveau des barrages de Bouhnifia (Mascara), Foum el Gherza (Skikda) et Ksob (M'ssila).
Dans le but d'élargir ce genre d'opérations, l'entreprise publique Elico a entamé la fabrication locale des équipements nécessaires. La première machine destinée au dévasement sera réceptionnée vers la fin de l'année en cours avec un taux d'intégration nationale estimé à près de 60 % qui sera augmenté à 80 % à l'horizon 2018.
Dans le cadre de la stratégie du secteur visant la diversification des ressources hydriques, deux nouvelles stations de dessalement d'eau de mer sont en cours de réalisation à Ténès et Oran. Ces stations qui viendront s'ajouter aux neuf stations existantes seront délivrées avant l'été prochain.
Deux autres stations d'une capacité de 100.000 m3/jour sont également prévues à Bejaia et Taref, a ajouté le ministre.
S'agissant des stations d'épuration des eaux usées, le parc national sera renforcé de 35 nouvelles unités à l'horizon 2017, ce qui augmentera le nombre à plus de 200 stations d'une capacité de traitement de près de 1,2 milliards m3/an. Les eaux traitées seront destinées principalement au secteur agricole.
Selon M. Necib, il existe166 stations permettant le traitement de près de 800 millions m3/an. La plupart de ces structures répondent aux normes internationales "Iso" et disposent d'un laboratoire d'analyse de l'eau conforme aux normes de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Les eaux traitées sont actuellement exploitées pour l'irrigation des périmètres agricoles avoisinants.

--Vers l'élaboration d'une nouvelle stratégie pour faire face auxinondations--
Il est procédé actuellement à la réalisation d'une opération pilote portant sur une nouvelle méthode de traitement des eaux usées qui permet d'exploiter les eaux épurées dans l'irrigation des cultures maraîchères, a indiqué le ministre, précisant que l'opération lancée en collaboration avec l'ONU touchait à sa fin.
L'Algérie abritera la semaine prochaine, un atelier régional organisé par l'Institut méditerranéen de l'eau, avec la participation d'experts internationaux pour débattre de l'utilisation des eaux traitées dans le domaine agricole.
Concernant la distribution de l'eau potable, le ministre a annoncé un plan de réhabilitation du réseau actuel, qui en plus de sa vétusté connaît "une forte pression", et ce en vue d'améliorer sa performance et réduire les fuites.
Lancée dans 17 villes sur 45 villes concernées, à travers le territoire national, l'opération fait toujours l'objet d'examen dans les autres villes.
M. Necib a souligné que son département ministériel oeuvrait actuellement à élaborer une stratégie nationale pour faire face aux inondations, notamment dans les zones urbaines, en collaboration avec l'Union européenne (UE).
La dite stratégie sera finalisée avant la fin 2015, a précisé le ministre, soulignant que plusieurs villes avaient été sécurisées contre le risque d'inondation, citant à titre d'exemple, Batna, Sidi Bel Abbes et la vallée du M'zab.
Revenant à la problématique de gestion des ressources hydriques, M. Necib a insisté sur l'impératif d'améliorer le service public, annonçant une prochaine décision portant licenciement des directeurs de wilayas non qualifiés.
Concernant les préparatifs pour la saison estivale, le premier responsable du secteur a affirmé que toutes les mesures avaient été prises pour garantir l'approvisionnement en eau potable en cette période, soulignant que des montants
importants ont été affectés par le fonds national de l'eau au profit des wilayas ayant enregistré un déficit en cette ressource vitale durant les années précédentes.
Une cellule de veille sera mise en place au niveau du ministère pour assurer un suivi de la gestion des ressources hydriques durant l'été prochain et la prise en charge d'éventuels problèmes.
Le ministre a, d'autre part, dévoilé un projet de décret visant à encadrer les missions de la force publique en matière de ressources en eau, notamment en termes de lutte contre le vol d'eau et le pillage de sable.
Le décret vise à définir les modalités d'intervention des agents en charge de ces missions et leur protection contre d'éventuelles agressions.Les capacités nationales de stockage des eaux augmenteront à 9 milliards m3 à l'horizon 2017
http://www.aps.dz/economie/22001-les-ca ... rizon-2017
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yayoune
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Re: Ressources hydriques en Algérie

Message par yayoune »

Possibilité de produire de l'électricité à partir des eaux usées dès 2018

http://www.huffpostmaghreb.com/2016/02/ ... ef=maghreb
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sadral
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Re: Ressources hydriques en Algérie

Message par sadral »

Les pluies du mois de mars ont sauver la saison agricole.
Le taux de remplissage des barrages a dépassé 72%


Le taux de remplissage des 65 barrages en exploitation à travers le pays a dépassé 72%, a-t-on appris auprès du ministère des Ressources en eau et de l'environnement qui précise que 10 barrages sont totalement remplis, tandis que 8 autres ont dépassé 90% de leur capacité de stockage.

Les apports en eau enregistrés suite aux dernières précipitations dans plusieurs wilayas du pays jusqu'à jeudi (24 mars) étaient de plus de 66,5 millions de m3, portant le volume d'eau emmagasiné au niveau des barrages à 4,9 milliards m3, soit un taux de remplissage global de 72,44%, selon le ministère.

Sur l'ensemble des barrages opérationnels à travers le pays, 10 barrages sont totalement remplis: Sikkak (Tlemcen), Bakhadda (Tiaret), Bougara (Tissemsilt), Prise de Chelif (Chlef), Beni-Amrane (Boumerdès), Tichy-Haf (Béjaïa), El-Agrem et Kissir (Jijel), Mexa (El Taref), ainsi que le plus grand barrage du pays Beni Haroun (Mila), dont la capacité globale avoisine 1 milliard m3.

Le ministère précise que le taux de remplissage de huit autres barrages dépasse les 90%, Hammam-Boughrara de Tlemcen (99,90%), Sidi-Abdelli de Tlemcen (91,14%), Fergoug de Mascara (97,29%), Meurad de Tipaza (97,50%), Tilsedit de Bouira (98,57%), Beni-Zid de Skikda (99,86%), Foum El Gueiss de Khenchela (96,28%), Babar de Khenchela (95,61%).

Par ailleurs, neuf (9) autres barrages ont dépassé le taux de 80% de remplissage. S'agissant de la situation hydrique par région, la même source précise que l'apport enregistré dans la région Ouest au jeudi 24 mars était de plus de 1,5 millions m3, pour un volume mobilisé de l'ordre de 685 millions de m3 et un taux de remplissage de 67,69%.

La région Centre a quant à elle enregistré un apport de l'ordre 16,8 millions de m3, pour un volume d'eau mobilisé de l'ordre de 1,3 milliard de m3, soit un taux de remplissage de 71,27%. Quant à la région Est, l'apport en eau enregistré a dépassé 24,3 millions de m3, pour un volume mobilisé de l'ordre de 2,3 milliard de m3 et un taux de remplissage de 81,50%.
http://www.leconews.com/fr/depeches/le- ... 33_312.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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