Algérie : Actualité culturelle et artistique

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AAF 2020
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Culture : Un «immense musée» pour Biskra

C'est la première fois que Biskra bénéficie d'un programme aussi grandiose qu'est cette réalisation d'un grand musée, qui ferait en principe d'elle la véritable reine des Zibans qu'elle s'est toujours targuée d'être.
Le 1er ministre a, comme à son habitude -depuis qu'il parcourt le pays-, accordé une rallonge budgétaire à la wilaya de Biskra après, a-t-il dit toujours, «avoir constaté les insuffisances sur le terrain». Il a lui a alloué 28,986 milliards de dinars pour financer la réalisation ou l'achèvement, c'est selon, des travaux de plusieurs infrastructures socioéconomiques. Celle qui marque le plus les esprits est bien la réalisation d'un musée de dimension internationale dans Biskra même. C'est, nous dit-on, « un grand musée multidisciplinaire, le plus grand dans le monde arabe ». L'étude relative à sa conception et à sa réalisation sera lancée en 2014. L'idée est en tout cas retenue après accord du président de la République. Biskra a été choisie pour l'abriter parce qu'elle est considérée comme étant le carrefour des cultures et civilisations qui ont marqué l'Algérie depuis que le monde est monde ». La reine des Zibans représente aux yeux des historiens cette région-jonction entre plusieurs empires qui ont gouverné dans plusieurs régions du pays.
Le choix du gouvernement à vouloir réanimer la culture à travers le pays semble avoir été décidé tout au début de l'intronisation de Bouteflika à la tête de l'Etat. L'on se rappelle quand en 2002 Abdelatif Benachenhou, alors ministre des Finances, avait refusé d'accorder un budget au ministère de la Culture que dirigeait déjà Khalida Toumi. Le microcosme algérois se rappelle des échos de prises de bec entre les deux membres du gouvernement, tous les deux connus pour leur caractère de feu. L'on nous indique alors que c'était à cause des financements des programmes culturels que l'argentier du pays a catégoriquement refusés. Libéral qu'il est, Benachenhou a toujours soutenu que la culture est une affaire du privé. Comme il avait rejeté l'idée du financement de la construction de l'autoroute Est-Ouest par le Trésor public.
Il avait alors accordé des budgets à tous les secteurs excepté celui de la culture. La confrontation entre les deux ministres avait pris une telle ampleur qu'il fallait l'arbitrage du premier magistrat du pays pour qu'il lui soit mis un terme.
Bouteflika avait pris le taureau par les cornes et avait tranché en faveur de la culture, précisément en faveur de Khalida Toumi, laissant ainsi « tomber » son ami. Lorsque Sellal était en visite à Tamanrasset, la ministre de la Culture avait déclaré aux journalistes qu' « il est dommage de comptabiliser dans le bilan du président que la réalisation des logements et des universités, il faut compter la culture, c'est lui qui a décidé pour qu'elle ait la place qu'il faut dans un Etat moderne », a-t-elle dit. Khalida Toumi respire aujourd'hui la joie pour pouvoir marquer dans son bilan de ministre du secteur « un immense musée multidisciplinaire à Biskra, reine des Zibans ».
http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5191301

Annabi
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Mike Tyson : ‘‘Je suis agréablement surpris par l’accueil qui m’a été réservé à Oran‘‘

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ORAN - L’ex-champion du monde de boxe poids lourds, l’américain Mike Tyson, a exprimé, vendredi soir, à Oran, sa surprise devant l’accueil particulier que lui ont réservé les habitants de cette ville, au cours de son séjour dans la capitale de l’Ouest du pays pour les besoins du tournage du film franco-algérien ‘‘ Algérie pour toujours ‘‘.

‘‘Je n’ai jamais pensé que ma présence à Oran susciterait un aussi engouement des habitants de cette ville ‘‘, a déclaré Mike Tyson, dans une brève intervention, lors d’une conférence de presse, organisée par l’équipe technique du film, dont les dernières séquences viennent d’être mises en boite.

L’ancien boxeur a exprimé sa satisfaction au sujet des conditions de tournage des séquences dans lesquelles il campait un des rôles du film qualifiant de ‘‘professionnel ‘‘ et de ‘‘ haute qualité ‘‘ le travail fourni par l’équipe technique algérienne. ‘‘ C’est une expérience extraordinaire pour moi. Elle a été une occasion de découvrir l’Algérie, ce pays que je visite pour la première fois et d’être en contact avec sa population qui m’a réservé n accueil chaleureux ‘‘, a-t-il ajouté.

Mike Tyson s’est dit satisfait de la visite touristique dont il a bénéficié durant son séjour à Oran. ‘‘ Ce programme m’a permis de découvrir la beauté de la région, certaines de ses traditions comme elle m’a permis d’accomplir la prière du vendredi dans une mosquée de la ville et parmi les fidèles ‘‘, a encore souligné l’ancien champion du monde de boxe.

L’ex-boxeur américain est arrivé à Oran, mardi dernier, pour tourner les dernières séquences du film, une production algéro-française, réalisée par le réalisateur français Jean-Marc Minéo, dont le premier tour de manivelle a été donné en août dernier.

Algérie pour toujours, un film franco-algérien, raconte l’histoire d’un complot fomenté contre l’Algérie par un ancien membre de la sinistre OAS. Un officier algérien infiltre le groupe criminel pour réduire à néant le funeste projet.

Produit par ‘‘Accès V Production’‘ de l’Algérien Zakaria Ramdane, le film voit la participation de nombreuses vedettes nationales et étrangères, à l’image du comédien français Smaïn, de la chanteuse Lorie et des Algériens Mohamed Adjami, Ahmed Benaïssa, Mourad Khane, Bahia Rachedi et des spécialistes des arts martiaux.

http://www.aps.dz/Mike-Tyson-Je-suis-agreablement.html

Annabi
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Afrowood film festival 2013« Dynamic Art Vision » récompensé à Copenhague

La société de production algérienne, Dynamic Art Vision, dirigée par Djilali Biskri, a eu le 29 novembre dernier le prix de « Best Picture » au « Afrowood film festival 2013 » qui s’est déroulée à Copenhague, au Danemark. Une récompense bien méritée surtout qu’il y avait une grande concurrence et que l’événement s’est déroulée devant un parterre de personnalités du mon de l’animation d’Afrique et d’ailleurs. Ainsi, parmi les présents à ce festival, qui se veut « un lieu culturel incontournable du cinéma africain en Europe », il y avait : Tania Kersey, la directrice exécutive du Hollywood Back Film Festival, Obi Emelonye, cinéaste nigérian (avec son film The Mirror Boy », , Isgmeal Sarr, cinéaste sénégalais réalisateur de « Once Upon a Time in Sahel », et un autre nigérian, Ruke Amata, réalisateur de « Shamful Deceit ».

Djilali Biskri, directeur de Dynamic Art Vision, ne cache pas sa satisfaction pour ce second prix après celui de d’ASIFA 2012. Dans le communiqué qu’il vient de publier il déclare « Ce prix n’est pas seulement le mien, il est surtout celui de toute mon équipe. L’animation est un travail d’équipe, il y a ceux qui pensent, ceux qui créent, ceux qui s’appliquent et il y a aussi ceux qui veillent au bon déroulement, un prix en animation ne peut être que collectif ». Il ajoutera également « je suis fier que ce projet devienne international et participe concrètement au développement de l’industrie des arts créatifs en Afrique. Fier que nous soyons invités à Hollywood Back Film Festival et au 30ème anniversaire du festival d’Hiroshima (Japon) pour montrer la création artistique algérienne et africaine ».

Contacté par la Rédaction Web de Liberté, Yasmine Biskri, l’assistante de production de « Dynamics Art Vision », affirme que la consécration de beaucoup d’efforts « cette consécration est que le fruit de notre dur labeur » aprés avoir eu le prestigieux prix d'ASIFA. Nous avons persisté à évoluer dans les nouvelles technologie qui se font dans les films d'animation et nos images ont émerveillés Copenhague ». Sur l’écho suscité sur place elle dira « les couleurs de l'Afrique les ont emerveillés et l'Afrique a surprit les Européens par notre modestie et la grandeur du projet porteur de message de sagesse et de paix à travers des contes adapté en film d'animation et c’est devant le film de Winnie Mandela, nous avons eu ce prestigieux prix de la meilleure image ».

La liste des lauréats de l’Afrowood Film Festival 2013

Laureates

Best Image: Le Chasseur et L’Antilope “Djilali Beskri”

Best feature Film: Mirror Boy “Obi Emelonye”

Best Short Film: Unspoken “Sunny King”

Best Story on screen: Shameful Deceit “Theodora Ibekwe”

Best Editor: Oskar Fanta

Best Photographer: Daniel Syc

Best Female Actress in leading Role: Fatima Jabbe “Mirror Boy”

Best act on Secondary Role: Yvonne Hays “Shameful Deceit”

Best Male New Comer: Ikenna Obi

Best New Comer: Mary Gomez

The Afrowood Award: Winnie Mandela

Best Director: Ismael “Once upon a time in Sahel”

http://www.liberte-algerie.com/actualit ... 013-211857

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5e édition du festival du théâtre Amazigh du 10 au 18 décembre : Une ouverture à la hauteur de l’évènement

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a ville de Batna accueillera tout au long de cette manifestation 11 wilayas qui présenteront des pièces théâtrales en compétition. La soirée d’inauguration a été marquée par la première représentation théâtrale en compétition : Assadal Nwawal (le bourreau des mots) de Friedrich Dorimate, mise en scène par Bouzid Chouki.
La ville de Batna, la capitale des Aurès, s’est embellie de mille couleurs pour accueillir cette cinquième édition du Festival du théâtre amazigh. Au centre-ville et dans la périphérie, des banderoles et pancartes en trois langues (arabe, français et tamazight) ont été installées, tantôt avec des leitmotive du festival, tantôt pour souhaiter la bienvenue aux invités.
Mais aussi pour afficher le programme du festival qui se déroulera du 10 au 18 décembre, chose que les citoyens ont beaucoup apprécié. L’effort de communication et d’information a eu sa part de lion. À cette occasion, 11 wilayas prennent part à ce rendez-vous du quatrième art, notamment, le théâtre des travailleurs de la ville d’Oran ou encore le Théâtre régional d’Annaba, qui font leur première apparition lors de ce festival, sachant que les deux régions ne sont pas considérées comme zones berbérophones.
À ce sujet, les organisateurs et participants estiment que la langue ou la maîtrise de la langue ne constitue aucunement un frein, et cette participation le confirme. Au total, 18 troupes se donneront la réplique durant une semaine, les spectacles auront lieu à la salle de spectacles de la Maison de la culture de Batna et au Théâtre régional de la ville. Entre autres, 6 daïras, en l’occurrence, El-Madher, N’gaous, Seriana, Aïn Yagout, Aïn Touta et Tazoult, accueilleront des troupes qui se produiront dans différentes salles de ces villes. Les initiateurs du festival ont souhaité une plus large diffusion des spectacles, mais le manque de salles a freiné leur ambition.
En plus des nouveaux participants, des habitués du rendez-vous du quatrième art seront présents tout au long de cette manifestation, en l’occurrence le Théâtre régional de Béjaïa, des associations et coopératives de Tizi Ouzou, le Centre culturel de Ghardaïa et l’entrée en lisse de plusieurs associations de Tamanrasset, Oum El-Bouaghi, Aïn Touta et Adrar. La participation du Théâtre national algérien rehausse en expérience ce festival, elle confirme le cachet national de cette rencontre qui se veut un retour aux sources, où le père des arts s’exprime dans la langue de Massinissa.
Cette participation veut aussi donner un cachet universel à ce rendez-vous qui ambitionne une plus grande mesure maghrébine et peut-être même méditerranéenne. Plusieurs pays du bassin méditerranéen utilisent encore la langue amazighe, l’ambition peut devenir réalité comme lors de la première édition de ce festival. Pour cette cinquième édition, les améliorations sont palpables, il s’agit d’un peu de volonté, nous disent les participants qui souhaitent une plus grande dimension à l’évènement. L’ouverture officielle du Festival culturel national du théâtre amazigh a eu lieu au Théâtre régional de Batna. C’est en présence de toute la famille culturelle de la wilaya de Batna, le représentent du ministère de la Culture et des autorités locales que le coup de starter à été donné par M. Yahiaoui, le directeur du Théâtre régional de Batna. L’ouverture s’est poursuivie avec un mini show, des comédiens, chanteurs, danseuses et danseurs venus des quatre coins du pays ont pris part à ce spectacle avant de céder la place à la première présentation théâtrale en compétition : Assadal Nwawal (le bourreau des mots) de Friedrich Dorimate, mise en scène par Bouzid Chouki.
http://www.liberte-algerie.com/culture/ ... bre-211968

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La Traviata de Verdi en concert à l’Unesco sous la direction du maestro maestro Amine Kouider

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PARIS - La Traviata, un des opéras les plus connus du compositeur italien Verdi, a été présentée en concert jeudi soir au grand auditorium de l’Unesco à Paris sous la houlette du maestro algérien Amine Kouider.
L’opéra, dont l’héroïne, Violetta, demeure la plus populaire du répertoire lyrique universel, a été majestueusement accompagné par cent trente choristes et quarante musiciens de quinze nationalités différentes appartenant à Chœur et Orchestre philharmonique international, un ensemble fondé par l’artiste algérien il y a une quinzaine d’années.
Le concert qui s’est déroulé dans une salle archicomble, s’inscrit dans le cadre de l’année Verdi à l’Unesco, célébrée à l’occasion du bicentenaire de la naissance du compositeur italien, et est dédié à la pérennisation du programme Alphabétisation des jeunes filles du Sénégal en association avec le secteur de l’éducation de l’Unesco.
Pour le chef d’orchestre algérien, artiste de l’Unesco pour la paix depuis une dizaine d’années, le spectacle défend une cause noble qu’est la lutte contre l’analphabétisme. "Je me sens utile par rapport à ce métier de chef d’orchestre, pas uniquement à travers la musique, mais aussi pour défendre des causes aussi nobles que la lutte contre l’analphabétisme", a-t-il dit à l’APS.
"Porter le flambeau à travers la musique c’est bien aussi quand c’est pour des causes, penser aux autres. Cela fait partie de la générosité des artistes. Je souhaiterais qu’il y ait plus de traditions de ce genre par rapport aux artistes algériens avec qui j’espère monter de grands concerts dédié à de nobles causes", a ajouté le maestro.
En plus de diriger des orchestres tant en France qu’ailleurs, Amine Kouider chapeaute, depuis mars 2012, l’Orchestre Symphonique Algérie-France (OSAF) qui regroupe des musiciens professionnels algériens et français placés sous sa direction musicale.
L’OSAF a été créé pour participer au rayonnement et à la promotion des cultures algérienne et française dans le cadre du dialogue interculturel euro-méditerranéen.
Il a pour but de favoriser la mixité culturelle à travers diverses actions artistiques mettant en valeur la notion de paix, de partage et d’échange entre les deux peuples.
http://www.aps.dz/#fragment-135882

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L’artiste algérien Massinissa Selmani expose ses dessins à Paris

PARIS - L’artiste algérien Massinissa Selmani expose depuis vendredi à la galerie Talmart de Paris, des dessins réalisés pour la plupart sur du papier calque et décrivant des scènes inspirées par les actualités politique et sociale.
Intitulée "l’usine ne fait pas les nuages", l’exposition est faite de dessins qui présentent parfois deux scènes ncompatibles qu’il faut relier en les regardant, ou encore une image doublée par un papier calque.
"Ce doublement vient brouiller ou corriger l’image et les nuages (émanations) que l’usine fabrique et qui sont les doubles toxiques des vrais nuages", a expliqué l’artiste lors du vernissage de l’exposition, affirmant s’être inspiré, dans le choix de l’intitulé de son oeuvre, du vers d’un rappeur qui, enfant, pensait que les nuages étaient fabriqués à l’usine.
Pour l’artiste, si l’usine ne fait pas les nuages, elle fabrique un voile dans l’air qui leur ressemble fort. "L’œuvre exposée aujourd’hui est principalement une expérimentation du dessin sous toutes ses formes, en mélangeant arbitrairement des uniformes absurdes, irréels et dont la mise en scène tente de donner une représentation réelle, inspirée de la vie sociale ou politique ", a-t-il indiqué à l’APS.
La première exposition personnelle de l’artiste est "augmentée" d’une animation réalisée avec son compatriote Mohamed Bourouissa. Cette collaboration apparait dans une animation intitulée "C’est la vie" et représentant un individu qui tente d’enlever le caillou de sa chaussure de sport. Il retire sa basket, la pose, en extirpe le caillou qu’il jette et qui retombe dans la chaussure comme dans un panier de basket.
Le dispositif dédouble la chaussure : le dessin est projeté sur une surface blanche et la chaussure-panier, réceptacle de jet de caillou, est une photographie de Mohamed Bourouissa appliquée sur la surface où l’image est projetée.
L’image animée échoue dans la chaussure photographiée à L’origine lexicale de cette animation vient de l’expression "avoir un caillou dans la chaussure" pour parler d’un problème sans réponse qui s’empare de soi.
Né en 1980 à Alger, Massinissa vit et travaille en France depuis plusieurs années. Diplômé de l’Ecole supérieure des Beaux-arts de Tours, il a déjà exposé ses œuvres notamment en Europe et pris part en 2012 et en 2013 à des expositions collectives aux Centres culturel Français d’Oran, d’Alger, d’Annaba et de Constantine, en Algérie.
http://www.aps.dz/L-artiste-algerien-Massinissa.html

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Décès de l’historien Abou El Kassem Saadallah

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ALGER- L’historien algérien, le docteur Abou El Kassem Saadallah est décédé samedi matin à Alger à l’âge de 83 ans des suites d’une longue maladie, selon une source médicale.

Le docteur Abou El Kassem Saadallah est décédé à l’hôpital militaire Mohamed-Seghir-Nekkache.

Le cheikh des historiens algériens, comme appelé en milieu universitaire et académique, sera inhumé dans sa ville natale dans la commune de Guemmar (wilaya d’El Oued), apprend-on de la famille du défunt.
http://www.aps.dz/Deces-de-l-historien-Abou-El.html

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6e Festival national de la chanson amazighe : Tamanrasset en fête

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La capitale de l’Ahaggar abritera, à partir du week-end prochain, la 6e édition du Festival culturel national de la musique et de la chanson amazighes.
Une manifestation culturelle et artistique placée sous le patronage du ministère de la Culture et qui s’étalera du vendredi 20 jusqu’au 26 du mois courant. Elle offre l’occasion aux familles de sortir en nocturne durant des soirées où la ville, d’habitude amorphe, vibre de sons et de sonorités. Au programme, une série d’activités se déclinant essentiellement en soirées artistiques, hommages aux artistes, conférences-débats sur le patrimoine amazigh et des journées d’étude autour de la vie traditionnelle et de l’architecture. Une exposition portant, notamment, sur l’architecture de terre qui a déjà eu un énorme succès est programmée indique le commissaire du festival, Karim Arib. Ce dernier annonce également un concours pour jeunes talents .Une vingtaine d’artistes se produiront, une semaine durant, sur l’esplanade du 1er-Novembre, au centre-ville de Tamanrasset et au théâtre communal où sera organisée la soirée inaugurale. Ces derniers représentent les quatre chants amazighs officiellement établis, à savoir le chaoui, le m’zab, le targui et le kabyle. M. Arib cite quelques noms d’artistes invités, à l’image de Ali Amrane, Boualem Boukassem, Abbas Ait Erzine, Rabah Asma et le fameux groupe les Abranis, pour le genre kabyle qui a déjà séduit la ville lors de précédentes prestations. Des chanteurs de Ghardaïa pour ne citer que le groupe Ithrane et le chanteur Brahim Khenati sont attendus. Le chant chaoui sera représenté au festival par de célèbres artistes comme Massinissa, le groupe les Berbères et le groupe Nostalgie d’Oum El Bouaghi. Le style targui sera, comme à chaque édition, fortement présent avec des prestations de troupes traditionnelles jouant d’instruments typiques à la région. On dénombre, entre autres, des groupes de Tindi et d’Imzad. Le chenoua, non encore officialisé, sera, lui aussi, présent cette année et représenté par le chanteur Amar Azghal. Des journées d’étude sur le patrimoine amazigh sont également programmées et porteront sur le thème « Musique et territoire », comme l’explique le commissaire du festival : « La musique est un facteur d’identité. Chaque territoire de notre pays représente un style de musique et de chant propre à lui. Des spécialistes en la matière auront à débattre de la question et évoqueront chaque style. L’union réside justement dans la diversité » nous confie M. Arib.
http://www.horizons-dz.com/?Tamanrasset-en-fete

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Belaid Abdesselam se penche sur l’unité maghrébine : Aux origines de l’incompréhension
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Celui qui fut longtemps ministre de l’Industrie et de l’Energie et, à ce titre, proche du président Houari Boumediene, dont la stratégie de développement s’appuyait sur ce secteur, livre un témoignage* de première main sur les péripéties de la laborieuse construction d’un Maghreb à ce jour encore englué dans ses limbes.
Celui qui deviendra plus tard chef de gouvernement, avait pris part, de 1966 à 1977, aux réunions du CPCM, organisme alors chargé de mettre en œuvre et de proposer des projets d’intégration économique. Il avait pris part à presque toutes ses sessions. Il évoque à la fois quelques projets qui ont donné un contenu concret à cette aspiration partagée par toute une génération. Il s’appesantit davantage sur les couacs qui ont ralenti la marche de l’unité maghrébine. Il citera notamment les débuts du gazoduc algéro-italien, qui avait pâti de la mauvaise volonté du partenaire tunisien. Il s’agit plutôt de calculs. Tant les Tunisiens aussi bien que les Marocains, qui avaient opté pour le libéralisme, sous couvert de projets communs, voulaient surtout voir s’ouvrir le marché algériens aux sociétés étrangères implantées chez eux. Evoquant une session du Comité maghrébin de coopération tenue en juillet 1970 à Rabat, il se rappelle de l’acharnement de Hedi Nouira, alors ministre tunisien de l’Economie. « Il s’était comporté en commis voyageur de ses maîtres de Paris et des officines européennes de Bruxelles », note à la page 95 Abdesselam, accroché plus que jamais au socialisme et à l’économie dirigée. Il ne manquera pas d’ailleurs de fustiger l’orientation économique qui a eu cours au pays depuis la mort de Boumediene. « Depuis la mort de Boumediene, une véritable conjuration réunissant les néocolonialistes de France et d’Europe, leurs alliés en Tunisie et au Maroc et leurs supporters à l’intérieur de notre propre société, s’est formée pour harceler l’action de notre révolution. Elle a marqué depuis bien des points » (p. 238).
Visées expansionnistes
Bercé en sa qualité de militant du PPA/MTLD depuis la fin des années 1940 par ce rêve d’une unité de trois peuples ayant beaucoup de choses en commun, l’auteur se retrouve au contact de la réalité sans illusion. Remontant le cours de l’histoire, il expliquera que malgré l’apport de l’Algérie dont la révolution a permis aux deux pays voisins de se libérer, les dirigeants du Maroc et de la Tunisie n’ont jamais accepté l’orientation socialiste qui eut cours après l’indépendance de notre pays. L’auteur décoche en se basant sur des souvenirs personnels, des flèches à l’endroit notamment du Président Bourguiba et du roi Hassan 2. Le premier n’a jamais tenu en estime une révolution porteuse d’aspirations sociales. A la volonté d’un régime révolutionnaire, l’auteur oppose des systèmes rétrogrades inféodés aux intérêts étrangers. Pour lui, l’intégration économique qui ne s’appuierait pas sur une harmonisation des options politiques n’est pas viable. « Il est peu réaliste d’imaginer une planification économique unifié entre les systèmes socio-politiques si divergents et parfois opposés dans les autres domaines de la vie des pays qu’ils régissaient » écrit-il (p 81). Le conflit du Sahara occidental se taille une bonne part dans le livre. Abdesselam relate la genèse de l’affaire, ses développements, la position de principe de l’Algérie face aux visées expansionnistes marocaines qu’il décrit avec minutie. Il évoque aussi la mort suspecte de Boumediene, l’affaire d’Amgala, les visées de Bourguiba sur une portion de l’Algérie. Son récit est émaillé de souvenirs sur cette période où, écrit-il, la hantise des pays voisins était la réussite de l’Algérie. Si le contexte du projet maghrébin inabouti a changé, notamment par l’infléchissement de la politique économique, dont Belaid Abdesselam s’est longtemps fait le chantre, il n’en demeure pas moins que le livre a un intérêt historique. Il lève le voile sur beaucoup d’épisodes comme celui de la genèse de l’affaire du Sahara Occidental et des différends frontaliers qui ressurgissent épisodiquement, notamment avec le royaume chérifien. Avec l’UMA, la forme des problèmes a changé mais le fond demeure le même.
http://www.horizons-dz.com/?Aux-origine ... prehension

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Une centaine de maisons d’édition algériennes au salon national du livre

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ALGER - Une centaine de maisons d’édition algériennes participeront au 11e salon national du livre prévu du 18 au 28 décembre au Palais des expositions (Pins maritimes) à Alger, a annoncé mardi le président du syndicat national des éditeurs de livres Ahmed Madi.
Coïncidant avec les vacances d’hiver, cette 11e édition verra la participation de 50% des maisons d’édition nouvellement créées pour encourager l’édition du livre en Algérie.
Les organisateurs du salon ont programmé, parallèlement à la vente des livres, des activités et conférences culturelles autour de thèmes tels "les manifestations du 11 décembre : pour la restauration de la mémoire historique", ou "réalités et défis de l’exportation du livre algérien", ou encore "les enjeux de l’investissement économique dans le domaine du livre" et autres activités qui accompagneront la Foire.
Une journée sera dédiée aux titres nouvellement édités de l’année 2013. Deux hommages seront consacrés à l’érudit et savant Mohamed Salah Seddik et au Dr. Belkacem Saadallah grand historien décédé récemment.
Un programme pour enfants est prévu également au programme du salon.
http://www.aps.dz/Une-centaine-de-maiso ... ition.html

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4ème Fica : une vingtaine d’œuvres en lice pour le festival du film engagé

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ALGER - Une vingtaine d’œuvres cinématographiques, défendant diverses causes politiques ou sociales de plusieurs pays, entreront en compétition à la faveur du 4e festival international du cinéma d’Alger (Fica) qui se tiendra du 19 au 26 décembre.
Huit longs-métrages de fiction et onze films documentaires, de pays comme l’Afrique du Sud, la Palestine, le Vietnam, le Sénégal, les Etats-Unis d’Amérique, le France, la Grèce ou la Serbie se disputeront le Grand prix du Fica à la salle El Mouggar.
Le système de l’apartheid, la condition des Palestiniens, la cause sahraouie, l’enrôlement forcé de Vietnamiens par l’armée française, la difficulté d’accès à l’éducation, la condition des femmes dans différents milieux sociaux seront autant de causes portées à l’écran par les réalisateurs participants.
Pour cette édition, le cinéma algérien sera très faiblement représenté avec la sélection d’une seule oeuvre dans la catégorie documentaire, "Le martyre des sept moines de Tibhirine" de Malik Ait Aoudia, un reportage pour la télévision déjà largement diffusé.
Avec "Ombeline", long-métrage du réalisateur français Stéphane Cazès en ouverture, le programme du 4e Fiac propose trois projections quotidiennes à la salle El Mouggar en plus de rencontres matinales, ouvertes au public, avec les réalisateurs.
"Au-delà des lignes ennemies" film sud-africain de K. Lentswe Serote, "No" du chilien Pablo Larrain, "Palestine stéréo" du Palestinien Rashid Masharawi, ou "Cong Binh, la longue nuit indochinoise" du Vietnamien Lam Lê figurent parmi les fictions en compétition.
La catégorie du film documentaire, une tendance de plus en plus en vogue pour témoigner ou dénoncer tout en collant à l’actualité, met en lice des films comme "Président Dia" du Sénégalais Ousmane William Mbaye, "Ne vivons plus comme des esclaves" du Grec Yannis Youlountas ou "Sugar man" de l’Américain Malik Bendjelloul.
Après l’Américain Oliver Stone et le Franco-grec Costa Gavras, deux grands noms du cinéma engagé, le Fica rendra hommage cette année au cinéaste américain Charles Burnett réalisateur, entre autres de "Namibia", et qui a été retenu pour réaliser le film historique sur l’Emir Abdelkader.
Seule nouveauté pour cette édition l’instauration d’un nouveau prix, le Grand prix du public, qui sera décerné par vote du public et qui vient s’ajouter au Grand prix du Fica et au prix spécial du jury.
http://www.aps.dz/4eme-Fica-une-vingtai ... uvres.html

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Re: Algérie : Actualité culturelle et artistique

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Sétif accueille les 5èmes journées nationales de la musique classique

SETIF - La cinquième édition des journées nationales de la musique classique s’est ouverte samedi soir, à la salle des fêtes de Sétif, en présence d’une assistance nombreuse de mélomanes.
La troupe ‘‘Nuits andalouses’’ de Sétif a eu le privilège d’animer le concert d’ouverture interprétant plusieurs morceaux de musique puisées dans le riche répertoire andalou. Ses jeunes musiciens qui ont subjugué le public par leur talent, se sont révélés de virtuoses du violon, de la flûte et du piano.
Des familles, mais également des jeunes, ont suivi le concert dont la seconde partie a fait monter sur scène le groupe Ethnosphère de Constantine connu pour ses noubas. Le groupe a excellé en jouant la nouba Zidane avec une distribution toute nouvelle qui a charmé l’assistance.
Les membres de familles présentes au spectacle ont affirmé être spécialement venus régaler leur ouïe de mélodies authentiques et pures auxquelles les ont habitués les précédentes éditions de cette manifestation.
Pour Mounir Boukhrissa, président de la ligue culture et arts, initiatrice de ces journées, le but de la manifestation est de favoriser la rencontre et les échanges entre les adeptes de cet art et de montrer que la musique classique a aussi son public.
Selon la même source, ces journées seront animées durant cinq soirées par des groupes d’Alger, M’sila, Batna, Bouira et Bejaia.
Des rencontres débats sont également programmés durant ces journées qui seront clôturées mercredi par un concert de l’orchestre symphonique national.
http://www.aps.dz/Setif-accueille-les-5 ... rnees.html

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Re: Algérie : Actualité culturelle et artistique

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Plus de 150 participants à la 3ème rencontre de l’Inchad à Illizi

ILLIZI- Plus de 150 participants, structurés au sein d’une douzaine d’associations culturelles, prennent part à la 3ème édition de la rencontre de l’Inchad (chant religieux) ouverte dimanche à Illizi à l’initiative de l’association locale pour la culture et les sciences "El-Wafa".
Placée sous le signe "Inchad : formation, qualification et avenir prometteur", cette manifestation, qu’abrite durant quatre jours la salle omnisports d’Illizi, regroupe des associations et troupes versées dans le chant religieux issus des différentes communes d’Illizi, en plus de la troupe "El-Diya" pour l’Inchad et le théâtre de la commune de Tebesbest (Ouargla), a indiqué M. Maâmar Belkhir, responsable de l’organisation à l’association.
Cette manifestation culturelle vise, selon les organisateurs, à éveiller l’émulation chez les participants pour la promotion et la dynamisation du rôle pédagogique du chant religieux et à l’ancrer au coeur des générations montantes, ainsi que la prospection de capacités artistiques talentueuses.
L’impulsion des activités du mouvement associatif local, la promotion des activités des maisons de jeunes, la vulgarisation du chant éducatif, sont autant d’objectifs assignés à cette rencontre, a-t-on ajouté de même source.
Le programme de cette rencontre prévoit, par ailleurs, deux ateliers pédagogiques concernant "le développement de l’Inchad dans le Tassili N’Ajjer" et "la poésie entre performance et message".
Une exposition d’habits traditionnels propres à la région d’Oued Righ (Touggourt) et une autre de photographies mettant en relief les différentes activités des associations et troupes participantes, ainsi que des œuvres de poterie et de sculpture sur bois de palmiers, figurent au programme de cette manifestation culturelle.
http://www.aps.dz/Plus-de-150-participa ... -3eme.html

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Tamanrasset : La ville vibre au rythme des Journées culturelles du Sud

La capitale de l’Ahaggar Tamanrasset vibre au rythme des activités des Journées culturelles du Sud, dont le coup d’envoi a été donné dans la soirée de mardi à la maison de l’Imzad. Dans une ambiance riche en couleurs et en sonorités, le public a été séduit par la représentation artistique intitule «Tarha d Lâafia» (l’amour et la paix, en dialecte local), un hymne chanté en chœur et dédié à l’Algérie (terre de paix et d’amour). Le programme de la manifestation culturelle qui s’étalera sur onze jours prévoit aussi une dizaine de plateaux artistiques animés par des vedettes de la chanson algérienne, à l’instar de Mohamed Laâraf, Célina, Siham, Zakia Mohamed et Kadir (japonais). Initiée par l’Office national de la culture et de l’information (ONCI) avec le concours de l’association locale «Sauvez l’Imzad», cette première édition des «Journées culturelles du Sud» vise à animer la scène culturelle et artistique locale, à la satisfaction de la population locale et des visiteurs de Tamanrasset, a indiqué M. Samir Meftah, représentant de l’ONCI. Selon un responsable de l’association «Sauvez l’Imzad», une caravane artistique devra sillonner, à l’issue de ces Journées culturelles du Sud à Tamanrasset, des voisines, à l’instar d’Adrar et d’Illizi.
http://www.elmoudjahid.com/fr/flash-actu/12595

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Re: Algérie : Actualité culturelle et artistique

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Quatre films algériens au 19e festival "regards sur le cinéma du monde" à Rouen

Le long métrage "Normal" de Merzak Allouache, deux autres, courts, "Les pieds sur terre" et "Une journée ordinaire" de Mohamed Lamine Hettou et Bahia Alouache respectivement, le film documentaire "Bouts de vie, bouts de rêve" de Hamid Benamara sont en lice pour les prix de la 19 édition du festival.

Regards sur le cinéma du monde" qui se tient du 21 au 31 janvier à Rouen (France).
"Normal", déjà lauréat du prix du meilleur film arabe du festival de Tribeca de Doha (Qatar) est en compétition avec 21 autres longs métrages représentant 30 pays. Il s’agit d’"Andalousie mon amour" du marocain Mohamed Nadif, "Millefeuille" du tunisien Nouri Bouzid et "Beauty " de l’argentine Daniela Seggiaro.

Dans la série courts métrages, les œuvres de Mohamed Lamine Hettou concurrenceront 13 autres productions de 10 pays dont "Amal", du marocain Ali Benkirane et "Mariam’s chance" de la jordanienne Eliane Hanadi. Le documentaire "Bouts de vie, bouts de rêve", est en compétition avec 34 autres œuvres de 40 pays.

Le thème "Moyen orient/extrême orient : histoires parallèles" a été retenu pour la présente édition qui sera marquée par la projection de plusieurs œuvres des deux régions.
"Regards sur le cinéma du monde" a été institué à Rouen en 1995 par une association hyponyme pour faire connaitre les cultures des pays du sud par le cinéma.
http://www.letempsdz.com//content/view/111630/1/
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