je suis tout a fait d'accord avec votre analyse nous avons une élite politique surtout et même militairemalikos a écrit : ↑31 décembre 2019, 10:57l y a tellement d'acteurs, tous reçoivent leur part du blâme. Je ne vois pas l'Algérie s'en prendre plus que d'autres en cas d'intervention, et je ne vois pas non plus de piège de l'OTAN. L'OTAN est divisée, avec l'Italie et la Turquie d'un côté et la France, la Grèce et, dans une certaine mesure, les États-Unis de l'autre. L'Algérie a été plusieurs fois invitée à intervenir.TaloS a écrit : ↑30 décembre 2019, 18:46..
aujourd'hui j'ai parlé a un officier a la retraite de la DAT qui était stationné a ouargla lors de la compagne de bombardement de l'otan en 2011. il m'a dit clairement qu'intervenir en libye ferait perdre la virginité de l'ANP et il n y aura aucun retour en arrière, et toutes les conséquence néfastes qui suivront une supposé intervention seront imputé sur l'algerie qui fait face à un tapage médiatique sans précédent. donc faut pas tomber dans le piège que nous réserve l'otan.
En fait, le résultat / l'attente pourrait être que l'Algérie devrait intervenir plus souvent dans la region, ce qui est à mon avis justifié.
1) La réserve de l'Algérie est fondee ( à mon humble avis) sur le fait que la plupart des personnels (ANP et politiques) vivent toujours dans un monde de guerre froide. Alors que, 30 à 50 ans plus tard, le monde a évolué et a mené un jeu de puissance géostratégique "moderne", créant des zones d'influence par tous les moyens.
De plus, nos voisins l'ont compris et l'Égypte est engagée en Libye et ailleurs. Même le Maroc s'est rendu au Yémen à la demande des Saoudiens.
2) L'autre problème du personnel est que "l'élite" politique en Algérie n'est pas intéressée sur un intérêt de l'Algérie dans la region. Leur objectif principal est de rester au pouvoir et de sécuriser l'alimentation de leurs descendants.
D'où cette approche principalement «conservatrice» dans la politique algérienne et malheureusement ici dans le forum.
une zone tampon avec la frontière libyenne et une zone d'exclusion aérienne sur celle-ci qui empêchera tout avion turc ou autre, en particulier les drones de s'approcher trop près de nos frontières ...TaloS a écrit : ↑30 décembre 2019, 18:46...par contre il m'a proposé une solution qui réconcilie les deux bords, à savoir établir une zone tampon avec la frontière libyenne et une zone d'exclusion aérienne sur celle ci qui empechera les avions turques de trop s'approcher de nos frontières et pouvoir larguer des armes aux traîtres qui jubilent en entendant l'arrivé de leur maîtres turques à nos frontières...
Et cela n'est possible qu'avec l'accord d'au moins une partie libyenne .Nous devons donc accepter les «partenaires» du côté libyen avec lesquels nous avons choisi de collaborer. C'est de la vraie politique.
Il n'y a pas de scénario optimal, et le monde ne veut pas non plus créer un pour l'Algérie.
Il y a toujours des risques et le rapport bénéfice / risque est (selon moi) clairement pour une intervention de l'Algérie.
(Tebboune a émis quelque chose dans le sens de se concentrer davantage sur ce qui se passe autour de nous).
qui n'est pas intéressée sur l'intérêt et la position de l'Algérie dans ça région direct qui et le sahel et l’Afrique du nord .
l’Algérie doit crée sa propre zone d'influence ou elle va être intégré dans d'autre zone d'influence d'autre pays