Il parle d'un cas isolé, que notre presse n'a pas lâché, il a été libéré, en plus il ne sais pas différentier entre caricature satirique qui est une forme d'expression et la diffamation, insultes gratuites, une personnalité publique ne peux pas contester une caricature sur elle, par contre une diffamation oui, c'était le cas du jeune blogueur.draganov a écrit :un jeune blogueur
le quelle ?
Surtout Dilem quoi, s'il y a bien un caricaturiste indépendant c'est bien lui.imbrator a écrit :Si j'ai bien compris, il insinue que Dilem et autres caricaturistes sont protégés par des clans anti autres clans, c'est un rigolo
ça n'a aucune importance, l'Algérie est parmi les rares pays de la région qui a des journaux qui peuvent se permettre se genre de caricatures, après je comprends ton déni étant un sujet appartenant à un mortel qui dispose de ta propre personne.
Nous on est pas parfaits, mais nos défauts on les discutent haut et fort en pointant les responsables du doigt chose impossible voire inimaginable chez vous, c'est un acquit indéniable acquit pendant la décennie noire, des Hommes et des Femmes y ont laissé leur vie.
Chaque journal qui compte est adossé à un clan et les clans reglent leurs compte devant l'opinion publique par ce biais ( suffit de se reporter aux dernieres affaires ayant trait directement ou indirectement au depart de toufik et aux arrestations des generaux hassan et X (plus son nom en tete) les camps etaient clairement identifiés) sur certains sujets c'est tous en rang aucune tete ne depasse et l'unanimisme est de mise.imbrator a écrit :Si j'ai bien compris, il insinue que Dilem et autres caricaturistes sont protégés par des clans anti autres clans, c'est un rigolo
ça n'a aucune importance, l'Algérie est parmi les rares pays de la région qui a des journaux qui peuvent se permettre se genre de caricatures, après je comprends ton déni étant un sujet appartenant à un mortel qui dispose de ta propre personne.
Nous on est pas parfaits, mais nos défauts on les discutent haut et fort en pointant les responsables du doigt chose impossible voire inimaginable chez vous, c'est un acquit indéniable acquit pendant la décennie noire, des Hommes et des Femmes y ont laissé leur vie.
https://horizonsmediatiquescamlacassie. ... ricatures/Algérie : blogueurs et journalistes arrêtés pour des caricatures
Publié le mars 2, 2014
Les proches du président Abdelaziz Bouteflika, ont récemment annoncé que le président se présenterait pour l’élection présidentielle du 17 avril 2014. Une décision qui semble exagérée : après quinze années au pouvoir, Bouteflika enchainerait un quatrième mandat alors que sa santé est au plus bas. Même avant cette annonce les blogueurs et journalistes s’en donnaient à coeur joie : caricatures du chef d’Etat, appel au boycott des élections… tant d’expressions de leur pensée qu’ils payent parfois de leur liberté. Parmis eux Djamel Ghanem, caricaturiste à La Voix de l’Oranie ou Abdelghani Aloui, blogueur.
Djamel Ghanem a été stoppé avant même d’avoir parlé. 18 mois de prisons et 30.000 dinars d’amende, c’est ce qu’il risque pour avoir voulu s’exprimer sur le 4ème mandat d’Abdelaziz Bouteflika. La cause de cette arrestation : une caricature qui devait paraitre dans le quotidien La voix de l’Oranie du 30 septembre 2013.
« Le dessin n’est jamais paru. C’est une première mondiale: un éditeur de presse qui dépose plainte contre un de ses employés pour outrage au Président de la Républiqué » a confié Me Youcef Dilem à l’AFP. Le verdict est attendu pour le 4 mars.
De son coté Abdelghani Aloui, blogueur de 24 ans, est détenu depuis le 25 septembre dernier après la publication sur Internet de caricatures du président et de son Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Abdelghani Aloui est accusé d’ »outrage à corps constitués », d’ »atteinte à la personnalité du président de la République » et d' »apologie du terrorisme ».
« Mon fils n’a fait qu’exprimer son avis en tant qu’Algérien sur le 4ème mandat du Président. Résultat, il a été arrêté et emprisonné, avec de lourdes charges qui pèsent sur lui, mais j’ai confiance en la justice algérienne », a déclaré son père au journal algérien El Khabar. Malheureusement les deux hommes ne sont pas les premiers dans cette situation.
De nombreux soutiens
Par solidarité des blogueurs militants montrent leur indignation sur le web. Les critiques à l’égard du pouvoir fusent. Pour Kader Affak, « l’arrestation du blogueur traduit l’instrumentalisation des institutions ». « C’est l’argument de la diffamation que pourront utiliser les voleurs et les égorgeurs qui se retrouvent protégés au moment où c’est la société et le mouvement démocratique qu’il faut préserver ».
Délit de presse
Le délit de presse, menace toujours les journalistes algériens. L’article 144bis du code pénal (en vigueur depuis 2001) prévoit en effet des peines de prison allant de 2 à 12 ans et des amendes pour tout propos jugé diffamatoire. Les poursuites judiciaires se multiplient à l’encontre des journalistes et de leurs directeurs de rédaction. Les tribunaux algériens ne désemplissent pas. Pour l’animateur du blog «Dz Militant», Meziane Abane, les arrestations de Djamel Ghanem ou d’Abdelghani Aloui sont légitimes selon le code pénal. Il estime que « l’image reste le moyen le plus expressif pour nos jeunes… Des jeunes, comme Abdelghani Aloui, sont nombreux et ils sont dans leur droit en voulant s’exprimer librement, à condition de ne pas entrer dans la diffamation et la calomnie ».
Vers un retour en arrière
Pourtant en mai 2004, en entamant son second mandat, Abdelaziz Bouteflika avait affirmé sa « détermination à veiller à la liberté d’expression ». « Nous voulons marquer, encore une fois, avec force, notre détermination à veiller à l’exercice effectif, pour tous, de la liberté d’expression, en droite ligne de la Déclaration universelle des droits de l’homme », avait déclaré le Président dans un message à la presse. Or, malgré ces engagements en matière de liberté d’expression, peu de choses ont changé depuis. Dans son classement 2014 Reporters Sans Frontières (RSF) a classé l’Algérie en 121 place sur 180 pays à respecter la liberté de la presse. Techniquement, le pays remonte peu à peu dans le classement (+3 places par rapport à l’année derniere) mais dans les faits, l’Algérie est loin d’être un exemple.
Le journal El Watan s’indigne que « les autorités empruntent un chemin dangereux pour le pays » et qu’”Il y a volonté de revenir aux années de plomb en balayant tous les acquis démocratiques arrachés par les Algériens en octobre 1988. C’est une voie qui mène au désordre et à l’instabilité. »
Qu'en est-il de Dilem dont tu postes souvent "certaines" caricatures ? N'essaye pas de nous balancer encore un de tes articles bidons et des propos qui n'ont rien à voir avec ce qui a été dit. Ce n'est pas à toi de déclarer une fin de HS troll.
Dilem fait paraitre ses caricatures dans des journaux et ces journaux peuvent les faire paraitre en vertu du principe du parapluie que j'ai énoncé précedemment. Je n'ai jamais dis que dilem etait sous la coupe de qui que ce soit ( ses 50 proces en sont la preuve.)sepof a écrit :
Pas dilem, mais son support oui.Sifax a écrit :Dilem se cache derrière un clan?
C'est une insulte au combat des journalistes qui ont arraché une certaine liberté rare dans cette région du monde. C'est une pratique ancré depuis plus de 2 décennies.
Les classements de RSF ne vaut que dalle et se basent sur des critères qui vont au delà du ton de la ligne éditoriale.
Si les musulmans refusent d'insulter la religion, pour RSF c'est une "atteinte aux libertés". (Dilem franchi ce pas à plusieurs reprises, ce n'est pas à son honneur mais c'est pour dire...)
Si l'état détient le monopole dans la publicité ou oriente la publicité, c'est une grave atteinte aux libertés (ce qui est le cas en Algérie).
Mais si nous parlons strictement de la liberté de la ligne éditoriale, la presse algérienne surtout d'expression francophone joui d'une liberté très rare dans cette région de ce monde.
LANDSKNECHT a écrit :Pas dilem, mais son support oui.Sifax a écrit :Dilem se cache derrière un clan?
C'est une insulte au combat des journalistes qui ont arraché une certaine liberté rare dans cette région du monde. C'est une pratique ancré depuis plus de 2 décennies.
Les classements de RSF ne vaut que dalle et se basent sur des critères qui vont au delà du ton de la ligne éditoriale.
Si les musulmans refusent d'insulter la religion, pour RSF c'est une "atteinte aux libertés". (Dilem franchi ce pas à plusieurs reprises, ce n'est pas à son honneur mais c'est pour dire...)
Si l'état détient le monopole dans la publicité ou oriente la publicité, c'est une grave atteinte aux libertés (ce qui est le cas en Algérie).
Mais si nous parlons strictement de la liberté de la ligne éditoriale, la presse algérienne surtout d'expression francophone joui d'une liberté très rare dans cette région de ce monde.
C'est tout ce que t'as trouvé ? Liberté ne dit pas à Dilem ce qu'il doit aborder comme sujet, ni ce qu'il doit dessiner. Il s'est foutu de la gueule de tout le monde donc au bout d'un moment l'excuse du "il a un parrain", ça ne marche malheureusement pas ... Et encore il faudrait le prouver, ce que tu ne peux pas petit troll.
Dilem n'est pas très gentil quand meme. 
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