Salut Geronimo :n111: j'en ai appris un peu plus !Salut Tayeb :n111:
voila ma contribution pour cette guerre vécu dans notre jeunesse
http://www.linternaute.com/histoire/cat ... oide.shtml
Chronologie de cette guerre
La Guerre Froide [1945-1991]
Re: La Guerre Froide [1945-1991]
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Re: La Guerre Froide [1945-1991]
c'est encore chaud !!
ça a été posté ici également viewtopic.php?f=41&t=334&p=60485#p60485
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Un agent de la CIA arrêté en Russie
Le Monde | 14.05.2013 à 13h48 • Mis à jour le 14.05.2013 à 17h22
Photo de Ryan C. Fogle diffusée par le FSB.
La Russie a déclaré persona non grata le présumé agent de la CIA démasqué à Moscou en qualifiant sa tentative d'enrôler un responsable des services spéciaux russes de "provocation" digne de la "guerre froide".
"La Russie déclare Ryan Fogle persona non grata", a annoncé le ministère russe des affaires étrangères dans un communiqué, ajoutant que "de tels actes provocateurs dans l'esprit de la guerre froide ne contribuent pas à renforcer la confiance mutuelle".
Les autorités russes ont en effet arrêté un citoyen américain qu'elles accusent d'avoir tenté de recruter un agent des services de renseignements russes pour le compte de la CIA, rapporte mardi l'agence de presse RIA Novosti. La chaîne de télévision Russia Today (RT), diffuse pour sa part des images de l'arrestation et de ses suites.
"DES MOYENS DE CHANGER D'APPARENCE"
"L'agent de la CIA Ryan Christopher Fogle, travaillant sous la couverture de troisième secrétaire du département politique de l'ambassade, a été interpellé dans la nuit de lundi à mardi", a indiqué le FSB (services spéciaux russes, ex-KGB) cité par les agences de presse russes.
"Ont été découverts sur lui des équipements techniques spéciaux, des instructions pour le citoyen russe qu'il voulait enrôler ainsi qu'une importante somme d'argent et des moyens de changer d'apparence", selon la même source. "Le détenu a été amené au FSB et, après les procédures nécessaires, il a été remis à l'ambassade américaine", indique les services russes.
L'agent américain a été amené au FSB avant d'être remis à l'ambassade américaine.
"Ces derniers temps le renseignement américain a tenté à maintes reprises d'enrôler des collaborateurs des forces de l'ordre et des services spéciaux russes", affirme le FSB.
La chaîne RT indique que l'agent américain aurait proposé 100 000 dollars pour un contact préliminaire et un salaire de 1 million de dollars par an pour la fourniture d'informations.
L'AMBASSADEUR AMÉRICAIN CONVOQUÉ
L'ambassade américaine n'a pas réagi. L'ambassadeur Michael McFaul, qui participait à une session de questions-réponses sur Twitter lorsque l'arrestation a été annoncée, a indiqué qu'il ne ferait aucun commentaire. Les autorités russes l'ont ensuite convoqué pour un entretien.
Les relations russo-américaines se sont dégradées depuis le retour au Kremlin pour un troisième mandat de Vladimir Poutine, ancien agent du FSB.
Re: La Guerre Froide [1945-1991]
Le texte sur la guerre froide : la correction, quelques références pour éclairer le contexte et des extraits des meilleures copies ...http://blog.crdp-versailles.fr/histarge ... e%20froide
Re: La Guerre Froide [1945-1991]
Scan guerre secrète de la CIA en Chine.
http://1.bp.blogspot.com/_13JPsrTCDvU/S ... titled.jpg
http://2.bp.blogspot.com/_13JPsrTCDvU/S ... titled.jpg
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Re: La Guerre Froide [1945-1991]
http://www.infosdefense.com/quand-le-mi ... -51-23236/Quand le MiG-21 était testé dans la zone 51
La Defense Intelligence Agency a déclassifié des documents concernant la zone 51.
La zone 51 n’a pas fini de faire parler d’elle. Depuis la fin des années 1960, la CIA, la Navy et l’US Air Force entretiennent plusieurs programmes couverts par le secret-défense. Durant la guerre froide, les premiers essais constituaient à mieux évaluer l’armement soviétique. C’est tout l’enjeu de ces nouvelles déclassifications qui n’apportent pour autant aucune réelle révélation. Leur analyse permet globalement de mieux cerner la connaissance technique du renseignement américain sur la technologie aéronautique militaire soviétique.
La DIA avait nommé ce programme Have Doughnut, l’objectif était de mieux connaître les capacités du MiG-21 en combat air-air ainsi que les différentes mesures à mettre en place pour le contrer. A ce titre, plusieurs missions de combat aérien ont été conduites avec des F-4, F-105, F-111, F-100, F-104, B-66, RF-101 ou encore RF-4. Un MiG-21 avait été récupéré à la suite d’une défection d’un pilote irakien organisée avec Israël. Les RETEX ainsi menés permettaient de dresser des approches pré-établies au cas où des chasseurs américains allaient être confrontés à l’aviation de chasse de l’URSS. Il eut été ainsi décidé de ne pas engager de F-111, F-105 et F-100 face à un MiG-21.
Quelles sont les activités actuelles au sein de la zone 51 ? Elles sont toutes couvertes par le secret-défense, mais l’on est en droit de supposer qu’elles concernent toujours l’étude de moyens militaires de pointe développés dans des pays particulièrement ciblés par le renseignement militaire américain.
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
Re: 2ème Guerre Mondiale [1939-1945]
http://french.ruvr.ru/2014_09_25/Les-my ... line-0986/Les mystères de l’histoire russe : la mort de Staline
Joseph Staline, le dirigeant de l’URSS, est mort il y a 60 ans, le 5 mars 1953, dans sa résidence des environs de Moscou. Le guide soviétique âgé de 74 avait officiellement succombé à une hémorragie cérébrale mais bientôt une rumeur courut mettant en cause des membres hauts placés du gouvernement soviétique. Plus tard, les nouvelles autorités ont ouvertement déclaré que Staline était victime d’un complot monté par le chef des services spéciaux soviétique Laurenti Beria. Mais que s’est-il passé en réalité?
Le soir du 28 février, Staline avait réuni dans sa datcha plusieurs membres du bureau politique du parti communiste dont Beria et Nikita Khroutchev. On ignore de quoi il était question mais on sait que leur entretien avait duré jusqu’à 4 heures du matin. Les fonctionnaires partis, Staline s’est rendu dans sa chambre. Les gardes du corps du guide ont commencé à s’inquiéter dans l’après-midi du 1er mars parce que Staline ne sortait pas de ses appartements et ne convoquait personne. C’est que, d’après le règlement, ils n’avaient pas le droit de pénétrer chez le guide sans être convoqués. Finalement, un garde s’est décidé à pénéter chez Staline vers 23 heures pour découvrir le guide gisant au sol. Il était vivant mais incapable d’articuler pas un seul mot. Apeurés, les gardes ont couché Staline sur un canapé et se sont mis à appeler Beria dont l’autorisation s’imposait pour convoquer les médecins.
Beria demeura longtemps introuvable (fait étrange en soi-même) alors que les autres membres du BP avaient peur d’assumer la responsabilité. Le chef des services spéciaux finalement retrouvé, est venu à la datcha et est passé dans la chambre où Staline gisait inanimé. On connaît la suite des événements dans la résidence du guide d’après les dépositions fragmentées et incomplètes des témoins oculaires qui se contredisaient souvent. D’après certains d’entre eux, Beria aurait refusé de convoquer les médecins en découvrant le guide impuissant : « Voyons, surtout pas de panique! Ne voyez-vous pas que le camarade Staline dort? Allez-vous-en tous! ».
De toute façon, Staline est resté seul toute la nuit à moitié paralysé et sans aucun secours. Ce n’est que le matin du 2 mars que Beria a donné l’ordre de faire venir les médecins. Les membres du bureau politique se sont réunis le 2 mars autour du guide immobile mais encore vivant. Les médecins s’affairaient autour du mourant et Beria ne cessait de leur demander à voix haute : « Garantissez-vous la vie du camarade Staline? Comprenez-vous la responsabilité que vous assumez pour sa santé? » Les témoins se souviennent que ce jour-là Beria avait l’air d’être sûr qu’il allait succéder à Staline. Il s’approchait souvent du mourant et le regardait longuement en face comme s’il guettait son dernier souffle. Pareil à un prince héritier au chevet du tsar mourant, il demandait : « Camarade Staline, il y a ici tous les membres du bureau politique, dis-nous quelques chose ». Mais le « tsar » mourant ne pouvait plus rien dire. La fille de Staline Svetlana Alliloueva se souvenait des dernières minutes de la vie de son père. Le 5 mars, il ouvrit soudain les yeux, promena son regard sur l’assistance et leva le bras gauche dans un geste menaçant comme s’il eût voulu monter quelque chose tout en haut. Le guide soviétique s’éteignit quelques instants plus tard.
Beria ne parvint pas à s’emparer du pouvoir. Il fut arrêté le 26 juin 1953 et fusillé peu de temps après tout comme ses proches collaborateurs au ministère de la sécurité d’État. Nikita Khroutchev succéda à Staline et c’est lui, le concurrent dangereux une fois éliminé, accusa Beria et ses sbires du complot et de l’assassinat de Staline. Comme le chef de la sécurité d’État et ses hommes étaient déjà morts, il était facile de les accuser de quoi que ce soit.
Nous ne pouvons plus savoir aujourd’hui au juste si Staline était victime d’un complot monté par Beria ou s’il était mort naturellement. Il se peut aussi que le complot ait réellement existé mais ce n’était pas Beria qui en tirait les ficelles. On sait en revanche que la mort de Staline a provoqué des rivalités de pouvoir au sein de la direction soviétique perdues par Beria et gagnées par Khroutchev. Or, il est connu que l’histoire s’écrit par les vainqueurs.
Re: La Guerre Froide [1945-1991]
http://french.ruvr.ru/2014_09_27/Les-my ... rete-3479/Les mystères de l’histoire russe. Un vol arrêté
A partir du milieu des années 1950, les avions de reconnaissance U-2 devinrent une vraie malédiction pour les troupes de DCA soviétiques.
La journée de solidarité internationale des travailleurs, le 1er mai, était marquée en URSS suivant la tradition dans une atmosphère de fête. Des colonnes de manifestants portant des drapeaux rouges et des banderoles défilaient sur la Place Rouge à Moscou, du haut de la tribune du Mausolée de Lénine ils étaient salués par les membres du gouvernement. Le 1er mai 1960 tout se déroulait comme d’habitude, mais le leader soviétique Nikita Khrouchtchev avait un air sombre, semblait préoccupé. Son visage ne s’éclaira qu’après le rapport de l’un des officiers. Il apprit : la nouvelle pièce de DCA soviétique S-75 venait d’abattre au-dessus de l’Oural un avion espion américain U-2.
A partir du milieu des années 1950, les avions de reconnaissance U-2 devinrent une vraie malédiction pour les troupes de DCA soviétiques. Ils survolaient impunément le territoire de l’URSS à une altitude de 20 à 21 km, où aucun des avions qu’avait à ce moment-là l’armée de l’air soviétique ne pouvait atteindre le violateur de frontière. Nikita Khrouchtchev ordonna de concevoir en de brefs délais des missiles capables de détruire les avions américains violant l’espace aérien de l’URSS. Le chercheur soviétique, l’académicien Petr Grouchine conçut un lance-missile unique S-75, qui s’avéra être une désagréable surprise pour les Américains. Vers le printemps de l'année 1960 les pilotes américains devinrent tellement confiants en invulnérabilité de l’appareil U-2 qu’ils commencèrent à pénétrer très profondément dans l’espace aérien de l’Union Soviétique.
L’un des avions espions survola le territoire soviétique de la mer Baltique à la frontière iranienne, en filmant des sites militaires et des pas de tir de missiles intercontinentaux. Or ce fut là le dernier exploit de l’avion U-2 dans le ciel soviétique. Le 1er mai 1960 le pilote américain expérimenté Francis Powers décolla d’une base près de la ville pakistanaise de Peshawar. Après le filmage des sites militaires soviétiques dans l’Oural l’avion U-2 devait se poser en Norvège. Au début tout se passait comme à l’ordinaire, l’Américain prit une altitude maximale, franchit la frontière soviétique et se dirigea vers l’Oural, accompagné de chasseurs soviétiques à une moindre altitude. Au-dessus de la ville de Sverdlovsk il entra dans le rayon d’action d’une division de missiles S-75. L’une des fusées atteignit la cible. Les restes de l’épave tombèrent, Powers réussit par miracle de quitter l’avion et de sauter en parachute.
Une fois sur terre le pilote américain fut arrêté, il avait sur lui du poison, mais il n’en avala pas. Content, Khrouchtchev ordonna de décorer d’ordres et de médailles tous les militaires ayant participé à la destruction de l’avion espion U-2. Entre-temps, Washington était en plein désarroi : l’U-2 disparut. L’Union Soviétique gardait le silence. Plusieurs jours d’écoulèrent. Finalement les nerfs des Américains lâchèrent : le Département d’Etat américain intervint avec une déclaration officielle. Selon sa version, l’U-2 piloté par Powers effectuait une reconnaissance météorologique au-dessus de la Turquie avant de disparaître. La déclaration de Nikita Khrouchtchev produisit un effet d’une bombe explosée : l’avion fut abattu au-dessus de l’Oural, Powers arrêté faisait des dépositions. A Moscou, au parc Gorki les débris de l’avion U-2 des appareils d’espionnage étaient présentés au public. « L’exposition » connut un énorme succès auprès du public soviétique et des journalistes étrangers. Le journal américain New York Timesécrivait : « Jamais encore dans l’histoire de la diplomatie le gouvernement des Etats-Unis ne connut de situation plus absurde ».
Le procès de Powers avait lieu à Moscou, il était ouvert, les séances étaient montrées à la télévision soviétique. Le pilote raconta tout ce qu’il savait et reconnut sa culpabilité. Powers fut condamné à dix ans de prison, mais peu après fut échangé contre un agent de renseignement soviétique condamné aux Etats-Unis. La patrie accueillit son pilote avec froideur : on ne put pardonner à Powers de ne pas s’être empoisonné et d’avoir reconnu être espion. En 1977 Powers périt dans une catastrophe aérienne, dont les circonstances ne furent jamais élucidées.
« L’arme-miracle » S-75 devint une protection sûre des frontières soviétiques : les Américains durent arrêter leurs missions des U-2 au-dessus de l’URSS. Par la suite les missiles soviétiques repoussaient avec succès les attaques de l’aviation des Etats-Unis au Vietnam. Selon les données du ministère de la Défense de l’URSS, 60 divisions des missiles S-75 abattirent dans le ciel du Vietnam près de 1 500 avions américains. Chaque mission de pilote de bombardier ou de chasseur agresseur alors arrêtée sauvait beaucoup de vies sur terre.
Re: La Guerre Froide [1945-1991]
http://french.ruvr.ru/2014_10_28/La-CIA ... oide-6000/La CIA a embauché des nazis pendant la Guerre froide
Dans les décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, la CIA et d'autres services secrets américains ont employé plus de mille nazis comme complices, espions et informateurs contre l'URSS avant de leur accorder l'asile en Amérique, selon les données d'archives déclassifiées rendues publiques par le New York Times rapportées mardi 28 octobre par le quotidien Rossiïskaïa gazeta.
Ces activités étaient notamment importantes dans les années 1950 quand les forces de l'ordre, la CIA et le FBI engageaient volontiers d'anciens nazis de tout rang en tant qu'agents pour espionner l'URSS. Cela n'a pas gêné les directeurs du FBI Edgar Hoover et de la CIA Allen Dulles, qui ont recruté d'anciens serviteurs du Troisième Reich. Selon eux, la valeur de ces nouveaux agents dans la confrontation contre l'URSS compensait l'"erreur morale". Les services américains recrutaient même des criminels de guerre.
Par exemple, on trouve dans les archives le dossier d'un ancien officier SS, Otto von Bolschwing, conseiller d'Adolf Eichmann et architecte de la "Solution finale". Un an seulement après la guerre, l'ex-SS a trouvé un nouveau travail – la CIA l'a utilisé en Europe. En 1954, d'après une note de service, Otto von Bolschwing a été transféré avec sa famille à New York "pour ses services loyaux et l'innocence de ses activités au profit du IIIe Reich". Les services israéliens ont retrouvé Eichmann en Argentine dans les années 1960 et, préoccupé par son sort, le "nazi loyal" a demandé la protection des USA. L'ex-agent a finalement bénéficié d'une couverture et il a vécu encore 20 ans en Amérique.
Un autre nazi, Alexandras Lileikis, a été recruté par la CIA en 1952 en dépit des preuves accablantes du fait que pendant la guerre, sous le contrôle de la Gestapo, il exécutait des Juifs à la mitrailleuse près de Vilna en Lituanie. Cet agent travaillant en Allemagne de l'Est était rémunéré 1 700 dollars par an et deux cartouches de cigarettes par mois. Quatre ans plus tard, il a été autorisé à entrer aux USA pour ses loyaux services.
"A en juger par les archives, plus de mille nazis travaillaient pour les USA mais ils pourraient être bien plus nombreux. Il est difficile de connaître leur nombre exact car certains documents sont toujours classifiés", constate le quotidien.
D'après les archives, les agents nazis remplissaient des missions diverses et variées. Un groupe d'anciens officiers de la Wehrmacht était formé à une base militaire du Maryland par des instructeurs américains à la tactique de guérilla en cas d'invasion de l'URSS. Dans le Connecticut, les CIA a formé à partir d'anciens gardes de la Wehrmacht un groupe qui tentait de découvrir le sens caché des symboles sur les timbres postaux soviétiques. En Virginie, un conseiller d'Hitler organisait des conférences à huis clos sur les relations avec l'URSS. Les ex-SS infiltraient les territoires allemands contrôlés par l'Union soviétique pour installer des câbles d'espionnage afin de surveiller les communications ferroviaires.T
Re: La Guerre Froide [1945-1991]
http://fr.ria.ru/world/20141109/202931308.htmlGuerre froide: Churchill a appelé les Etats-Unis à une frappe nucléaire visant la Russie (journal)
Le premier ministre britannique à l'époque de la Seconde guerre mondiale Winston Churchill a plusieurs fois appelé les Etats-Unis à porter une frappe nucléaire préventive contre l'URSS afin d'arrêter l'avancée du communisme en Occident et de remporter la guerre froide, annonce un rapport d'un agent du FBI, déclassifié récemment et publié par le quotidien The Daily Mail.
"Dans le rapport rédigé par un agent du FBI, il est annoncé que Churchill demandait avec persistance le sénateur républicain Styles Bridges de persuader le président américain Harry Truman de procéder à une frappe nucléaire afin de "raser le Kremlin de la surface terrestre " et de transformer l'Union soviétique en un "problème insignifiant", lit-on dans les extraits du document publié par le journal.
Selon l'agent du FBI, le premier ministre britannique a également annoncé dans son message, que "la Russie attaquerait les Etats-Unis dans deux ou trois ans, après avoir obtenu sa bombe atomique et alors, la civilisation disparaîtrait ou serait rejetée à de nombreuses années en arrière".
Le journal indique que le premier ministre britannique était tellement préoccupé par les actions de l'Union soviétique, qu'il était prêt à sacrifier des milliers de Soviétiques "pour protéger la civilisation de la menace émanant de l'Union soviétique et pour remporter la victoire dans la guerre froide".