L'Université Algérienne

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Sifax
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L’USTO organise son 1er Congrès International de Physique Numérique (17/10/2012)

L’Université des Sciences et de Technologie d’Oran - Mohamed Boudiaf (USTO) a accueilli du 13 au 15 octobre, le 1er Congrès International de Physique Numérique (CIPN1). Outre une forte participation algérienne, ont pris part à ce rendez-vous scientifique, qui a lieu pour la première fois en Algérie, des spécialistes de renom dans cette discipline, en provenance d’Universités américaines, françaises, allemandes, britanniques et japonaises.
Parmi les figures les plus emblématiques de la physique numérique présentes à cette première édition du CIPN, il y a lieu de citer le Dr Satya N Majumdar, qui a à son actif plus de 180 publications dans les revues les plus prestigieuses. Directeur de Recherche (DR1) au Laboratoire de Physique Théorique et Modèles Statistiques, Université Paris-Sud, Orsay, France, cet indien d’origine, diplômé de l’université de Calcutta, lauréat du Prix d'excellence Scientifique (PES) (2009), décerné par le CNRS, est également régulièrement candidat au prix Nobel de la physique. Le CIPN1 a également vu la participation de chercheurs de haut rang tels Thomas Prelberg (UK), Fredrik Shmid (Allemagne), Julia M. Yeomans (UK) ou Thibault Roques-Carmes (France) pour ne citer que ceux là. Selon les organisateurs, la conférence vise à réunir à Oran des chercheurs et des scientifiques du monde entier. Pour le docteur Sabeur Sid Ahmed, président du CIPN1, douze scientifiques et chercheurs sur les 22 sollicités, représentants dix pays ont répondus à l’invitation du Comité d’organisation. Ce qui est « très encourageant pour cette toute première édition de la Conférence et pour le développement en Algérie de cette discipline qu’est la Physique numérique. »
La physique numérique, c’est la convergence de trois sciences majeures : les mathématiques, la physique et l'informatique. La physique fournit les problèmes, les mathématiques les algorithmes pour les modéliser, et l'informatique l'outil pour faire les calculs. A quoi sert-elle ? Pour le docteur Sabeur Sid Ahmed, « la physique numérique permet de simuler des expériences qu'on ne peut pas expérimenter ». « Elle aide aussi à tester des idées et d'apprendre des concepts. Son apport peut être salvateur pour les laboratoires de recherche en termes d’économie d’argent et de temps, car elle se substitue aux équipements d’expérimentation, souvent trop coûteux et pas toujours fiables. Il y a également son apport pédagogique à l’enseignement de la physique. On peut désormais apprendre en faisant des expériences numériques. On ne possède pas toujours le matériel ni l'espace pour faire des manipulations », explique notre interlocuteur.
Les scientifiques de tous bords sont unanimes : simuler un phénomène est un excellent moyen de le comprendre. Appelé physique numérique et parfois physique informatique, cette discipline est l'étude et l'implémentation d'algorithmes numériques dans le but de résoudre des problèmes physiques pour lesquels une théorie existe déjà. Elle est souvent considérée comme une sous-discipline de la physique théorique, mais certains la considèrent comme une branche intermédiaire entre la physique théorique et la physique expérimentale. En général, les physiciens définissent un système et son évolution grâce à des formules mathématiques précises. Il arrive souvent que la solution des équations basées sur les principes de la physique fondamentale ne soit pas adaptée à la description du système. Ceci est particulièrement vrai dans le cas de la mécanique quantique, où seulement une poignée de modèles simples possèdent des solutions analytiques complètes. Dans les cas où les systèmes ont seulement des solutions numériques, des calculs numériques sont employés.

Objectifs et défis

Le 1er Congrès International de Physique Numérique (CIPN1) permet «d'échanger et de stimuler des idées de différentes disciplines de la physique, afin de discuter des défis d'ordre pratique rencontrés et les solutions adoptées, et de se renseigner sur les développements récents dans les frontières de la théorie et des méthodes numériques appliquées en physique», affirme le président du Congrès. Le programme technique de la CIPN1 comporte des sessions plénières, des présentations orales et des posters sur des sujets couvrant un large éventail d'intérêts dans le domaine de la physique numérique. Parmi les domaines privilégiés au cours dans cette édition, la « physique statistique », « physique des fluides », « sciences des matériaux et polymères » et « modélisation physique ». Quant aux thématiques étudiées, elles sont au nombre de huit. Il s’agit des « phénomènes Couplés et Interfaciaux, fluides et solides », le « modèle numérique relatif au mouillage en présence ou non de surfactants », le « modèle numérique sur l’électromouillage », la « structure électronique et optique des matériaux », le « repliement des polymères et transitions de phase », « les méthodes de Monte Carlo classiques et quantiques », les « systèmes réacteur/transfert » et enfin, « la microfluidique ».
Le choix de ces thématiques est déterminé par le fait que les calculs numériques sont employés couramment, dans le cadre de la physique du solide et de la de la mécanique des fluides. En physique du solide, par exemple, l'outil informatique est employé avec la théorie fonctionnelle de densité afin de calculer des propriétés des solides. Les chimistes utilisent une méthode semblable pour étudier les molécules. En physique du solide, l'organisation électronique de la matière, les propriétés magnétiques et les densités électroniques de charge peuvent être calculées par plusieurs méthodes, y compris par calcul numérique et les méthodes ab initio (via différentes théories et/ou méthodes). Beaucoup d'autres problèmes numériques plus généraux se retrouvent inévitablement dans le domaine de la physique numérique, bien qu'ils pourraient être considérés comme des problèmes purement mathématiques. Il s’agit notamment de résolution des équations, d’évaluation d'intégrales, de méthodes stochastiques, particulièrement la méthode de Monte Carlo, de méthodes des équations différentielles partielles, par exemple la méthode des différences finies et la méthode des éléments finis, de calcul de valeurs propres et leurs vecteurs propres correspondants pour des matrices très grandes (exemple : l'état propre en physique quantique) ou encore la méthode pseudo-spectrale. Toutes ces méthodes et plusieurs autres sont employées pour calculer les propriétés physiques des systèmes à modéliser ou à simuler.
http://www.maghrebemergent.com/high-tec ... rique.html
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moudjahid
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CLA : «L’école algérienne forme des handicapés moraux»

Le Conseil des lycées d’Algérie (CLA) a rendu public un rapport peu reluisant sur l’état de l’école algérienne, qualifiée de «destructive des esprits». Ce rapport qui donne froid dans le dos, dont Algeriepatriotique a obtenu une copie, met en garde contre les conséquences sociales de la déstructuration de l’école et appelle à un plan d’urgence pour «limiter les dégâts».

«L’école est aujourd’hui en train de former des handicapés moraux qui ne peuvent qu’accentuer la gangrène culturelle et occasionner l’amputation sociale. On assiste aujourd’hui à une destruction massive des esprits. L’élève ne fait plus la différence entre l’école, l’enseignant et la rue. Les parents et les associations des parents d’élèves veulent diriger eux-mêmes l’école et dicter leur loi aux enseignants des fois par la force de la loi ou par la violence», souligne-t-on. Le CLA relève l’explosion de la violence à l’école avec des élèves «ingérables» constitués en véritables bandes de voyous qui narguent tout le monde. «Nous assistons régulièrement à des insultes, des gifles, des agressions envers des enseignants et ces faits ne sont pas toujours médiatisés», dénonce ce syndicat fondé par feu Rédouane Osmane, affirmant que des enseignants ont assisté à des «bagarres avec des armes blanches entre bandes rivales qui ont ramené leurs querelles aux portes des établissements scolaires sinon à l’intérieur». Autre point noir mis en avant dans ce rapport : la surcharge des classes devenue insupportable pour les enseignants qui ne savent plus où donner de la tête. Pour le CLA, le phénomène est bien national «malgré les dires de certains responsables qui le limitent à quelques wilayas et celui-ci a failli faire exploser l’école, mais heureusement que cette pause de neuf jours a pu calmer les esprits, mais pour combien de temps ?». Le CLA pense qu’une réflexion doit être menée pour préparer les trois prochaines années dès maintenant. Car il est urgent de gérer cette année 2012-2013 qui est difficile et, en même temps, préparer les première et deuxième années secondaires de 2013-2014 ainsi que les première, deuxième et troisième années 2014-2015 qui marqueront la fin de la première étape de la réforme. Les prochaines années seront aussi marquées, relève le rapport, par le départ à la retraite de plus de 50% des enseignants qu’il faudra penser à remplacer. Cela représentera plus de 200 000 enseignants à devoir trouver. Au niveau de l’encadrement et des infrastructures, le CLA a observé un grand manque de surveillants généraux sur tout le territoire algérien, ce qui a laissé certains établissements dans le désordre parce que dirigés par des intérims souvent non qualifiés. De plus, le manque d’adjoints de l’éducation est énorme et tous les établissements d’Algérie se plaignent de ce manque, ce qui augmente le degré de violence à l’intérieur des établissements scolaires. Le CLA a également précisé que la réforme des programmes est loin d’être une réussite. «Là encore, on laisse les choses telles quelles sont sans aucun changement, comme si la réforme était un succès alors qu’elle n’a jamais commencé. Seul le démantèlement des lycées techniques a été fait. Même si c’est l’une des plus grandes erreurs que l’Algérie ait commise depuis l’Indépendance», prévient encore le rapport du CLA.
Sonia B.

:arrow: http://www.algerie360.com/algerie/cla-% ... aux%c2%bb/
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Sifax
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Energies renouvelables: session de formation au profit d’universitaires mardi à Tipasa (13/11/2012, APS)

Une session de formation ayant pour thème le "Système solaire à concentration" débutera mardi à Bou Ismail (Tipasa) au profit de quelque 80 chercheurs universitaires algériens, sous l’encadrement d’experts de l’Agence spatiale allemande.

Organisé dans le cadre de la coopération scientifique Algéro-allemande, à l’initiative de l’Unité de développement des équipements solaires (UDES) de Bou Ismail, ce stage de trois jours a pour objectif de "profiter de l’expérience allemande, un pays pionnier en matière d’énergies renouvelables", a indiqué la directrice de l’UDES, Nachida Kesbadji Merzouk.

Au programme de cette session de formation, première du genre, des communications sur le projet allemand "Ener Mena", un projet relevant de l’Agence spatiale allemande, portant sur l’énergie dans les pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (Algérie, Tunisie, Maroc, Egypte et Jordanie), a-t-elle ajouté.

Les experts allemands présenteront, à cette occasion, des communications sur les différentes technologies en vigueur en matière de génération de nouvelles énergies, à travers entre autres, les stations solaires, outre les techniques de création d’un pôle solaire et de transfert d’énergies, ainsi que d’autres thèmes liés à l’impact socio-économique de l’énergie solaire.

Cette rencontre sera marquée, jeudi, par la présentation du modèle de formation algérien assuré par le biais d’un master en énergies renouvelables, au niveau de l’université de Blida, ainsi que d’un exposé du projet du pôle technologique algéro-allemand, prévu à la nouvelle ville de Boughezoul (Médéa), a indiqué la directrice de l’UDES.

Elle a ajouté que cette session se propose également de former des encadreurs algériens parmi les docteurs et professeurs universitaires qui représenteront, à l’occasion, dix universités du pays, en plus de cinq laboratoires nationaux de recherche.
http://www.maghrebemergent.com/actualit ... ipasa.html

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Algérie - Chine: convention pour la réalisation d’une Ecole des métiers des travaux publics (19/11/2012)

Une convention de partenariat portant étude et réalisation d’une Ecole nationale des métiers des travaux publics a été signée dimanche à Sétif entre l’Algérie et la Chine, en présence du ministre des Travaux publics, Amar Ghoul.

L’accord de partenariat a été paraphé par le directeur général de l’Agence nationale des autoroutes (ANA) et le directeur de l’entreprise chinoise China State Construction Engineering Corporation (CSCEC).

La signature de cette convention s’inscrit dans le cadre des mesures d’accompagnement arrêtées au titre du marché de réalisation du projet d’autoroute Nord- sud, a indiqué le Dg de l’ANA, Ahmed Ziani.

Cette Ecole nationale, dont le chantier devra être lancé "prochainement" offrira des formations "à la carte" pour les entreprises publiques ou privées spécialisées dans les travaux publics, l’administration et les collectivités locales, a précisé M. Ghoul, à l’issue d’une visite de travail effectuée dans la wilaya de Sétif.

Il a ajouté que le champ d’action de cette école sera élargi, dans une seconde phase, pour toucher les métiers de bâtiment et de l’hydraulique.

Cette future Ecole nationale qui devra être implantée sur un site "stratégique" faisant jonction entre l’autoroute Est-ouest et l’université de Sétif, sera dotée de toutes les commodités essentielles pour une formation des "plus adéquates", a indiqué M. Ghoul.

La réalisation de cet établissement permettra "la récupération des quelques métiers qui commencent à se perdre en Algérie" et la maîtrise des nouvelles techniques utilisées dans les travaux publics, a-t-il ajouté, faisant part à ce propos, de l’importance de la requalification de la main d’œuvre locale.

La formation au sein de cette école sera soumise à des critères rigoureux, a encore souligné le ministre, précisant qu’elle sera dispensée "en fonction des besoins du marché du travail et ceux de l’économie nationale".

Le ministre des Travaux publics a affirmé, dans une déclaration à l’APS que cette Ecole nationale ainsi que l’Ecole supérieure de management en travaux publics et le Centre de contrôle de la qualité des travaux publics, en projet, seront lancés "dans le courant de l’année 2013".
http://www.maghrebemergent.com/actualit ... blics.html

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Première faculté de médecine dans le Sud-ouest du pays: Elle est annoncée pour l'année universitaire 2013-2014 (Par Larbi. M, 25/11/2012)

Le recteur de la première faculté de médecine dans la région du Sud-ouest du pays, M. Abdellah Laoufi, a indiqué, hier, que l'ouverture de cet établissement est prévue pour la rentrée universitaire (2013-2014). Relevant de l'université de Bechar, cette faculté, première du genre dans l'histoire de cette région, sera située provisoirement au niveau du nouveau pôle universitaire situé au nord de la ville de Bechar, dans l'attente de la réalisation et l'équipement durant les deux prochaines années d'une nouvelle faculté d'une superficie de 16 hectares, a précisé M. Laoufi. La création de la future structure universitaire dédiée à l'enseignement des sciences médicales est le fruit des efforts déployés depuis 2004 par les secteurs de l'Enseignement supérieur et de la Santé pour l'élaboration de ce projet qui renforcera l'enseignement supérieur dans cette région, a-t-il ajouté. Cette nouvelle faculté qui sera ouverte à l'ensemble des étudiants des wilayas du Sud-ouest du pays à savoir Bechar, Naama, El Bayadh, Adrar et Tindouf, aura comme objectifs d'assurer une formation médicale de base et continue des médecins afin de répondre aux besoins sanitaires de la population en matière de santé et selon les standards internationaux de qualité, a expliqué le même responsable. Le renforcement du secteur de la Santé dans le Sud-ouest du pays en compétences médicales spécialisées est l'autre objectif de cette nouvelle institution, qui mettra à l'avenir un terme au déficit en la matière constaté depuis de longues années à travers cette région, a souligné M. Laoufi. L'université de Bechar, qui prévoit la réception au cours du premier semestre 2013 de 2 000 nouvelles places pédagogiques et d'une nouvelles cité universitaire de 1 000 lits ayant nécessité la mobilisation d'une enveloppe financière de 274 millions de dinars, prévoit aussi au cours de la même échéance l'ouverture de quatre nouveaux instituts d'une capacité de 4 500 places pédagogiques et ce, au niveau du nouveau pôle universitaire, ce qui renforcera davantage ses capacités d'accueil et d'hébergement. Cette institution compte actuellement 10 000 étudiants inscrits dans plusieurs instituts et départements, encadrés par 559 enseignants.
http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=50548

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explosion de gaz dans une cité universitaire pour filles (Imene Brahimi, 27/11/2012)

Une explosion s’est produite, tôt ce mardi matin, dans une chambre de la résidence universitaire pour filles de Bastos, située dans la Nouvelle‑Ville de Tizi Ouzou, a‑t‑on appris auprès de témoins. Au moins dix personnes ont été évacuées au CHU de Tizi Ouzou, dont deux dans un état jugé grave. L’explosion, entendue dans toute la cité, a provoqué un mouvement de panique parmi les 6 000 étudiantes résidentes. La proximité d’un commissariat a fait penser à un attentat à la bombe, selon des témoins sur place.
http://www.tsa-algerie.com/divers/tizi- ... 22885.html

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Ouverture d'une école doctorale d'anglais à l'ENS de Constantine (APS, 30/11/2012)

L’école normale supérieure de Constantine (ENSC) abritera à compter de l’année universitaire 2012-2013, une école doctorale d’anglais (EDA), a indiqué à l’APS le directeur de cet établissement.

Cette école qui accueillera 40 étudiants, est destinée à couvrir les besoins en enseignants des différents établissements de l’enseignement supérieur du pays, a précisé le Dr. Mohamed Reghioua.

Ce responsable a ajouté, dans ce contexte, que l’institution qu’il dirige organisera au courant du mois de décembre prochain, un concours d’accès à l’EDA devant être organisé à l’ENSC, mais aussi dans les universités de Constantine, d’Oum El Bouaghi, de Sétif et d’Alger.

Le Dr. Reghioua a précisé à ce sujet que l’ouverture de cette école doctorale permettra la formation théorique et pratique des étudiants ayant terminé leur études de graduation pour l’obtention, en deux années, d’un magister en langue anglaise, option littérature ou linguistique, ouvrant droit à l’enseignement de ces filières dans l’établissement supérieur de leur choix.

Selon la même source, une formation théorique d’une année sera dispensée aux étudiants à l’école normale supérieure de Constantine tandis que la seconde année sera exclusivement réservée à l’élaboration d’un mémoire dans la spécialité choisie pour l’obtention du magister.

Les diplômés de l’école doctorale seront affectés, au terme de leur formation, dans les universités d’Alger-2, pour 10 d’entre aux, d’Oum El Bouaghi (8) de Sétif-2 (8), Constantine-1 (8) et l’ENSC (6), a conclu le Dr. Reghioua.
http://www.maghrebemergent.com/actualit ... ntine.html

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Batna : Une Ecole nationale des forêts sera ouverte en 2013 (APS, 06/12/2012)

Une Ecole nationale des forêts sera ouverte en 2013 dans la wilaya de Batna, a affirmé à l’APS le directeur de la protection de la flore et de la faune à la Direction générale des forêts (DGF), Amar Boumezber.

Ce responsable qui s’exprimait, mercredi soir, en marge de la cérémonie de clôture de l’atelier international sur la prévention et la lutte contre les feux de forêts dans les pays méditerranéens, a précisé que cet établissement, créé par décret daté du 15 mai 2012, formera en deux années des cadres de haut niveau dans le domaine forestier.

L’Ecole nationale des forêts appelée à constituer un soutien précieux au secteur des forêts, contribuera également au recyclage des cadres activant dans ce domaine, et répondra aux besoins du pays en matière de développement rural, a ajouté M. Boumezber.

L’inscription dans cette école ne sera possible, contrairement aux établissements de Jijel et de Beni-Slimane (Médéa), qu’aux titulaires d’un baccalauréat, ce qui dénote, selon le même responsable, de la volonté des pouvoirs publics de former des spécialistes d’un niveau élevé, d’autant que l’école de Batna pourra recourir à des enseignants spécialisés étrangers. L’objectif, a-t-il souligné, est de former des cadres capables de suivre les évolutions que connaît ce secteur.

La stratégie mise en place par la DGF est fondée sur la nécessité, pour ce secteur stratégique, de réinvestir les espaces forestiers en vue de la préservation de ce patrimoine en le prémunissant, notamment, des incendies de plus en plus ravageurs, “attisés” par les changements climatiques qui affectent la planète, a encore indiqué M. Boumezber.

L’Ecole nationale des forêts de Batna occupera le site de l’actuel Institut technologique des forêts (ITEF) qui se prévaut déjà de nombreux atouts pour la formation de qualité souhaitée par les responsables de ce secteur.

L’établissement qui s’étend sur 8.000 m2, au pied d’une montagne boisée, au sud de la capitale des Aurès, dispose en effet de 300 places pédagogiques, de 200 places pour l’hébergement des étudiants, d’équipements modernes, ainsi que d’un arboretum de collection.
http://www.algerie1.com/info-des-region ... e-en-2013/

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Ouverture d'un master en génie parasismique, en 2013,au Centre universitaire d’Ain Temouchent (APS, 08/12/2012)

Le Centre universitaire d’Ain Temouchent (CUAT) procèdera, en 2013, à l’ouverture d’un master en génie parasismique, pour répondre aux besoins de la wilaya en encadrement spécialisé, a annoncé le directeur de cet établissement.

Les procédures préalables à cette ouverture sont en cours en vue du dépôt du dossier réglementaire, en janvier prochain, à la commission universitaire régionale concernée (CRUO), a indiqué M. Abdelmalek Bekkouche en marge de la rencontre internationale sur la sismologie, organisée dernièrement à Ain Temouchent.

L ’objectif de l’ouverture de cette spécialité au niveau d’une zone sismique comme Ain Temouchent consiste à doter la wilaya en moyens humains spécialisés dans la prévention des constructions contre les dégâts sismiques, a souligné le chef de département génie civil au CUAT, M. Houmadi Youcef.

Dans ce même ordre d’idées, l’exploitation du micro zonage de la wilaya d’Ain Temouchent élaboré, en 2000, par un bureau d’étude étranger dans les programmes de développement, permettra "d’éloigner tout risque de dégâts sismiques", a-t-il ajouté expliquant que ce micro zonage détermine les caractéristiques de tous les terrains de la wilaya.

A rappeler que lors du séminaire international sur la sismologie (4 et 5 décembre 2012), les participants avaient recommandé la création, à Ain Temouchent, d’une cellule post sismique qui aura à tracer la conduite à tenir en cas de tremblement de terre.

Composée notamment de représentants des corps techniques, experts, laboratoires, CTC et de spécialistes, cette cellule indiquera aux concernés les premiers gestes à accomplir en cas de séisme, a indiqué M. Derbal Rachid, directeur adjoint chargé du développement et de la prospective au CUAT.
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... chent.html

ça c'est du MASTER!

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Coopération algéro-française
L’université donne l’exemple
(Par Nabil Benali, 10/12/2012)

Il existe bien des domaines ou la coopération entre l'Algérie et la France ne semble souffrir d'aucun aléa, comme en atteste celle en cours dans l'enseignement supérieur. Sur les trois objectifs des autorités en matière d'enseignement supérieur et de recherche scientifique, (restructuration, professionnalisation, excellence), l'expertise française est bien mise à profit par la partie algérienne.
On le sait au moins depuis l'accord de novembre 2006, signé entre la Conférence des présidents d'universités françaises (CPU) et la Conférence nationale des universités algériennes (CNU) et qui confirme cette coopération pour la mise en place du LMD et le développement des partenariats universitaires. Selon un document du gouvernement français, on estime que «l'Algérie présente de nombreux atouts pour le développement d'une coopération universitaire avec la France». «Le français comme langue d'enseignement : si les sciences humaines, juridiques, économiques et sociales sont enseignées en arabe (…), toutes les autres disciplines scientifiques sont enseignées en français». De plus, on met en avant les liens étroits et anciens entre les deux communautés universitaires. De nombreux universitaires français ont exercé comme coopérants en Algérie et bon nombre d'universitaires algériens ont effectué tout ou partie de leur post-graduation dans un établissement français. Aujourd'hui, 20.000 étudiants algériens poursuivent leurs études en France et les nombreux universitaires algériens installés en France, voire naturalisés, et qui enseignent en France, ont à cœur de favoriser les échanges scientifiques entre les deux pays.
Créée en octobre 2010, la Conférence algéro-française de l'enseignement supérieur et de la recherche est une instance de réflexion et de prospection, dont les rencontres orientées vers des thématiques précises se sont substituées à l'action du Haut-Conseil franco-algérien universitaire et de recherche (HCFAUR), actif jusqu'en 2009. Son noyau est constitué, du côté français, par la Conférence française des présidents d'universités (CPU) et, du côté algérien, par les président(e)s des conférences régionales algériennes (Est, Centre, Ouest) et la Conférence national des universités (CNU). La deuxième conférence algéro-française de l'enseignement supérieur et de la recherche s'est tenue les 18 et 19 octobre 2011 à Marseille sur le thème du développement des liens entre la sphère de l'enseignement supérieur et de la recherche et le monde des entreprises, rappelle-t-on.
De nombreux établissements algériens ont signé une convention de coopération avec un ou plusieurs établissements français (650 conventions de coopération, source MESRS). Ces coopérations prennent des formes multiples : participation à un programme de coopération universitaire bi ou multilatéral, participation au réseau des écoles doctorales, accords de codiplomation, cotutelles de thèses, colloques organisés conjointement, co-publications, etc. Par ailleurs, les universités françaises accueillent de nombreux étudiants algériens (le deuxième effectif en France d'étudiants étrangers) dont une partie – niveau mastère et doctorat – relèvent soit de programmes de coopération spécifiques paritaires, soit de programmes de bourses financées intégralement par le gouvernement algérien. L'Algérie bénéficie aussi d'un nombre estimé important de bourses du gouvernement.
S'agissant du Programme boursier franco-algérien (PROFAS), ce dernier financé par les deux parties, a permis, depuis sa création en 1986, d'accueillir en France près de 10.000 boursiers algériens. Ses orientations sont fixées chaque année par un Comité mixte (CPFS) qui définit le nombre de bourses allouées pour chaque catégorie. Un comité de sélection, de placement et de suivi, composé d'experts français et algériens, procède ensuite à la sélection et au placement des boursiers.
En 2012, 332 boursiers algériens bénéficient de ce programme. Et le document de dire que «pour mieux répondre au besoin crucial de l'Algérie en enseignants-universitaires de rang magistral et utiliser au mieux les moyens programmés, il a été convenu de concentrer les moyens sur deux sortes de programmes, enseignants-chercheurs et cadres administratifs». Parallèlement, le programme PROFAS C (172 boursiers en 2011) s'adresse à des cadres du secteur public et fonctionnaires détachés pour un séjour de spécialisation et haute spécialisation sur une durée pouvant s'étendre jusqu'à un an dans le cadre d'une formation diplômante ou qualifiante.
Un autre programme de coopération existe, il concerne la formation des enseignants chercheurs (dit CMEP). C'est l'un des programmes-phares de la coopération franco-algérienne. Le principal objectif du programme d'actions intégrées de recherche et de formation doctorale est de former de jeunes chercheurs algériens encadrés par des chercheurs seniors dans le cadre d'un projet de recherche mené en commun par des équipes des deux pays. Ce programme est ouvert à toutes les disciplines.
Ce programme comprend 115 projets bilatéraux actifs en 2012, auxquels s'ajoutent 5 PHC régional, commun à l'Algérie, au Maroc et à la Tunisie. Environ 400 chercheurs juniors sont accueillis chaque année dans des laboratoires de recherche français pour des séjours de 1 à 4 mois.
D'autre part, il existe un programme de consolidation de la place du français dans l'enseignement supérieur algérien.
Le premier objectif de cette coopération est de reconstituer, en nombre et qualité, un corps professoral devant intervenir aussi bien dans la filière «français» que dans les autres filières.
Le Fonds de solidarité prioritaire (FSP) «mise en place d'une école doctorale de français : formation et recherche» ", d'un montant de 6,5 millions d'euros, en cours d'exécution, contribue à remédier à l'insuffisance du corps professoral universitaire de langue française et à accroître le nombre d'étudiants dans les filières supérieures d'enseignement du français. (1.600 étudiants dans une formation doctorale en réseau franco-algérien).
Enfin, s'agissant de l'accueil des étudiants algériens en France, il faut savoir qu'un vivier de 20.000 étudiants algériens est présent en France et constitue le 3e groupe d'étudiants étrangers après le Maroc et la Chine. Il se renouvelle chaque année au rythme d'environ 5.000 nouveaux étudiants. L'âge moyen des candidats était de 24 ans, 60% des nouveaux inscrits à Campus ont un niveau Bac+3 à Bac+5 et 58% étaient originaires de 3 wilayas (Tizi Ouzou, Béjaïa et Alger). En parallèle à cette démarche, chaque année, plus de 16.000 étudiants passent les tests de langue obligatoires : TCF DAP et TSF SO dans l'un des 5 CCF. En parallèle, les inscriptions au DELF (diplôme d'études en langue française)/ DALF (diplôme approfondi de langue française), diplômes valorisables au-delà de la procédure Campus France, sont en forte progression.
Le document se conclut par un rappel du projet dit d'appui à la diffusion de la culture scientifique et à la création d'un «palais des sciences» algérien.
«Les filières scientifiques et techniques font depuis longtemps l'objet au sein de notre coopération d'un appui soutenu, en particulier par ses programmes boursiers de niveau doctoral ou postdoctoral», est-il souligné. Projet phare de cette coopération algéro-française, un palais des sciences algérois, élaboré sur le modèle du Palais de la découverte, devrait ouvrir ses portes à l'horizon 2013.
http://lesdebats.com/editions/101212/evenement.htm#10

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Engagement "plein" de l’Algérie pour accélérer l’implantation de l’IRADDA (Babes) (APS, 22/12/2012)

Le président du Conseil national économique et social (CNES), M. Mohamed Seghir Babes, a réitéré à Tokyo, auprès du recteur de l’Université de l’ONU, le Pr Konrad Osterwalder, l’engagement "plein" du gouvernement algérien pour accélérer l’implantation de l’Institut de recherches africaines pour le développement humain durable (IRADDA), apprend-on vendredi de source diplomatique. M. Babes qui a eu une rencontre de travail avec le Pr Osterwalder, mercredi passé, était porteur d’une missive du Premier ministre, M. Abdelmalek Sellal, adressée au Pr Ostewalder, et "aux termes de laquelle, le Premier ministre renouvelle l’engagement plein et entier du gouvernement algérien tendant à accélérer l’implantation de l’IRADDA, comme extension et projection de l’espace académique onusien avec siège à Alger", a-t-on précisé de même source.
Le président du CNES a présenté au recteur de l’Université des Nations Unies une feuille de route "détaillée" et "opérationnelle", arrêtée par les autorités algériennes, en ce qui concerne "des diligences envisagées pour ce projet". Au cours de cette rencontre, a ajouté cette source, M. Osterwalder "a pris acte de la volonté réitérée de l’Algérie d’aller dans le sens des vœux profonds de la communauté universitaire de l’Onu à l’endroit de ce projet emblématique orienté en direction des attentes continentales de l’Afrique". Le recteur de l’Université des Nations Unies a annoncé, lors de la rencontre à laquelle a pris part l’ambassadeur de l’Algérie au Japon, M. Sid Ali Ketrandji, qu« ’il allait se rendre en Algérie, dès la fin janvier, pour la signature de l’accord de siège (Host country agreement) ».
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... babes.html

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Raked M’hamed, directeur général de l’Institut Supérieur de Gestion et de Planification à L’Eco News
« Un premier partenariat avec la CCI d’Oran pour une formation diplômante et qualifiante (Par Loubna Zahaf, 27/12/2012)

Une première à Oran, la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO) vient de signer, un accord de partenariat avec l’Institut Supérieur de Gestion et de Planification (ISGP) pour de formation diplômante et qualifiante. Des masters professionnels dans quatre spécialités, diplômes d’études supérieures spécialisées en communication et des certificats de maîtrise dans la règlementation des marchés et dans l’audit interne. Dans cet entretien, le directeur général de l’Institut Supérieur de Gestion et de Planification (ISGP), M.Raked M’hamed, nous en parle.

Q: Vous venez de signer un accord avec la chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO) en quoi consiste cet accord ?

R Raked M’hamed : Avant, nous étions des prestataires de service. Mais, avec l’accord signé avec la CCIO, l’ISGP vient de conclure et pour la première fois un partenariat avec une Chambre de commerce pour des formations diplômantes et qualifiantes. Cet accord consiste, en effet, à dérouler des formations en master spécialisé et en diplôme d’études supérieures spécialisées dans plusieurs filières comme la finance, les ressources humaines et aussi le management de la qualité, hygiène, sécurité et environnement (QHSE) pour répondre, ainsi, aux besoins des entreprises et des nouveaux diplômés de l’université.

Q: Comment s’inscrire à ces nouvelles formations ? Les diplômes décernés seront délivrés par l’ISGP ou la CCIO ?

R: Pour lancer cette formation, il faut qu’il y ait une demande. Il faut des stagiaires. Pour informer le public de cette nouvelle formation qui ouvre pour la première fois à Oran, nous allons faire des placards publicitaires dans les journaux pour dire que la CCIO lance des master professionnels dans quatre spécialités qui vont se dérouler selon un calendrier qui sera fixé et un programme de formation élaboré. Les inscriptions seront faites selon des conditions bien établies. La différence entre notre travail avant et maintenant, c’est qu’avec la CCIO, la formation sera assurée dans le cadre d’un partenariat. La Chambre de commerce avec ses ressources, ses enseignants et ses experts et l’ISGP avec ses encadreurs aussi et ses moyens, donneront une formation de qualité. Une fois le cursus terminé, selon le nombre d’heures fixé pour chaque spécialité, les étudiants bénéficieront d’un diplôme signés par les deux institutions.

Q: Vous avez aussi parlé de master junior. A qui est destinée cette formation ?

R: Le master junior, c’est deux ans de formation. Soit 800 heures de formation académique, plus une spécialisation, un stage en entreprise et un mémoire. Ce master est destiné aux licenciés fraîchement sortis de l’université pour les préparer au monde professionnel. Nous sommes à la 9ème formation et nous venons d’ouvrir la 10ème. Sur les 9 déjà assurées, il n’y a pas eu d’échec pour les candidats inscrits. Nous l’avons appelé junior parce qu’il s’adresse aux jeunes qui sortent juste de l’université. La condition pour s’inscrire à cette formation est que le candidat doit être chômeur. Pour ceux qui travaillent, il existe d’autres formations. Il s’agit d’un master subventionné. C’est pourquoi les candidats ne payent que 120.000 DA pour une formation de 2 ans. Pour les tarifs des autres formations, ils seront discutés avec la Chambre de commerce. Nous sommes une institution publique, il n y a pas de dividendes à distribuer. Tous les bénéfices sont réinvestis pour améliorer la qualité de l’enseignement.
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 26_296.php

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Il sera opérationnel en 2013: Un institut de formation d'experts comptables et de commissaires aux comptes (Par R. N, 03/01/2013)

Le premier argentier du pays, M.Karim Djoudi, en l'occurrence, vient d'annoncer qu'un institut d'enseignement spécialisé dans la formation des experts comptables et des commissaires aux comptes a été créé et sera opérationnel en 2013. Le ministre a indiqué que cet institut de formation "viendra parachever la réforme en garantissant l'avenir de cette profession (d'experts comptables et des commissaires aux comptes) sur la scène régionale et internationale". M.Djoudi qui s'exprimait à l'ouverture des travaux de la première assemblée plénière du Conseil national de la comptabilité, organisée au siège du ministère des Finances, a souligné également que cette première assemblée "se propose de délibérer du projet de règlement intérieur du Conseil national de la comptabilité d'évaluer les travaux effectués depuis la mise en œuvre de la loi sur la profession comptable et les actions d'accompagnement effectuées au titre de l'application du nouveau système comptable financier". Il a précisé que les pouvoirs publics "attachent une importance capitale à la réussite de la réforme de la profession comptable et la mise en œuvre du nouveau système comptable financier". M. Djoudi a ajouté que la mise en place et la maîtrise du système comptable financier "impliquent d'importants besoins de formation à destination aussi bien du monde professionnel que des différents secteurs économiques". "Ils constituent aussi l'un des principaux piliers de la bonne gouvernance afin de permettre à l'économie nationale d'adapter les normes et pratiques comptables universelles qui sont en perpétuelle évolution", a noté M. Djoudi, cité dans un communiqué du ministère.
http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=51839

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Le 3ème pôle universitaire d’El Aouana (Jijel) sera lancé en 2013 (APS, 10/01/2013)

Les travaux de réalisation du 3ème pôle universitaire de Jijel, pour lequel le site d’El Aouana (ouest de Jijel) a été choisi, seront lancés "en mars ou avril prochains", a-t-on appris, mercredi, auprès des services de la wilaya.

La première tranche de ce projet portera sur la réalisation de 6.000 places pédagogiques et d’une résidence universitaire de 3.000 lits ainsi que d’une bibliothèque de 1.200 places, a précisé la même source avant d’évoquer "la possibilité de créer une faculté de médecine dans le cadre de ce nouveau pôle universitaire".

Ce pôle prendra forme progressivement avec l’entame de la seconde tranche du projet qui permettra d’accroître les capacités pédagogiques et d’accueil de la communauté universitaire, a-t-on encore souligné.

Implanté sur une superficie de 32,5 hectares, au lieu-dit Timizer, dans la commune littorale d’El Aouana, au cœur d’un site panoramique donnant directement sur la mer, ce projet, inscrit dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014, est destiné à abriter les facultés des sciences de la nature et de la vie, des sciences exactes et de l’informatique et des sciences agronomiques.

Il disposera également de quatre bibliothèques, dont une centrale d’un millier de places, d’un auditorium de 600 places et d’un centre d’enseignement intensif des langues.

L’université Mohamed- Seddik-Benyahia de Jijel est actuellement répartie sur deux sites : le pôle universitaire central de Jijel, totalisant 8.326 étudiants, et le pôle de Tassoust qui accueille 13.211 étudiants.

Le pôle de Jijel englobe l’ensemble des domaines de formation relatifs aux sciences technologiques, sciences exactes et sciences de la nature et de la vie, regroupés au sein de deux facultés, tandis que celui de Tassoust comprend trois facultés, en l’occurrence celle du droit et des sciences politiques, celle des sciences économiques, commerciales et des sciences de gestion et la faculté des lettres, langues et sciences sociales, a-t-on rappelé.
http://maghrebemergent.info/actualite/f ... -2013.html

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Relations algéro-indonésiennes en matière d'enseignement supérieur: Elles sont appelées à connaître un nouvel élan de coopération (14/09/20013)

Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Haraoubia, a reçu samedi à Alger l'ambassadeur d'Indonésie en Algérie, Ahmed Niam Salim Msi et ont "examiné les voies et moyens de renforcer davantage les relations des deux pays en matière d'enseignement supérieur et de recherche scientifique". "Lors de cette audience les deux parties ont examiné les voies et moyens susceptibles de renforcer davantage les relations entre les deux pays en matière d'enseignement supérieur et de recherche scientifique", a indiqué un communiqué du ministère. L'entretien a également constitué une occasion pour le côté indonésien pour solliciter l'octroi de bourses au profit des étudiants indonésiens qui veulent venir s'inscrire ou poursuivre leurs études supérieures au niveau des universités algériennes, a ajouté la même source. Au cours de cette rencontre, les deux parties ont également passé en revue l'état actuel des relations entre les deux pays notamment dans le domaine de l'enseignement supérieur, selon le communiqué. "Ces relations entre les deux pays sont appelés à connaître un nouvel élan de coopération à la faveur de la prochaine réunion de la commission mixte algéro-indonésienne", a souligné la même source. (R. N.)
http://www.lemaghrebdz.com/lire.php?id=52240
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