La Santé en Algérie

Toutes les discussions a propos de la politique, de l'économie et de la société Algérienne (uniquement)
Répondre

guidher
Aqid (عقيد)
Aqid (عقيد)
Messages : 5399
Inscription : 03 avril 2012, 18:27
Been thanked : 1 time

Re: La Santé en Algérie

Message par guidher »

Santé. Les soins au niveau des hôpitaux publics désormais payants
Les soins médicaux seront désormais payants au niveau des hôpitaux publics. C’est ce qu’a annoncé le ministre des Finances Mohamed Djellab, hier mardi, lors de son audition par la commission des finances du Conseil de la Nation.
« A l’avenir, le citoyen paiera ce qu’il doit payer dans un hôpital public (en contrepartie de ses soins). Chacun doit assumer ses responsabilités », a ouvertement déclaré le ministre des Finances en affirmant que les couches défavorisées, concernées également par cette mesure qui vise à les insérer économiquement, pourront bénéficier de subventions étatiques. Cette nouvelle mesure s’inscrit, selon Mohamed Djellab dans le cadre de la nouvelle démarche, engagée par le ministère des Finances et visant à donner « un aspect économique et commercial » au service public au lieu de « l’aspect social » qui « alourdit la charge du Trésor public en raison de l’importance des subventions » destinées aux transferts sociaux lesquels, selon lui, représentent 30% du PIB annuellement.
Préparer les couches défavorisées à l’insertion économique
Selon le ministre des finances, même les couches défavorisées sont appelées à se plier à cette nouvelle mesure et ce « pour les préparer à l’insertion économique », a-t-il déclaré. Mettant l’accent sur la difficulté à distinguer, au niveau des hôpitaux publics, entre les personnes nécessiteuses ou non, Mohamed Djellab a annoncé que l’Etat prendra le temps de bien encadrer juridiquement de nouveaux mécanismes, déjà en vigueur dans les pays où les prestations sociales sont déjà payantes. A ce propos, le ministre a précisé que l’Etat veut adopter, à l’avenir, un nouveau modèle de croissance fondé sur le financement de l’économie par le marché et pour que cela soit possible la rationalisation de l’intervention sociale du gouvernement est une nécessité.
Cette nouvelle démarche qui concernera tous les secteurs d’activité, selon le ministre a pour objectif de permettre aux entreprises et aux différents acteurs économiques du secteur public de sortir graduellement du financement par le Trésor afin de se diriger vers le financement par le marché.
- See more at: http://www.algerie-focus.com/blog/2015/ ... 0o7rc.dpuf
-

deyaziz
Aqid (عقيد)
Aqid (عقيد)
Messages : 6292
Inscription : 03 avril 2012, 18:20
Has thanked : 1 time

Re: La Santé en Algérie

Message par deyaziz »

PLAN CANCER 2014-2019
24-01-2015
Les médecins généralistes au cœur de la lutte contre le cancer
Les spécialistes ont mis l'accent hier sur l'importance du médecin généraliste dans le plan de lutte contre le cancer, affirmant qu'il doit être au cœur du processus de prévention, de traitement et de guérison des malades.
S'exprimant lors d'un point de presse tenu en marge de la journée nationale consacrée à la place de l'omnipraticien dans la prise en charge des maladies non transmissibles, le Pr Messaoud Zitouni, chargé de la mise en œuvre du plan cancer 2014-2019, a indiqué que le médecin généraliste a un rôle pivot dans la stratégie de lutte contre toutes les maladies non transmissibles, notamment le cancer.

Il a fait savoir, à ce titre, qu'un volet important est consacré dans ledit plan, à la mise à niveau de ces médecins et à l'amélioration de leurs conditions de travail.

«Dans le plan de lutte contre le cancer, un dossier complet est dédié aux médecins généralistes et leur rôle dans la prévention contre le cancer et son traitement», a-t-il déclaré, ajoutant qu'«une formation de dépistage est programmée pour permettre à ces médecins de prendre directement en charge les malades au lieu de les orienter vers d'autres services».

Pour sa part, Abdelhak Saïhi, secrétaire général du ministère de la Santé, a fait savoir que la nouvelle loi sur la reforme du secteur de la santé a donné toute l'importance aux médecins généralistes qui sont «souvent marginalisés dans la stratégie du développement du secteur de la santé».

«Avec cette loi, une attention particulière est accordée aux médecins généralistes qui sont en charge de la prévention et du dépistage précoce des maladies», a-t-il dit, ajoutant que «les malades pourront se rendre aux polycliniques les plus proches de chez eux pour se faire dépister».

Ce qui leur évitera, selon lui, les désagréments liés à la bureaucratie et aux longues files d'attente dans les hôpitaux. S'agissant de la formation professionnelle des médecins, le même responsable a indiqué qu'après un plaidoyer soutenu, le Premier ministre a accordé une dérogation pour permettre aux professionnels du secteur de bénéficier de la progression dans leur carrière sans préalable de disponibilité de poste budgétaire».

«C'est une première dans les annales du secteur», s'est-il réjoui. «Le programme de formation est ouvert dans le centre du pays et sera lancé dès le mois de mars dans les régions des Hauts Plateaux et du sud du pays», a annoncé Saïhi.

De son côté, le président du Syndicat national des médecins généralistes de la santé publique (SNMGSP), Dr Salah Laouar, a également insisté sur l'importance du médecin généraliste dans le traitement du cancer, a travers la prévention, le diagnostic et le suivi des malades, car «il est en relation directe avec les malades et leur entourage».

Interrogé sur la formation et la mise à niveau des médecins généralistes, l'intervenant a fait savoir qu'elle est primordiale pour garantir l'efficacité de leur travail.

«Un médecin diplômé des années 1980 ne peut pas traiter correctement un malade en 2015, car il a besoin d'une mise à jour sur les nouveautés du système de santé et les différentes formes des maladies», a-t-il argué.

Laouar a assuré, par ailleurs, que les principales requêtes de son syndicat ont été prises en charge par la tutelle, citant le droit accordé aux médecins, depuis l’année en cours, de bénéficier d'une bourse pour suivre une formation continue au niveau national ou à l'étranger. Il a fait savoir, en outre, qu'a partir du mois de mai, 8000 médecins seront gradés et vont passer à la catégorie 2.

Feriel Arab le Temps d'Algérie

tayeb
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 10216
Inscription : 17 janvier 2013, 17:26

Re: La Santé en Algérie

Message par tayeb »

Unités de dépistage en milieu scolaire (UDS)
Près de 37 000 caries dentaires recensées

En Algérie, beaucoup d’enfants ont une mauvaise hygiène bucco-dentaire. Ils ont des caries, du tartre ainsi que des gingivites (inflammation de la gencive) dès leur plus jeune âge.


C’est ce qui ressort des consultations opérées par le personnel des unités de dépistage en milieu scolaire (UDS) au niveau des établissements des cycles primaire, moyen et secondaire de la wilaya de Constantine.

Durant l’exercice 2013-2014, les UDS ont ciblé 94.383 classes et dénombré 6.469 élèves présentant des problèmes de gingivites, 4.823 ayant du tartre, 36.995 élèves souffrant de caries dentaires et enfin 8 350 cas d’ODF (orthopédie dento faciale), autrement dit, des élèves qui requièrent le port d’un appareil dentaire.

D’après les chiffres en notre possession et qui nous ont été communiqués par le service prévention de la DSP de Constantine, le nombre d’enfants présentant des problèmes bucco-dentaires (gingivites, tartre et caries) est plus élevé dans les classes du moyen et du secondaire, ciblées par les UDS. La carie dentaire reste toutefois, la pathologie la plus fréquente. Sa prévalence est de 37 à 40 % et ce chiffre est bien en deçà de la réalité.

Les enfants concernés se brossent généralement mal les dents ou, le plus souvent, pas du tout. C’est en tout cas le constat établi par de nombreux dentistes. Interrogé, l’un d’eux, nous confiera recevoir en consultation un nombre important de jeunes patients avec des dents définitives cariées. «Quand un adolescent de 14 ou 15 ans a déjà, à son âge, des caries ou du tartre cela signifie que son hygiène bucco-dentaire est bien mauvaise pour ne pas dire inexistante, mais surtout, et c’est important de le souligner, la consommation excessive de friandises et autres confiseries concourent grandement à l’apparition des caries.

Le rôle des parents est prépondérant dans ces cas-là, car, ils doivent sensibiliser leurs enfants très tôt afin qu’ils apprennent à préserver leur santé en général et celle de leurs dents en particulier», nous dit-il. Cela dit, le manque d’hygiène bucco-dentaire chez les enfants ne date pas d’aujourd’hui, puisqu’en 2012 aussi les chiffres étaient assez révélateurs de l’étendue de la mauvaise hygiène dentaire chez les écoliers, collégiens et lycéens examinés.

Il y a deux ans, en effet, ils étaient 7.959 à avoir des gingivites, 6.867 du tartre et 40.381 à présenter des caries, sur un total de 104.438 élèves. En fait, même si le programme national de santé bucco-dentaire en milieu scolaire en Algérie est principalement axé sur la prévention, certains spécialistes imputent, par ailleurs, la prévalence des problèmes dentaires chez les enfants à l’absence d’une «culture sanitaire» au sein de la population qui consulte uniquement sous la contrainte et non dans un contexte purement préventif.
http://www.elwatan.com/hebdo/sante/pres ... 16_156.php

C'est un grand problème de santé publique que le pays n'a toujours pas pris à bras le corps.
Avatar de l’utilisateur

sadral
Aqid (عقيد)
Aqid (عقيد)
Messages : 6575
Inscription : 03 avril 2012, 19:55

Re: La Santé en Algérie

Message par sadral »

Cancer : 35 accélérateurs de radiothérapie avant la fin de l’année 2015

Image

35 accélérateurs de radiothérapie seront installés avant la fin de l’année 2015 a annoncé mercredi à Alger le directeur des services de santé au ministère de la Santé, Mohamed El Hadj, sur les ondes de la Radio nationale.

Le même responsable a indiqué que le nombre d’accélérateurs de radiothérapie qui actuellement de 14 au niveau des centres spécialisés, atteindra les 35 avec la réception de quatre (4) nouveaux centres anti-cancer.

L’invité de la Radio nationale a souligné que les nouveaux accélérateurs seront installés dans des centres spécialisés répartis sur l’ensemble du territoire national pour éviter toute disparité dans la prise en charge de la maladie, soulignant que le coût de réalisation d’un centre anti-cancer avoisinait les 4 milliards de dinars.

Il a tenu à rappeler que le nombre d’accélérateurs fonctionnels qui était de sept (7) en 2013 a doublé en 2014 et atteint 14 accélérateurs, pour dire tous les efforts déployés par le secteur de la santé pour améliorer la radiothérapie et réduire les délais d’attente d’un rendez-vous, ajoutant que 95 unités de traitement et de suivi sont ouvertes au niveau des wilayas.

Plan anti-cancer 2015-2019

A une question sur la prise en charge du cancer dans les centres de santé privés, M. El Hadj a fait savoir qu’une dizaine de centres privés sont en train de se mettre en place qui proposent la radiothérapie et la chimiothérapie, relevant que la question du remboursement des soins dans le secteur privé était en cours d’étude.

Par ailleurs, M. El Hadj a évoqué le Plan anti-cancer 2015-2019 qui sera soumis au gouvernement mercredi prochain pour étude et approbation, rappelant que ledit plan comporte huit (8) axes dont l’amélioration de la prévention contre les facteurs de risque, du dépistage, du diagnostic et du traitement, et aspire à atteindre 19 objectifs à travers 200 mesures.
http://www.algerie1.com/actualite/cance ... nnee-2015/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

50 000 nouveaux cas en 2014 : Le cancer fléau national

Image
Le plan de lutte anticancer, lancé il y a une année, sera soumis pour approbation au gouvernement mercredi prochain.

Elles attendent parfois des mois pour décrocher un rendez-vous, quand la maladie ne les emporte pas avant. Pénurie de médicaments, manque de moyens techniques, absence de personnels qualifiés ou manque de place, les personnes atteintes de cancer sont livrées à l’attente face à une maladie qui se nourrit du temps qui passe. Le combat qu’elles livrent au cancer (chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie) relève du parcours du combattant qui finit souvent en deuil.
En Algérie, 70% des traitements commencent à un stade avancé, ce qui amoindrit les chances de survie et de guérison qui pourtant sont légion ailleurs. Face à cette situation chaotique, qui a atteint son apogée avec une effroyable pénurie de médicaments en 2011, un plan de lutte anticancer a été lancé il y a une année, jour pour jour. Il vient d’être finalisé et devra être soumis au gouvernement pour approbation mercredi prochain.
Cette feuille de route comprend 8 axes stratégiques, 19 objectifs, 60 actions et 239 mesures à adopter pour sortir de la crise qui secoue la prise en charge du cancer en Algérie. Le cauchemar est loin d’être fini, mais l’Algérie semble avancer sur la question, à en croire le ministère de la Santé qui promet de mettre fin aux «très longs» délais d’attente pour accéder à la radiothérapie, notamment.
Plusieurs centres anticancer ont été ouverts depuis, atténuant la forte affluence vers le centre de référence : le Centre Pierre et Marie Curie (CPMC) de l’hôpital Mustapha Pacha. Mais est-ce assez, sachant que la maladie ne cesse de progresser ? Selon de nombreux spécialistes, sa prévalence devrait doubler, voir tripler dans les prochaines années.
On s’y est pris tard parce que l’investissement pour acquérir les appareillages destinés au traitement des cancéreux est très lourd», expliquait hier le professeur Mohamed El Hadj, directeur général des services de santé au ministère, qui s’exprimait sur les ondes de la Radio nationale.

Il annonce que les capacité d’accueil des malades devrait doubler cette année : 14 accélérateurs (pour radiothérapie) fonctionnent, actuellement, à travers le pays. «Vers la fin de 2015, ils devraient passer à 35 puis, à terme, à 50 équipements de radiothérapie permettant de traiter les malades dans différentes régions du pays», promet-il. Mais avec le vieillissement de la population, le nombre de personnes atteintes de cancer ne cesse d’augmenter rendant les efforts des autorités difficilement suffisants.
L’ouverture au privé, une solution ?
Une dizaine de demandes d’agréments pour l’ouverture de centre anticancer par des opérateurs privés seraient en cours d’étude actuellement par une commission mixte (ministères de la Santé et du Travail) mais la question semble bloquée. «Nous avons beaucoup de demandes d’agrément, et une dizaine de centres privés sont en cours d’installation, mais il y a une réticence puisque la question des remboursements des soins n’a pas encore été tranchée», expliquait encore, hier, le professeur Mohamed El Hadj. En attendant, le nombre de cancéreux ne cesse d’augmenter, faisant de la maladie la deuxième cause de mortalité après les maladies cardio-vasculaires qui provoquent la mort de plus de 20% de la population.

http://www.elwatan.com/actualite/50-000 ... 95_109.php
Avatar de l’utilisateur

sadral
Aqid (عقيد)
Aqid (عقيد)
Messages : 6575
Inscription : 03 avril 2012, 19:55

Re: La Santé en Algérie

Message par sadral »

Incendie au service gynécologie obstétrique du CHU Mustapha Pacha(Alger)


Un incendie s’est déclaré vendredi à 02:00, au service gynécologie obstétrique du Centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha Pacha, du fait de l’utilisation d’un chargeur contrefait pour téléphones portables », a indiqué le Directeur général du CHU, Nacer Bar.

Selon le même responsable, « aucune victime n’est à déplorer et les malades ont été transférés au premier étage, le temps de l’extinction du feu par les agents de sécurité ».

Le responsable a mis en garde les citoyens, notamment les malades et les personnes qui fréquentent les hôpitaux et structures sanitaires d’éviter l’utilisation de chargeurs contrefaits qui risquent d’exploser et partant causer des incendies.
http://www.algerie1.com/actualite/incen ... achaalger/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

Adrar : succès de la 1ère opération de traitement du cancer provoquant l’hypertension artérielle

Image
ADRAR - Une intervention chirurgicale, la première à l'échelle nationale, de traitement du cancer à l’origine de l’Hypertension artérielle (HTA), a été effectuée jeudi, "avec succès", à l’hôpital d’Adrar sur une octogénaire, a indiqué le Pr. Yaiche Achour Tewfik du Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Kouba (Alger).

La complexité de cette opération réside, en grande partie, dans l’âge avancé de la patiente (81 ans), et la délicatesse de la partie du corps ou s’est développé la tumeur, au niveau de la glande surrénale, a indiqué Pr. Yaiche, également anesthésiste-réanimateur.

Menée par une équipe médicale composée d’une quinzaine de spécialistes, du CHU de Kouba, sous la conduite du Pr. Yaiche, cette opération fait partie d’une série d’interventions dirigées par cette mission médicale dans la région, a fait savoir le Pr.Yaiche, en marge d’une journée d’étude sur les objectifs et acquis de la convention de jumelage entre les établissement hospitaliers du Nord et du Sud du pays.

Le programme de jumelage, précédé par des visites préparatoires menées l’année dernière pour déterminer les besoins de la région, prévoit 12 interventions chirurgicales d’obstétrique, six autres d’ORL (Oto-rhino-laryngologie), et d’une autre de chirurgie générale (cas de l’octogénaire), selon le même responsable.

M. Yaiche s’est, à ce titre, félicité de la mobilisation, lors de ces interventions, de moyens et équipements médicaux adéquats par l’établissement hospitalier Ibn-Sina d’Adrar, ayant contribué largement à la réussite de l’opération.

Les opérations de jumelage, initiées par le ministère de tutelle, revêtent une importance particulière en matière d’amélioration et de promotion des prestations médicales et le perfectionnement des praticiens de la région, à la faveur de la formation continue menée en marge de ce type d’initiatives, a estimé, de son côté, le directeur de la Santé de la wilaya, Hocine Boumada, tout en émettant le souhait de renouveler cette opération avec d’autres CHU, tels que ceux d’Hussein Dey et Béni-Messous.

Selon le responsable, le secteur s’emploie à renforcer les conventions de jumelage avec de nouvelles structures médicales susceptibles d’apporter une assistance aux praticiens locaux, au plan de l’encadrement et médical, en prévision de l’ouverture des nouveaux projets sanitaires retenus pour la wilaya d’Adrar, dont un hôpital de 120 lits à Adrar, un autre de 60 lits à Aoulef et un hôpital de 240 lits au pôle médical en cours de réalisation dans la commune d’Adrar.
http://www.aps.dz/sante-sciences-tech/1 ... 3%A9rielle

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

La formation continue des médecins, un impératif

Image
SOUK AHRAS - Les médecins spécialistes ayant participé, jeudi à Souk Ahras, à une rencontre scientifique sur le thème de la pédiatrie, ont soutenu que la formation continue du praticien est "un droit, mais aussi et surtout, un impératif".

Une formation continue "régulière et efficiente" permet au médecin, quelle que soit sa spécialité, de mettre à jour en permanence ses connaissances pour améliorer ses prestations vis-à-vis de ses patients, ont souligné des médecins venus des centres hospitalo-universitaires (CHU) d’Alger, d’Oran, de Constantine et d’Annaba.

Tenue à la salle Miloud-Tahri, à l’initiative de l’association scientifique des médecins de la wilaya de Souk Ahras, la rencontre avait été ouverte mercredi en fin d’après-midi par le wali, Saâd Agoudjil, en présence de représentants de laboratoires médicaux.

Le suivi sanitaire de l’enfant, les allergies et les comportements à adopter par les parents ont constitué l’essentiel des communications présentées jeudi en plénière.

Pour le Dr. Tahar-Touhami Khelifi, pneumologue exerçant à Constantine, une toux chronique chez l’enfant peut révéler soit une allergie, un asthme, ou encore, une rhinite et, parfois même, un trouble d’ordre psychologique. Cet hospitalo-universitaire a notamment insisté sur le fait que médecins, pharmaciens et parents doivent éviter le recours excessif aux antibiotiques.

La pédiatrie est une branche médicale "sensible" car touchant la plus fragile des catégories de malades, a souligné, de son côté, le Dr. Badri Loudjani, responsable du conseil de déontologie, à Souk Ahras, qui a soutenu que la formation continue permet au médecin d’être au fait des nouveautés en matière de diagnostic et de traitement.
http://www.aps.dz/sante-sciences-tech/1 ... C3%A9ratif

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

infrastructures de santé : Une enveloppe de mille milliards de DA pour réaliser et réhabiliter des CHU

[img]http://www.elmoudjahid.com/temp/fr/actu ... 75012].jpg[/img]
Mille milliards de DA sont prévus pour la réhabilitation des 15 CHU et la construction de 5 autres nouveaux, a indiqué, hier, le directeur général de l'Agence nationale de gestion des réalisations et d'équipement des établissements de santé (ARES), M. Lazhar Bounafaâ. Ainsi, 600 milliards de DA seront consacrés à la réhabilitation des 15 grands hôpitaux, échelonnée sur 10 ans, et 400 milliards de DA pour la construction de 5 nouveaux CHU dans 5 wilayas du pays, a précisé M. Bounafaâ, sur les ondes de la radio nationale.
Les travaux de réalisation des nouvelles structures hospitalières "devraient commencer cette année sur 5 millions de mètres carrés et seront achevés dans un délai de 48 mois dans les wilayas d'Alger, Tizi Ouzou, Tlemcen, Ouargla et Constantine", a-t-il détaillé. Les assiettes ont déjà été dégagées et sont "extensibles et innovantes" pour les générations futures, a relevé le même responsable, qui a ajouté que les montants sont programmés en tranches par année. Pour les nouveaux CHU, les besoins de santé ont été pris en considération, de même que les particularités des régions et les exigences de la sécurité et de la qualité, a-t-il assuré. Par ailleurs, M. Bounafaâ a relevé que l'état actuel des 15 CHU existants "est arrivé à sa limite" et "ne répond plus au fonctionnement aux normes internationales". Pour palier à cette situation, le ministère de la Santé a engagé des travaux de réaménagement, de restructuration, de réhabilitation et de modernisation sur les bâtiments existant qui "pour la plupart ont un siècle d'âge, et la majorité étaient des casernes", a encore expliqué le DG de l'ARES.
Il a également évoqué les "insuffisances" des 42 établissements préfabriqués localisés dans 38 wilayas "qui seront prises en charge, puisqu'une opération d'humanisation et de requalification est prévue", a-t-il annoncé. L'Algérie dispose de 77.000 lits, dont 4.000 privés, a-t-il encore précisé. "Un total de 112.000 lits sera atteint et ramènera le pays à la norme internationale qui est de 3,4 lits par 1.000 habitants", selon M. Bounafaâ. "La préoccupation du ministère, qui a engagé des opérations d'envergure, est de mettre aux normes internationales le fonctionnement des 73 établissements de santé. Nous sommes conscients que la qualité des soins passe d'abord par la normalisation et l'accréditation de nos laboratoires, des blocs opératoires et des plateaux techniques", a-t-il ajouté.
Le même responsable a rappelé que l'ensemble des 1.541 communes du pays sont couvertes sur le plan santé avec 73 établissements de 120 à 240 lits implantés dans le Sud, 142 dans les Hauts-Plateaux, indiquant que 100 hôpitaux de 60 à 240 lits sont prévus dans le Sud et 144 dans les Hauts-Plateaux. Il a, par contre, regretté que le taux d'occupation de ces structures ne dépasse pas 30% au Sud, 35 % dans les Hauts-Plateaux et 40 % dans le Nord, à l'exception d'Alger qui prend en charge 70% de la demande nationale en matière de santé. "Cette situation est due à la mauvaise conception architecturale", a-t-il expliqué.
http://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/75012
Avatar de l’utilisateur

KHAYBAR
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 13517
Inscription : 02 avril 2012, 18:13
Been thanked : 4 times

Re: La Santé en Algérie

Message par KHAYBAR »

Le ministre de la santé Mr, Boudiaf incendie les responsables du chantier du nouveau CHU de Canstantine (A la fin de la vidéo...!!) :lol:

:algerie01:
Avatar de l’utilisateur

anzar
Fariq (فريق)
Fariq (فريق)
Messages : 21642
Inscription : 21 mars 2012, 11:50

Re: La Santé en Algérie

Message par anzar »

Ghir el hadra berk aw faqou....
Image

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

CHU Mustapha-Pacha : le service d'ophtalmologie dispose d'un plateau technique de haute performance

Image
ALGER - Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a indiqué jeudi que le service d'ophtalmologie de l'hôpital Mustapha-Pacha disposait d'un plateau technique hautement performant.

"Le service d'ophtalmologie du Centre hospitalo-universitaire Mustapha-Pacha dispose d'un plateau technique des plus complets et des plus modernes qui offre la possibilité de réaliser l'ensemble des explorations d'imagerie et de thérapie, a affirmé le ministre de la santé qui répondait à la préoccupation d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN) en séance de questions orales sur le manque d'équipements dans cette structure.

Tous les équipements de ce plateaux sont opérationnels à l'exception d'un appareil Laser qui nécessite un changement de sonde, a assuré le ministre rappelant que le dispositif technique comportait notamment des Laser pour les interventions chirurgicales sur l'oeil et des appareils d'imagerie (angiographie, rétinographie et topographie cornéenne).

Plus de 1000 explorations au Laser, 300 retinographies et 400 topographies cornéennes ont été effectuées par ce service en 2014, a fait savoir le ministre qui évoqué les mesures mises en œuvre par son département pour l'amélioration des conditions d'hygiène et d'accueil et pour ce qui est de la maintenance du matériel.

Le secteur de la santé enregistre une dynamique nouvelle basée sur les contrats de performance liant les établissements publics et l'administration centrale, a ajouté M. Boudiaf pour qui ces mesures d'urgence pour la promotion du service public de santé sont confortées par des opérations d'inspection et de suivi de la feuille de route arrêtée en 2014.

En parallèle le ministère de la santé est engagé dans un processus de modernisation de la législation régissant le système sanitaire à travers la nouvelle loi qui sera soumise dans les prochains jours au parlement, a-t-il annoncé.

Pour ce qui est du concours de promotion, M. Boudiaf a indiqué qu'il aura lieu ce mois-ci.
http://www.aps.dz/sante-sciences-tech/2 ... erformance

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

Les CAC de Sétif et Batna allègent la surcharge sur les autres centres régionaux

Image
ALGER - Les Directeurs des centres anticancer (CAC) des wilayas de Sétif, Salim Rekam et de Batna, Aïssa Madoui ont affirmé que "ces deux structures ont allégé la surcharge qui pesait sur les centres Pierre et Marie Curie (CPMC) d'Alger et de Blida.

Intervenant en marge de la 2e édition du salon international "Al-Moustechfa", les deux responsables ont précisé que les centres de Sétif et Batna ont contribué à alléger la surcharge qui pesait sur le CPMC et réduire les délais des rendez-vous de radiothérapie à 20-30 jours au niveau des centres de Sétif et Batna.

Pour ce qui est du CAC de Batna, M. Madoui a précisé qu'il couvrait non seulement la région sud-est mais prenait en charge les malades issus de 29 wilayas du centre.

Les cancéreux de ces régions ont pu bénéficier de 30.000 séances de chimiothérapie et 6.000 autres de radiothérapie depuis son ouverture en mai 2012.

S'agissant des médicaments destinés au traitement du cancer, le même responsable a souligné que l'Etat avait consacré plus de 2 milliards DA depuis 2012.

Inauguré en 2013, le CAC de Sétif est entré en service en juillet 2014 au profit de 499 malades et 927 autres durant le premier trimestre 2015, selon M. Rekam.

Il s'agit, a-t-il ajouté, de l'un des centres qui dispose de toutes les spécialités ce qui lui a permis de prendre en charge 12.262 malades soumis à des séances de radiothérapie, et dont plus de 732 sont guéris.

Le problèmes des rendez-vous éloignés sera définitivement résolu au niveau du CPMC après la mise en service des CAC de Annaba, Tizi Ouzou, Tlemcen et Sidi Bel Abbès et l'installation de deux nouveaux appareils de radiothérapie fin 2015.

La 2ème édition du salon international "Al-Moustechfa" se déroule du 8 au 11 avril avec la participation de quelque 150 exposants représentant les directions de la santé, des établissements relevant du ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière comme l'Institut Pasteur ainsi que des firmes de 7 pays étrangers, pionnières dans le domaine de l'équipement hospitalier.

http://www.aps.dz/sante-sciences-tech/2 ... %A9gionaux

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

Création prochaine d’un SAMU aérien dans le Sud du pays

Image
OUARGLA - Un service d’assistance médicale d’urgences aérien (SAMU-aérien) sera mis en place prochainement, au niveau des wilayas du Sud du pays, en vue d’y améliorer la prise en charge médicale, a affirmé, dimanche à Ouargla, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf.

‘‘Ce projet, à concrétiser en étroite collaboration avec les institutions concernées, sera annoncé très prochainement, une fois les études techniques, en cours, finalisées’’, a indiqué le ministre, en ouverture des travaux du séminaire national sur la santé dans le Sud, à laquelle a assisté aussi le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi.

‘‘Le ministère de la Santé accorde une priorité absolue à la mise en place de services mobiles du SAMU au niveau de l’ensemble des wilayas du Sud’’, a indiqué le ministre de la santé.

Il a ajouté que, pour ce faire, ‘‘tous les moyens nécessaires seront mobilisés pour remédier aux carences relevées et liées notamment à l’éloignement des structures hospitalières et le manque de moyens humains et matériels d’intervention rapide, qui jusque-là entravaient la prise en charge rapide des victimes des accidents de circulation et certaines évacuations de cas urgents nécessitant une médicalisation spécialisée’’.

Tout en mettant l’accent sur l’équité dans l’accès aux soins de qualité pour tous, qui constitue une obligation dans la politique nationale de la santé, M. Boudiaf a fait savoir que ‘‘le ministère de la santé s’emploie à étoffer les programmes existants et à lancer de nouveaux chantiers de développement et de promotion de la santé, entre-autres, le jumelage entre établissement hospitaliers, la télémédecine, les soins à domiciles et le renforcement des unités médicales mobiles’’.

Vers un nouveau concept de circonscription sanitaire

Le ministre a souligné, par ailleurs, que la stratégie à mettre en œuvre, en attendant la promulgation de la nouvelle loi sanitaire instituant un nouveau découpage basé sur la notion de circonscription sanitaire, devra permettre la prise en charge d’une série d’axes prioritaires.

Il s’agit, a-t-il expliqué, de l’organisation et la promotion des prestations médicales, à travers une couverture sanitaire satisfaisante du territoire, avec des structures fixes et mobiles, que ce soit en terme couverture sanitaire que d’activités de prévention, ainsi que l’implication des citoyens de ces régions dans la promotion de la santé.

L’amélioration de la prise en charge locale des pathologies nécessitant le transfert vers des structures spécialisées de haut niveau, à travers notamment le jumelage et la formation du personnel, ainsi que l’adaptation du dispositif de surveillance épidémiologique et de veille sanitaire avec les risques sanitaires spécifiques de la région et les menaces sanitaires à potentiel épidémique, font partie de cette stratégie, a-t-il poursuivi.

M. Boudiaf a, en outre, insisté sur une meilleure prise en charge des besoins sanitaires des différentes couches sociales, y compris des populations nomades et ceux issus de l’immigration clandestine, par notamment le renforcement et l’organisation des équipes médicales, le développement quantitatif et qualitatif de leurs capacités d’intervention, notamment dans le domaine des prestations médicales, du dépistage précoce, de prévention et de réaction rapide aux risques épidémiologiques.

Pour le ministre de la Santé, le développement de la télémédecine est un autre atout pour les praticiens exerçant dans les régions reculées pour avoir un accompagnement et une assistance dans les différentes spécialités, que ce soit pour le diagnostic ou le traitement.

Valoriser la ressource humaine locale

Dans l’optique de valoriser les ressources locales, le ministre de la Santé a fait état de la mise en place de mécanismes spécifiques en matière de formation pour l’ensemble des corps de la santé, qui englobera notamment les études médicales spécialisées, les conditions d’accès à la formation paramédicale et de sages-femmes, pour que le secteur ‘‘ne soit plus otage d’une formation qui ne tienne pas compte des besoins réels de la santé publique et des spécificités des régions enclavées’’.

Cette rencontre sur la promotion de la santé dans le Sud devra permettre, deux jours durant, de traiter des procédures prises depuis 2014 en faveur des régions du Sud, pour l’amélioration du dispositif hospitalier et du réseau de prise en charge médicale adaptée aux spécificités géographiques et climatiques des régions du Sud du pays, ont indiqué les organisateurs.

Elle vise à établir une approche globale et intégrée devant donner lieu à une stratégie axée sur le développement durable de la Santé dans le Sud du pays, conformément aux orientations du Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, ont-ils ajouté.

Le programme de cette rencontre, à laquelle ont assisté les directeurs de la santé des 48 wilayas du pays, de cadres centraux de la santé, responsables des établissements hospitaliers, représentants des syndicats et des présidents des assemblées populaires des wilayas (APW), prévoit une série de communications et exposés sur le secteur de la santé dans le Sud et la problématique de la prévention et de la promotion des prestations médicales dans ces régions.
http://www.aps.dz/sante-sciences-tech/2 ... ud-du-pays

Topic author
AAF 2020
Amid (عميد)
Amid (عميد)
Messages : 21879
Inscription : 30 mars 2012, 16:23

Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

Accord entre l'Algérie et la France sur la rénovation et la restructuration des établissements de santé

Image
ALGER - Un protocole d'accord entre l'Agence nationale de gestion des réalisations et d'équipement des établissements de santé (AREES) et le Bureau Business France Algérie a été signé samedi à Alger pour déterminer les conditions et les modalités de coopération algéro-française en matière de santé.

Cet accord, signé à l'occasion de la 2e édition du salon international "Al-Moustechfa", vise à établir un cadre d'échanges entre les deux parties, la rénovation et la restructuration des établissements de santé ainsi que la coopération dans le domaine d'hygiène, d'architecture, de la formation, du développement et de l'exploitation des hôpitaux.

S'agissant de la coopération franco-algérienne de la santé, le conseiller commercial, directeur du Bureau Business France Algérie, Georges Regnier a affirmé dans une déclaration à l'APS que cette coopération qui "est réelle, monte en puissance et s'annonce des plus prometteuses".

"Cette coopération est multiforme et elle touche en particulier le secteur du médicament, des dispositifs médicaux et celui de la construction d'hôpitaux et de la gestion hospitalière", a précisé M. Regnier.

Tout en soulignant que l'ambition de Business France "est le développement de cette coopération", M. Regnier a indiqué que "nous travaillons d'ores et déjà, à l'organisation prochaine de rencontres franco-algériennes de la santé et que l'édition 2016 du salon El Moustachfa est inscrite dans notre programme de participations françaises à des salons professionnels à l'étranger".

Créée en 2005, l'AREES veille au contrôle de la qualité et à l'accréditation des établissements hospitaliers et des laboratoires médicaux. Elle a accrédité en 2008 le laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques, destinataire de plusieurs attestations de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) .
http://www.aps.dz/sante-sciences-tech/2 ... sant%C3%A9
Répondre

Revenir à « Actualités en Algérie »