L’armée bahreïnie a annoncé que les Etats-Unis et huit autres pays participent depuis dimanche aux plus grandes manœuvres de l’armée de l’air sur son territoire.
Selon l’agence de presse officielle bahreïnie, plus de 100 avions de combat prennent part à ces manœuvres.
" Il s’agit de plus grandes manœuvres depuis 1988. Des pays arabes alliés, la Turquie, le Pakistan et les Etats-Unis participent à ces manœuvres ».
Le royaume bahreïni abrite la 5ème flotte américaine dans la région, et ce genre de manœuvres se tient sur son territoire depuis deux décennies.
200 avions de combats dans des manoeuvres conjointes CCGP/Washington!
Vendredi, 13 Avril 2012 10:34
IRIB- Quatre pays du Conseil de coopération du Golfe persique et les Etats Unis vont participer du 8 au 12 avrils dans les manoeuvres aériennes conjointes destinées, ainis que le dit Al Arabiya à "ouvrir le détroit d'Hormuz"! USS Lincoln et Enterprise ainsi que 100 avions de combats saoudiens, koweitiens, emiratis et bahreinis participeront à ces exercices depuis Bahrein où siège la cinquième flotte US.
Al Watan qui parait au Koweit affirme de son côté que les exercices visent aussi à empêcher les bombardements de s terminaux pétroliers arabes par l'Iran dans une éventuelle guerre régionale que les Occidentaux appellent de leur voeux!
U.S. resumes some weapons sales to Bahrain
May 11, 2012 | 4:54 pm
The United States is loosening some of its restrictions on weapons sales to Bahrain, a Persian Gulf ally that has grappled with massive protests pushing for greater democracy.
“We have made the decision to release additional items to Bahrain, mindful of the fact that there are a number of serious unresolved human rights issues that the government of Bahrain needs to address,” State Department spokeswoman Victoria Nuland said Friday.
But the U.S. move has upset rights activists, who say the country is still attacking and abusing dissidents.
The U.S. froze its weapons sales to Bahrain in October over human rights concerns. Nuland said the U.S. was still withholding antitank missiles and Humvees, along with “certain additional items for the Bahrain Defense Force,” stressing that the newly released items “are not used for crowd control."
The Bahraini crown prince met with U.S. officials this week. Nuland did not specify what would be sold to Bahrain, but Bloomberg News reported that the equipment includes air-to-air missiles and ammunition.
Bahraini dissidents and rights groups say the government has not done enough to meet the demand for reforms in the island nation, continuing to jail and harass protesters. Government loyalists counter that protesters have hurled Molotov cocktails at police and blame Iran for stirring up trouble.
The unrest has left the United States open to accusations that although it has championed other "Arab Spring" uprisings, it has been less aggressive in backing calls for change in Bahrain, a strategic ally. The nonprofit Human Rights First slammed Friday's announcement.
"Where is the progress that warrants the reward of arms?" its human rights director, Brian Dooley, asked in a statement. "This new sale will only damage U.S. credibility among those working for democracy in Bahrain and across the Middle East.”
Nuland insisted the U.S. was concerned about excessive force by police. “We urge all sides to work together to end the violence and refrain from incitement of any kind, including attacks on peaceful protesters or on the Bahraini police,” she said.
Bahrein intéressé par l'Eurofighter, selon BAE Systems
Bahrein est au premier stade de discussions avec le gouvernement britannique en vue de l'achat d'avions de combat Eurofighter, a déclaré mercredi le groupe de défense BAE Systems.
BAE produit l'Eurofighter Typhoon avec EADS, qui est en train de se rebaptiser Airbus, et l'italien Finmeccanica .
"Bahrein a exprimé de l'intérêt pour le Typhoon et le gouvernement britannique a engagé des négociations encore à un stade très préliminaire. BAE Systems soutient le gouvernement dans ces discussions", a dit une porte-parole du groupe de défense.
Bahreïn intéressé par l'Eurofighter, selon BAE Systems
Bahreïn est au premier stade de discussions avec le gouvernement britannique en vue de l'achat d'avions de combat Eurofighter, a déclaré mercredi le groupe de défense BAE Systems.
BAE produit l'Eurofighter Typhoon avec EADS, qui est en train de se rebaptiser Airbus, et l'italien Finmeccanica .
"Bahreïn a exprimé de l'intérêt pour le Typhoon et le gouvernement britannique a engagé des négociations encore à un stade très préliminaire. BAE Systems soutient le gouvernement dans ces discussions", a dit une porte-parole du groupe de défense.
Elle n'a pas précisé sur combien d'appareils pourrait porter une éventuelle commande.
Le consortium Eurofighter mise sur les exportations au vu de la baisse des budgets de défense en Europe. En dehors des quatre pays à l'origine du programme - Allemagne, Espagne, Grande-Bretagne et Italie - des Typhoon ont déjà été vendus à l'Autriche, à l'Arabie saoudite et à Oman.
Eurofighter espère également placer des Typhoon - dont les principaux concurrents sont le F-35 de Lockheed Martin, le Rafale de Dassault Aviation et le Gripen de Saab - en Corée du Sud, au Koweït, au Qatar, en Bulgarie et au Danemark.
Plus tôt dans la journée, l'agence de presse nationale du Bahreïn a rapporté que le roi Hamad el-Khalifa, actuellement en visite au Royaume-Uni, avait dit au Premier ministre britannique David Cameron que l'Etat du Golfe était intéressé par le Typhoon en vue "de créer un système de défense cohérent entre les nations du Conseil de coopération du Golfe (GCC)".
Le GCC (Gulf Cooperation Council) comprend Bahreïn, le Koweït, Oman, le Qatar, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis.
Cela pourrait être de bon augure pour les efforts commerciaux d'Eurofighter aux Emirats arabes unis, qui étaient partis pour acheter des Rafale jusqu'à que les négociations s'interrompent avec Dassault.
Avions de combat : Bahrein est au premier stade de discussions avec le gouvernement britannique en vue de l'achat d'Eurofighter, a déclaré mercredi BAE Systems, l'un des trois partenaires industriels, avec EADS et Finmeccanica, de l'avion de combat.
Une porte-parole du groupe de défense britannique citée par Reuters n'a pas précisé sur combien d'appareils pourrait porter une éventuelle commande.
Bahreïn s’intéresse de près à l’avion Eurofighter Typhoon
Si Dassault Aviation peut nourrir quelques espoirs de vendre le Rafale au Qatar, au Koweït ou encore aux Emirats arabes unies, il n’avait aucune chance de s’imposer à Bahreïn, et cela même si les relations entre la France et ce royaume aux prises avec une contestation chiite depuis 2011 sont plutôt bonnes, le président Hollande ayant reçu en toute discrétion, le roi Hamad ben Issa Al-Khalifa, en juillet de l’année dernière, afin de parler de coopération en matière de politique, d’éducation, de technologie et… de défense.
Si le constructeur français n’a aucune chance de vendre ses Rafale à Manama, c’est parce que le Typhoon, développé par le consortium Eurofighter qui réunit EADS (futur Airbus), Finmeccanica et le britannique BAE Systems, semble avoir la préférence des autorités bahreïnies.
Qui plus est, en novembre 2009, le roi Al-Kahlifa avait critiqué le Rafale lors d’un entretien avec le général américain David Petraeus, alors commandant de l’US Centcom, au cours d’un entretien dont la teneur avait été rapportée dans un télégramme diplomatique diffusée par WikiLeaks.
“Il (ndlr, le roi) a dit que la France essayait de pousser le Rafale et serait présente en force (ndlr, au salon aéronautique de Bahreïn de janvier 2010), bien qu’il partage l’avis de Petraeus selon lequel l’avion de combat français est doté d’une technologie d’hier”, pouvait-on lire dans ce compte-rendu.
Quoi qu’il en soit, selon un porte-parole de BAE Systems, “Bahreïn a exprimé un intérêt pour le Typhoon et le gouvernement britannique mène des discussions très préliminaires.” Cette confidence a été faite le 7 août, au lendemain d’une rencontre entre le Premier ministre britannique, David Cameron, et le roi Al-Khalifa.
Selon l’agence de presse nationale de Bahreïn, ce dernier aurait affirmé au cours de la discussion que son royaume était intéressé par l’avion européen afin de “créer un système de défense cohérent entre les nations du Conseil de coopération du Golfe (GCC)”, lequel compte 5 autres membres, dont l’Arabie Saoudite, le sultanat d’Oman, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar.
Or, Riyad a déjà commandé 72 Typhoon en 2007 pour 5,2 milliards d’euros et Mascate en a fait de même, avec seulement 12 exemplaires. Si les trois autres suivent la même démarche, autant dire qu’il faut s’attendre à des lendemains difficiles pour le programme Rafale, qui a absolument besoin de décrocher un marché à l’exportation pour que Dassault puisse maintenir ses lignes d’assemblage. Et cela d’autant plus que la dernière Loi de programmation militaire prévoit une baisse des commandes pour les besoins des forces aériennes françaises lors des 5 prochaines années.
Modernisation des F-16 et nouvel avion pour Bahreïn !
Bahreïn, la Royal Air Force de Bahreïn va procéder dès l’année prochaine à la modernisation de sa flotte d’avions de combat Lockheed-Martin F-16 en service depuis 1990. Mais en parallèle, le petit Emirat va également procéder à l’acquisition d’un nouvel avion de combat dont la sélection est attendue d’ici ce printemps.
Modernisation des F-16 :
La première étape de la modernisation de la Force aérienne va débuter d’ici deux mois avec la mise à jour de la flotte de 20 F-16C/D actuellement en service. La modernisation comprend l’ajout d’un radar AESA, deux modèles sont en compétition, le RACR de Raytheon et le SABR de Northrop-Grumman. L’Emirat va doter ses F-16 de missile AIM-120D «AMRAAM», de l‘AIM-9X «Sidewinder» ainsi que du pod de désignation laser «SNIPER» afin de mettre en oeuvre des bombes à guidage de précision. L’avionique sera également modernisée et l’ajout d’une liaison16 (Link16) est prévue.
Les quatre premiers chasseurs modernisés sont susceptibles d'être remis en service à la fin de 2016 ou au début 2017.
Remplacement des F-5 Tiger II :
Le second objectif de la modernisation vise le remplacement des 16 Northrop F-5E/F «Tiger II» en service par un appareil de combat multirôle. Trois appareils sont en compétition, le Cassidian Eurofighter «Typhoon II», le Dassault Rafale et Lockheed-Martin avec le F-16E/F «Viper».
Une fois de plus, on retrouve les deux adversaires que sont l’Eurofighter et le Rafale. L’Eurofighter bénéficie de quelques avantages avec le choix dans la région de l’Arabie Saoudite et plus récemment celui du Sultanat d’Oman. De plus, Cassidian à réduit considérablement les coûts de son avion tant du point de vue de la mise en oeuvre qu’à l’achat. Sans oublier qu’avec la nouvelle version T3 (F3) l’avion atteint sa pleine capacité.
De son côté Dassault peut faire valoir également le dernier standard du Rafale qui va entrer en service très prochainement. Reste à savoir si le non-développement du viseur de casque «Gerfaut» et des équipements jugés parfois «trop français» ne vont pas une nouvelle fois péjorer celui-ci ?
Le trouble fête pourrait venir des Etats-Unis avec Lockheed-Martin qui offre son F-16 «Viper». Avec très probablement l’offre la moins chère et la possibilité de mettre en place une flotte homogène. Trop peut-être ? l’image des USA est écornée dans la région et Bahreïn pourrait tout aussi bien hésiter à devenir par trop dépendante de l’Oncle Sam !
Début de réponse peut-être déjà, lors de l’Edition 2014 du Bahrain International Air Show du 16 au 18 janvier prochain !!
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.