Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

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Le russe
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Le russe »

L'idée archaïque de la rusticité et je ne sais quoi d'autre c'est consternant !
« Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. »
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Dechraoui
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Dechraoui »

Ça m’empêche nullement la ´rusticité d’avoir du matériel de qualité…
Les nôtres sont plutôt rustiques ils ne déplacent pas une grosse logistique ne demandent pas un appui aérien ou des photos satellites pour un simple ratissage mais la qualité du matériel individuel est consternante
Cela augmenterai la confiance en soi du Djoundi d’avoir une tenue plus moderne plus confortable un camouflage plus adéquat au Sud…un gilet pare balle modulaire plus léger et plus efficace des chaussures plus confortables et efficaces un fusil d’assaut plus performant

Broxigar
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Broxigar »

Dechraoui a écrit :
24 décembre 2024, 22:21
On est tous d’accord je crois 😀 les djounouds devraient faire grève C’est un véritable scandale…
On est les derniers avec nos voisins de l’Ouest…le haut commandement chez nous et chez eux ont la même mentalité il y a de la main d’œuvre disponible notamment en milieu rural pourquoi prendre soi du soldat…il est remplaçable…
sauf que eux ils n'ont pas un budget de plus de 21 Milliards de dollars :D on a pratiquement le budget d'israel en 2022 ou le budget de la defence de l'espagne en 2023...

AdDz
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par AdDz »

J'ai pas envie de remuer le couteau dans la plaie mais ce problème est généraliste malheureusement, que ce soit dans la police, la gendarmerie, douanes, protection civile et l'ANP c'est la même :!:
Néanmoins pour ma part je suis assez optimiste et je pense que ça devrait changer incessamment sous peu.
La GN a généralisé un plate carrier dernier cri, les pompiers de la PC ont perçus des nouvelles tenues de feu, casques etc...
Il reste encore pas mal de travail à ce niveau là mais je pense que c'est le début d'une série de changement.
Je pense que c'est plus une question de temps qu'autre chose, du moins je l'espère :prie:
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ubayd
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par ubayd »

Dechraoui a écrit :
24 décembre 2024, 22:21
On est tous d’accord je crois 😀 les djounouds devraient faire grève C’est un véritable scandale…
On est les derniers avec nos voisins de l’Ouest…le haut commandement chez nous et chez eux ont la même mentalité il y a de la main d’œuvre disponible notamment en milieu rural pourquoi prendre soi du soldat…il est remplaçable…
de la chaire a canon. du consommable sacrifiable a tous moment par vague comme a Stalingrad en 43.. HTS en syrie a prouver qu'une bonne formation de l'équipement un minimum moderne peux fortement augmenter le moral des troupe et leur motivation et donc efficacité sur le terrain. mai si tu les equipe mal et qu'il ce sente clairement délaissais et equipé comme des plouc du moyen age c'est sur qu'il auront moins de motivation pour ce battre pour cette etat qui les laisse dans la mouise ce débrouillé avec une pelle et une Ak rouillé :nooo:
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Amine Ind
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Amine Ind »

J’ai fait une projection réaliste pour répondre aux besoins urgents des troupes tout en préparant l’avenir. Ce plan couvre les forces spéciales, les troupes de première ligne et la réserve populaire de manière stratégique. L’enjeu, c’est de garantir une progression cohérente, en mettant l’accent sur une production locale solide pour renforcer notre autonomie :
  • Les forces spéciales passent en priorité avec des équipements variés et adaptés aux missions.
  • Les troupes conventionnelles bénéficient d’une modernisation progressive et stratégique.
  • Les anciens stocks d’armes sont valorisés pour renforcer la défense nationale en dernier recours.
Budget estimé sur 10 ans :
  • Forces spéciales : 400-500 millions $
  • Troupes conventionnelles : 700-800 millions $
  • Réserve populaire : 100 millions $
  • Total : 1,3 milliard $ sur 10 ans.

1. Forces spéciales (Année 1-5)
L’idée, c’est de diversifier les armes et équipements en fonction des missions spécifiques. Le standard de base ? Un fusil moderne comme le HK416 ou équivalent, avec le Caracal comme arme secondaire. Mais pour les missions spécifiques, faut tester et intégrer des armes comme le SCAR ou le SIG MCX. On garde aussi des équipements comme des lunettes thermiques, des lance-grenades et des systèmes de communication avancés. On part pas sur un tout uniforme, mais on garde un minimum de standardisation.

Standard de base :
  • Un fusil d’assaut polyvalent, comme le HK416 (variante locale ou importée) ou équivalent.
  • Pistolet Caracal comme arme secondaire.
  • Équipements tactiques standardisés : gilet pare-balles modulaire, casque balistique avec options NVG, rangers modernes, musette tactique, etc.
Diversification des équipements :
  • Acquisition de fusils de précision (SVD Dragunov modernisés ou alternatives occidentales comme le Barrett MRAD pour les unités de tireurs d’élite).
  • Importation d’armes spécifiques selon les besoins :
    • Fusils d’assaut spécialisés : FN SCAR, SIG MCX pour les missions à haute intensité.
    • Armes de poing : Glock 17 ou Sig Sauer P320 pour diversifier les options.
    • Lance-grenades : modèles légers comme le M320 pour le soutien tactique.
    • Systèmes avancés pour les unités d’élite : lunettes thermiques, drones tactiques, dispositifs d’infiltration (silencieux, systèmes de communication discrets).
Raisonnement derrière la diversité :
  • Permet aux forces spéciales d’être adaptables face à des menaces variées.
  • Tester ces équipements pour en tirer des leçons et éventuellement intégrer certaines technologies dans la production locale future.

2. Troupes conventionnelles (Année 1-10)
Pour les troupes les plus exposées (sud, frontières), on commence par les équiper d’AK modernisées en polymère. Une fois ça fait, on roule progressivement avec l’introduction de nouveaux fusils d’assaut (type HK416, QBZ-191 ou équivalent local). Les AK polymère passent alors aux unités de deuxième ligne et enfin aux réservistes. Les vieux AK-47 sont mis en réserve, en cas de gros conflit pour armer la population.

Phase 1 : Équiper les unités exposées avec des AK modernisées (Année 1-3)
  • Généraliser les AK en polymère pour les unités de première ligne déployées dans des zones sensibles (sud, frontières, etc.).
  • Compléter ces AK modernisées avec des accessoires basiques : viseurs reflex, lampes tactiques.
Phase 2 : Introduction progressive d’un nouveau fusil d’assaut moderne (Année 3-7)
  • Lancer la production ou l’importation d’un FA moderne (inspiré d’un modèle comme le HK416, QBZ-191, ou FN SCAR) pour équiper les unités exposées.
  • Envoyer les AK en polymère vers les unités de deuxième rang (garnisons, unités de soutien).

Phase 3 : Redistribution et gestion des anciens stocks (Année 7-10)
  • Les AK en polymère finissent dans les unités de réserve ou de garnison secondaire.
  • Les AK-47 non modernisées sont stockées pour une éventuelle réserve populaire en cas de conflit majeur.
  • Assurer une maintenance minimale pour conserver leur état opérationnel sur le long terme.
3. Réserve populaire (Long terme)
L’objectif est de maintenir une réserve populaire prête à intervenir en cas de guerre totale, mais aussi d'assurer une préparation systématique de la population dès le plus jeune âge, afin d'intégrer la défense nationale comme un axe de préparation citoyenne. Ce processus différencie deux groupes : les réservistes et la réserve populaire.

Réservistes :
  • Après le service national, ceux qui souhaitent s’engager activement peuvent devenir réservistes. Ces derniers sont des citoyens formés, prêts à être appelés à servir en cas de besoin, avec un engagement plus soutenu.
  • La formation continue et la pratique technique sont de rigueur, garantissant une maîtrise permanente des compétences militaires essentielles.
Réserve populaire :
  • Dès le lycée, une formation préventive commence, avec des périodes de 4 semaines chaque année réparties sur l'année scolaire. Cette approche permet à chaque jeune d’être formé aux compétences de base nécessaires à une intervention en situation de crise.
  • À la fin du lycée, les jeunes diplômés auront acquis des bases solides en techniques militaires, et auront pris conscience de l'importance de la défense nationale.
Périodes de formation :
  • La formation commence dès le lycée, avec 4 semaines de préparation par an, jusqu’à l’obtention du bac. Ces périodes seront réparties chaque année pour garantir une continuité dans l'apprentissage.
  • Après le service national, les citoyens auront la possibilité de choisir de devenir réservistes. Ceux qui choisissent cette voie bénéficieront de formations et de pratiques renforcées.
Formation continue (réserve populaire) :
  • Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir réservistes, une période de refresh est prévue, suivie d'une formation obligatoire de 2 à 4 jours par an, afin de maintenir un minimum de compétences pratiques. Ces sessions permettront de garantir une réactivité en cas de crise tout en assurant que chaque membre de la réserve populaire ait un niveau technique suffisant.
Gestion des stocks et logistique :
  • Les armes et équipements nécessaires à cette réserve populaire doivent être stockés et disponibles à travers des dépôts régionaux afin d’être rapidement accessibles.
  • La logistique doit être prête à distribuer les armes et munitions dans les plus brefs délais, avec une gestion rigoureuse des inventaires.
Mobilisation citoyenne :
  • Lancement d’un programme national qui initie les citoyens à la défense à travers des modules de formation adaptés à chaque tranche d'âge et chaque niveau d'engagement, permettant de faire le lien entre la réserve populaire et les réservistes.
  • À terme, une partie de la population sera capable de répondre à un besoin militaire en temps de guerre, tout en étant formée à des gestes de premiers secours, à l'utilisation des armes et à la défense de leur territoire.

4. Production locale
On continue de renforcer les capacités de production locales (ECMK) pour produire des AK modernes et, à terme, un FA plus moderne. Faut aussi se tourner vers des partenariats pour produire en local tout le nécessaire : gilets, casques, viseurs, etc. Le but c’est de réduire la dépendance aux importations et d’être plus autonomes.

Production locale :
  • Continuer la production des AK modernisées en polymère à l’ECMK.
  • Développer des partenariats pour produire localement un FA moderne (HK416 ou autre).
  • Renforcer les capacités de production des accessoires tactiques (viseurs, lampes, gilets, casques).
Innovation locale :
  • Investir dans la recherche et le développement pour concevoir des armes adaptées au terrain et au climat algériens.
  • Moderniser les équipements complémentaires (treillis, rangers, etc.) pour qu’ils soient produits localement.
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Dechraoui
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Dechraoui »

Ça tombe sous le sens Amine merci pour l’effort de synthèse mais comment veux tu avancer avec un haut commandement qui aurait sa place plutôt à la maison avec ses petits enfants….
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Amine Ind
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Amine Ind »

Dechraoui a écrit :
25 décembre 2024, 14:51
Ça tombe sous le sens Amine merci pour l’effort de synthèse mais comment veux tu avancer avec un haut commandement qui aurait sa place plutôt à la maison avec ses petits enfants….
Merci kho, je vois ce que tu veux dire sur le haut commandement, c’est un vrai problème, c’est clair. C’est pour montrer que c’est faisable, que les solutions existent, même avec les blocages qu’on connaît. Après, si là-haut ça suit pas, c’est sûr qu’on reste au point mort…
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Dechraoui »

Le problème est véritablement politique et de gouvernance ils ont du mal à déléguer et à passer le flambeau et je soupçonne qu’à chaque changement de CEM le process est figé ou repart à zéro c’est la seule explication possible à des décennies d’inaction…dans 10 ans ils vont nous présenter un prototype de munition rôdeuse alors que les autres en seront aux cyborgs et autres machines de combat autonomes
Ils ont la chance d’avoir un matériel humain formidable avec une vraie et solide 3aqida une croyance en un destin exceptionnel pour ce pays béni de Dieu SWT…ils ne bougeront que quand les drones les munitions rôdeuses et les tavor sortiront à la chaîne des usines marocco israéliennes de nos voisins de l’ouest vous verrez 😀

Boulboul
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Boulboul »

ubayd a écrit :
25 décembre 2024, 11:15
Dechraoui a écrit :
24 décembre 2024, 22:21
On est tous d’accord je crois 😀 les djounouds devraient faire grève C’est un véritable scandale…
On est les derniers avec nos voisins de l’Ouest…le haut commandement chez nous et chez eux ont la même mentalité il y a de la main d’œuvre disponible notamment en milieu rural pourquoi prendre soi du soldat…il est remplaçable…
de la chaire a canon. du consommable sacrifiable a tous moment par vague comme a Stalingrad en 43.. HTS en syrie a prouver qu'une bonne formation de l'équipement un minimum moderne peux fortement augmenter le moral des troupe et leur motivation et donc efficacité sur le terrain. mai si tu les equipe mal et qu'il ce sente clairement délaissais et equipé comme des plouc du moyen age c'est sur qu'il auront moins de motivation pour ce battre pour cette etat qui les laisse dans la mouise ce débrouillé avec une pelle et une Ak rouillé :nooo:
Exactement. Autant où concernant les véhicules d’infanterie etc au moins l’ANP met le paquet pour moderniser le parc entier mais concernant l’équipement individuel… c’est la honte absolue. En Syrie quand je voyais les rebelles sur la dernière opération militaire, non seulement ils avaient la motivation mais l’entraînement du soldat avec son équipement moderne a clairement montré à quel point ça joue un rôle immense. Alors qu’en face t’avais les soldats qui non seulement n’avaient aucune motivation + en dehors de l’AK ils n’avaient rien d’autre.

Même en Libye ils se respectent un minimum. Et l’équipement individuel est le plus gros point faible de l’ANP et des FAR, si déjà on se modernise au même niveau que les tunisiens et que l’on utilise a grande échelle les drones FPV, on peut enfin dire que l’on a une armée moderne.

Capsule Djazairïa
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Capsule Djazairïa »

Amine Ind a écrit :
25 décembre 2024, 13:22
J’ai fait une projection réaliste pour répondre aux besoins urgents des troupes tout en préparant l’avenir. Ce plan couvre les forces spéciales, les troupes de première ligne et la réserve populaire de manière stratégique. L’enjeu, c’est de garantir une progression cohérente, en mettant l’accent sur une production locale solide pour renforcer notre autonomie :
  • Les forces spéciales passent en priorité avec des équipements variés et adaptés aux missions.
  • Les troupes conventionnelles bénéficient d’une modernisation progressive et stratégique.
  • Les anciens stocks d’armes sont valorisés pour renforcer la défense nationale en dernier recours.
Budget estimé sur 10 ans :
  • Forces spéciales : 400-500 millions $
  • Troupes conventionnelles : 700-800 millions $
  • Réserve populaire : 100 millions $
  • Total : 1,3 milliard $ sur 10 ans.

1. Forces spéciales (Année 1-5)
L’idée, c’est de diversifier les armes et équipements en fonction des missions spécifiques. Le standard de base ? Un fusil moderne comme le HK416 ou équivalent, avec le Caracal comme arme secondaire. Mais pour les missions spécifiques, faut tester et intégrer des armes comme le SCAR ou le SIG MCX. On garde aussi des équipements comme des lunettes thermiques, des lance-grenades et des systèmes de communication avancés. On part pas sur un tout uniforme, mais on garde un minimum de standardisation.

Standard de base :
  • Un fusil d’assaut polyvalent, comme le HK416 (variante locale ou importée) ou équivalent.
  • Pistolet Caracal comme arme secondaire.
  • Équipements tactiques standardisés : gilet pare-balles modulaire, casque balistique avec options NVG, rangers modernes, musette tactique, etc.
Diversification des équipements :
  • Acquisition de fusils de précision (SVD Dragunov modernisés ou alternatives occidentales comme le Barrett MRAD pour les unités de tireurs d’élite).
  • Importation d’armes spécifiques selon les besoins :
    • Fusils d’assaut spécialisés : FN SCAR, SIG MCX pour les missions à haute intensité.
    • Armes de poing : Glock 17 ou Sig Sauer P320 pour diversifier les options.
    • Lance-grenades : modèles légers comme le M320 pour le soutien tactique.
    • Systèmes avancés pour les unités d’élite : lunettes thermiques, drones tactiques, dispositifs d’infiltration (silencieux, systèmes de communication discrets).
Raisonnement derrière la diversité :
  • Permet aux forces spéciales d’être adaptables face à des menaces variées.
  • Tester ces équipements pour en tirer des leçons et éventuellement intégrer certaines technologies dans la production locale future.

2. Troupes conventionnelles (Année 1-10)
Pour les troupes les plus exposées (sud, frontières), on commence par les équiper d’AK modernisées en polymère. Une fois ça fait, on roule progressivement avec l’introduction de nouveaux fusils d’assaut (type HK416, QBZ-191 ou équivalent local). Les AK polymère passent alors aux unités de deuxième ligne et enfin aux réservistes. Les vieux AK-47 sont mis en réserve, en cas de gros conflit pour armer la population.

Phase 1 : Équiper les unités exposées avec des AK modernisées (Année 1-3)
  • Généraliser les AK en polymère pour les unités de première ligne déployées dans des zones sensibles (sud, frontières, etc.).
  • Compléter ces AK modernisées avec des accessoires basiques : viseurs reflex, lampes tactiques.
Phase 2 : Introduction progressive d’un nouveau fusil d’assaut moderne (Année 3-7)
  • Lancer la production ou l’importation d’un FA moderne (inspiré d’un modèle comme le HK416, QBZ-191, ou FN SCAR) pour équiper les unités exposées.
  • Envoyer les AK en polymère vers les unités de deuxième rang (garnisons, unités de soutien).

Phase 3 : Redistribution et gestion des anciens stocks (Année 7-10)
  • Les AK en polymère finissent dans les unités de réserve ou de garnison secondaire.
  • Les AK-47 non modernisées sont stockées pour une éventuelle réserve populaire en cas de conflit majeur.
  • Assurer une maintenance minimale pour conserver leur état opérationnel sur le long terme.
3. Réserve populaire (Long terme)
L’objectif est de maintenir une réserve populaire prête à intervenir en cas de guerre totale, mais aussi d'assurer une préparation systématique de la population dès le plus jeune âge, afin d'intégrer la défense nationale comme un axe de préparation citoyenne. Ce processus différencie deux groupes : les réservistes et la réserve populaire.

Réservistes :
  • Après le service national, ceux qui souhaitent s’engager activement peuvent devenir réservistes. Ces derniers sont des citoyens formés, prêts à être appelés à servir en cas de besoin, avec un engagement plus soutenu.
  • La formation continue et la pratique technique sont de rigueur, garantissant une maîtrise permanente des compétences militaires essentielles.
Réserve populaire :
  • Dès le lycée, une formation préventive commence, avec des périodes de 4 semaines chaque année réparties sur l'année scolaire. Cette approche permet à chaque jeune d’être formé aux compétences de base nécessaires à une intervention en situation de crise.
  • À la fin du lycée, les jeunes diplômés auront acquis des bases solides en techniques militaires, et auront pris conscience de l'importance de la défense nationale.
Périodes de formation :
  • La formation commence dès le lycée, avec 4 semaines de préparation par an, jusqu’à l’obtention du bac. Ces périodes seront réparties chaque année pour garantir une continuité dans l'apprentissage.
  • Après le service national, les citoyens auront la possibilité de choisir de devenir réservistes. Ceux qui choisissent cette voie bénéficieront de formations et de pratiques renforcées.
Formation continue (réserve populaire) :
  • Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir réservistes, une période de refresh est prévue, suivie d'une formation obligatoire de 2 à 4 jours par an, afin de maintenir un minimum de compétences pratiques. Ces sessions permettront de garantir une réactivité en cas de crise tout en assurant que chaque membre de la réserve populaire ait un niveau technique suffisant.
Gestion des stocks et logistique :
  • Les armes et équipements nécessaires à cette réserve populaire doivent être stockés et disponibles à travers des dépôts régionaux afin d’être rapidement accessibles.
  • La logistique doit être prête à distribuer les armes et munitions dans les plus brefs délais, avec une gestion rigoureuse des inventaires.
Mobilisation citoyenne :
  • Lancement d’un programme national qui initie les citoyens à la défense à travers des modules de formation adaptés à chaque tranche d'âge et chaque niveau d'engagement, permettant de faire le lien entre la réserve populaire et les réservistes.
  • À terme, une partie de la population sera capable de répondre à un besoin militaire en temps de guerre, tout en étant formée à des gestes de premiers secours, à l'utilisation des armes et à la défense de leur territoire.

4. Production locale
On continue de renforcer les capacités de production locales (ECMK) pour produire des AK modernes et, à terme, un FA plus moderne. Faut aussi se tourner vers des partenariats pour produire en local tout le nécessaire : gilets, casques, viseurs, etc. Le but c’est de réduire la dépendance aux importations et d’être plus autonomes.

Production locale :
  • Continuer la production des AK modernisées en polymère à l’ECMK.
  • Développer des partenariats pour produire localement un FA moderne (HK416 ou autre).
  • Renforcer les capacités de production des accessoires tactiques (viseurs, lampes, gilets, casques).
Innovation locale :
  • Investir dans la recherche et le développement pour concevoir des armes adaptées au terrain et au climat algériens.
  • Moderniser les équipements complémentaires (treillis, rangers, etc.) pour qu’ils soient produits localement.

Pourquoi remplacer le AK il offre les même capacité qu un hk416 ou un qbz c'est un tres bon fusil d'assaut
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Amine Ind
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Amine Ind »

Capsule Djazairïa a écrit :
31 décembre 2024, 12:25
Amine Ind a écrit :
25 décembre 2024, 13:22
J’ai fait une projection réaliste pour répondre aux besoins urgents des troupes tout en préparant l’avenir. Ce plan couvre les forces spéciales, les troupes de première ligne et la réserve populaire de manière stratégique. L’enjeu, c’est de garantir une progression cohérente, en mettant l’accent sur une production locale solide pour renforcer notre autonomie :
  • Les forces spéciales passent en priorité avec des équipements variés et adaptés aux missions.
  • Les troupes conventionnelles bénéficient d’une modernisation progressive et stratégique.
  • Les anciens stocks d’armes sont valorisés pour renforcer la défense nationale en dernier recours.
Budget estimé sur 10 ans :
  • Forces spéciales : 400-500 millions $
  • Troupes conventionnelles : 700-800 millions $
  • Réserve populaire : 100 millions $
  • Total : 1,3 milliard $ sur 10 ans.

1. Forces spéciales (Année 1-5)
L’idée, c’est de diversifier les armes et équipements en fonction des missions spécifiques. Le standard de base ? Un fusil moderne comme le HK416 ou équivalent, avec le Caracal comme arme secondaire. Mais pour les missions spécifiques, faut tester et intégrer des armes comme le SCAR ou le SIG MCX. On garde aussi des équipements comme des lunettes thermiques, des lance-grenades et des systèmes de communication avancés. On part pas sur un tout uniforme, mais on garde un minimum de standardisation.

Standard de base :
  • Un fusil d’assaut polyvalent, comme le HK416 (variante locale ou importée) ou équivalent.
  • Pistolet Caracal comme arme secondaire.
  • Équipements tactiques standardisés : gilet pare-balles modulaire, casque balistique avec options NVG, rangers modernes, musette tactique, etc.
Diversification des équipements :
  • Acquisition de fusils de précision (SVD Dragunov modernisés ou alternatives occidentales comme le Barrett MRAD pour les unités de tireurs d’élite).
  • Importation d’armes spécifiques selon les besoins :
    • Fusils d’assaut spécialisés : FN SCAR, SIG MCX pour les missions à haute intensité.
    • Armes de poing : Glock 17 ou Sig Sauer P320 pour diversifier les options.
    • Lance-grenades : modèles légers comme le M320 pour le soutien tactique.
    • Systèmes avancés pour les unités d’élite : lunettes thermiques, drones tactiques, dispositifs d’infiltration (silencieux, systèmes de communication discrets).
Raisonnement derrière la diversité :
  • Permet aux forces spéciales d’être adaptables face à des menaces variées.
  • Tester ces équipements pour en tirer des leçons et éventuellement intégrer certaines technologies dans la production locale future.

2. Troupes conventionnelles (Année 1-10)
Pour les troupes les plus exposées (sud, frontières), on commence par les équiper d’AK modernisées en polymère. Une fois ça fait, on roule progressivement avec l’introduction de nouveaux fusils d’assaut (type HK416, QBZ-191 ou équivalent local). Les AK polymère passent alors aux unités de deuxième ligne et enfin aux réservistes. Les vieux AK-47 sont mis en réserve, en cas de gros conflit pour armer la population.

Phase 1 : Équiper les unités exposées avec des AK modernisées (Année 1-3)
  • Généraliser les AK en polymère pour les unités de première ligne déployées dans des zones sensibles (sud, frontières, etc.).
  • Compléter ces AK modernisées avec des accessoires basiques : viseurs reflex, lampes tactiques.
Phase 2 : Introduction progressive d’un nouveau fusil d’assaut moderne (Année 3-7)
  • Lancer la production ou l’importation d’un FA moderne (inspiré d’un modèle comme le HK416, QBZ-191, ou FN SCAR) pour équiper les unités exposées.
  • Envoyer les AK en polymère vers les unités de deuxième rang (garnisons, unités de soutien).

Phase 3 : Redistribution et gestion des anciens stocks (Année 7-10)
  • Les AK en polymère finissent dans les unités de réserve ou de garnison secondaire.
  • Les AK-47 non modernisées sont stockées pour une éventuelle réserve populaire en cas de conflit majeur.
  • Assurer une maintenance minimale pour conserver leur état opérationnel sur le long terme.
3. Réserve populaire (Long terme)
L’objectif est de maintenir une réserve populaire prête à intervenir en cas de guerre totale, mais aussi d'assurer une préparation systématique de la population dès le plus jeune âge, afin d'intégrer la défense nationale comme un axe de préparation citoyenne. Ce processus différencie deux groupes : les réservistes et la réserve populaire.

Réservistes :
  • Après le service national, ceux qui souhaitent s’engager activement peuvent devenir réservistes. Ces derniers sont des citoyens formés, prêts à être appelés à servir en cas de besoin, avec un engagement plus soutenu.
  • La formation continue et la pratique technique sont de rigueur, garantissant une maîtrise permanente des compétences militaires essentielles.
Réserve populaire :
  • Dès le lycée, une formation préventive commence, avec des périodes de 4 semaines chaque année réparties sur l'année scolaire. Cette approche permet à chaque jeune d’être formé aux compétences de base nécessaires à une intervention en situation de crise.
  • À la fin du lycée, les jeunes diplômés auront acquis des bases solides en techniques militaires, et auront pris conscience de l'importance de la défense nationale.
Périodes de formation :
  • La formation commence dès le lycée, avec 4 semaines de préparation par an, jusqu’à l’obtention du bac. Ces périodes seront réparties chaque année pour garantir une continuité dans l'apprentissage.
  • Après le service national, les citoyens auront la possibilité de choisir de devenir réservistes. Ceux qui choisissent cette voie bénéficieront de formations et de pratiques renforcées.
Formation continue (réserve populaire) :
  • Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir réservistes, une période de refresh est prévue, suivie d'une formation obligatoire de 2 à 4 jours par an, afin de maintenir un minimum de compétences pratiques. Ces sessions permettront de garantir une réactivité en cas de crise tout en assurant que chaque membre de la réserve populaire ait un niveau technique suffisant.
Gestion des stocks et logistique :
  • Les armes et équipements nécessaires à cette réserve populaire doivent être stockés et disponibles à travers des dépôts régionaux afin d’être rapidement accessibles.
  • La logistique doit être prête à distribuer les armes et munitions dans les plus brefs délais, avec une gestion rigoureuse des inventaires.
Mobilisation citoyenne :
  • Lancement d’un programme national qui initie les citoyens à la défense à travers des modules de formation adaptés à chaque tranche d'âge et chaque niveau d'engagement, permettant de faire le lien entre la réserve populaire et les réservistes.
  • À terme, une partie de la population sera capable de répondre à un besoin militaire en temps de guerre, tout en étant formée à des gestes de premiers secours, à l'utilisation des armes et à la défense de leur territoire.

4. Production locale
On continue de renforcer les capacités de production locales (ECMK) pour produire des AK modernes et, à terme, un FA plus moderne. Faut aussi se tourner vers des partenariats pour produire en local tout le nécessaire : gilets, casques, viseurs, etc. Le but c’est de réduire la dépendance aux importations et d’être plus autonomes.

Production locale :
  • Continuer la production des AK modernisées en polymère à l’ECMK.
  • Développer des partenariats pour produire localement un FA moderne (HK416 ou autre).
  • Renforcer les capacités de production des accessoires tactiques (viseurs, lampes, gilets, casques).
Innovation locale :
  • Investir dans la recherche et le développement pour concevoir des armes adaptées au terrain et au climat algériens.
  • Moderniser les équipements complémentaires (treillis, rangers, etc.) pour qu’ils soient produits localement.
Pourquoi remplacer le AK il offre les même capacité qu un hk416 ou un qbz c'est un tres bon fusil d'assaut
C'est sérieux comme réponse ou c'est pour me troll ? :lol:
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Genghis khan
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Genghis khan »

Amine Ind a écrit :
31 décembre 2024, 13:48
Capsule Djazairïa a écrit :
31 décembre 2024, 12:25
Amine Ind a écrit :
25 décembre 2024, 13:22
J’ai fait une projection réaliste pour répondre aux besoins urgents des troupes tout en préparant l’avenir. Ce plan couvre les forces spéciales, les troupes de première ligne et la réserve populaire de manière stratégique. L’enjeu, c’est de garantir une progression cohérente, en mettant l’accent sur une production locale solide pour renforcer notre autonomie :
  • Les forces spéciales passent en priorité avec des équipements variés et adaptés aux missions.
  • Les troupes conventionnelles bénéficient d’une modernisation progressive et stratégique.
  • Les anciens stocks d’armes sont valorisés pour renforcer la défense nationale en dernier recours.
Budget estimé sur 10 ans :
  • Forces spéciales : 400-500 millions $
  • Troupes conventionnelles : 700-800 millions $
  • Réserve populaire : 100 millions $
  • Total : 1,3 milliard $ sur 10 ans.

1. Forces spéciales (Année 1-5)
L’idée, c’est de diversifier les armes et équipements en fonction des missions spécifiques. Le standard de base ? Un fusil moderne comme le HK416 ou équivalent, avec le Caracal comme arme secondaire. Mais pour les missions spécifiques, faut tester et intégrer des armes comme le SCAR ou le SIG MCX. On garde aussi des équipements comme des lunettes thermiques, des lance-grenades et des systèmes de communication avancés. On part pas sur un tout uniforme, mais on garde un minimum de standardisation.

Standard de base :
  • Un fusil d’assaut polyvalent, comme le HK416 (variante locale ou importée) ou équivalent.
  • Pistolet Caracal comme arme secondaire.
  • Équipements tactiques standardisés : gilet pare-balles modulaire, casque balistique avec options NVG, rangers modernes, musette tactique, etc.
Diversification des équipements :
  • Acquisition de fusils de précision (SVD Dragunov modernisés ou alternatives occidentales comme le Barrett MRAD pour les unités de tireurs d’élite).
  • Importation d’armes spécifiques selon les besoins :
    • Fusils d’assaut spécialisés : FN SCAR, SIG MCX pour les missions à haute intensité.
    • Armes de poing : Glock 17 ou Sig Sauer P320 pour diversifier les options.
    • Lance-grenades : modèles légers comme le M320 pour le soutien tactique.
    • Systèmes avancés pour les unités d’élite : lunettes thermiques, drones tactiques, dispositifs d’infiltration (silencieux, systèmes de communication discrets).
Raisonnement derrière la diversité :
  • Permet aux forces spéciales d’être adaptables face à des menaces variées.
  • Tester ces équipements pour en tirer des leçons et éventuellement intégrer certaines technologies dans la production locale future.

2. Troupes conventionnelles (Année 1-10)
Pour les troupes les plus exposées (sud, frontières), on commence par les équiper d’AK modernisées en polymère. Une fois ça fait, on roule progressivement avec l’introduction de nouveaux fusils d’assaut (type HK416, QBZ-191 ou équivalent local). Les AK polymère passent alors aux unités de deuxième ligne et enfin aux réservistes. Les vieux AK-47 sont mis en réserve, en cas de gros conflit pour armer la population.

Phase 1 : Équiper les unités exposées avec des AK modernisées (Année 1-3)
  • Généraliser les AK en polymère pour les unités de première ligne déployées dans des zones sensibles (sud, frontières, etc.).
  • Compléter ces AK modernisées avec des accessoires basiques : viseurs reflex, lampes tactiques.
Phase 2 : Introduction progressive d’un nouveau fusil d’assaut moderne (Année 3-7)
  • Lancer la production ou l’importation d’un FA moderne (inspiré d’un modèle comme le HK416, QBZ-191, ou FN SCAR) pour équiper les unités exposées.
  • Envoyer les AK en polymère vers les unités de deuxième rang (garnisons, unités de soutien).

Phase 3 : Redistribution et gestion des anciens stocks (Année 7-10)
  • Les AK en polymère finissent dans les unités de réserve ou de garnison secondaire.
  • Les AK-47 non modernisées sont stockées pour une éventuelle réserve populaire en cas de conflit majeur.
  • Assurer une maintenance minimale pour conserver leur état opérationnel sur le long terme.
3. Réserve populaire (Long terme)
L’objectif est de maintenir une réserve populaire prête à intervenir en cas de guerre totale, mais aussi d'assurer une préparation systématique de la population dès le plus jeune âge, afin d'intégrer la défense nationale comme un axe de préparation citoyenne. Ce processus différencie deux groupes : les réservistes et la réserve populaire.

Réservistes :
  • Après le service national, ceux qui souhaitent s’engager activement peuvent devenir réservistes. Ces derniers sont des citoyens formés, prêts à être appelés à servir en cas de besoin, avec un engagement plus soutenu.
  • La formation continue et la pratique technique sont de rigueur, garantissant une maîtrise permanente des compétences militaires essentielles.
Réserve populaire :
  • Dès le lycée, une formation préventive commence, avec des périodes de 4 semaines chaque année réparties sur l'année scolaire. Cette approche permet à chaque jeune d’être formé aux compétences de base nécessaires à une intervention en situation de crise.
  • À la fin du lycée, les jeunes diplômés auront acquis des bases solides en techniques militaires, et auront pris conscience de l'importance de la défense nationale.
Périodes de formation :
  • La formation commence dès le lycée, avec 4 semaines de préparation par an, jusqu’à l’obtention du bac. Ces périodes seront réparties chaque année pour garantir une continuité dans l'apprentissage.
  • Après le service national, les citoyens auront la possibilité de choisir de devenir réservistes. Ceux qui choisissent cette voie bénéficieront de formations et de pratiques renforcées.
Formation continue (réserve populaire) :
  • Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir réservistes, une période de refresh est prévue, suivie d'une formation obligatoire de 2 à 4 jours par an, afin de maintenir un minimum de compétences pratiques. Ces sessions permettront de garantir une réactivité en cas de crise tout en assurant que chaque membre de la réserve populaire ait un niveau technique suffisant.
Gestion des stocks et logistique :
  • Les armes et équipements nécessaires à cette réserve populaire doivent être stockés et disponibles à travers des dépôts régionaux afin d’être rapidement accessibles.
  • La logistique doit être prête à distribuer les armes et munitions dans les plus brefs délais, avec une gestion rigoureuse des inventaires.
Mobilisation citoyenne :
  • Lancement d’un programme national qui initie les citoyens à la défense à travers des modules de formation adaptés à chaque tranche d'âge et chaque niveau d'engagement, permettant de faire le lien entre la réserve populaire et les réservistes.
  • À terme, une partie de la population sera capable de répondre à un besoin militaire en temps de guerre, tout en étant formée à des gestes de premiers secours, à l'utilisation des armes et à la défense de leur territoire.

4. Production locale
On continue de renforcer les capacités de production locales (ECMK) pour produire des AK modernes et, à terme, un FA plus moderne. Faut aussi se tourner vers des partenariats pour produire en local tout le nécessaire : gilets, casques, viseurs, etc. Le but c’est de réduire la dépendance aux importations et d’être plus autonomes.

Production locale :
  • Continuer la production des AK modernisées en polymère à l’ECMK.
  • Développer des partenariats pour produire localement un FA moderne (HK416 ou autre).
  • Renforcer les capacités de production des accessoires tactiques (viseurs, lampes, gilets, casques).
Innovation locale :
  • Investir dans la recherche et le développement pour concevoir des armes adaptées au terrain et au climat algériens.
  • Moderniser les équipements complémentaires (treillis, rangers, etc.) pour qu’ils soient produits localement.
Pourquoi remplacer le AK il offre les même capacité qu un hk416 ou un qbz c'est un tres bon fusil d'assaut
C'est sérieux comme réponse ou c'est pour me troll ? :lol:
Ça dépend de quelle AK il parle, si c'est l'AK 12 je comprendrais, mais si c'est l'AK 47 ou l'AKM :sui: :lol:
"quand les temps sont durs, le sage bâtit des ponts, et l'idiot érige des barrières..."roi t'chala, film black panthère
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Amine Ind »

Genghis khan a écrit :
31 décembre 2024, 20:56
Amine Ind a écrit :
31 décembre 2024, 13:48
Capsule Djazairïa a écrit :
31 décembre 2024, 12:25
Amine Ind a écrit :
25 décembre 2024, 13:22
J’ai fait une projection réaliste pour répondre aux besoins urgents des troupes tout en préparant l’avenir. Ce plan couvre les forces spéciales, les troupes de première ligne et la réserve populaire de manière stratégique. L’enjeu, c’est de garantir une progression cohérente, en mettant l’accent sur une production locale solide pour renforcer notre autonomie :
  • Les forces spéciales passent en priorité avec des équipements variés et adaptés aux missions.
  • Les troupes conventionnelles bénéficient d’une modernisation progressive et stratégique.
  • Les anciens stocks d’armes sont valorisés pour renforcer la défense nationale en dernier recours.
Budget estimé sur 10 ans :
  • Forces spéciales : 400-500 millions $
  • Troupes conventionnelles : 700-800 millions $
  • Réserve populaire : 100 millions $
  • Total : 1,3 milliard $ sur 10 ans.

1. Forces spéciales (Année 1-5)
L’idée, c’est de diversifier les armes et équipements en fonction des missions spécifiques. Le standard de base ? Un fusil moderne comme le HK416 ou équivalent, avec le Caracal comme arme secondaire. Mais pour les missions spécifiques, faut tester et intégrer des armes comme le SCAR ou le SIG MCX. On garde aussi des équipements comme des lunettes thermiques, des lance-grenades et des systèmes de communication avancés. On part pas sur un tout uniforme, mais on garde un minimum de standardisation.

Standard de base :
  • Un fusil d’assaut polyvalent, comme le HK416 (variante locale ou importée) ou équivalent.
  • Pistolet Caracal comme arme secondaire.
  • Équipements tactiques standardisés : gilet pare-balles modulaire, casque balistique avec options NVG, rangers modernes, musette tactique, etc.
Diversification des équipements :
  • Acquisition de fusils de précision (SVD Dragunov modernisés ou alternatives occidentales comme le Barrett MRAD pour les unités de tireurs d’élite).
  • Importation d’armes spécifiques selon les besoins :
    • Fusils d’assaut spécialisés : FN SCAR, SIG MCX pour les missions à haute intensité.
    • Armes de poing : Glock 17 ou Sig Sauer P320 pour diversifier les options.
    • Lance-grenades : modèles légers comme le M320 pour le soutien tactique.
    • Systèmes avancés pour les unités d’élite : lunettes thermiques, drones tactiques, dispositifs d’infiltration (silencieux, systèmes de communication discrets).
Raisonnement derrière la diversité :
  • Permet aux forces spéciales d’être adaptables face à des menaces variées.
  • Tester ces équipements pour en tirer des leçons et éventuellement intégrer certaines technologies dans la production locale future.

2. Troupes conventionnelles (Année 1-10)
Pour les troupes les plus exposées (sud, frontières), on commence par les équiper d’AK modernisées en polymère. Une fois ça fait, on roule progressivement avec l’introduction de nouveaux fusils d’assaut (type HK416, QBZ-191 ou équivalent local). Les AK polymère passent alors aux unités de deuxième ligne et enfin aux réservistes. Les vieux AK-47 sont mis en réserve, en cas de gros conflit pour armer la population.

Phase 1 : Équiper les unités exposées avec des AK modernisées (Année 1-3)
  • Généraliser les AK en polymère pour les unités de première ligne déployées dans des zones sensibles (sud, frontières, etc.).
  • Compléter ces AK modernisées avec des accessoires basiques : viseurs reflex, lampes tactiques.
Phase 2 : Introduction progressive d’un nouveau fusil d’assaut moderne (Année 3-7)
  • Lancer la production ou l’importation d’un FA moderne (inspiré d’un modèle comme le HK416, QBZ-191, ou FN SCAR) pour équiper les unités exposées.
  • Envoyer les AK en polymère vers les unités de deuxième rang (garnisons, unités de soutien).

Phase 3 : Redistribution et gestion des anciens stocks (Année 7-10)
  • Les AK en polymère finissent dans les unités de réserve ou de garnison secondaire.
  • Les AK-47 non modernisées sont stockées pour une éventuelle réserve populaire en cas de conflit majeur.
  • Assurer une maintenance minimale pour conserver leur état opérationnel sur le long terme.
3. Réserve populaire (Long terme)
L’objectif est de maintenir une réserve populaire prête à intervenir en cas de guerre totale, mais aussi d'assurer une préparation systématique de la population dès le plus jeune âge, afin d'intégrer la défense nationale comme un axe de préparation citoyenne. Ce processus différencie deux groupes : les réservistes et la réserve populaire.

Réservistes :
  • Après le service national, ceux qui souhaitent s’engager activement peuvent devenir réservistes. Ces derniers sont des citoyens formés, prêts à être appelés à servir en cas de besoin, avec un engagement plus soutenu.
  • La formation continue et la pratique technique sont de rigueur, garantissant une maîtrise permanente des compétences militaires essentielles.
Réserve populaire :
  • Dès le lycée, une formation préventive commence, avec des périodes de 4 semaines chaque année réparties sur l'année scolaire. Cette approche permet à chaque jeune d’être formé aux compétences de base nécessaires à une intervention en situation de crise.
  • À la fin du lycée, les jeunes diplômés auront acquis des bases solides en techniques militaires, et auront pris conscience de l'importance de la défense nationale.
Périodes de formation :
  • La formation commence dès le lycée, avec 4 semaines de préparation par an, jusqu’à l’obtention du bac. Ces périodes seront réparties chaque année pour garantir une continuité dans l'apprentissage.
  • Après le service national, les citoyens auront la possibilité de choisir de devenir réservistes. Ceux qui choisissent cette voie bénéficieront de formations et de pratiques renforcées.
Formation continue (réserve populaire) :
  • Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir réservistes, une période de refresh est prévue, suivie d'une formation obligatoire de 2 à 4 jours par an, afin de maintenir un minimum de compétences pratiques. Ces sessions permettront de garantir une réactivité en cas de crise tout en assurant que chaque membre de la réserve populaire ait un niveau technique suffisant.
Gestion des stocks et logistique :
  • Les armes et équipements nécessaires à cette réserve populaire doivent être stockés et disponibles à travers des dépôts régionaux afin d’être rapidement accessibles.
  • La logistique doit être prête à distribuer les armes et munitions dans les plus brefs délais, avec une gestion rigoureuse des inventaires.
Mobilisation citoyenne :
  • Lancement d’un programme national qui initie les citoyens à la défense à travers des modules de formation adaptés à chaque tranche d'âge et chaque niveau d'engagement, permettant de faire le lien entre la réserve populaire et les réservistes.
  • À terme, une partie de la population sera capable de répondre à un besoin militaire en temps de guerre, tout en étant formée à des gestes de premiers secours, à l'utilisation des armes et à la défense de leur territoire.

4. Production locale
On continue de renforcer les capacités de production locales (ECMK) pour produire des AK modernes et, à terme, un FA plus moderne. Faut aussi se tourner vers des partenariats pour produire en local tout le nécessaire : gilets, casques, viseurs, etc. Le but c’est de réduire la dépendance aux importations et d’être plus autonomes.

Production locale :
  • Continuer la production des AK modernisées en polymère à l’ECMK.
  • Développer des partenariats pour produire localement un FA moderne (HK416 ou autre).
  • Renforcer les capacités de production des accessoires tactiques (viseurs, lampes, gilets, casques).
Innovation locale :
  • Investir dans la recherche et le développement pour concevoir des armes adaptées au terrain et au climat algériens.
  • Moderniser les équipements complémentaires (treillis, rangers, etc.) pour qu’ils soient produits localement.
Pourquoi remplacer le AK il offre les même capacité qu un hk416 ou un qbz c'est un tres bon fusil d'assaut
C'est sérieux comme réponse ou c'est pour me troll ? :lol:
Ça dépend de quelle AK il parle, si c'est l'AK 12 je comprendrais, mais si c'est l'AK 47 ou l'AKM :sui: :lol:
On aurait dû garder les MiG-23, ils offrent les mêmes capacités que les Su-30 :lol!:
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Re: Armes et Matériels d'Infanterie [Small Arms]

Message par Genghis khan »

Amine Ind a écrit :
31 décembre 2024, 22:18
Genghis khan a écrit :
31 décembre 2024, 20:56
Amine Ind a écrit :
31 décembre 2024, 13:48
Capsule Djazairïa a écrit :
31 décembre 2024, 12:25
Amine Ind a écrit :
25 décembre 2024, 13:22
J’ai fait une projection réaliste pour répondre aux besoins urgents des troupes tout en préparant l’avenir. Ce plan couvre les forces spéciales, les troupes de première ligne et la réserve populaire de manière stratégique. L’enjeu, c’est de garantir une progression cohérente, en mettant l’accent sur une production locale solide pour renforcer notre autonomie :
  • Les forces spéciales passent en priorité avec des équipements variés et adaptés aux missions.
  • Les troupes conventionnelles bénéficient d’une modernisation progressive et stratégique.
  • Les anciens stocks d’armes sont valorisés pour renforcer la défense nationale en dernier recours.
Budget estimé sur 10 ans :
  • Forces spéciales : 400-500 millions $
  • Troupes conventionnelles : 700-800 millions $
  • Réserve populaire : 100 millions $
  • Total : 1,3 milliard $ sur 10 ans.

1. Forces spéciales (Année 1-5)
L’idée, c’est de diversifier les armes et équipements en fonction des missions spécifiques. Le standard de base ? Un fusil moderne comme le HK416 ou équivalent, avec le Caracal comme arme secondaire. Mais pour les missions spécifiques, faut tester et intégrer des armes comme le SCAR ou le SIG MCX. On garde aussi des équipements comme des lunettes thermiques, des lance-grenades et des systèmes de communication avancés. On part pas sur un tout uniforme, mais on garde un minimum de standardisation.

Standard de base :
  • Un fusil d’assaut polyvalent, comme le HK416 (variante locale ou importée) ou équivalent.
  • Pistolet Caracal comme arme secondaire.
  • Équipements tactiques standardisés : gilet pare-balles modulaire, casque balistique avec options NVG, rangers modernes, musette tactique, etc.
Diversification des équipements :
  • Acquisition de fusils de précision (SVD Dragunov modernisés ou alternatives occidentales comme le Barrett MRAD pour les unités de tireurs d’élite).
  • Importation d’armes spécifiques selon les besoins :
    • Fusils d’assaut spécialisés : FN SCAR, SIG MCX pour les missions à haute intensité.
    • Armes de poing : Glock 17 ou Sig Sauer P320 pour diversifier les options.
    • Lance-grenades : modèles légers comme le M320 pour le soutien tactique.
    • Systèmes avancés pour les unités d’élite : lunettes thermiques, drones tactiques, dispositifs d’infiltration (silencieux, systèmes de communication discrets).
Raisonnement derrière la diversité :
  • Permet aux forces spéciales d’être adaptables face à des menaces variées.
  • Tester ces équipements pour en tirer des leçons et éventuellement intégrer certaines technologies dans la production locale future.

2. Troupes conventionnelles (Année 1-10)
Pour les troupes les plus exposées (sud, frontières), on commence par les équiper d’AK modernisées en polymère. Une fois ça fait, on roule progressivement avec l’introduction de nouveaux fusils d’assaut (type HK416, QBZ-191 ou équivalent local). Les AK polymère passent alors aux unités de deuxième ligne et enfin aux réservistes. Les vieux AK-47 sont mis en réserve, en cas de gros conflit pour armer la population.

Phase 1 : Équiper les unités exposées avec des AK modernisées (Année 1-3)
  • Généraliser les AK en polymère pour les unités de première ligne déployées dans des zones sensibles (sud, frontières, etc.).
  • Compléter ces AK modernisées avec des accessoires basiques : viseurs reflex, lampes tactiques.
Phase 2 : Introduction progressive d’un nouveau fusil d’assaut moderne (Année 3-7)
  • Lancer la production ou l’importation d’un FA moderne (inspiré d’un modèle comme le HK416, QBZ-191, ou FN SCAR) pour équiper les unités exposées.
  • Envoyer les AK en polymère vers les unités de deuxième rang (garnisons, unités de soutien).

Phase 3 : Redistribution et gestion des anciens stocks (Année 7-10)
  • Les AK en polymère finissent dans les unités de réserve ou de garnison secondaire.
  • Les AK-47 non modernisées sont stockées pour une éventuelle réserve populaire en cas de conflit majeur.
  • Assurer une maintenance minimale pour conserver leur état opérationnel sur le long terme.
3. Réserve populaire (Long terme)
L’objectif est de maintenir une réserve populaire prête à intervenir en cas de guerre totale, mais aussi d'assurer une préparation systématique de la population dès le plus jeune âge, afin d'intégrer la défense nationale comme un axe de préparation citoyenne. Ce processus différencie deux groupes : les réservistes et la réserve populaire.

Réservistes :
  • Après le service national, ceux qui souhaitent s’engager activement peuvent devenir réservistes. Ces derniers sont des citoyens formés, prêts à être appelés à servir en cas de besoin, avec un engagement plus soutenu.
  • La formation continue et la pratique technique sont de rigueur, garantissant une maîtrise permanente des compétences militaires essentielles.
Réserve populaire :
  • Dès le lycée, une formation préventive commence, avec des périodes de 4 semaines chaque année réparties sur l'année scolaire. Cette approche permet à chaque jeune d’être formé aux compétences de base nécessaires à une intervention en situation de crise.
  • À la fin du lycée, les jeunes diplômés auront acquis des bases solides en techniques militaires, et auront pris conscience de l'importance de la défense nationale.
Périodes de formation :
  • La formation commence dès le lycée, avec 4 semaines de préparation par an, jusqu’à l’obtention du bac. Ces périodes seront réparties chaque année pour garantir une continuité dans l'apprentissage.
  • Après le service national, les citoyens auront la possibilité de choisir de devenir réservistes. Ceux qui choisissent cette voie bénéficieront de formations et de pratiques renforcées.
Formation continue (réserve populaire) :
  • Pour ceux qui ne souhaitent pas devenir réservistes, une période de refresh est prévue, suivie d'une formation obligatoire de 2 à 4 jours par an, afin de maintenir un minimum de compétences pratiques. Ces sessions permettront de garantir une réactivité en cas de crise tout en assurant que chaque membre de la réserve populaire ait un niveau technique suffisant.
Gestion des stocks et logistique :
  • Les armes et équipements nécessaires à cette réserve populaire doivent être stockés et disponibles à travers des dépôts régionaux afin d’être rapidement accessibles.
  • La logistique doit être prête à distribuer les armes et munitions dans les plus brefs délais, avec une gestion rigoureuse des inventaires.
Mobilisation citoyenne :
  • Lancement d’un programme national qui initie les citoyens à la défense à travers des modules de formation adaptés à chaque tranche d'âge et chaque niveau d'engagement, permettant de faire le lien entre la réserve populaire et les réservistes.
  • À terme, une partie de la population sera capable de répondre à un besoin militaire en temps de guerre, tout en étant formée à des gestes de premiers secours, à l'utilisation des armes et à la défense de leur territoire.

4. Production locale
On continue de renforcer les capacités de production locales (ECMK) pour produire des AK modernes et, à terme, un FA plus moderne. Faut aussi se tourner vers des partenariats pour produire en local tout le nécessaire : gilets, casques, viseurs, etc. Le but c’est de réduire la dépendance aux importations et d’être plus autonomes.

Production locale :
  • Continuer la production des AK modernisées en polymère à l’ECMK.
  • Développer des partenariats pour produire localement un FA moderne (HK416 ou autre).
  • Renforcer les capacités de production des accessoires tactiques (viseurs, lampes, gilets, casques).
Innovation locale :
  • Investir dans la recherche et le développement pour concevoir des armes adaptées au terrain et au climat algériens.
  • Moderniser les équipements complémentaires (treillis, rangers, etc.) pour qu’ils soient produits localement.
Pourquoi remplacer le AK il offre les même capacité qu un hk416 ou un qbz c'est un tres bon fusil d'assaut
C'est sérieux comme réponse ou c'est pour me troll ? :lol:
Ça dépend de quelle AK il parle, si c'est l'AK 12 je comprendrais, mais si c'est l'AK 47 ou l'AKM :sui: :lol:
On aurait dû garder les MiG-23, ils offrent les mêmes capacités que les Su-30 :lol!:
Mdrrr :lol: :lol: et sans oublier les S-75 qui sont identiques au S-400
:lol!:
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