Selon le commentaire d’une vidéo sur la frégate Russe du projet 11356 :
https://youtu.be/cclyq-l4SZg
« Le développement de tout Etat durant ce 21ème siècle est insensé sans des forces navales modernes et puissantes, car la marine de guerre reste l'un des outils les plus puissants et les plus efficaces de la politique extérieur des gouvernements. »
Théorie universelle suivi durant des siècles par toutes les puissances mondiales anciennes et modernes, par les Arabes Musulmans (Tariq ibn Ziad et la conquête Musulmane de l'Espagne), l’Empire Ottoman et La régence d’Alger, puis les pays de l’Europe coloniale, les USA, la Russie, l’Allemagne et le Japon avant la II GM. et c’est ce que tentent de réaliser la majorité des pays émergents aujourd’hui, la Chine, L’Inde, le Brésil, le Pakistan etc… Tous des pays qui ont une position géopolitique importante, une vaste zone d'influence et qui souvent disposant de l’arme stratégique nucléaire et qui sont parfaitement capables d’inverser toutes situations dans le monde.
Voila pourquoi l’acquisition et la construction de navires de guerre de nouvelles générations en nombre suffisant et en catégories nécessaires pour des forces navales modernisées possédant une grande capacité de survie et un puissant armement universel, avec les capacités pour mener des opérations de reconnaissance et de guerre électronique doivent constituer de véritables soucis pour le commandement de certains pays le notre y compris.
Agissant seul ou au sein d’un groupe naval l’armement moderne bien équilibré pour une frégate ou une corvette doit lui assurer toutes les chances de sortir victorieuse d’un combat avec un ennemi moderne de surface, sous marin ou aérien……L'intervention dans la guerre en Syrie des unités de la flotte russe a partir de la caspienne et de la méditerranée est une bonne démonstration de l'influence de la marine de guerre sur la politique étrangère.
Les Q B J ont acquis au début des années 80 trois frégates Koni II qui forment la classe Mourad Raïs et trois corvettes Nanuchka II, formant la classe Raïs Hamidou. Les premières spécialisées dans la guerre anti sous marine quand aux secondes elles sont équipées pour la guerre anti navires , les six navires été équipés de vieux systèmes de combat, souvent très volumineux , occupant beaucoup d’espace sur les navires, par conséquent, très encombrantes, qui avec le temps ont perdu leur efficacité par comparaison avec les systèmes d’armes modernes aux quels ils sont susceptible d’être confrontés. Il s’agit des tourelles d’artillerie de 76 mm bitubes, 57 mm bitubes, du complexe de missiles antiaériens Osa-M certainement quelques équipements électroniques qui n’on pas été remplacés lors des modernisations précédentes, radars de surveillance, radar de tir systèmes de guerre électronique etc… enfin des équipements dépassées voir obsolètes qu’on ne voit plus sur les bâtiments des flottes Russes maintenant que Internet le permet, donc déclassées depuis longtemps et remplacées par la nouvelle technologie .
Par la suite ces navires ont été envoyés en Russie par paire, une frégate avec une corvette pour modernisation, je crois plus d’une fois chaqu’un, gardant ainsi un très bonne aspect extérieur, quelques un ont reçu des équipements modernes, en remplacement des anciens qui ont été débarqués ce qui leur a permet de devenir des vraies bâtiments de guerre du 21e siècle et rester en service jusqu'à ce jour. Pour continuer a servir dans les QBJ j’estime qu’ils doivent faire l’objet de certaines modifications et même quelques transformations au niveau de la superstructure, visant à corriger les défauts et les insuffisances persistants encore sur les frégates comme sur les corvettes. Il est donc très souhaitable de débarquer : Ces blocs de ferraille qui représentent les tourelles d’artillerie qui occupent proue et poupe des navires, ces canons bitubes de 76 mm et 57 mm sont dépassés, leurs portées sont certainement très limitées en plus ils sont déclassés par les russes car ils n’existaient plus sur leur navires déjà vers la fin de l’époque soviétique. Le complexe de missiles de défense aérienne OSA-M occupant inutilement trop d’espace sous et sur le pont, a une efficacité limitée aussi car il met beaucoup de temps pour tirer seulement deux missiles puis doit recharger, donc très lent donc dépassé parce qu'en plus les russe ont fabriqué un grand nombre de complexes de défense anti aérienne après celui-là. Il existe certainement d’autres équipements électroniques à remplacer sur les frégates 901 et 902 ainsi que sur les corvettes 801 et 803.
Il est a mon humble avis plus qu’un devoir de proceder au remplacement de ces systèmes à débarquer obligatoirement si navires vont continuer le service, par d’autres plus récents, réellement modernes et dont l’efficacité est garantie au moments de leur utilisation et cela dans le but protéger les vies sacrées des hommes des équipages contre toute éventualité et assurer le succès des missions qui sont assignées à ces hommes et à ces unités de combat. Ces navires équipés d’une façon moderne, armements bien équilibrée, numérisés, avec les moyens de communication et de guerre électronique nécessaires deviendront des véritables navires multi missions du 21e siècle(les corvettes ont une forme furtive).
Les systèmes d’arme susceptibles d’avantager nos marins lors d’un éventuel combat contre un ennemi de surface, sous marin, aérien?
En matière d’artillerie navale pour l’Algérie les plus indiqués sont les canons 76/62 mm. Italien Oto Melara qui propose trois variantes de tourelles avec un canon Super Rapide, la varient STRALES avec sa suite optronique et les munitions intelligentes DART (très indiqués pour les corvettes lourdes classe « Adhafer »). Pour les corvettes classe Raïs Hamidou la tourelle de 76 mm Oto-Melara/Otobreda Compact serait parfaite (peuvent être achetées en deuxième main), pour les frégates classe Mourad Raïs une tourelle Oto Melara 76/62 SR. Comme second choix je propose une tourelle avec un 1 AK-190 de 100 mm russe pour les corvettes lourdes classe « Adhafer », une tourelle avec un AK-176de 76 mm. russe pour les six autres navires , l’inconvénient du AK-176 c’est qu’il chauffe après le tire rapide de quelques rafales d’obus et la nécessité d’un temps pour refroidir. Pour l’artillerie secondaire il y a le choix entre les AK-630 30 mm Navy CIWS gun, le monotube « SEAHAWK A2 » CIWS de MS-Defence Systems Ltd. Déjà largement installés sur les navires des QBJ. Plus les mitrailleuses lourdes 14,5 mm, 12,7 mm et 7,62 mm. Largement Disponibles dans l’ANP.
Pour la défense aérienne, les frégates classe Mourad Raïs et les corvettes classe Raïs Hamidou peut être assuré par les canons de 76 mm à l’avant, les canons de 30 mm. Pouvant être installés des deux cotés de chaque navire et par un de ces complexes modernes, unissant des lances missiles de courte porté et des pièces d’artillerie de 30 mm de 3500 mètre de porté « Pantsit-M » ou bien un « Palma, variante du Kashtan-M » susceptibles d’assurer une meilleure protection des équipages en cas d’attaque aérienne par aéronefs ou par missiles. En ce qui concerne les corvettes lourdes classe « Adhafer » le système de défense aérienne le plus indiqué bien sûr serait un VLS de 32 cellules minimum « Shtil-1 » russe pour missiles sol-air 9M317ME qui ont une portée de 50 Km. Le dispositif de défense aérienne sur tous les navires doit être renforcé par un nombre de systèmes de missiles sol-air portatifs MANPAD.
Les missiles antinavires leur manque concerne uniquement les frégates classe Mourad Raïs qu’il serait souhaitable d’équiper au moins par 2 complexes de 4 lanceurs de Kh35 Uran-E /SS-N-25 «Switchblade» à organiser par exemple, a la place de la tourelle d’artillerie arrière une fois qu’elle sera débarquée.
Les torpilles au moins 2X2 tubes lance torpille par frégate, en plus des autres moyens antis sous marins
Des équipements de reconnaissance et de guerre électronique nécessaires etc…
Dans le cas ou l’état des coques permet de garder ses navires en service pour une dizaine voir une quinzaine d’années et plus encore et je pense que cela et possible un « lifting » de l’intérieur de chaque navire serait souhaitable. Par « lifting intérieur » j’entends : des opérations de rénovation et de rajeunissement de ces bateaux, pouvant être réalisé localement par l’ECRN. le réaménagement des l’espace intérieur visant à réorganiser les locaux et a crier une meilleur ambiance de vie et de travail pour les membres de l’équipage, en éliminant quelques parois inutiles ce qui va certainement diminuer les risques de stress et même de traumatismes pouvant être engendrés par la promiscuité et par la nature des matériaux de construction de la superstructure ainsi que les risques d’une mauvaise hygiène et augmenter le confort. L’ameublement, le revêtement des parois, des sols et des plafonds ainsi que les meubles peuvent être refaits en utilisant des matériaux modernes faciles à manipuler. L’éclairage, l’aération la ventilation et le chauffage, naturel les locaux sanitaires et les locaux de stockage des réserves tout doit être rénové.