http://www.infoplease.com/ipa/A0001284.htmlWorld War I (1914–1918)
Imperial, territorial, and economic rivalries led to the “Great War” between the Central Powers (Austria-Hungary, Germany, Bulgaria, and Turkey) and the Allies (U.S., Britain, France, Russia, Belgium, Serbia, Greece, Romania, Montenegro, Portugal, Italy, and Japan). About 10 million combatants killed, 20 million wounded.
1914
Austrian Archduke Francis Ferdinand and wife assassinated in Sarajevo by Serbian nationalist, Gavrilo Princip (June 28). Austria declares war on Serbia (July 28). Germany declares war on Russia (Aug. 1), on France (Aug. 3), invades Belgium (Aug. 4). Britain declares war on Germany (Aug. 4). Germans defeat Russians in Battle of Tannenberg on Eastern Front (Aug.). First Battle of the Marne (Sept.). German drive stopped 25 miles from Paris. By end of year, war on the Western Front is “positional” in the trenches.
1915
German submarine blockade of Great Britain begins (Feb.). Dardanelles Campaign—British land in Turkey (April), withdraw from Gallipoli (Dec.–Jan. 1916). Germans use gas at second Battle of Ypres (April–May). Lusitania sunk by German submarine—1,198 lost, including 128 Americans (May 7). On Eastern Front, German and Austrian “great offensive” conquers all of Poland and Lithuania; Russians lose 1 million men (by Sept. 6). “Great Fall Offensive” by Allies results in little change from 1914 (Sept.–Oct.). Britain and France declare war on Bulgaria (Oct. 14).
1916
Battle of Verdun—Germans and French each lose about 350,000 men (Feb.). Extended submarine warfare begins (March). British-German sea battle of Jutland (May); British lose more ships, but German fleet never ventures forth again. On Eastern Front, the Brusilov offensive demoralizes Russians, costs them 1 million men (June–Sept.). Battle of the Somme—British lose over 400,000; French, 200,000; Germans, about 450,000; all with no strategic results (July–Nov.). Romania declares war on Austria-Hungary (Aug. 27). Bucharest captured (Dec.).
1917
U.S. declares war on Germany (April 6). Submarine warfare at peak (April). On Italian Front, Battle of Caporetto—Italians retreat, losing 600,000 prisoners and deserters (Oct.–Dec.). On Western Front, Battles of Arras, Champagne, Ypres (third battle), etc. First large British tank attack (Nov.). U.S. declares war on Austria-Hungary (Dec. 7). Armistice between new Russian Bolshevik government and Germans (Dec. 15).
1918
Great offensive by Germans (March–June). Americans' first important battle role at Château-Thierry—as they and French stop German advance (June). Second Battle of the Marne (July–Aug.)—start of Allied offensive at Amiens, St. Mihiel, etc. Battles of the Argonne and Ypres panic German leadership (Sept.–Oct.). British offensive in Palestine (Sept.). Germans ask for armistice (Oct. 4). British armistice with Turkey (Oct.). German Kaiser abdicates (Nov.). Hostilities cease on Western Front (Nov. 11).
1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
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1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
Dernière modification par tchpako le 02 octobre 2012, 00:59, modifié 1 fois.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
Sous-marin allemand SM UB-110
First World War, submarines are diesel-powered to move on the surface of the water and electric - under water, becoming a very formidable weapon in the sea. SM UB-110 cost about four million marks, but have not had time to demonstrate his power, lived only a few months.
Submarine UB-110 Class Type UB III coastal torpedo boats, was established in the Hamburg docks Blohm & Voss for the needs of the Kaiserliche Marine and commissioned March 23, 1918. But on July 19 the same year, was sunk by British warships (HMS ML 49, HMS Garry and HMS ML 263). A little later, this submarine was raised on the land, in order to fix the docks Wallsend, but repair brought to an end was not, so that the submarine was sold as scrap metal.
D'autres photos ici http://armsofwar.ru/voennye-fotografii/ ... -foto.html
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
CWhat you're looking at here are 18,000 U.S. troops standing in a formation that resembles the Statue of Liberty. The photo was used as an advertisement for war bonds during World War I, because nothing says "patriotism" like a human Magic Eye poster.
The layout at the reported 400 yards was nearly 4 times the length of the actual Statue of Liberty and the viewer will note that the correct perspective is maintained. The number of men in the various parts include: Flame of Torch – 12,000 men, Torch – 2,800, Right Arm – 1,200 men, Body, Head and balance of figure – 2,000 men.
Source: militaryphotos.net
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
Algerian soldiers ('Spahis') cooking their meal in a village in Oise, France, 1917
(Autochrome color picture by Jean-Baptiste Tournassoud)
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
http://lagrandeguerre.blog.lemonde.fr/2 ... ndiale-12/Les travailleurs chinois de la première guerre mondiale (1/2)
Pour remplacer les hommes partis au front, la France et le Royaume-Uni ont fait appel à des travailleurs chinois sous contrat. Les travaux de l'historienne Ma Li apportent un nouvel éclairage sur cette histoire méconnue. Publié par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) en 2012, financé par le ministère de la défense, l'ouvrage intitulé Les Travailleurs chinois dans la première guerre mondiale a été rédigé par vingt-trois chercheurs dans neuf pays, dont la France, la Chine, Taïwan, le Japon et le Royaume-Uni.
Le 14 mai 1916, les autorités françaises et chinoises concluent un accord pour l'envoi de main-d'œuvre. Ce sont ainsi 36 975 Chinois qui furent envoyés en France dans les usines d'armement, les ports, les mines, les exploitations agricoles et les forêts. « Pour ce qui est du "Chinese Labor Corp", les travailleurs chinois recrutés par les Britanniques, nous disposons de chiffres contradictoires, explique Ma Li, maître de conférence à l'université du Littoral (Pas-de-Calais). Les sources anglaises font état de 93 000 travailleurs, les documents chinois de 100 000. »
Quatre-vingts pour cent des travailleurs furent recrutés dans la région du Shandong, dans l'est de la Chine. Principale raison de cette préférence ? Leur robustesse. Les Britanniques avaient déjà recouru à leur service pour l'exploitation des mines d'or d'Afrique du Sud en 1903-1904. Weihai, le port de cette province, était d'ailleurs administré par les Anglais. Pour nombre de ces hommes, qui n'avaient jamais quitté leur village, le voyage de trois mois en bateau fut fatal. « Certains n'ont pas supporté le mal de mer. D'autres sont devenus fous, se sont jetés à l'eau. D'autres encore sont tombés gravement malades », précise Ma Li.
Le trajet en mer Méditerranée était parfois semé d'embûches. Les paquebots n'arrivaient pas tous à Marseille, tel l'Athos qui fut torpillé par un sous-marin allemand le 17 février 1917, faisant 700 morts dont 543 Chinois. Ce désastre qui faisait suite à une dizaine d'attaques en mer contraignit les Français et les Britanniques à changer de route. Les travailleurs chinois traversèrent ensuite le Pacifique en bateau, le Canada en train, puis l'Atlantique. Arrivés au Havre ou à Dieppe, ils étaient dispersés dans toute la France. Les usines Renault, les mines de La Machine (Nièvre) et le port de La Seyne-sur-Mer (Var) furent des pourvoyeurs de cette main-d'œuvre. Du côté britannique, les Chinois étaient utilisés pour le déminage, la livraison d'équipements militaires, puis, après la guerre, pour le nettoyage des champs de bataille. « Les termes de l'accord sino-anglais n'ont pas été respectés. Le contrat stipulait que les travailleurs chinois ne devraient s'acquitter d'aucune tâche militaire, note Ma Li. Les Français ont également violé le contrat, dans la mesure où les Chinois travaillaient dans des usines d'armement ».
Les régimes contractuels étaient différents. L'accord signé avec la France prévoyait un recrutement pour une durée de cinq ans. Les travailleurs non qualifiés étaient payés 1,50 franc par jour (le kilo de pain coûtait 0,44 francs en 1914), les qualifiés (mécaniciens, artisans, interprètes), jusqu'à 6 francs. Le ministère des travaux publics mit des logements à disposition des différentes sociétés privées. Côté britannique, les travailleurs étaient embauchés pour trois ans. Les ouvriers non qualifiés étaient rémunérés 1 franc par jour, les qualifiés 1,50 franc. Les coolies étaient logés à Boulogne-sur-Mer, Saint-Omer, Calais et Dunkerque, dans des camps de travailleurs pouvant contenir jusqu'à 10 000 hommes. Ceux-ci n'avaient pas le droit de nouer des contacts avec la population locale. Les allées et venues étaient contrôlées. Malgré la présence d'environ 150 interprètes, d'importants problèmes de communication survinrent. « L'écrasante majorité ne comprenait pas les ordres donnés. Pour que les ouvriers se pressent, les officiers anglais hurlaient "Go ! Go !", ce qui en mandarin veut dire "chien ! chien ! ". Cela a donné lieu à des grèves, à des incidents entre Chinois et Anglais », relate Ma Li.
Selon les autorités françaises, 1500 travailleurs chinois seraient décédés pendant la première guerre mondiale. Les Britanniques font état de quelque 2000 morts. Ce dernier chiffre prête à contestation. « Au moins 27 000 travailleurs chinois ont disparu sur les 100 000 recrutés par le Royaume-Uni, explique Ma Li. Que sont-ils devenus ? Le travail de recherche doit être approfondi. Une hypothèse pourrait expliquer cette disparition : les travailleurs chinois se trouvaient dans la zone des combats, beaucoup d'entre eux ont dû être tués, puis être enterrés sur place dans des fosses communes ». Plus d'un millier de coolies chinois sont enterrés dans dix-sept cimetières du nord de la France, entretenus par la Grande-Bretagne. Celui de Noyelles-sur-Mer (Somme) compte 843 tombes, celui de Saint-Etienne-au-Mont (Pas-de-Calais), 150. En revanche, il n'existe pas de cimetière pour les travailleurs chinois, entretenu par la France.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
http://lagrandeguerre.blog.lemonde.fr/2 ... ndiale-22/Les travailleurs chinois de la première guerre mondiale (2/2)
Que sont devenus les travailleurs chinois après la signature de l’armistice du 11 novembre 1918 ? La plupart des Chinois recrutés par les Britanniques sont restés jusqu’en 1920. C’est le cas de ceux qui avaient été recrutés en 1917 pour un contrat de trois ans. « Ils ont servi pour la reconstruction et le nettoyage des champs de bataille dans l’Artois et à Ypres dans les Flandres », précise Ma Li, auteure des Travailleurs chinois dans la première guerre mondiale (2012). Parmi les Chinois employés par la France, les derniers sont repartis en 1922. Fortement invités par les autorités françaises à rentrer chez eux, une petite minorité décide de rester. Emmanuel Ma Mung, géographe, spécialiste des migrations chinoises, estime qu’ils furent entre 2000 et 3000 Chinois à s’installer à Paris, en banlieue et dans certaines grandes villes de province. « Ces personnes venaient tous de la province de Zhejiang au sud de la Chine, notamment de la petite ville de Qingtian et de Wenzhou, explique-t-il. Ils ont retrouvé à Paris, des personnes originaires de la même province, déjà installées en France avant la Première guerre mondiale. Il y avait dans cette région une tradition migratoire ancienne, celle des colporteurs de Qingtian, qui traversaient la Chine et la Russie pour vendre des objets de pierres et des statuettes ».
A Paris, ces Chinois se retrouvent à l’îlot Chalon, près de la gare de Lyon. « Il y avait dans ce quartier des cantines chinoises qui étaient devenuus des petits centres consulaires, indique Marie Holzman, sinologue, auteur de Chinois de Paris (1989). Un point de rencontre pratique pour ces hommes débarqués en bateau à Marseille qui arrivaient en train à la gare de Lyon. « Il faut garder à l’esprit qu’ils n’étaient jamais sortis de leur village et qu’ils ne parlaient pas un mot de français ni même de mandarin », rappelle Marie Holzman. Selon Ma Li, 80% des travailleurs chinois venus travailler en France étaient illettrés. Après la guerre, la plupart deviennent colporteurs. « Comme ceux qui étaient là avant, ils vendaient sur les marchés des produits de maroquinerie », ajoute Emmanuel Ma Mung. A partir du milieu des années 1920, les Chinois s’installent également dans d’autres quartiers. A Richard-Lenoir, ils travaillent dans l’ébénisterie. Dans le Sentier et aux Arts-et-Métiers, ils sont embauchés dans des ateliers de textile tenus par les Juifs. Petit à petit, les Chinois rachètent ces ateliers. « L’expansion des Chinois dans le quartier des Arts-et-Métiers date véritablement de la seconde guerre mondiale, précise Marie Holzman. Beaucoup de Juifs ont alors été déportés par les Allemands. Dès qu'un atelier était vide, les Chinois s'installaient ».
Dans quelle mesure ces immigrés chinois s’intègrent-ils dans la société française de l’époque ? « Ils se sont intégrés économiquement, mais il ne faut pas oublier qu’en arrivant en France, ils n’avaient jamais vu une école de leur vie. Il est très difficile de saisir leur vision du monde », déclare Emmanuel Ma Mung. Selon Ma Li, l’intégration se fait notamment par le mariage. Nombre des Chinois épousent des Françaises, souvent des migrantes venues d'Alsace, de Normandie et de Bretagne. Une petite partie d’entre eux sont politisés et syndicalisés, en particulier, ceux qui ont travaillé dans les usines françaises. Comme pour beaucoup de Chinois de l’époque, leur conscience politique naît pendant la Conférence de paix de Paris. La Chine, qui se trouvait dans le camp des vainqueurs de la guerre parce qu’elle avait pourvu les Alliés en main d’œuvre, assiste impuissante au transfert de la province du Shandong au nord de la Chine (détenue par les Allemands) au Japon. « Or, la grande majorité des travailleurs chinois venaient du Shandong. Pour eux, c’était une humiliation, insiste Ma Li. C’est à cause d’eux qu’est né le mouvement du 4 mai 1919, qui voit plus de 3000 étudiants se réunir devant la place Tiananmen, pour manifester contre le traité ».
Selon l’historienne, les travailleurs chinois découvrent les idées marxistes et anarchistes au contact des milliers de jeunes concitoyens venus étudier en France dans les années 1920, tels Zhou Enlai (premier ministre chinois de 1949 à 1976) et Deng Xiaoping (président de facto de la Chine de 1978 à 1992). Entre la fin de la guerre et 1927, 4000 jeunes chinois avaient fréquenté les universités françaises dans le cadre du mouvement Travail-Etudes, créé par le Chinois Li Shizeng, philanthrope et admirateur de la culture française. « Ces Chinois sont d'autant plus sensibles au discours communiste dans les années 1920 qu'ils sont venus ou restés parce que la France est le pays de la Révolution, explique Marie Holzman. 1789 exerce une très grande fascination sur eux. Le pôle d'attraction n'était pas encore l'URSS qui émergeait à peine de sa révolution. A l'époque, on allait faire ses études à Paris ». Pour Emmanuel Ma Mung, l’influence de ces étudiants est à relativiser : « D’après les témoignages recueillis, les intellectuels comme Zhou Enlai venaient manger dans les cantines de l'îlot Chalon, ils y rencontraient ces Chinois d’extraction très populaire. Leur but était de les éduquer, mais ils n’ont pas été très suivis, parce que la différence sociale était trop énorme ».
Lorsque l'îlot Chalon est rasé dans les années 1970, beaucoup de Chinois s'installent à Cormeilles-en-Parisis (Val d'Oise), mais aussi dans les quartiers parisiens des Arts-et-Métiers et de Belleville. Au sein des familles immigrées chinoises, la mémoire des travailleurs de la première guerre mondiale s'est peu à peu éteinte. « On sait qu'un grand oncle est venu travailler pendant la guerre, mais cette mémoire est restée cantonnée dans les familles, explique Emmanuel Ma Mung. Il n'y a pas eu de travail de mémoire collectif ». L'une des seules démarches a été tuée dans l'oeuf : l'Association générale des travailleurs chinois en France avait demandé dans les années 1920 que leurs concitoyens morts pendant la première guerre mondiale soient enterrés dans un cimetière, mais cette demande fut rejetée par les autorités françaises, pour des raisons budgétaires. Ce n'est que le 11 novembre 1988, qu'une plaque commémorative est apposée près de la gare de Lyon à Paris (Voir photo). Elle est inaugurée par Paul Quilès, député, membre du Conseil de Paris et ancien ministre de la Défense. Une stèle « à la mémoire des travailleurs et des combattants chinois morts pour la France » est ensuite érigée en 1998 dans le jardin Baudricourt, à Paris dans le 13e arrondissement. Dernier geste de reconnaissance en date de la part de l'Etat français envers ces travailleurs chinois : le financement par le ministère de la défense d'un important travail de recherche sous la direction de l'historienne Ma Li, en 2012.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
L’économie mondiale en 1914 (3/5): Rule Britannia… mais pour combien de temps?
A l’occasion du centenaire de 1914, La Tribune vous propose un tableau de ce qu’était l’économie du monde huit mois avant le début de la Grande Guerre. Troisième partie : En 1914, l’Empire britannique domine encore le monde économique. Mais deux concurrents très sérieux émergent : les Etats-Unis et l’Allemagne.
Qui domine vraiment l'économie mondiale en ce début d'année 1914 ? Pour la première fois depuis un siècle, la question mérite vraiment d'être posée. Durant la majeure partie du 19ème siècle, et sans doute même un peu avant, la domination britannique avait été sans partage. Partie tôt dans la première révolution industrielle, régnant sans partage sur les mers et à la tête d'un empire colonial gigantesque, Albion avait donné le rythme du développement mondial durant les trois premiers quarts du siècle précédent. L'apogée de sa puissance avait été l'exposition universelle de 1855 à Londres où elle avait pu montrer au monde son avance technologique et industrielle. Douze ans plus tard, le couronnement de Victoria comme Impératrice des Indes avait sanctionné politiquement cette puissance.
Albion dépassée par la croissance américaine et allemande
Mais, depuis les années 1870, l'hégémonie britannique est contestée par deux concurrents sérieux : les Etats-Unis d'abord, l'Allemagne ensuite. En 1914, ces deux puissances montantes ont déjà fait perdre au lion britannique pas mal de sa superbe. Durant cette période, la croissance britannique (celle de la Grande-Bretagne) n'a été que de 1,9 % par an, soit moins que la moyenne mondiale, alors même que la croissance américaine atteignait en moyenne 3,94 % et celle de l'Allemagne 2,81 %. Conséquence : la richesse de ces deux pays a dépassé celle de la Grande-Bretagne dont le poids dans le PIB mondial est passé de 9 % à 8,2 %.
http://www.latribune.fr/actualites/econ ... temps.html
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
Grande Guerre : le caporal Hitler à l’abri du front
Le 4 août 1918, un officier juif, Hugo Gutmann, obtient la Croix de fer de première classe pour son estafette, Adolf Hitler. Une décoration exceptionnelle pour un simple caporal. Elle fera sa légende. Voici la vérité.
> Leur Grande Guerre 2/5: Staline, la révolution plutôt que la guerre
Il existe deux histoires de l’engagé volontaire Adolf Hitler : celle racontée dans Mein Kampf, à la fois autobiographie et programme politique, reprise par les témoins de l’époque et naturellement influencée par l’ascension et la chute fulgurantes du Führer ; et puis, il existe celle des historiens, puisée dans un dossier des archives militaires bavaroises oublié depuis près d’un siècle.
La première histoire commence avec une missive envoyée en août 1914 par le cabinet du roi Louis III de Bavière à un artiste peintre arrivé d’Autriche à Munich un an plus tôt. Hitler avait adressé une requête afin d’obtenir l’autorisation d’entrer dans la glorieuse armée prussienne. S’il prétend avoir ouvert d’une main tremblante la réponse expédiée par le roi, il y a fort à parier qu’en cette période de grave crise diplomatique, le cabinet a d’autres préoccupations que d’envoyer un courrier à un étranger qui a fui le service militaire dans son propre pays. Mais la guerre étant déclarée, toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Hitler est incorporé dans la 1re compagnie du 16e régiment d’infanterie de réserve bavarois, un régiment de supplétifs dont 70 % des recrues n’ont pas accompli de service militaire. Un peintre à succès est présent aux côtés de notre modeste artiste, Albert Weisgerber. « Du fait d’une pénurie de casques et de havresacs, Hitler, Weisgerber et leurs camarades reçurent de simples sacs à dos et des couvre-chefs en toile cirée imitant des casques recouverts d’une coiffe de coton gris », révèle l’historien Thomas Weber dans son ouvrage la Première Guerre d’Hitler. Ce point montre combien le 16e régiment est secondaire dans le dispositif militaire allemand. Il n’a rien de la troupe d’élite dépeinte par Hitler dans ses souvenirs d’ancien combattant.
http://valeursactuelles.com/leur-grande ... 31203.html
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
[quote="medhak"][quote]Grande Guerre : le caporal Hitler à l’abri du front
Excellent article sauf que l'auteur dis que le boulot d'estafettes étaient moins dangereux que d'être dans les tranchées. Il faut savoir que le pourcentage de perte chez les estafettes, toutes armées confondues approchaient les 80%. Bizarre quand même.
Excellent article sauf que l'auteur dis que le boulot d'estafettes étaient moins dangereux que d'être dans les tranchées. Il faut savoir que le pourcentage de perte chez les estafettes, toutes armées confondues approchaient les 80%. Bizarre quand même.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
L'article etait orienté , il s'agit de faire de Hitler un boufon , ainsi s'agissant des croix glanées par Hitler l'article disait que c'est le commandement qui avait edicté de favoriser les hommes de troupes et puis on donnait Hitler en promiscuité avec les off qui l'ont favorisé .Disons que c'est de l'histoire vue d'un certain angle ?60b a écrit :medhak a écrit :Grande Guerre : le caporal Hitler à l’abri du front
Excellent article sauf que l'auteur dis que le boulot d'estafettes étaient moins dangereux que d'être dans les tranchées. Il faut savoir que le pourcentage de perte chez les estafettes, toutes armées confondues approchaient les 80%. Bizarre quand même.
Re: 1ère Guerre Mondiale [1914-1918]
medhak a écrit :L'article etait orienté , il s'agit de faire de Hitler un boufon , ainsi s'agissant des croix glanées par Hitler l'article disait que c'est le commandement qui avait edicté de favoriser les hommes de troupes et puis on donnait Hitler en promiscuité avec les off qui l'ont favorisé .Disons que c'est de l'histoire vue d'un certain angle ?60b a écrit :medhak a écrit :Grande Guerre : le caporal Hitler à l’abri du front
Excellent article sauf que l'auteur dis que le boulot d'estafettes étaient moins dangereux que d'être dans les tranchées. Il faut savoir que le pourcentage de perte chez les estafettes, toutes armées confondues approchaient les 80%. Bizarre quand même.
Bien sûr que cet article est orienté. D'ailleurs, je me demande pourquoi tu l'as posté.Ce serait bien de poster des informations historique qui nous apprennent vraiment quelques chose sur la première guerre au lieux de mettre des articles polémiques qui ne nous apprennent rien. Ce serait vraiment sympa pour le forum.