Industrie pharmaceutique

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tahiadidou
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

Message par tahiadidou »

Toujours les memes méthodes mafieuses du choukirisme.
Ne vous étonner pas si Sellal est derriere la décision car les apparences sont toujours trompeuses.
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sadral
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

Message par sadral »

Production de médicaments : Novartis investira 35 millions de dollars en Algérie


Le groupe pharmaceutique suisse Novartis va investir en Algérie 35 millions de dollars au titre d’un plan de développement qui s’étale jusqu’à 2017, a appris L’Éconews auprès du DG Novartis Algérie, M. Karim Harchaoui.


« Nous avons décidé d'investir, durant les deux années à venir, 35 millions de dollars dans notre usine de Sandoz à Oued Smar, non seulement pour mieux répondre à la demande locale en médicament, mais aussi pour se lancer dans l’exportation du surplus de production », a déclaré M. Harchaoui.

Cet investissement, selon lui, devra consolider la position concurrentielle du groupe sur le marché et augmenter sa position parmi les plus importants investisseurs dans le secteur pharmaceutique en Algérie. « Novartis est parmi les 3 premiers laboratoires au monde. En Algérie, nous occupons le 7ème rang. Notre objectif pour les prochaines années est de se classer parmi les 3 premiers laboratoires en», dira M. Harchaoui.

Le même responsable affirme que de nouveaux produits sont en attente d’enregistrement et d’homologation au niveau du ministère de la santé. Il s’agit notamment de médicaments pour les maladies cardiovasculaires et respiratoires, entre autres, précise notre interlocuteur, qui a tenu à rappeler que Novartis ne produit pas de générique.

M. Harchaoui a reconnu, par ailleurs, que l’année 2015 est une année très particulière, marquée par la baisse des revenus pétroliers, ce qui s’est répercutée sur les importations des médicaments. « Les laboratoires installés en Algérie, notamment ceux ayant investi dans la production, se défendent mieux devant la crise actuelle », a-t-il affirmé. « Pour faire face à cette crise, il faut investir localement », a-t-il ajouté.
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 92_340.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

samir_reghaia
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

Message par samir_reghaia »

L’Algérie met le cap sur l’amélioration de sa production pharmaceutique (document OBG)

Le nombre d’unités de production du secteur pharmaceutique dans le pays serait de 132, et 230 autres seraient en cours de réalisation.

La consommation de produits pharmaceutiques est stimulée par le système de santé algérien, qui offre une couverture quasi universelle et une gratuité des soins. Les Algériens ont également directement accès aux médicaments grâce à la carte à puce individuelle CHIFA : lancée en 2007, elle permet de bénéficier du tiers payant dans un réseau de plus de 10 000 pharmacies participantes.



Dans le cadre d’une politique de diversification de son économie et afin de se hisser parmi les grands exportateurs de produits pharmaceutiques, les efforts déployés par l’Algérie pour attirer les investissements étrangers vers son industrie pharmaceutique semblent porter leurs fruits.

Deuxième marché pharmaceutique sur le continent africain après l’Afrique du Sud, avec des ventes annuelles totalisant 3 milliards de dollars, l’Algérie, qui détient des réserves d’hydrocarbures considérables, est particulièrement attrayante pour les groupes pharmaceutiques internationaux.
Avantages comparatifs

La demande de médicaments affiche une croissance à deux chiffres, portée par un ensemble de facteurs divers. La hausse des ventes s’explique en grande partie par la mutation démographique que connait actuellement l’Algérie : le pays, dont la population atteint 39,5 millions d’habitants, enregistre une croissance importante du nombre d’adolescents et de personnes âgées par rapport au reste de la population, selon l’ONU. Le ratio de dépendance démographique, qui désigne la proportion des personnes de moins de 15 ans et de plus de 64 ans par rapport à la population en âge de travailler, était de 52% l’année dernière, selon les chiffres publiés par la Banque Mondiale.

De plus, comme c’est le cas pour de nombreux marchés émergents, l’augmentation du niveau de vie s’est accompagnée d’une transition épidémiologique et les maladies infectieuses ont fait place à des maladies chroniques associées à un mode de vie, tels que le diabète, nécessitant des traitements plus complexes et plus coûteux.

En outre, la consommation de produits pharmaceutiques est stimulée par le système de santé algérien, qui offre une couverture quasi universelle et une gratuité des soins. Les Algériens ont également directement accès aux médicaments grâce à la carte à puce individuelle CHIFA : lancée en 2007, elle permet de bénéficier du tiers payant dans un réseau de plus de 10 000 pharmacies participantes.

Les frais à la charge du patient représentent seulement 20,9% de l’ensemble des dépenses de santé en Algérie, selon l’Institut de Prospective Economique du Monde Méditerranéen (IPEMED), un chiffre bien moins élevé qu’en Tunisie (39,8%) ou qu’au Maroc (53,5%).
Priorité au marché intérieur

La législation interdisant l’importation des médicaments qui sont déjà produits en Algérie, introduite en 2008 puis étendue en 2012, joue un rôle important de moteur de croissance.

« L’impact clé des mesures visant à réduire les importations consistera en une accélération de la production locale de produits pharmaceutiques, » a déclaré à OBG Habib Bennaceur, directeur Afrique du Nord et de l’Ouest du groupe pharmaceutique multinational AstraZeneca.

Les importations de produits pharmaceutiques ont chuté de 24,7% au cours des neuf premiers mois de l’année 2015, pour s’établir à 1,37 milliard de dollars, selon l’Office National des Statistiques algérien.

Le prix des médicaments importés évolue également à la baisse, selon le Ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière (MSPRH), suite à des négociations avec des entreprises pharmaceutiques. Un nouveau système de tarification a été adopté, basé sur la comparaison des prix à l’international et destiné à obtenir les meilleurs prix pour l’Algérie.

Entre temps, la production nationale a enregistré une hausse considérable, à hauteur de 41% l’an dernier, selon des chiffres publiés par le MSPRH, tandis que le nombre d’usines et d’unités de production du secteur pharmaceutique installées dans le pays est désormais de 132, et que 230 nouveaux projets sont en cours de réalisation.
Liens stratégiques

Selon la société de services informatiques à destination du secteur de santé, IMS Health, près de 30 grands fabricants de médicaments sont déjà implantés sur le marché algérien, dont le groupe français Sanofi Aventis, le géant britannique GlaxoSmithKline, Hikma Pharmaceuticals de Jordanie et le Danois Novo Nordisk. Si traditionnellement la chaine logistique a été dominée par des groupes français, les entreprises chinoises et indiennes jouent désormais un rôle plus important, selon les médias.

Les acteurs étrangers – qui en vertu de la législation actuelle sont limités à une participation de 49%- sont également tenus d’accepter les prix fixés par l’Etat pour ce qui est des médicaments, ainsi que de réduire progressivement les importations et de stimuler la production locale, en particulier en matière de génériques.

Dans le cadre d’une politique d’accroissement du transfert de technologies et de l’innovation dans les secteurs pharmaceutique et biotechnologique, l’Etat algérien encourage les entreprises à s’installer dans les parcs dédiés, tel que le parc technologique de Sidi Abdallah et le parc industriel à Constantine, qui abrite déjà près de 20 usines pharmaceutiques.
Augmenter la production locale

Au mois d’août, le Premier Ministre Abdelmalek Sellal a appelé le plus grand acteur algérien du secteur, le groupe public SAIDAL, à accroitre sa production de manière à assurer au moins 30% de la production nationale. Sellal a également indiqué que des partenariats avec des laboratoires étrangers, en particulier ceux qui sont spécialisés dans des technologies médicales de pointe, pourraient aider SAIDAL à atteindre cet objectif.

Les annonces faites ces derniers mois par plusieurs acteurs du secteur et visant de grands investissements à destination de leurs activités en Algérie devraient étayer les efforts du gouvernement visant à accroître la production locale et à gagner des parts de marché.

Début juin, AstraZeneca a annoncé un projet de construction d’une nouvelle usine, pour un coût de 125 millions de dollars, qui fabriquera des médicaments de cardiologie, de cancérologie, de gastroentérologie et de diabétologie dans le cadre d’un partenariat 49:51% avec deux entreprises algériennes, Salhi et Hasnaoui. La date de livraison de l’usine est prévue pour le premier semestre de 2017.

Quelques semaines plus tard, Sanofi a révélé son intention d’investir 70 millions d’euros dans une troisième usine dans le pays, sa plus grande usine en Afrique à ce jour. D’après des communiqués du groupe, l’usine aura une capacité de production de quelque 100 millions d’unités par an, soit près de 80% du volume actuellement distribué par Sanofi en Algérie.

Signe de l’intérêt croissant de la part d’acteurs non-européens, le fabricant indien Cipla a annoncé au mois d’octobre son intention d’établir une joint-venture 40/60% - le reste des parts sera détenu par un consortium algérien mené par Biopharm – afin de fabriquer des produits respiratoires. La joint-venture compte investir jusqu’à 15 millions de dollars dans une nouvelle unité de production dans le pays.

http://maghrebemergent.com/economie/alg ... t-ogb.html
Les grands changements ne viennent que d'en bas.
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sadral
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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Excellent
Biopharm entrera à la bourse d’Alger début 2016



Biopharm, l’un des plus importants fabricants de médicaments en Algérie, va céder au moins 20% de son capital via la bourse d’Alger début 2016, a-t-on appris ce jeudi 10 décembre de source proche de cette entreprise privée. « Biopharm va céder au moins 20% de son capital via la bourse d’Alger », affirme la même source. Et comme nous l’avions annoncée mercredi, la Cosob devrait lui accorder le visa pour son introduction en bourse dans les tout prochains jours. La Banque extérieure d’Algérie devrait piloter l’opération d’introduction en bourse qui sera lancée début 2016. « Cette introduction nous permettra d’améliorer la gouvernance et de poursuivre le développement de la société », explique la même source.
Biopharm a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 40 milliards de dinars en 2014, selon la même source. Le laboratoire détenu en partie par la famille Kerrar a signé un contrat avec le géant indien des médicaments génériques Cipa pour créer une joint-venture en Algérie. Biopharm a également obtenu un agrément de l’Agence française du médicament pour exporter certains médicaments fabriqués en Algérie vers la France.

En 2013, Biopharm avait déjà ouvert son capital à un consortium financier dont fait partie l’institution financière allemande DEG.
http://www.tsa-algerie.com/20151210/bio ... ebut-2016/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

guidher
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

Message par guidher »

Médicaments: 357 produits fabriqués en Algérie interdits à l'importation
Un arrêté ministériel publié au journal officiel no62 a fixé la liste des produits pharmaceutiques à usage humain et matériels médicaux fabriqués en Algérie qui sont interdits à l'importation.
Il s'agit de 357 médicaments composés de comprimés, crèmes et pommades dermiques, solutions injectables, suppositoires, pommades ophtalmiques et de sirop, indique ce texte signé par le ministre de la Santé.
S'ajoute également une liste de onze (11) matériels médicaux fabriqués localement et qui sont aussi interdits à l'importation telles les seringues, compresses et bandes de gaze et la bicarbonate de soude pour dialyse.
Dans ce cadre, cet arrêté ministériel note avoir pris toutes les mesures nécessaires en vue de la satisfaction des besoins du marché national en produits pharmaceutiques figurant sur la liste des produits interdits à l'importation.
A rappeler que la facture des importations des médicaments à usage humain a augmenté à 2,41 milliards de dollars en 2014 contre 2,19 milliards de dollars en 2013.
http://www.elwatan.com/economie/medicam ... 95_111.php

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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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Algérie- Novo Nordisk propose un nouveau projet industriel dans le domaine de l’insuline (26 décembre 2015)

Le projet de la nouvelle usine prévoit l’entrée en production commerciale début 2018 et sera complémentaire au premier projet de fabrication de cartouches d’insuline en phase de réalisation à Constantine également en joint-venture entre le Groupe Saïdal et Novo Nordisk.

Une délégation du laboratoire pharmaceutique danois Novo Nordisk, conduite par Jean Paul DIGY, Corporate Vice-President Novo Nordisk, Africa, a présenté mercredi au ministère de l’Industrie et des Mines un nouveau projet industriel dans le domaine de l’insuline relatif à la réalisation d’une usine d’assemblage et de conditionnement de stylos d’insuline.
« Il s’agit d’une ligne d’assemblage de stylos totalement intégrée dans laquelle sera réalisée le maximum d’opérations dans l’industrialisation du produit et qui sera alimentée en cartouches à partir de l’usine de Constantine. Ce sera une usine identique à celle dont dispose Novo Nordisk au Danemark », a précisé le ministère dans un communiqué rendu public ce samedi.
Le projet de la nouvelle usine prévoit l’entrée en production commerciale début 2018 et sera complémentaire au premier projet de fabrication de cartouches d’insuline en phase de réalisation à Constantine également en joint-venture entre le Groupe Saïdal et Novo Nordisk et dont le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait procédé le 20 août 2015 à la pose de la première pierre.
Selon le communiqué, le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb a qualifié ce partenariat avec Novo Nordisk de « technologique et stratégique » dans le domaine de l’insuline, et a mis l’accent sur l’impératif d’augmenter et de diversifier la production ; d’aller dans le sens de la plus grande substitution des importations par la production locale et d’ouverture de perspectives à l’international en intégrant, dès à présent, une plate-forme pour l’export.
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yayoune
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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"بوهرينغر" الألمانية تستثمر في صناعة الدواء بالجزائر -
Image
من المرتقب أن تنتقل المجموعة الألمانية المتخصصة “بوهرينغر اينغلهم” إلى مرحلة الإنتاج في الجزائر لأصناف من الأدوية، بعد عدة سنوات من النشاط وإقامة عام 2012 مكتب تمثيل واتصال.
وقد وضعت الشركة الألمانية الجزائر ضمن الوجهات ذات الأولوية في مجال الاستثمار في منطقة الشرق الأوسط وشمال إفريقيا، إلى جانب دول مثل العربية السعودية ومصر والإمارات ولبنان.
وينتظر أن يتم تجسيد مشروع للشراكة جزائري ألماني هذه السنة، يسمح بإقامة وحدة صناعية تنتج بالخصوص أدوية الضغط وتسوق المنتجات في الجزائر، كما يلتزم الشريك الألماني بتحويل التكنولوجيا والمعرفة. وتعد بوهرينغر من أعرق الشركات الألمانية المتخصصة في الصناعة الصيدلانية، حيث تأسست عام 1885 على يد أول مؤسس لها ألبرت بوهرينغر، وعرفت توسعا في أعقاب الحرب العالمية الثانية، لتقوم بالتوسع خارجيا منذ 1948، وهي مصنفة ضمن الـ15 مجموعة على المستوى العالمي. وتمتلك الشركة المتخصصة 144 فرع في 45 دولة، وقد صنفت في المرتبة 11 في مجال الأدوية العائلية.
ويقارب عدد العاملين في المجموعة الألمانية 48 ألف عامل، برقم أعمال يفوق 15 مليار أورو، وتقوم الشركة بتخصيص حوالي 20 في المائة من رقم أعمالها في مجال البحث والتنمية، مع تطوير خمسة فروع اختصاص.
ويشكل استثمار الشركة الألمانية إضافة في مجال تطوير فرع الصناعة الصيدلانية محليا، في سياق إحلال الواردات والاستفادة من التكنولوجيا الحديثة في مجال إنتاج المستحضرات الطبية.
http://www.elkhabar.com/press/article/1 ... 8UPWd.dpbs
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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L’usine algérienne d’AstraZeneca opérationnelle en 2018


Image

Le géant britannique de la pharmacie AstraZeneca lancera cette année la réalisation d’une
usine de médicaments à Rouiba près d’Alger pour un investissement de 125 millions de dollars,a-t-on appris, ce lundi 15 février, de la direction de sa filiale algérienne.
« Un partenariat a été conclu le 2 Juin 2015 entre AstraZeneca et les deux sociétés algériennes;
« le Groupe Salhi » ainsi que « le Groupe Hasnaoui » pour la création de cette usine dans le
cadre de la règle 49/51 », explique Rym Fettouche, responsable de la communication chez
AstraZeneca Algérie. Initialement, AstraZeneca devait réaliser cette usine avec le laboratoire
privé Biopharm. Les deux parties avaient signé un accord en avril 2012 à Alger, mais le projet
n’a pas abouti.
« Le montant de l’investissement projeté est de
125 millions de dollars », précise la même
source. L’usine entamera la production en
2018 et produira 300 millions de comprimés
par an, selon la même source.
L’usine algérienne du géant britannique de la
pharmacie « produira pour les patients
algériens des médicaments pour différents
types de pathologies : Cardiovasculaire,
Gastro-entérologie, Oncologie, Diabétologie »,
précise Rym Fetmouch
http://www.tsa-algerie.com/20160215/lus ... e-en-2018/

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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

Message par guidher »

لوزير بوضياف يتنقل الى قسنطينة لمقابلة مكتشف علاج لداء السكري
قل وزير الصحة عبد المالك بوضياف، في زيارة خاصة الى ولاية قسنطينة، أين طلب ملاقاة الدكتور توفيق زعيبط الذي أعلن اكتشافه علاجا فعالا لداء السكري، وأبدى الوزير اعجابه بالاكتشاف حيث وعد الدكتور زعبيط بتوفير كل التسهيلات حتى يتم تسويق دواء
Diabexin
في أقرب وقت وبثمن في متناول كل الفئات
http://fibladi.dz/
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sadral
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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Les professionnels de la pharmacie en quête de qualité


Nous les avons rencontrés aujourd’hui, lors de la 10ème édition de SIPHAL les professionnels, de la pharmacie représentants des entreprises jeunes mais déjà la tête tournée vers l’export, se disent prêts à faire plus et mieux.



D’ailleurs la question de l’environnement était au cœur des préoccupations. Il ne s’agit plus de produire uniquement pour satisfaire le marché national mais, mieux produire en veillant à préserver l’environnement. SIPHA 2016 cet espace d'échange d'expériences, d’idées et de promotion est choisi par les professionnels désireux d'améliorer la qualité de leurs produits pour faire de la prospection et établir des liens avec les laboratoires et officines. Pour tous, il est question d’améliorer la productivité, maintenant que les importations ne font beaucoup concurrence et prospecter des marchés extérieurs.

C’est le cas des laboratoires El Kindi dont le directeur de la communication Abd Ellah Boulkroun, évoque la perspective pour son entreprise de doubler le volume de sa production annuelle de médicaments. Il est prévu, qu’El Kindi mette sur le marché 40 000 nouvelles boites de médicaments par an. Pour cela, cet investisseur a consenti 40 millions de dollars. Le projet est au stade de finalisation. A travers cet investissement, « nous voulons participer au développement de l’industrie pharmaceutique, satisfaire le marché local et aller ver l’exportation » a-t-il soutenu. Spécialisée dans la production de médicaments de maladies chroniques, le laboratoire compte aller vers des produits encore plus innovants, estime ce responsable. Il s’agit notamment, précise –t-il, de médicaments anticancéreux et les antidépresseurs.

Le Laboratoire algérien Biopharm qui produit pour sa part des médicaments génériques, veut renforcer sa présence aujourd’hui sur le marché local pour être un acteur majoritairement visible dans le marché pharmaceutique, confirme Mourad Yougourtha Aksil, directeur marketing. « Notre objectif est l’engagement pour la qualité du produit et de service. Nous avons l’ambition aujourd’hui de fournir des produits pharmaceutiques 100% algériens ».

C’est dans le même ordre d’idées que Khaled Kellou, chef de projet marketing de Merinal, a voulu faire comprendre que le défi et la volonté des industriels du secteur pharmaceutique n'est pas seulement l'aboutissement de grands efforts dans la production, c'est aussi le point de départ vers de nouveaux horizons de développement. Il explique : « Notre objectif consiste non seulement en l’accroissement de notre chiffre d’affaire au niveau national, mais aussi de nous positionner sur le marché international et assurer un produit pharmaceutique made in Algérie qui va être consommé par des étrangers». Il interpelle par ailleurs les pouvoirs publics à faire preuve de grand intérêt pour le secteur du médicament à travers notamment une réglementation claire qui rassure les investisseurs désireux de faire plus et mieux.
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 54_360.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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peut être le future pole biotechnology????? :scratch:
بحث توماس شانون، مساعد وزير الخارجية الأمريكي للشؤون السياسية، أمس، مع وزيري الصناعة والتجارة، عبد السلام بوشوارب، وبختي بلعايب، فرص استثمار جديدة للأمريكيين خارج مجال المحروقات. والتقى قبيل سفره إلى بوركينافاسو، بمسؤولين من جهاز الأمن، وتطرق معهم إلى تهديدات الإرهاب وبالخصوص خطر “داعش” بالمنطقة.

ذكر مصدر سياسي لـ”الخبر” أن لقاء شانون بالوزيرين، في ثاني وآخر يوم من زيارته إلى الجزائر، جرى حول مأدبة غداء، وتناول تطوير الاستثمارات الأمريكية في الميادين التي تشهد مشاريع متقدمة، كقطاعات الميكانيك والفلاحة وقريبا المواد الصيدلانية.
http://www.elkhabar.com/press/article/1 ... WoOkE.dpbs
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sadral
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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Une vraie success story :super: Bravo Dr Kerrar
Biopharm : la souscription en bourse débute le 13 mars

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Annoncée dans un premier temps par la Commission d’observation des opérations en bourse (Cosob) pour la date du 18 au 28 janvier 2016, la souscription au marché primaire de la bourse du groupe pharmaceutique algérien Biopharm a finalement été fixée le 13 mars prochain et se prolongera jusqu’au 23 mars lit-on dans un communiqué de groupe.


Les souscripteurs intéressés peuvent acheter les 5.104.375 actions auprès des neuf intermédiaires en opération de bourse (IOB) que la société a désigné, à leur tête la Banque extérieur d’Algérie(BEA). En plus de la Banque de l’Agriculture et du Développement Rural (BADR), la Banque de Développement Local (BDL), la banque nationale d’Algérie (BNA), la BNP Paribas El Djazaïr, la Caisse nationale d'Epargne et de Prévoyance-Banque (CNEP), la société générale Algérie et Tell Markets.

Pour rappel, biopharm a obtenu son visa d’accès en bourse de la part de la Cosob le 27 décembre 2015. La société a ouvert son capital au marché boursier à hauteur de 20%, soit l’équivalent de 6.252.859.375 dinar. Le prix de l’action est fixé à 1.225 dinars, alors que les salariés bénéficient d’un prix réduit fixé à 1.102,5 dinars l’action.

Dans le cas où les actions ne sont pas toutes vendues sur le marché durant la période indiquée, « les décideurs prendront des mesures adéquates», nous a fait savoir la chargée de communication du groupe, Wissam Mebarki.

Pare ailleurs, les actions de la société seront cotées en bourse après la clôture de l’opération, selon les conditions fixées par la réglementation boursière.

Avec cette introduction, biopharm sera la cinquième société cotée sur le marché boursier algérien en attendant l’arrivée prochaine de la société des Ciments de Ain El Kebira spa - SCAEK-
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 90_340.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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yayoune
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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sadral
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

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Ouverture du capital de Biopharm: Les atouts de l’entreprise mis en relief


Plus que cinq jours avant le lancement de l’opération de souscriptions à l’offre publique de vente des actions du groupe pharmaceutique Biopharm.


L’une des dernières étapes de son staff dirigeant était la ville de Tizi Ouzou, où une rencontre d’information a été organisée hier en direction des investisseurs locaux, des banquiers et des particuliers. Une centaine de souscripteurs potentiels ont suivi l’exposé des cadres du laboratoire pharmaceutique. Au vu de l’assise financière, des compétences et des performances de Biopharm, un engouement est attendu pour racheter les 20% du capital mis en vente et qui représentent six milliards de dinars à lever d’ici le 23 mars, fin de cet appel public à l’épargne.

Pour Adel Si Bouakaz, cadre dirigeant du groupe, «ces 20% du capital existant qui seront vendus sous forme d’actions ordinaires et pleines donneront des droits économiques et juridiques au nouvel actionnaire. Il aura ses dividendes et son droit de vote en AG». Un millier d’agences bancaires publiques et privées sont mobilisées pour cette campagne de souscription en réservant des guichets pour les informations et la formulation des dossiers.

Kamal Ameur, directeur général adjoint et responsable de l’information, insistera pour sa part sur la bonne santé financière du groupe. «Notre chiffre d’affaires pour l’année 2014 était de 49 milliards de dinars, notre endettement est faible et nos investissements se font sur fonds propres. La présente opération de souscriptions est motivée par un souci de pérenniser la gestion, de fixer des règles de transparence, et ce, pour rassurer aussi bien les anciens que les prochains actionnaires.» Le prix de cession de l’action est fixé à 1225 DA.

D’après les cadres de Biopharm, les précédentes rencontres du genre ont rassemblé près de 600 personnes. Alger et Ghardaïa qui abriteront les dernières rencontres du groupe devront recevoir des actionnaires potentiels. Un placement sûr tant Biopharm poursuit sa stratégie de développement grâce aux technologies de pointe déployées dans la recherche et le développement de produits pharmaceutiques et élargit ses parts sur le marché international.

Biopharm compte 1700 collaborateurs et une équipe d’une trentaine d’experts et de techniciens nationaux et étrangers. Selon les responsables du groupe, le laboratoire a fabriqué 54 produits depuis 2007 et à l’horizon 2017, une soixantaine d’autres viendront enrichir la gamme des médicaments développés localement. Une chaîne de production de produits respiratoires en partenariat avec un laboratoire indien devra ouvrir dans trois ans, a assuré le staff de ce laboratoire.
http://www.elwatan.com/economie/les-ato ... 33_111.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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sadral
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Re: Industrie pharmaceutique, Algérie: futur pôle biotech?

Message par sadral »

Médicaments : Les producteurs nationaux exhortés à exporter


Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a exhorté hier les producteurs nationaux de médicaments à saisir l’opportunité pour investir dans l’exportation. «La situation actuelle de notre pays l’exige.


Le gouvernement est aujourd’hui conscient de cette exigence et il est déterminé à mettre en place les conditions nécessaires pour y arriver», a-t-il déclaré à l’ouverture des travaux de la Journée nationale pharmaceutique organisée par le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (Snapo) qui fête son vingtième anniversaire. Il signale que le secteur de la santé doit renforcer sa production. «Il y a une volonté politique pour accompagner la production nationale et les pharmaciens d’officine.

La nouvelle loi sanitaire consacre un grand chapitre à la pharmacie», a-t-il indiqué avant de rappeler que durant la semaine dernière une réunion a regroupé, au siège du Premier ministère, des représentants de pharmaciens, du Snapo, de l’UNOP et du SAIP, des ministères des Finances, de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, et du Travail et de la Sécurité sociale dans le but d’examiner tous le obstacles rencontrés par les acteurs de la pharmacie.

Une seconde réunion est prévue dans trois semaines afin de mettre au point certaines dispositions. Des textes réglementaires seront également revus, ce qui constitue un premier acquis pour les pharmaciens, a-t-il indiqué tout en faisant allusion à la révision des marges des pharmaciens qui seront probablement revues à la hausse.

Pour le président du Snapo, cette Journée nationale pharmaceutique est une rétrospective de toutes les contributions du pharmacien d’officine dans la promotion et la protection de la santé durant ces 20 dernières années. «Le pharmacien d’officine est l’un des acteurs a avoir encouragé le médicament générique et surtout ceux de la production nationale.

Le Snapo a également accompagné l’instauration du tarif de référence, l’élargissement du tiers payant et la réussite de la carte Chiffa, et ce, grâce aux efforts et aux sacrifices des pharmaciens», a déclaré le président du Snapo, Belmabri Messaoud, tout en affirmant que beaucoup reste à faire tel que la préparation au passage des vignettes à code-barres qui viennent d’être officiellement adoptées par le ministère du Travail et la Sécurité sociale. «Notre combat porte également sur la révision des marges du pharmacien et des marges incitatives en faveur de la production nationale tout en faisant la distinction entre le médicament princeps et le produit fabriqué localement», a-t-il encore souligné.

Essor de la production nationale du médicament

Le directeur de la pharmacie au ministère de la Santé, le Dr Hafed, a, de son côté, noté que la production nationale est actuellement en plein essor puisque «les capacités de production locale ont été multipliées par cinq ces dix dernières années. Il y a eu beaucoup d’efforts consentis dans la protection de la production nationale.

La liste des médicaments interdits à l’importation et fabriqués localement a atteint aujourd’hui 358 produits. La révision des prix de certains médicaments à l’importation a permis de réduire la facture. Cette révision a touché 800 produits, soit une baisse de 7%», s’est-il félicité tout en signalant que durant l’année 2015, 240 certificats d’enregistrement de médicaments à l’importation :?: (plutôt exportation) vers l’Afrique ont été délivrés par le ministère de la Santé.

Le président de l’UNOP, le Dr Kerrar, a, quant à lui, mis l’accent sur les perspectives et le développement de la production nationale qui a connu une croissance annuelle de 17%. Il a ainsi rappelé que la crise économique aura des répercussions sur le secteur, et ce, jusqu’au dernier maillon qui est le pharmacien. «La consommation des médicaments est appelée à augmenter sans cesse pour plusieurs raisons, dont la transition épidémiologique et démographique, la dévaluation du dinar, la commercialisation des produits de biotechnologie, l’arrivée de nouveaux brevets sur le marché, etc.», a-t-il énuméré.

Et de rappeler que des solutions peuvent être mises en place pour justement diminuer cette hausse de la facture à la consommation. Pour lui, la réduction des délais d’enregistrement, la négociation des prix à la baisse, la rationalisation quantitative sont, entre autres, quelques solutions, dont certaines ont déjà été adoptées par le ministère de la Santé.

«D’autres mesures doivent être également mises en place afin de contenir l’importation, telles que la responsabilité pharmaceutique, revoir les dispositions relatives aux cahiers des charges par rapport à la note technique et économique, mettre en place un cadre réglementaire pour les médicaments issus des biotechnologies, etc. Tout cela doit se faire dans une transparence totale», a-t-il recommandé.
http://www.elwatan.com/actualite/medica ... 54_109.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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