L'Economie Algérienne

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guidher
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Message par guidher »

Usine sidérurgique de Bellara (Jijel) : Première production expérimentale du rond à béton
L’usine sidérurgique implantée sur le site industriel de Bellara à El Milia, à 50 km au sud-est de Jijel, est entrée dans sa phase de production expérimentale, moins de deux ans après le lancement de ses travaux de réalisation, a-t-on constaté à l’occasion de la visite, hier, de Youcef Yousfi, ministre de l’Industrie et des Mines, à ce complexe.

Une visite guidée a permis au ministre et à la délégation qui l’accompagnait de constater de visu le gigantesque chantier de ce projet, qui s’étend sur plus de 200 ha, où de grands travaux sont en cours pour l’achèvement de ses opérations de montage. Youcef Yousfi a ensuite visité le compartiment du premier laminoir d’où sont sortis les premiers ronds à béton de diamètre 32 mm de cette usine, qui produira dès 2019, dans sa première phase, 2 millions de tonnes d’acier/an, avant d’atteindre une capacité de 4 millions de t/an dans son ultime étape.

Les premiers essais de production ont été entamés au mois de juillet dernier, avant que le premier laminoir, qui produira à terme 750 000 tonnes d’acier/an, ne se lance dans sa phase expérimentale au cours de ce mois d’octobre. Pour rappel, le complexe sidérurgique de Bellara, qui a nécessité un investissement de deux milliards de dollars, est le fruit d’un partenariat algéro-qatari.

Il est en cours de montage par le groupe italien Danieli au profit de la société mixte Algerian Qatari Steel (AQS), détenue à hauteur de 51% par Sider et le Fonds national d’investissement et 49% par International Qatari Steel. Dans une déclaration à la presse, Youcef Yousfi a d’abord évoqué une production pour couvrir les besoins nationaux en matière d’acier, avant de passer à l’exportation.

«Aujourd’hui, la première phase de la production a été entamée, le premier acier est sorti de l’usine, à terme on aura une production de tous les produits ; pour le moment, le premier objectif est de couvrir les besoins du marché local pour dépasser le stade de l’importation et passer à l’exportation», a-t-il déclaré.
http://www.elwatan.com/actualite/usine- ... 18_109.php

guidher
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Message par guidher »

La Banque africaine de développement (BAD) publie les chiffres de l'économie du continent
L’Algérie dans le quatuor des économies les plus riches d'Afrique

L’agence Ecofin, leader dans le domaine de l’information économique en Afrique, vient d’établir le classement des pays du continent suivant leurs performances économiques jusqu’à fin septembre dernier. Un classement dressé à partir des données puisées des statistiques de la Banque africaine de développement (BAD), publiées la semaine dernière à Abidjan.
La récession puis le redémarrage de la machine économique ont eu leur effet sur le continent africain dont les économies de plusieurs pays ont pu reprendre leur souffle grâce notamment au redressement des cours mondiaux des matières premières. C’est le cas par exemple du Nigeria où le produit intérieur brut (PIB) devrait atteindre cette année 581 milliards de dollars pour connaître ainsi une notable croissance de 12% par rapport à l’année dernière dans un pays où le PIB aux prix courants représente plus de 72% de l’ensemble des économies de l’Afrique de l’Ouest.
Ceci, eu égard à une forte production pétrolière et, donc, la remontée des cours des matières premières sur les marchés mondiaux depuis le début de cette année.
Le redéploiement de l’économie du géant qu’est le Nigeria a relégué loin, très loin, derrière l’autre place forte de l’économie de notre continent : l’Afrique du Sud, l’autre géant sorti tout récemment d’une récession pour voir sa richesse probablement dépasser, à la fin de cette année, les 276 milliards de dollars.
Les chiffres des performances réalisées jusque-là par les pays du Nord de l’Afrique offrent l’opportunité à l’Egypte d’occuper la troisième place du podium grâce à une activité économique presque du même niveau que celle de l’Afrique du Sud.
Selon les prévisions de la BAD, les Egyptiens devraient produire à la fin de cette année une richesse avoisinant les 264 milliards de dollars. Un inespéré début de sortie de récession pour l’économie égyptienne qui, de la sorte, renvoie loin derrière la performance algérienne qui, elle, pourrait totaliser, selon l’étude de la Banque africaine de développement, un volume d’activité de l’ordre de 170 milliards de dollars, une économie algérienne, comme le notait pas plus tard que la semaine dernière également, le rapport de la Banque mondiale stipulant qu’«une forte croissance de la production d’hydrocarbures et des dépenses publiques supérieures aux prévisions ont sous-tendu une croissance économique solide au début de l’année 2017».
Selon l’étude de la Banque mondiale, évidemment confortée par la BAD, la croissance du PIB réel a augmenté de 3,7% au premier trimestre de cette année en grande partie par la grâce de la forte production dans le secteur des hydrocarbures, qui a augmenté de 7,1% pour compenser l’activité hors hydrocarbures qui, elle, a ralenti pour s’établir à 2,8%, contre 4% au cours de la même période en 2016.
Derrière le quatuor constitué du Nigéria, l’Afrique du Sud, l’Egypte et l’Algérie, arrive l’économie soudanaise qui réussit ainsi, avec son PIB à 124 milliards de dollars, à surclasser le Maroc qui, pourtant, devrait réaliser une croissance d’au moins 4% en attendant plus du dynamisme de son économie résultant d’une diversification plus accentuée comparée aux autres géants du continent.
L’économie du royaume alaouite qui devrait peser à la fin de cette année plus de 121 milliards de dollars et devrait doubler sa taille dans une douzaine d’années, selon les chiffres consultés par l’agence Ecofin qui, par ailleurs, classe l’Angola, le deuxième producteur africain de pétrole, puis l’Ethiopie, locomotive de la croissance africaine, à la 8e place avec 93 milliards de dollars, et enfin le Kenya, avec ses 77 milliards, et la Tanzanie 52, pour compléter le top 10 des pays africains les plus riches.
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/ ... 8768&cid=2

samir_reghaia
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Message par samir_reghaia »

Document APS optimiste... Il faut voir le véritable rapport de l'OGB. Je vais voir si j'arrive à le trouver.
Algérie-Climat des affaires: plus de la moitié des chefs d'entreprises (enquête)


Plus de la moitié des chefs d'entreprises algériennes estiment que l'évolution du climat des affaires en Algérie sera "positive" au cours des douze prochains mois, alors plus des deux tiers de ces opérateurs prévoient un investissement important durant la même période, a révélé une enquête dévoilée mercredi soir à Alger, par le cabinet de recherche économique Oxford Business Group (OBG).
Réalisée pour la première fois en Algérie par OBG, en partenariat avec la Chambre algérienne de commerce (Caci) et le Forum des chefs d'entreprises (FCE), l'enquête a été menée entre mai et octobre 2017 auprès d'une centaine de dirigeants et chefs d'entreprises publiques (30%) et privées (70%), de différentes tailles, internationales (55%), locales (38 %), régionales (7%).
Cette enquête, dont l'intégralité sera publiée en décembre prochain, a été conçue pour calculer l'indice de confiance des dirigeants d'entreprises quant à la situation économique et les perspectives de développement au cours de la prochaine année.
"Les résultats de cette enquête démontrent que, dans une large proportion, les dirigeants d'entreprises évaluent de manière positive l'état de l'économie algérienne", note le rapport, présenté par Alexis Reynaud, responsable éditorial chez OBG.
A cet effet, la majorité (55%) des chefs d'entreprises interrogés estiment que l'évolution du climat des affaires en Algérie sera "positive" au cours des douze prochains mois, alors que 6% d'entre eux estiment qu'elle sera "très positive".
Mieux encore, plus des deux tiers (70%) des chefs d'entreprises ont indiqué qu'ils étaient "susceptibles" ou "très susceptibles" d'effectuer un investissement "important" l'année prochaine.
Ces résultats "démontrent un indice de confiance élevé et espérons-le, un pari vers une plus importante diversification de l'économie", estime le rapport.

APS
http://maghrebemergent.com/actualite/br ... quete.html
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guidher
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Message par guidher »

Fabrication de peinture
Le norvégien Jotun lancera une usine en Algérie

Le fabricant norvégien de peinture Jotun compte lancer, dans la nouvelle zone industrielle de M’sila, d’ici quelques mois, une usine de fabrication de divers produits de peinture destinés à la décoration, la protection, aux navires et au revêtement de sol et de béton.


C’est ce qu’a annoncé, jeudi soir à Alger, le directeur général de Jotun Algérie, Ashraf Maged, lors d’une rencontre organisée à l’occasion du lancement de la nouvelle gamme de couleurs 2018. Fondée en 1926 en Norvège et appartenant à la famille Gleditsch et au groupe norvégien Orkla, la société Jotun est devenue aujourd’hui leader mondial en termes de développement de produits spécifiquement adaptés aux conditions locales. Sa gamme diversifiée comprend des produits décoratifs, protecteurs, marines, revêtements de sol et de béton, en poudre et intumescents. Les plus célèbres édifices et autres monuments, à travers le monde, ont été peints avec les produits de la marque, à l’instar de la Tour Eiffel (France) et les gigantesques buildings de Dubaï (Bordj Al Arab), mais aussi plusieurs plateformes pétrolières offshore.
Présent dans une centaine de pays, le fabricant norvégien active en Algérie depuis 2011, mais veut «renforcer sa présence dans un marché où les produits de peinture se développent considérablement, au rythme des projets de construction de logement et autres projets industriels utilisant la peinture protectrice, notamment dans les installations pétrolières ou dans la rénovation des navires», souligne le partenaire algérien de Jotun, Dekar Karim, directeur général de la société Satal. Avec ses 25 agents distributeurs, répartis à travers le territoire national, Jotun Algérie veut continuer à développer son réseau de distribution pour atteindre plus de 30 showrooms début 2018, et «augmenter ainsi sa clientèle et sa part de marché en Algérie». «La marque ambitionne de devenir l’un des principaux fournisseurs internationaux de peinture et de revêtements de haute qualité en Algérie avec des prix compétitifs, notamment sur la gamme haute qualité», souligne Ashraf Maged. Pour l’année 2018, Jotun Algérie a lancé, en Algérie, 23 nouvelles couleurs sur un total déjà disponible de 32 couleurs.
http://www.elwatan.com/economie/le-norv ... 23_111.php
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sadral
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Message par sadral »

Good news :D
Téléphonie Mobile: Time Com assemblera des téléphones Samsung en Algérie

L'équipementier sud-coréen a décidé de se lancer dans le montage de téléphones mobiles en Algérie. En effet, les téléphones mobiles de marque Samsung seront désormais assemblés en Algérie pour les besoins du marché local dans un premier temps.

Le groupe AZ, distributeur officiel de Samsung en Algérie, à travers sa filiale "Time Com" annonce l’inauguration de l’usine Samsung en Algérie le 25 novembre prochain. Cette déclaration a été faite à l'occasion de la signature d'une convention de partenariat entre le Ministre la Formation Professionnelle et la société Samsung.

La société Time Com indique que cette usine est irriguée dans la commune de Rouïba (Est d'Alger), elle assemblera des smartphones de Samsung en SKD avant d’entamer l’année prochaine la production en CKD. Au lancement de l'activité, deux chaines de montages seront opérationnelles pour un effectif total de 177 personnes.

L'unité Algérienne de Samsung se donne comme objectif de produire 1,5 millions de téléphones avant d’atteindre en 2019 les 2 millions d’unités. Cette usine ne se contentera pas seulement du montage de smartphone, mais produira progressivement divers composants de téléphones mobiles.
http://www.mobilealgerie.com/?q=content ... en-algerie
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Message par samir_reghaia »

Algérie: Yousfi veut exporter du ciment, des véhicules et des médicaments


Selon le ministre, l’Algérie « est appelée à devenir un acteur actif sur le marché d’exportation ».



Le ministre de l’Industrie, Youcef Yousfi est optimiste quant aux potentialités de son secteur à couvrir les besoins locaux et même à exporter. Pour donner quelques détails sur cette stratégie, il a écrit un éditorial dans le numéro zéro de la revue Algérie-industrie sorti dernièrement.

De nombreux exemples des secteurs aptes à réaliser des exportations dès 2018 sont cités dans son texte. Il s’agit notamment du ciment avec l’entrée en production de la cimenterie de Biskra (Cilas), en juillet, dernier et celle d’Adrar au premier trimestre 2017.

En plus du ciment, Yousfi assure que le secteur de l’industrie a la capacité d’assurer l’exportation des véhicules et des médicaments et des produits sidérurgiques. «Grâce à de nouvelles unités (de production), l’Algérie est appelée à devenir un acteur actif sur le marché d’exportation », écrit le ministre.

«Il en est de même pour certains produits sidérurgiques (…) et pour la filière du textile», ajoute le ministre qui n’omet pas de mettre en exergue le fait que l’industrie automobile nourrit l’ambition « d’être présente sur le marché international ».

A côté de ces secteurs, le ministre cite le domaine minier (phosphate et urée) permettant à l’Algérie « de jouer un rôle de premier plan dans l’exportation de ces produits hautement demandés ».

L’agroalimentaire est l’un des autres secteurs sur lesquels compte Yousfi pour que l’industrie puisse améliorer ses performances et « constituer un pôle de choix dans la diversification de l’économie qui reste la priorité du gouvernement ».
http://maghrebemergent.com/economie/alg ... ments.html
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samir_reghaia
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Message par samir_reghaia »

Je veux bien, mais on a déjà eu des tonnes de projets dans le domaine, mais qui au final n'avancent pas... ou qui débouchent sur des scandales...
Algérie : Yousfi veut multiplier la production de phosphate par dix


« Nous estimons à peu près à deux milliards de tonnes les réserves connues de phosphate. En explorant davantage, nous sommes persuadés que nous découvrirons que les réserves sont beaucoup plus importantes ».



Le secteur des mines est sous-exploité mais l’Algérie est en train de revoir sa politique en la matière, et le phosphate dont les gisements sont d’une très grande importance, occupe une place de choix dans la démarche du Gouvernement. C’est ce qu’a déclaré le ministre de l’Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, dans un entretien accordé à OBG. « Le secteur des mines est hélas sous-exploité. Nous nous attelons sur le court terme à la réalisation du projet d’exploitation et de la transformation du phosphate en engrais dans la région de Tébessa. Les études sont bien avancées, et nous avons une idée bien établie sur les partenaires, cela devrait nous permettre d’aller vite dans cet objectif », a-t- déclaré, optimiste.

S’agissant de la situation actuelle du secteur, M. Yousfi a indiqué que « le secteur produit un million, voire un million et demi de tonnes par an ». Toutefois, dans le cadre des nouveaux projets en cours d’élaboration, l’Algérie projette de multiplier par dix cette production. « Nous projetons de produire au minimum dix à douze millions de tonnes/an », a-t-il affirmé en précisant que « le phosphate est destiné à être traité, puis enrichi, et, sera transformé en acide phosphorique ». M. Yousfi a également fait savoir que cette transformation se réalisera à Oued Kebrit dans la wilaya de Souk-Ahras et que, parallèlement, une usine d’ammoniac sera réalisée à Hadjar Soud, Skikda, d’une capacité d’un million de tonnes de nitrate destinée à la transformation de cet ammoniac. Le ministre de l’Industrie et des Mines a, par ailleurs, déclaré que les réservés algériennes en phosphate sont extrêmement importantes. « Nous estimons à peu près à deux milliards de tonnes les réserves connues de phosphate avec le taux d’exploration actuelle. En explorant davantage, nous sommes persuadés que les réserves sont beaucoup plus importantes », a-t-il dit.

Le problème du transport

Youcef Yousfi a néanmoins indiqué que le développement du secteur minier est tributaire du développement du transport car ces deux secteurs sont intimement liés. « Il est important de savoir que l’exploitation de ce méga-gisement ne peut être dissociée de son acheminement, pour cela il faudra évacuer les 10 millions de tonnes de phosphates de Bir Attar jusqu’à l’usine. Une ligne de chemin de fer électrifiée est actuellement remise à niveau et renforcée à cet effet. Les trains qui transportent un million de tonnes ne sont pas les mêmes, ils sont différents. Cette nouvelle situation est mise à profit également pour remettre à niveau la ligne de chemin de fer, qui va sur les mines de fer de l’Ouenza et de Boukhadra. Elle devra les relier sous la forme d’une bretelle », a-t-il avancé en soulignant que « l’État a dégagé les moyens pour la réalisation dans les plus brefs délais de cette ligne pour exploiter ces gisements de phosphates ».

La problématique de l’eau et de l’acide sulfurique et de la main-d’œuvre

Le ministre de l’Industrie et des mines a aussi insisté sur l’indispensabilité de l’eau pour une exploitation rentable du phosphate. « Il faut aussi savoir que la fabrication d’acide phosphorique nécessite beaucoup d’eau, deux barrages existent déjà et la réflexion se décline pour la mobilisation de l’eau au sud de la wilaya de Tébessa dans la région de Negrine, où il existe beaucoup d’eau », a-t-il avance. De plus, selon lui, pour fabriquer de l’acide phosphorique, il faut non seulement du phosphate mais aussi de l’acide sulfurique dont la fabrication passe par l’importation du soufre. Mais pas seulement. Car le problème du secteur minier est aussi le manque de moyens humains. « Le problème numéro un auquel nous sommes confrontés est lié à la réduction drastique de la ressource humaine. Il s’agit d’un sérieux problème auquel nous sommes confrontés, auquel nous essayons d’apporter des solutions, en considération des ressources dont dispose notre pays dans ce domaine et qui sont considérables», a-t-il ajouté.
http://maghrebemergent.com/economie/alg ... r-dix.html
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Message par samir_reghaia »

C'est 18000 DA pour 5 ans?
C'est beaucoup en tout cas si c'est pour une année...
Par ailleur, je ne crois pas du tout que l'impot sur la fortune n'ait pas fait l'objet de pressions... c'est impossible.
L’Algérie imprimera 1800 milliards de dinars, selon le ministre des Finances


Le ministre a assuré que l’annulation de l’impôt sur la fortune n’est pas le résultat d’une quelconque pression qu’aurait exercé le Forum des chefs d’entreprise (FCE) sur les députés.



En tout, 1800 milliards de dinars seront imprimés pour appuyer le dispositif de financement non conventionnel, a annoncé, hier, le ministre des Finances, Adberrahmane Raouia.

C’est au cours d’une conférence de presse tenue à l’issue du vote de la loi des Finances 2018, que le ministre des Finances a donné ce chiffre insistant, néanmoins, que le financement non conventionnel « n’est pas une porte ouverte à toutes les dérives ». Il ajouté que la somme annoncée était un maximum qu’il ne serait pas souhaitable d’atteindre. « Nous travaillons dur et nous essayons par tous les moyens de réduire le montant de 1800 milliards de dinars », a-t-il assuré.

Le Gouvernement avait expliqué que l'objectif du recours à la planche à billets avait pour but d' « autoriser la Banque d'Algérie, à titre exceptionnel et durant une période de cinq années, à procéder à l'achat direct de titres émis par le Trésor ». Abderrahmane Raouia avait annoncé auparavant que « pas moins de 900 milliards de DA seront mobilisés pour la prise en charge des dettes de Sonatrach. »

Par ailleurs, le ministre a souligné que « la priorité demeure actuellement la lutte contre l'évasion fiscale et l'augmentation des recettes fiscales, à travers l'exploitation de tous les moyens offerts au niveau de l'administration fiscale ». Enfin, Raouia a assuré que l’annulation de l’impôt sur la fortune n’est pas le résultat d’une quelconque pression qu’aurait exercé le Forum des chefs d’entreprise (FCE) sur les députés. « Le FCE n’a pas exercé de pression pour la suppression de l’impôt sur la fortune. C’est l’Assemblée qui a supprimé l’article 12 du PLF 2018. Cette institution est souveraine et elle n’a fait que jouer son rôle législatif », a-t-il affirmé.
http://maghrebemergent.com/economie/alg ... ances.html
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Message par samir_reghaia »

"Les entreprises qui dépendent de la commande publique ont un sursis d’un an" (Benkhalfa)


Selon l’ancien ministre des Finances, les entreprises algériennes dont les capitaux sont à 100% algériens et familiaux, n’ont pas assez d’atouts pour s’internationaliser.



Abderrahmane Benkhalfa, ancien ministre des Finances, a déclaré, hier lors d’une rencontre tenue à Alger, que les entreprises algériennes sont devant un grand dilemme : l’incapacité de s’internationaliser et la difficulté à survivre dans le marché local en raison de la réduction notable de la commande publique. En effet, s’agissant de l’internationalisation, il a affirmé que les entreprises algériennes n’ont pas assez de potentiel pour y arriver.

Intervenant en tant qu’expert à la première édition du Forum Banques/PME, organisé par la CACI-France, à l’hôtel EL Djazair d’Alger, il a indiqué qu’«on ne peut pas s’internationaliser si on a des capitaux à 100% algériens et familiaux», tout en précisant que «les banques algériennes font face à un marché surchargé». «80% des entreprises sont rattachées à la dépense publique», a-t-il ajouté pour relever la fragilité des entreprises algérienne.

Par ailleurs, abordant le contexte économique national, il a déclaré que les entreprises dont la survie dépend de la commande publique ont un sursis d’un an. « Les entreprises rattachées à la dépense publique n’ont qu’un sursis d’un an. Le budget d’équipements à doublé pour 2018 estimé entre 2000 et 4000 mds DA. Le pouvoir d’achat des citoyens n’a pas été touché. Et enfin, les taxes (TVA, IBS, IRG) n’ont pas connu de changement également, ce qui représente une stabilisation pour les entreprises», a-t-il déclaré avant de souligner que cette la LF 2018 est « exceptionnelle » et qu’à l’avenir, « les entreprises doivent réfléchir plus « marché » que « rente ».
http://maghrebemergent.com/economie/alg ... halfa.html
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Message par samir_reghaia »

"Les liquidités bancaires ont chuté de 2006 milliards en 3 ans" (DG-Bourse d’Alger)

Le directeur général a précisé que «la liquidité bancaire a baissé à 72% en 2017 contre 64% en 2016».



«En 2014, les liquidités bancaires étaient de 2731 mds DA et en juin 2017 elles ont chutées à 725 mds DA», a déclaré le directeur général de la Société de gestion de la bourse des valeurs (SGBV), Yazid Benmouhoub, soit une différence de 2006 milliards de dinars en trois ans.

Le DG de la bourse qui s’exprimait lors de la première édition du Forum Banques/PME, organisé avant-hier par la CACI-France, à l’hôtel EL Djazair d’Alger a signalé que Les banques ne pouvaient plus financer l’économie comme il se doit en raison, d’une part, de la rigidité du système bancaire et, d’autre part, de la non-disponibilité de liquidités.

M. Benmouhoub a appelé les entreprises à recourir au marché financier pour se financer en rappelant les avantages qu’offre celui-ci, notamment dans, la conjoncture de stress budgétaire actuelle. «Notre économie est dépendante du financement bancaire. Et du moment qu’on ne peut pas changer de système bancaire rapidement, nous avons vu que la bourse se place comme solution», a-t-il indiqué. Car, selon lui, les difficultés financières du pays et la rigidité de l’appareil administratif ne permettent pas une réforme rapide du système bancaire, ce qui constitue une sorte de « prise en otage » de la sphère économique par un système obsolète. De fait, selon lui, « le recours à la bourse représente une alternative ». De plus, a rassuré M. Benmouhoub, «nous ne nous plaçons pas comme concurrents des banques » en précisant que «la liquidité bancaire a baissé à 72% en 2017 contre 64% en 2016».
http://maghrebemergent.com/economie/alg ... alger.html
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Re: L'Economie Algérienne

Message par samir_reghaia »

Pas sur que ce soit le bon topic.
Surprenant comme information. Surtout l'allusion faite au port marocain... :shock: :shock: :shock:
Le stand Algérie restera vide lors de la Foire Internationale de Dakar


La Safex n’a pas pu faire parvenir à temps le matériel des 57 exposants algériens à la FIDAK qui débute ce lundi.

Les 57 exposants prévus pour remplir le stand Algérie durant la foire internationale de Dakar, ont connu une cuisante mésaventure. Leur matériel d’exposition n’est pas arrivé au port de la capitale sénégalaise. L’événement économique le plus couru de l’année se fera donc sans eux.

Parmi les entreprises algériennes exposantes à cette édition 2017 de la FIDAK, des marques connues comme Condor, SIM, Ramy, Vénus, ou encore l’afficheur public AD display qui a loué 150 m2 pour rien. Selon des sources algériennes à Dakar, la Safex a fait savoir a ses clients que son transport du matériel des exposants algériens a été bloqué au port de transit marocain de Tanger Med. Maghreb Emergent n’a pas pu vérifier cette information auprès de la SAFEX à l’heure où elle l’a reçu.

« Dans le meilleur des cas le matériel arrivera à Dakar le 23 décembre » selon la même source. Le matériel avait été mis à la disposition du fret le 04 novembre dernier et disposait de 40 jours pour être acheminés à Dakar par la Safex. Plusieurs chefs d’entreprise algériens qui ont fait le déplacement à Dakar sont immédiatement rentrés en Algérie sans attendre l’inauguration de la foire.

L’utilisation des services de la Safex pour le transport du matériel des exposants vers les foires et salons à l’international permet aux entreprises exposantes de réduire les charges de transport de 80%, dans le cadre des subventions à l’exportation. Ce n’est pas la première fois que la Safex laisse ses clients sans matériel à exposer à l’international.
http://maghrebemergent.com/economie/alg ... dakar.html
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Message par samir_reghaia »

Bonne nouvelle.
Brandt ouvrira une usine géante à Sétif en 2018


Brandt Algérie ouvrira une usine géante de produits électroménagers à Sétif en 2018, annonce son directeur général Tahar Benadji. “C’est une usine qui produira plus de 8 millions d’appareils électroménagers par an pour un investissement de 300 millions de dollars. Le taux d’intégration avoisinera 80%. Une grande partie de la production sera exportée. L’usine permettra la création de 7.500 emplois directs. Elle est implantée sur un site de 110 hectares à Guedjel dans la wilaya de Sétif et ouvrira avant le premier trimestre 2018”, détaille-t-il dans une déclaration à TSA, ce mardi.

Outre l’inauguration de cette usine géante, Brandt Algérie, qui dispose déjà d’une usine située dans la zone industrielle de Sétif, a annoncé ce mardi à Alger le lancement de trois nouveaux produits en 2018. Il s’agit de “Brandt Super ultra Slim TV”, décrite par la marque rachetée par Issad Rebrab, comme une “nouveauté de taille” qui ” s’annonce sans concurrence”. “Le design ultra raffiné du super ultra slim TV le plus fin au monde que Brandt Algérie fabrique localement a eu à reconnaître les prouesses de la marque désormais inscrite au registre des préférences d’une clientèle des plus exigeantes”, explique Brandt.

Le deuxième produit est “Brandt search”, une application de recherche de contenus et de programmes introduite par Brandt sur sa gamme de 2018 et qui “s’annonce comme un atout inédit en Algérie et ne manquera point de susciter l’intérêt de la clientèle toujours à l’affût des meilleures offres”. Le troisième produit est “le programme de soutien scolaire Likoul”, qui est “disponible gratuitement et exclusivement sur toute la gamme TV Brandt, Smart et non smart, avec ou sans internet.”

“Après le franc succès du programme de soutien scolaire Likoul lancé fin 2016 exclusivement sur les téléviseurs smart Brandt, Brandt Algérie généralise ce programme à toute la nouvelle gamme TV, smart ou non smart en introduisant la possibilité d’y accéder sans pour autant que la TV soit connectée à internet”, explique Brandt Algérie dans un communiqué.

« Nous sommes très fiers de lancer des produits constituant une réponse étudiée aux besoins du marché dans toute sa composante en alliant intelligence et utilité. Nous sommes d’autant heureux et fiers de généraliser le programme Likoul à toute la gamme TV 2018 Brandt et le rendre accessible même sans internet…telle est la promesse tenue l’année passée. Nous sommes fiers de contribuer à l’éducation des générations futures qui feront l’avenir de la Nation », a déclaré M. Benadji. Il ajoute que la marque vise ” le leadership sur le marché algérien” et “le développement des activités export” afin de “contribuer à la diversification des exportations hors hydrocarbures de notre pays». Durant les neuf premiers mois de 2017, Brandt Algérie a exporté pour 24,8 millions de dollars, selon M. Benadji.
https://www.tsa-algerie.com/brandt-ouvr ... f-en-2018/
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deyaziz
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Re: L'Economie Algérienne

Message par deyaziz »

A u moins celui là investi un peu dans le pays, (Rabbi ybarak lahou) 7.500 emplois directs.

guidher
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Re: L'Economie Algérienne

Message par guidher »

L'Iran souhaite acheter le phosphate algérien

Les réserves de phosphate de l’Algérie sont estimées à près de deux milliards de tonnes. Sa production annuelle est estimée à 1,5 millions de tonnes.

L'ambassadeur d'Iran à Alger, Reda Amiri, a fait part jeudi à Alger, lors d'un entretien avec le ministre de l'Industrie et des Mines, Youcef Yousfi, du souhait de son pays d'acheter le phosphate algérien, a indiqué un communiqué du ministère de l'Industrie et des Mines.

M. Amiri "a affiché le souhait de l'Iran, grand importateur de phosphate, d'acheter cette matière première directement à partir de l'Algérie", note la même source. M. Yousfi s'est dit favorable à cette proposition, invitant les entreprises dans les deux pays à engager des discussions afin d'arriver à des accords permettant l'exportation du phosphate algérien vers l'Iran.

Les réserves de phosphate de l’Algérie sont estimées à près de deux milliards de tonnes. " En explorant davantage, nous sommes persuadés que nous découvrirons que les réserves sont beaucoup plus importantes ", avait affirmé M. Yousfi en novembre dernier au magazine algérien Oil &Gas Business (OGB).

Selon lui, l’Algérie produit un million, voire un million et demi de tonnes par an de phosphate. Toutefois, dans le cadre des nouveaux projets en cours d’élaboration, l’Algérie projette de multiplier par dix cette production. " Nous projetons de produire au minimum dix à douze millions de tonnes/an ", a-t-il affirmé en précisant que « le phosphate est destiné à être traité, puis enrichi, et, sera transformé en acide phosphorique ».
http://www.maghrebemergent.info/economi ... erien.html
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sadral
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Re: L'Economie Algérienne

Message par sadral »

Quatre unités de production industrielle inaugurées demain à Alger


Le Ministre de l’Industrie et des Mines M. Youef yousfi, procèdera demain lundi, à l’inauguration de plusieurs projets industriels à Alger, au cours d’une visite de travail, a indiqué le Ministère de l’Industrie et des Mines dans un communiqué rendu public.

Selon la même source, ces projets industriels qui entreront en production, consistent essentiellement en des usines dans les filières de pièces détachées des véhicules, de la téléphonie mobile, de l’agroalimentaire et des matériaux de construction.

Une unité de production des plaquettes et de mâchoires de freins automobiles

Après la première unité de production de plaquettes et mâchoires de freins installée par le groupe Tahkout à Reghaia, une deuxième unité dans la même filière sera inaugurée par le Ministre de l’Industrie au niveau de Oued El Karma (commune de Saoula), dans le Sud d’Alger. Cette unité, comme première phase, démarrera avec la fabrication de plaquettes de freins avec une capacité de production de 100.000 unités sur l’année 2018 avant de passer à 200.000 unités en 2020, selon la même source, qui a précisé que, concernant la production des mâchoires de freins, ce n’est qu’à partir de 2019 que cette usine en produira avec une capacité de production de 100.000 unités/an.

Une usine de Smartphones de la marque Samsung

Selon le communiqué du département de l’Industrie, Yousfi procèdera dans la même journée à l’inauguration d’une unité de montage de Smartphones de la marque sud-coréenne «Samsung» localisée dans la zone industrielle de Rouiba.

«Cette usine produira, 1,5 million de téléphones en 2018 avant de passer à 2,5 millions d’unités en 2019», en précisant que «la gamme de Smartphones que produira l’usine est composée de Samsung Galaxy J dont notamment le J7 Pro, J3 Pro, J7 Prime, J7 Core et le Grand Prime Plus, sous l’emblème Samsung Fi Bladi».

«Implantée sur un terrain d’environ deux (2) hectares, l’usine est dotée d’une ligne d’assemblage et de production de 3.600 m2 et qui devrait connaître une extension à partir de sa deuxième année» a ajouté le même communiqué, tout en rappelant que «ce projet a été réalisé dans le cadre d’un partenariat entre le fabricant sud-coréen de téléphones mobiles Samsung Electronics à travers sa filiale algérienne Samsung Algérie et son partenaire de distribution Timecom».

Une usine de produits laitiers d’une capacité de 250 000 litres par jour

Dans la filière agroalimentaire, une unité de production de produits laitiers de la compagnie Ramy Milk d’une capacité de production de production de 250 000 litres/jour.

En outre, dans la filière des matériaux de construction, le ministre inaugurera aussi, une unité de production de différentes gammes de dalles de sol d’une capacité de production de 12.000 m2/jour.

Ouverture d’une Maison de l’Entreprise d’Alger et d’un Centre de Facilitation des PME

Par ailleurs, selon le communiqué du Ministère, «dans le cadre du développement des PME, M. Yousfi procédera à l’ouverture de la Maison de l’entreprise d’Alger, située dans la commune d’El Mohammadia».

«Prévue par la loi de promotion de l’investissement promulguée en 2016», rappelle la même source, en expliquant que «cette nouvelle entité regroupera en son sein quatre (4) organismes d’appui à la PME: Le Centre de facilitation des PME, la Pépinière de l’entreprise d’Alger, le Fonds de garantie des crédits aux PME (Fgar) et l’Agence nationale de développement de la PME (Andpme)».

«Cette organisation intégrée devrait garantir la prise en charge efficiente des PME et des porteurs de projets en leur évitant les déplacements et la dispersion à travers plusieurs endroits pour bénéficier des services offerts par ces organismes», note-t-on de même source.

Sur les lieux, le ministre procédera également à «l’inauguration du Centre de facilitation des PME qui assurera l’accompagnement, l’orientation et la formation au profit de jeunes porteurs de projets innovants, et inspectera également l’état d’avancement du projet de la Pépinière de l’entreprise d’Alger».
https://www.algerie-eco.com/2018/01/07/ ... n-a-alger/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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