Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

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deyaziz
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par deyaziz »

Salam Kaci ,
J’ai opté pour la hyène des le départ, de toute façon la prolifération dangereuse de ces animaux sauvages , sangliers, hyènes , singes au nord, le Guépard qui est revenu vers la région de Tamanrasset au sud et autres ces dernières années dans tous nos maquis pose des problèmes de sécurité pas seulement pour les paysans mais pour le citadins aussi, et surtout pour les bergers et les enfants vilageois qui se déplacent sur de grandes distances parfois pour se rendre a l’école par exemple etc. Cette prolifération ayant atteint des démentions inquiétantes parfois est due je crois au fait que la chasse soit fermée de façon permanente depuis longtemps, et aussi au fait que le déplacement avec une arme même de chasse et l’accès aux grandes forêts n’est plus sans risques. Il y a quelque temps j’ai lu dans la presse que des populations de singes attaquaient des villages quelque part dans la wilaya de Média en quête de nourriture. En Kabylie les sangliers ravagent les potagers des paysans. Les hyènes quant a elles, sont très dangereuse pour l’homme surtout lorsqu’elles ont faim et quant elles sont en groupe et aussi je crois qu’elles se régalent de chaire humaines ces dernières années dans les maquis.
Par ailleurs un autre type de gibier se fait dangereusement massacrer …..
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imbrator
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par imbrator »

Il y' a une forte population de singes magot (Macaque de Barbarie) dans les montagnes de l'Atlas Blidéen, mais ces derniers se montrent rarement agressifs ou dangereux, bien au contraire ils sont très sociables et sont considérés comme une curiosité à bord de la route N1 au niveau des gorges de la Chiffa, ils profitent des gens eux aussi qui les nourrissent (ce qui n'est pas bon pour eux en réalité).
La vraie menace à mon avis reste le sanglier qui représente un vrai danger pour la sécurité des gens et même la sécurité routière et aussi un animal nocif pour l'agriculture, les loups et chacals sont aussi relativement dangereux mais je ne sais pas s'ils sont nombreux ou pas.
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kaci
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par kaci »

imbrator a écrit :Il y' a une forte population de singes magot (Macaque de Barbarie) dans les montagnes de l'Atlas Blidéen, mais ces derniers se montrent rarement agressifs ou dangereux, bien au contraire ils sont très sociables et sont considérés comme une curiosité à bord de la route N1 au niveau des gorges de la Chiffa, ils profitent des gens eux aussi qui les nourrissent (ce qui n'est pas bon pour eux en réalité).
La vraie menace à mon avis reste le sanglier qui représente un vrai danger pour la sécurité des gens et même la sécurité routière et aussi un animal nocif pour l'agriculture, les loups et chacals sont aussi relativement dangereux mais je ne sais pas s'ils sont nombreux ou pas.
Salam à tous,
mon cher concitoyen, à part le loup du Sahara, dont on dit qu'il s'est éteint, il n'y a pas eu de loup en Algérie; Et ce loup du Sahara n'a rien à voir avec le loup européen, il est plutôt proche du chacal dans tous es aspects morphologiques et biologiques. Dangereux ? Je pense qu'il peut être un danger, mains on est pas encore là. Par contre le sanglier peut être un danger si on les laisse se développer sans frein. Moi, quitte à sortir du sujet, je pense qu'il sera utile économiquement si des gens organisent l'abattage et le vendent à l'export. La viande de sanglier coûte cher. Ce sera des devises pour le pays. Au Liban, quand les musulmans abattent un sanglier, ils le remettent aux chrétiens, y a pas de mal.
Quant aux autres animaux, il faut absolument les préserver, les laisser se développer conformément aux lois de la nature. L'hyène nettoie les forêts dans la mesure où elle est attirée par le cadavre d'un animal mort à des kilomètres de sa position. Tout comme c'est un excellent dévoreur de marcassins, l'attaque des vieux sangliers se fait en meute. D'ailleurs le développement du sanglier se fait aussi par l'absence de hyènes en nombre suffisant. Quant aux singes, ça anime plus le tourisme...
J'ai oublié de dire que j'ai grandi parmi les chacals jusqu'à 18 ans. Je ne suis jamais senti en danger, même quand ils étaient à 30 m de moi et mon petit troupeau. ILs m'ont suivi jusqu'à ce qu'ils perdent espoir les pauvres...En fait, le chacal craint l'homme.
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yayoune
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par yayoune »


Meko2000
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par Meko2000 »

Salam

Merci Yayoune pour cette super Vidéo c'est bien d'avoir de espace vert à Alger et les environ :avo: :algerie01:
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DarkSideoftheMoon
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par DarkSideoftheMoon »

qu'est ce qu'il raconte ? ce par est ouvert depuis plus d'un an. j'y ai même pikniké l'année dernière

AAF 2020
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par AAF 2020 »

La hyène rayée réapparaît dans plusieurs régions des Aurès

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BATNA - Une hyène rayée, une espèce disparue depuis plusieurs décennies en Algérie, a été aperçue aux Aurès, a-t-on appris mercredi, auprès du conservateur des forêts de la wilaya de Batna, Larbi Benachoura.

"Il y a quelques semaines dans le massif des Aurès, où vit une riche faune à l'état sauvage, l'hyène rayée a été repérée dans la forêt de Chelia, et au mont de l'Ahmer Khadou, entre les wilayas de Batna, de Khenchela, et de Biskra", a précisé M. Benchoura.

Ces apparitions indiquent que les Hyènes rayées, autrefois au bord de l'extinction, avant d'être protégées par la loi, "ne sont pas en situation de stress", a-t-il expliqué.

Ce mammifère, mesurant jusqu'à 120 cm et peut peser 45 kg, a été capturé en novembre dernier dans une zone enclavée située entre les localités de Maafa et Beni-Fedhala.
http://www.aps.dz/societe/42427-la-hy%C ... aur%C3%A8s

AAF 2020
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par AAF 2020 »

Ghardaïa : Prés de 6.000 oiseaux migrateurs observés dans les zones humides

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GHARDAIA- Quelque 5997 oiseaux migrateurs nicheurs ont été dénombrés par les ornithologues dans les zones humides de la wilaya de Ghardaïa, devenues des lieux de nidification incontournables, a-t-on appris auprès de la Conservation des forêts (CF).

Initié dans le cadre des activités du réseau national des observateurs ornithologues algériens (RNOOA), à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale des oiseaux migrateurs, ce recensement national des oiseaux migrateurs d'eau nicheurs, a ciblé les zones humides naturelles et artificielles de la wilaya de Ghardaïa.

Ces zones sont devenues "une halte et zone de nidification incontournable sur l'axe migratoire entre l'Afrique et l'Europe", a expliqué le chef de groupe Sud-Est II du réseau, Abdelwahab Chedad.

L'objectif de ce dénombrement est "d'établir une base de suivi des différentes zones humides, de connaître l'effectif de la population avifaune nicheuse dans la région, sa phénologie, sa densité", a fait savoir M.Chedad.

Il a précisé que ce recensement a touché la zone humide naturelle classée en 2004 sur la convention de Ramsar du lac Sebkhat El Maleh (El Meneaa), la zone humide naturelle, non classée El Mahfoura (Seb Seb), ainsi que les zones humides artificielles crées à la faveur d'un programme de traitement des eaux usées, de préservation de l'environnement et des ressources hydriques constituées essentiellement de stations d'épuration des eaux usées de Kef Dokhen (exutoire de l'oued M'Zab) à El Ateuf, et celles de Berriane et de Guerrara.

Ces zones humides disposent d'une biodiversité importante et abritent prés d'une quarantaine d'espèces d'oiseaux migrateurs diversifiés et variés, dont une partie inscrite sur la liste des oiseaux menacés, élaborée par l'Union Internationale pour la conservation de la nature (UICN).

Parmi ces oiseaux figurent le tadorne casarca et le fuligule nyroca, qui "doivent être préservés à travers des mesures de protection", a souligné le même responsable.

Ces milieux aquatiques artificiels de la wilaya de Ghardaïa, situés sur le principal couloir de passage, sont devenus des refuges "bien gardés" des oiseaux migrateurs notamment des centaines de flamants roses, foulques macroules et des canards souchet, qui y nichent, estiment de leurs cotés les agriculteurs riverains de Kef El Doukhan (El Ateuf).

Les rejets des eaux épurées et traitées par les stations d'épuration réalisées dans la wilaya ont permis la création de véritables lacs, sites privilégiés pour la population avifaune et le développement d'une flore aquatique et peuvent également être utilisés pour irriguer les périmètres agricoles, ont-t-ils ajouté.

Ces sites aquatiques recèlent des potentialités susceptibles de promouvoir un tourisme écologique est également un véritable laboratoire à ciel ouvert pour les scientifiques ou niche des milliers d'oiseaux migrateurs, une faune remarquable, des reptiles des poissons et une flore endémique riche et variée tel que le tamarix limoniastrum , Phragmites et Typha qui colonise les berges et même les eaux des lacs.

http://www.aps.dz/regions/42445-gharda% ... es-humides

samir_reghaia
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par samir_reghaia »

:none:
Journée mondiale de l’environnement à El Tarf
Un écolo tente de se suicider pour sauver le lac Oubeïra


Lassé par ses appels sans écho aux autorités publiques, Bachir Ameur, président d’une association de protection de l’environnement, a décidé de changer de méthode.

Hier, dans la grisaille de ce matin de 5 juin 2016, Journée mondiale de l’environnement, que l’écolo a judicieusement mise à profit, il s’est installé sur le haut du pont-vanne du lac Oubeïra (El Kala) avec une corde autour du cou, un bidon d’essence et un briquet.

Il a ensuite appelé la gendarmerie, la Protection civile et la presse pour les informer de son intention de se donner la mort en s’immolant et en se pendant aux armatures du pont pour dénoncer l’indifférence des autorités devant la dégradation constante de ce plan d’eau de 2500 ha, réserve intégrale du Parc national d’El Kala et l’un des premiers sites algériens classé Ramsar.

«On a volé une vanne du pont-vanne qui régule, lorsqu’elle fonctionne, les écoulements du plan d’eau. Maintenant le lac est en train de se vider. Comment a-t-on pu voler la vanne de plusieurs centaines de kilos soudée à son axe de relevage ?» s’insurge Bachir Ameur.

Cette vanne, réalisée pendant la période coloniale, laissait entrer l’eau des crues dans le lac et la retenait ensuite le plus longtemps possible pour l’irrigation. Elle n’a pas été utilisée pendant des décennies et a même été refaite en 2013, elle n’a pas fonctionné et c’est tant mieux, car les vannes fermées retenaient l’eau.

Ce n’est plus le cas avec l’une des trois vannes en moins. L’eau coule sous le pont et le lac se vide.
Le défenseur du lac Oubeïra parle aussi de l’abandon de ce plan d’eau aux braconniers. Il y aurait quelque 200 nasses pour anguilles (en fait des verveux) qui y sont installées. Ce lac, autrefois concédé à une exploitation privée, est délaissé depuis le retrait de cette dernière pour des motifs contractuels.

Ce sont aussi les eaux usées de la zone éparse de Demt Rihanna, au nord, de celles de Meridima, au nord-est et de l’agglomération d’El Frin, au sud, qui se déversent dans le lac. «Autrefois, nous raconte l’écologiste de 68 ans, et même après l’indépendance, on se baignait dans cet oued et dans le lac et l’eau était d’une limpidité cristalline. Aujourd’hui, vous voyez elle est noire et nauséabonde.» L’entreprise, qui a été chargée de curer l’oued, allez savoir pourquoi, a cassé la conduite qui déversait les eaux usées d’El Frin dans un bassin de lagunage avant qu’elles ne rejoignent l’oued. Cela dure depuis des années et on n’a rien fait pour y remédier. Comme on n’a également rien entrepris pour arrêter les agriculteurs qui ont labouré le bourrelet sableux qui marquait la limite entre leurs parcelles agricoles et le domaine public de l’hydraulique qu’ils ont fini par s’approprier, explique encore le protecteur du lac Oubeira.

De passage pour inaugurer de nouvelles réalisations à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement et de l’ouverture officielle de la saison estivale, le wali s’est arrêté pour l’écouter attentivement, nous dit encore Ameur Bachir qui l’a également entendu donner des instructions pour que des enquêtes soient ouvertes. Bachir Ameur n’est pas un inconnu dans la région, c’est une figure de proue de la communauté du village d’El Frin (commune de Aïn El Assel). Ses combats l’ont mené en prison en 2012 pour 9 mois parce qu’il avait été accusé à tort d’être à l’origine du mur construit en une nuit en travers de la route nationale entre El Tarf et El Kala.

Un mur édifié par les populations qui réclamaient que l’on prenne en charge leur village devenu le ghetto des mal-aimés de la commune.
Slim Sadki
http://elwatan.com/hebdo/environnement/ ... 39_158.php
Les grands changements ne viennent que d'en bas.
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Chifboubara
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par Chifboubara »

À Batna, la population se mobilise contre le projet d’une cimenterie qui menace un espace naturel sensible
17:21 dimanche 10 juillet 2016 | Par Envoyé spécial : Nacereddine Benkharef | Actualité
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À mi-chemin entre Batna et Oued Taga, les hauts-reliefs de l’Aurès se dessinent. Loin de la chaleur suffocante du chef-lieu, la température commence à devenir de plus en plus clémente à la faveur de l’altitude. Le paysage change aussi : le vacarme et la poussière du centre-ville cèdent la place aux forêts de cèdre et de glandiers.

À quelques encablures de Oued Taga, situé à 32km de Batna, une vallée de quelques hectares fait son apparition, surplombée derrière par une colline boisée. Au milieu de cette vallée, historique selon les habitants de la région, se trouve une tombe symbolique ornée de petits drapeaux algériens et sur laquelle sont transcrits les noms de martyrs tombés au champ d’honneur, à cet endroit. Et c’est justement ici que le projet d’une cimenterie est prévu.

Porté par un opérateur privé algérien en partenariat avec le chinois Honxing Machinery, le projet concerne une cimenterie d’une capacité de production de 1 500 tonnes/jour. Elle devrait être construite en partie sur un champ où l’on cultive habituellement du blé et de l’orge.

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Une mobilisation sans relâche

Malgré les assurances des investisseurs sur les risques de pollution, à Oued Taga, tout le monde affiche la même opposition concernant l’implantation de la cimenterie. « Personne ne veut de ce projet ici », répètent les habitants du village. Son refus s’exprime partout et de différentes façons : des tags sur les murs, des autocollants sur les voitures et une banderole placardée au centre du village avec comme slogan « non à la cimenterie ».

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Sur une page Facebook éponyme, gérée par des jeunes de la localité, la désapprobation de la population s’affiche également. Les commentaires vont de la dénonciation de la cimenterie jusqu’aux appels à manifester. Et les manifestations sont fréquentes. En effet, après avoir observé une trêve durant le mois du ramadan, les habitants d’Oued Taga ont de nouveau investi leur village, le vendredi 8 juillet, pour exprimer leur désarroi.

Cette manifestation, qui a rassemblé plusieurs milliers de personnes selon les organisateurs, a été appuyée par des sympathisants et des militants des villages voisins.

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« Une catastrophe environnementale »

Saleh Bakhouch, vice-président de l’association des dignitaires d’Oued Taga, est formel : l’ensemble du village refuse cette cimenterie pour des raisons écologiques et historiques. « Le site choisi n’est qu’à 4 km, voire 3 à vol d’oiseau, de la zone d’habitation », affirme-t-il.

« De plus, une carrière sera implantée au lieu-dit Djebel (mont) el Mahmal. Un endroit historique et environnemental où existe une réserve d’arbres appelés en berbère Aywal (Genévrier thuriféraire). Une espèce unique protégée à l’échelle mondiale », ajoute-t-il.

Selon M. Bakhouch, cette carrière, qui sera au pied de la réserve du mont El Mahmal, constituerait un vrai danger pour les eaux souterraines de la localité. « Nous connaissons la capacité d’une carrière de cimenterie. De ce principe il va y avoir des détonations et des explosifs utilisés pour extraire le minerai. Nos eaux souterraines seront polluées alors que notre réserve d’eau vient de la région d’El Mahmal ».

« Si le but réel est d’investir, il y a d’autres créneaux amis de la nature. Sauf le ciment, Ulac l’usine ! », ajoute le militant avant de lancer un défi : « S’il y a des chômeurs à Oued Taga qui veulent de ce projet, on est prêt à le soutenir. Personne n’en veut ! ».
Source : http://www.tsa-algerie.com/20160710/a-b ... um=twitter
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yayoune
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par yayoune »

Un groupe de 3 pêcheurs, au large perçoivent de leur barque un regroupement de marsouins et une magnifique baleine. :)

https://youtu.be/-PtXJs6nXgY
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DarkSideoftheMoon
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par DarkSideoftheMoon »

Magnifique :)
mais le jeune qui tient le téléphone est à mourir de rire..... ah ces Algériens :algerie01:
Bravo pour la vidéo et merci pour le partage :super: :super:
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bologhineziri
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par bologhineziri »

La plage Sbiaat Ain Temouchent
https://youtu.be/Ygz0PunE0Uw
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bologhineziri
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Re: Patrimoine biologique et naturel de l'Algérie

Message par bologhineziri »

Le lac Tonga, au parc national d’El-Kala Wilaya d'El-Tarf
Notre richesse réside surtout dans l'être humain, admirez ce jeune "guide touristique"(en T-Shirt bleu) qui gagne sa vie en exploitant une barque (de couleur verte) à partir de l'instant 1:54.
https://youtu.be/prVqMb86N5Q
Parc national d'El-Kala: https://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_d%27El-Kala
Le lac Tonga sur Google Map:https://goo.gl/maps/w8mBgCdAE772
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Chifboubara
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Re: Patrimoine historique et culturel de l'Algérie

Message par Chifboubara »

:love: Les 10 parcs naturels d’Algérie :love:

30 Mai 2015 | Mis à jour 15 Mars 2016
May Sammane HuffPost Algérie
Plus grand pays d’Afrique, la richesse de la faune et de la flore du pays est sans doute une des plus exceptionnelle du continent. C’est pourquoi l’Algérie a créé dix parcs naturels nationaux afin d’assurer au mieux la conservation des échantillons représentatifs de la grande variété de paysages, de forêts, de plantes et d’animaux qui font la diversité du pays.

La création de ces milieux naturels protégés vise à trouver le meilleur équilibre entre les biotopes et biocénoses qui les constituent.

D’est en ouest, du nord au sud, l’Algérie a créé, dès 1983, des réserves naturelles de la biosphère protégées par décrets présidentiels.

Ces parcs abritent une flore impressionnante dont la diversité et la rareté sont peu communes. Un nombre important de mammifères ainsi qu’une multitude d’espèces d’oiseaux s’y côtoient s’alliant aux formations rocheuses exceptionnelles, aux lieux historiques, aux ruines et gravures rupestres. Chaque parc a sa spécificité. Chaque parc est inestimable.

Le Parc National de l’Ahaggar
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Le Parc National de l’Ahaggar est situé dans le sud de l’Algérie dans le massif du Hoggar, il fait partie de la wilaya de Tamanrasset. Il a été classé parc national en 1987, et a été proposé en 1988 sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Le parc de l’Ahaggar s’étend sur une surface de 450 000 km² et abrite un patrimoine culturel et naturel fascinant. Il renferme des sites archéologiques datant de 600 000 à un million d’années. Véritable musée à ciel ouvert.

Le Parc National de Belezma
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Le parc national de Belezma est situé dans la wilaya de Batna. Il a été classé parc national en 1984. Le parc s’étend sur une superficie de 26 250 ha et présente un ensemble montagneux avec des reliefs accidentés, des pentes accentuées et une importante végétation. Le parc de Belezma marque le début du massif des Aurès.

Le Parc National de Chréa
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Le parc national de Chréa s’étend sur une superficie de 26 000 ha. Il est situé à une cinquantaine de km au sud-ouest d’Alger au cœur de l’Atlas blidéen. Chréa a été classé parc national en 1983. En 2002 l’UNESCO à reconnu le parc comme réserve mondiale de la biosphère. Le parc abrite pas moins de 1200 espèces végétales et animales notamment le cèdre, le chêne liège, le chêne vert et le pin d’Alep.

Le Parc National du Djurdjura
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Le parc national du Djurdjura est situé au nord est de l’Algérie dans une région montagneuse très accidentée entre Bouira et Tizi-Ouzou. S’étendant sur une superficie de 18 500 ha c’est un parc atypique. Son climat méditerranéen et continental fait de lui un des plus riches biotopes montagneux. Il compte pas moins de 600 espèces végétales.

Le Parc National d’El-Kala
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Le parc national d’El Kala est situé au nord-est de l’Algérie. Il a été classé parc national en 1983 et réserve mondiale de la biosphère en 1990 par l’UNESCO. Le parc s’étend sur une superficie de 76 438 ha ce qui en fait l’un des plus grands parcs nationaux d’Algérie et le plus riche du nord du pays. Il comprend plusieurs ensembles naturels ainsi que la faune et la flore les plus diversifiés du pays.

Le Parc National de Gouraya
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Le Parc National de Gouraya est situé sur la côte Est de l’Algérie dans la Wilaya de Béjaia. D’une superficie de 2080 ha le parc présente des richesses archéologiques et esthétiques exceptionnelles, notamment le pic des singes, le fort de Gouraya, la promenade de Cap Carbon et les merveilleuses falaises. En 2004 le parc a été reconnue comme réserve de biosphère par l’UNESCO.

Le Parc National du Tassili n’Ajjer
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Le Parc National du Tassili n’Ajjer est situé au sud-est de l’Algérie dans le massif du Tassili n’Ajjer à Djanet dans la wilaya de Illizi. En raison de la grande richesse du parc notamment ses célèbres gravures et peintures rupestres, le Tassili a été classé parc national en 1972. Le parc a été, par la suite, inscrit au patrimoine mondial de l’humanité en 1982 par l’UNESCO, et classé réserve de l’homme et la biosphère en 1986.

Le Parc National de Taza
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Le parc national de Taza est situé au nord-est de l’Algérie au niveau du massif forestier du Guerrouche près de Jijel. Le parc s’étend sur une superficie de 3807 ha et considéré comme unique dans la bassin méditerranéen de part sa diversité. Le parc national de Taza est composé de zones de montagnes à altitudes peu élevées. Son point culminant est le Mont Koudiet El Kern à 1121 mètres d’altitude. Le parc de Taza est reconnue par l’UNESCO depuis 2004 comme réserve mondiale de la biosphère.

Le Parc National de Théniet El Had
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Le parc national de Théniet El-Had est situé au nord-ouest de l’Algérie dans la wilaya de Tissemsilt. Il s’étend sur une surface de 3425 ha dont 2968 ha sont recouvert de végétation. Sa flore est constitué principalement de chênes de l’Atlas, de chênes vert, de chênes liège et de chênes zen.

Le Parc National de Tlemcen
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Le Parc National de Tlemcen est situé au nord-ouest de l’Algérie. Il s’étend sur une superficie de 8225 ha est riche en biodiversité avec une variété exceptionnelle de faune et de flore. Le parc abrite également des sites d’importance historique comme les ruines de la Mansourah et naturel comme les cascades légendaires d’El Ourit. Il a été classé parc national en 1993.
Les 10 Parcs Nationales Naturels d’Algérie
Source : http://m.huffpost.com/mg/entry/7475286?
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