L'Agriculture en Algérie [planification et développement]

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tayeb
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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par tayeb »

L’Algérie fait le bilan de son agriculture en 2014 : frilosité des filières locales et boom des importations
Loin de tenir ses promesses, l'année 2014 a été relativement périlleuse pour l'agriculture algérienne. Avec plus de 38 millions d'habitants, le pays ne doit l'équilibre de son marché de produits agricoles de large consommation qu'au recours systématique aux importations, dépassant en moyenne les 10 milliards de dollars/an.

Depuis 2010, le secteur agricole est soumis à une nouvelle politique de développement sous forme d'un plan quinquennal et baptisée Renouveau agricole et Rural. Néanmoins, à la lumière des résultats enregistrés à la fin 2014, la sécurité alimentaire en Algérie n'est pas encore près de se suffire de la seule production locale sans faire appel aux marchés internationaux, les vulnérabilités et les insuffisances touchent en effet les produits de grande consommation, comme les céréales et les productions animales.
Le bilan de fin d'année que vient de dévoiler le ministère algérien de l'agriculture et du développement rural fait ressortir une évolution mitigée des filières de base.
Céréales : L'indispensable recours aux importations

Pour les céréales, l'évolution sur les 5 années de mise en œuvre de la politique de renouveau agricole et rural (2010-2014) laisse apparaître une croissance frêle de 4,2% assortie d'un net recul en 2014 avec une production de 3,4 millions tonnes (MT) seulement, soit un recul de plus de 30% par rapport à l'année d'avant (4,9 MT). Même au plus haut niveau de ses performances, à savoir en 2009 lorsque la production locale a enregistré le record historique de 6,1 MT, la filière céréalière algérienne a été loin de couvrir les besoins du marché interne qui s'élèvent à 8 MT sur la base d'une consommation moyenne de 200kg/habitant/an. Cependant, l'analyse détaillée de la production locale fait ressortir une part importante de céréales destinées à l'alimentation animale, principalement l'orge (mieux adaptée aux conditions climatiques et naturelles de la région), avec une proportion de 40%. La production de blé (dur et tendre) destiné à l'alimentation humaine n'a pas dépassé les 2 MT durant cette année 2014, fait encore relever le bilan publié par le ministère algérien de l'agriculture à quelques jours de la fin de l'année. En conséquence, les besoins du pays en importations céréalières sont estimés à 6 MT au moins en attendant les prochaines récoltes de 2015.

Semences et produits de traitement : De nouveaux enjeux

Au-delà des conditions climatiques, l'absence de nouvelles techniques et la prédominance de l'aspect artisanal dans la conduite des cultures sont les principaux facteurs qui plombent l'essor de la filière céréalière en Algérie malgré des aides financières importantes au profit des producteurs locaux durant les cinq dernières années. A titre illustratif, durant l'année 2014, sur une superficie totale de 3,3 millions d'hectares destinée à la céréaliculture, les opérations de désherbage ont touché moins d'un million ha, alors que 100 000 ha seulement ont bénéficié de traitement phytosanitaire.
Toutefois, c'est au niveau des semences que les besoins du pays observent désormais une tendance à la hausse. La démarche entreprise ces dernières années implique une modernisation à l'amont à travers l'introduction d'intrants et semences de qualité par le recours à leur importation. Or, au niveau local, moins de 100 000 ha sont consacrés à la production de semences céréalières (bilan 2014) pour une production totale de 250 000 tonnes dont la majorité de nature ordinaire. C'est le même cas pour les légumineuses qui manifestent d'importants besoins en semences compte tenu des disponibilités au niveau local ne dépassant pas les 2 500 T.
Au chapitre des importations, le bilan du ministère algérien de l'agriculture fait ressortir un volume de plus de 100 000 T de semences (toutes productions végétales confondues) importées durant l'année 2014. Les produits végétaux destinés à la consommation, eux, affichent un volume d'importation de plus de 1,2 MT pour la même période. L'utilisation des pesticides, elle aussi, est en nette croissance avec 25 000 T d'importations en 2014, alors qu'en 2010 ce volume n'a pas dépassé la barre des 5 000 T.
L'autre filière où les besoins dépassent l'offre du marché local est celle des viandes rouges. Sur ce plan, le bilan de l'année de 2014 fait ressortir une production globale de 550 000 T mais avec une prédominance de la viande ovine pour 400 000 T alors que la production en viande bovine n'est que de 150 000 T. pour cette dernière (viande bovine), les besoins annuels sont estimés à 300 000 T, soit une couverture par la production locale de 50% seulement, ce qui fait ressortir un déficit de 150 000 T devant être comblé par le recours à l'importation de bovins d'abattage ou d'engraissement et carcasses.

Quelles perspectives pour les exportations françaises ?

Premier fournisseur de l'Algérie en produits agricoles, la France a une marge de manœuvre suffisante et des opportunités en sa faveur pour conforter sa position de leader sur ce marché du sud de la Méditerrané où les besoins sont de diverses natures. Outre le blé tendre et dur, un créneau dans lequel l'Algérie est le principal client de la France hors Europe, les exportateurs français ont de nouvelles opportunités pour renforcer leur position sur le marché algérien à la faveur des conventions de coopération dans les domaines des céréales, d'élevage ou autres filières végétales signées en 2014 entre le ministre de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt, Stéphane le Foll et son homologue algérien, Abdelwahab Nourri. A cet égard, il y a eu la création de deux sociétés mixtes, l'une pour le développement de la filière céréalière et l'autre dans les viandes rouges. Un autre projet bilatéral pour la modernisation de l'élevage laitier est en vigueur depuis 2012 et vient de connaitre une extension en 2014 après avoir jugé ses résultats positifs.
http://www.revenuagricole.fr/focus-gest ... portations
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sadral
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Message par sadral »

L’Algérie n’arrive pas à changer de modèle pour la production de céréales


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L’Algérie a importé 24% de céréales supplémentaires durant les onze premiers mois de 2014. Une hausse qui confirme l’inefficacité des mesures destinées à encourager la production.


L’agriculture algérienne continue à surprendre. Alors que tous les voyants semblaient au vert, la facture des importations de produits agricole continue d’augmenter. Cette évolution semble défier les lois économiques. En effet, les autorités annoncent une hausse continue des aides, les spécialistes s’accordent à dire que le pays dispose d’une marge de progression très importante, le ministère de l’agriculture annonce de nouveaux records battus à chaque saison pour la production- hormis les céréales- mais la courbe des importations ne veut pas fléchir.
Durant les onze premiers mois de 2014, les importations de céréales ont atteint 3.29 milliards de dollars. C’est déjà plus que toute l’année 2013. La hausse est de 12.52%. En quantités, la hausse est encore plus significative, car elle est de 24.4%. L’Algérie a bénéficié d’une conjoncture favorable, avec un repli des prix sur le marché international, conjugué à un raffermissement du dollar, ce qui a permis d’atténuer la facture.
Mais la production locale a chuté de manière significative, pour atteindre 34 millions de quintaux, contre 49 millions en 2013. Selon Omar Zeghouane, directeur de l’institut des grandes cultures, 800.000 hectares sur les 3.3 millions d’hectares dédiés aux céréales ont été perdus, ce qui représente le quart des superficies cultivées.

Importante marge de progression

Malgré cette débâcle, le discours rassurant est toujours en vigueur. Mohamed Yacine Ferfara, DG du CREAD (centre de recherches en Economie appliquée), a parlé de la possibilité de « gains énormes de productivité dans l’agriculture, notamment dans les céréales ». Il a évoqué des expériences qui ont donné 80 à 100 quintaux à l’hectare, alors que la moyenne nationale est d’à peine quinze quintaux à l’hectare.
Le Directeur général de l’OAIC parle, quant à lui, d’aides massives aux fellahs. L’irrigation d’appoint, considéré comme la grande solution, tarde à se mettre en place. Les chiffres sur les superficies déjà irriguées font polémique. Elles vont du simple au double. M. Omar Zeghouane affirme que les surfaces dédiées aux céréales bénéficiant déjà d’une irrigation d’appoint atteignent 200.000 hectares. L’objectif de 350.000 hectares initialement fixé n’a pas été atteint, selon lui. Dans le même temps, l’OAIC parle de 600.000 hectares déjà irrigués, et affiche un objectif d’un million d’hectares. Les chiffres de l’OAIC sont visiblement faux. Avec un rendement de 50 quintaux à l’hectare seulement pour les surfaces irriguées, ce qui constitue un plancher, la production de céréales dépasserait tout ce qui a été réalisé en 2014.

Défaillances

Ces maigres résultats ont été obtenus malgré des aides massives de l’Etat, sous différentes formes, combinant des facilités de crédit, des crédits bonifiés, ou la garantie de prix à la production. L’aide de l’Etat a atteint 200 milliards de dinars en 2013 (2.5 milliards de dollars), et devrait être portées à 300 milliards (3.75 milliards de dollars), selon M. Zeghouane. Mais ces aides ont peu d’effet sur la production.
Le Syrpalac, système de soutien à la production de pomme de terre, a échoué, reconnait son patron. Mais les raisons invoquées concernent le marché, et le fonctionnement, pas la cohérence du système. C’est précisément la nature du système d’aide qui doit être revue. Pour l’heure, les acteurs du secteur sont plus soucieux de s’introduire dans les combines liées à l’agriculture que par la production. Ils veulent capter l’aide de l’Etat, non produire. « La production de céréales et de pomme de terre est systématiquement surévaluée, ce qui permet de gonfler les aides », selon un fellah. Sinon, comment expliquer que la pomme de terre atteigne 100 dinars sur le marché de détail, alors qu’officiellement, la production a augmenté de plus de dix pour cent par an durant quatre années consécutives?
http://www.maghrebemergent.info/economi ... eales.html
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

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Message par AAF 2020 »

La production nationale d’agrumes connaît une hausse de 30%

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BLIDA - La production nationale d’agrumes a enregistré une hausse de 30 % comparativement à l’année écoulée, a indiqué, jeudi à Blida, le Secrétaire général de l’Union nationale des paysans Algériens (UNPA), Mohamed Alioui.

Procédant à l’ouverture du premier Salon des agrumes de la commune de Oued El Alleug, en compagnie du wali de Blida, Mohamed Ouchen, M. alioui a fait part, à cet égard d’une "grande disponibilité des agrumes, durant cette saison, sur le marché, contrairement aux années précédentes, durant lesquelles la récolte était épuisée au bout d’un à deux (2) mois".

Le SG de l’UNPA a également relevé une "augmentation progressive de la production maraîchère et fruitière nationale", grâce "aux efforts consentis par l’Etat au profit de ce secteur d’importance", signalant la mise au point d’un nouveau programme par le ministère de tutelle, prévoyant le renouvellement des arbres ayant dépéri, au même titre que les espèces accusant un manque en Algérie, a-t-il expliqué.

La plaine de la Mitidja, s’étalant sur les wilayas de Blida, Tipasa, Boumerdes et Alger, est classée leader national en matière de production d’agrumes.

Intervenant à l’occasion, le président de l’APC de Oued El Alleug, Ahmed Ferhoune, a signalé que sa commune occupe depuis six (6) années la première place nationale en matière de production d’agrumes.

Il a néanmoins déploré un déficit en eau d’irrigation, en dépit de l’existence d’une importante nappe d’eau souterraine dans la région de Megtaâ Kheira.

Ceci ajouté à l’interdiction faite aux agriculteurs locaux de procéder à des forages anarchiques sans autorisation, qui est "très difficile à acquérir", a-t-il fait remarquer.

MM. Alioui et Ouchene se sont engagés au lancement d’une étude technique pour la prise en charge de ce problème (d’irrigation) à partir du barrage Bouroumi (Tipasa), ou Douira, voire même à partir de l’oued Chiffa, qui comporte de nombreuses retenues collinaires.

L’organisation, durant trois jours, du Salon des agrumes, est inscrite au titre de la politique gouvernementale visant l’encouragement de la production nationale et locale, afin de "réduire les importations agricoles", a-t-il fait savoir.

Organisé à l’initiative de la commune d’Oued El Alleug, en collaboration avec la direction des services agricoles et la Chambre d’agriculture locale, le Salon, le premier du genre dans cette collectivité, regroupe une trentaine d’exposants de différentes régions de la wilaya (Mouzaia, Chebli, Ben Khelil, Beni Tamou), venus faire la promotion de leurs récoltes d’agrumes, englobant une douzaine de variétés (Thomson, clémentine, citron, pamplemousse), en plus de plusieurs variétés de miel et de produits artisanaux.

La commune d’Oued El Alleug est le premier producteur national d’agrumes, avec une récolte prévisionnelle estimée à 500.000 qx pour cette campagne agricole 2014-2015.

Plus de 6840 agriculteurs activent au niveau du verger agrumicole de cette localité, s’étendant sur une surface de 2878 ha, repartie entre 161 exploitations agricoles collectives, 94 exploitations individuelles, et deux (2) fermes pilotes.
http://www.aps.dz/economie/16459-la-pro ... usse-de-30

guidher
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Message par guidher »

Actualités : Renforcement de la production agricole
Irrigation d’un million d’hectares de terres agricoles

La superficie des terres agricoles irriguées va s’élargir. Un million d’hectares viendra s’ajouter au 1,2 million déjà existant. Ce programme, qui sera pris en charge par le ministère des Ressources en eau et son homologue de l’Agriculture, vise à renforcer la production agricole pour assurer notre sécurité alimentaire.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir)
«Nous allons assurer notre sécurité alimentaire d’ici peu», c’est la promesse faite hier par Abdelwahab Nouri, ministre de l’Agriculture et du Développement rural. Nouri reconnaît certains dysfonctionnements dans son secteur comme la dérégulation du marché des fruits et légumes mais il refuse que l’on ne reconnaisse pas au secteur des résultats ou qu’on critique les différents programmes agricoles mis en place. D’un ton ferme, Nouri, qui a été interrogé sur les perturbations récurrentes des prix des fruits et légumes sur le marché, a répondu que la solution à ce problème ne dépend pas uniquement de son secteur. Son département et son homologue du commerce, dit-il, sont, cependant, en train de tenter de trouver des mécanismes en mesure de mettre fin à ce problème à travers notamment la suppression des intermédiaires. «Nous devons nous assurer que le produit arrive directement du producteur au consommateur», a-t-il indiqué.
Le ministre de l’Agriculture invite, cependant, les Algériens à revoir leur mode de consommation. Une raison pour laquelle, dit-il, «nous avons des difficultés à répondre à la demande nationale de consommation qui est en constante augmentation».
Défendant son secteur, Nouri estime que son département est le seul à avoir réalisé un taux de croissance à deux chiffres (11% de croissance durant les cinq dernières années). Il n’y a pas, poursuit-il, «un seul secteur qui participe à hauteur de 9% au PIB comme le secteur de l’agriculture et il n’y a pas un seul secteur qui produit autant que l’agriculture qui a atteint un taux de production de 35 milliards de dollars en 2014, soit 2785 milliards de dinars». Concernant la facture d’importation, le ministre minimise le chiffre de 4 milliards de dollars.
L’Algérie, dit-il, couvre 72% de ses besoins alimentaires. La norme internationale est de 70%. Les Etats-Unis, poursuit-il, couvrent 79%. «Il n’y a aucun pays qui ne recourt pas à l’importation alors pourquoi faire un scandale quand il s’agit de l’Algérie ?», tonne le premier responsable du secteur.
Par ailleurs, au sujet du programme d’un million d’hectares de terres agricoles à irriguer, un comité mixte entre des membres du ministère des Ressources en eau et celui de l’Agriculture a été mis en place hier pour son suivi. La commission est en train de préparer les différentes hypothèses de travail à présenter au gouvernement qui donnera son aval pour le lancement du programme. «Nous allons voir si nous devons attaquer l’ensemble du programme», a souligné Hocine Necib, ministre des ressources en eau. Ce programme qui va toucher les 48 wilayas, souligne-t-on, «va quadrupler notre production agricole et assurer notre sécurité alimentaire».
Ainsi, la production agricole ne va plus être tributaire des aléas climatiques. L’Algérie, d’ici 2020, va disposer de 2,136 000 millions d’hectares de terres agricoles irriguées.
http://www.lesoirdalgerie.com/articles/ ... 4128&cid=2
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KHAYBAR
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Message par KHAYBAR »

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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par AAF 2020 »

Elle enregistre une nette hausse durant la campagne 2014-2015 : La production oléicole s’élève à 4,9 millions quintaux

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L'oléiculture semble prendre de l’essor en Algérie. La production a enregistré une nette hausse durant la campagne 2014-2015, atteignant au début du mois de février 4.905.083 quintaux contre 4.294.445 durant la campagne précédente, a-t-on appris des services du ministère de l’Agriculture et du développement rural.

Sur les 4,9 millions quintaux, la production de l’olive de table s’élève à 2.091.591 quintaux, tandis que celle d’huile d’olive a atteint au début du mois de février 34.151 tonnes, soit 371.212 hectolitres, contre 32.953 tonnes, équivalent de 358.186 hectolitres à la même période de la campagne écoulée, indique le ministère qui précise qu’il s’agit juste de résultats provisoires qui devraient s’améliorer davantage à l’établissement du bilan définitif.

Suite à la mise en œuvre du programme national de plantation de 39 millions d'arbres, sous le slogan « un arbre pour chaque citoyen », faut-il le signaler, les services agricoles des 48 wilayas ont mené une campagne de sensibilisation afin d’encourager l’oléiculture, en tant qu’activité économique, source de richesse et génératrice d’emplois.

Les wilayas de Tizi Ouzou, Bouira et Bejaia contiennent le plus grand nombre d’oliviers avoisinant les 5 millions avec une superficie de plus de 50.000 hectares. Mais ces dernières années, cette filière s’est offert de nouveaux espaces, notamment à l’est et au sud du pays, avec à la clé une production appréciable et de qualité aussi.

L’oléiculture en Algérie, est soumise au «phénomène de l'alternance», c'est-à-dire une bonne récolte est suivie souvent d'une autre moins bonne, l'année suivante. Ce phénomène d’alternance est dû, notamment au caractère extensif de cette culture et aux pratiques culturales archaïques notamment le manque d’irrigation.

A propos des exportations algériennes d'huile d'olive, elles sont, contrairement aux pays voisins, à un niveau modeste, ne dépassant pas les 2.500 tonnes par an. Elles sont essentiellement destinées à la France, au Canada, à la Belgique, en plus de quelques tentatives récentes vers la Chine. Cela au moment où la consommation locale devient de plus en plus importante.
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 54_291.php

LANDSKNECHT
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Message par LANDSKNECHT »

Agriculture : Pourquoi Maghnia produit moins bien qu’Oudjda ?

Quoi que la qualité du sol soit identique entre le Maroc oriental et l’extrême Ouest algérien, la production agricole chérifienne est supérieure à la nôtre. Le secret : le travail effectif de la terre et le contrôle sévère de l’administration marocaine.


Si l’on se fie à la direction régionale de l’agriculture, ces cinq dernières années, le secteur agricole dans la région d’Oujda s’est développé de façon exponentielle : des chiffres font état de 14 projets d’agrégation lancés sur un total de 41 programmés à l’horizon 2020.
Une vision à long terme qui fait nourrir une partie du royaume et une autre en Europe, par le biais des exportations.
A titre d’exemple, en 2013-2014, le Maroc a produit 2,2 millions de tonnes d’agrumes.
Pour la culture maraîchère (pommes de terre, haricots, artichauts et tomates), la production est de 614,370 millions de dirhams et assure 19,6% de la valeur de production au niveau de l’Oriental.

Ahmed Darrab, le secrétaire général de l’association des producteurs d’agrumes du Maroc l’explique, entre autres, par «l’entrée en production de nouvelles plantations» et des aides étatiques concrétisées sur le terrain.
«Des projets immenses dans les filières des agrumes, du lait, du sucre, des pommes de terre et dans la production et la valorisation des olives, des céréales et de la volaille sont concrétisés.
Ce ne sont pas moins de 53 projets individuels et de coopération entre l’Etat et le privé qui ont été initiés. Ils couvrent 10196 hectares», précise notre source.

A cela s’ajoutent la réalisation de quatre nouvelles stations de conditionnement et le renouvellement de neuf autres, sachant que la région compte au total 20 stations.
«La montée en puissance de l’agriculture dans la région de l’Oriental suppose aussi l’existence en aval d’industries de transformation pour mieux valoriser les produits, de préférence localement.
C’est ce qui explique la décision du ministère de doter la région d’une agropole située à Berkane.
Le site s’étendra sur une superficie de 19,5 hectares. Sur 63 lots de terrains, une trentaine a déjà trouvé preneur, deux unités sont déjà opérationnelles et trois en cours de réalisation».

A l’opposé, les agriculteurs de Maghnia, Bab El Assa et Béni Boussaïd, pour ne citer que ceux-là, estiment que «Déjà, avant de parler de production de quoi que ce soit, il faut évoquer le problème du gasoil.
Ce carburant qui est indispensable dans notre activité, est rarissime. On est approvisionné en deçà de nos besoins.
L’électrification rurale est un autre problème. Quant à la production, on a nos mains expertes et notre amour pour la terre, sauf que le secteur n’est pas vraiment organisé.

A défaut de chambres froides en nombre suffisant et de marchés de gros, le fellah travaille selon des prévisions ne répondant à aucun critère scientifique ou économique à proprement parler.
Un exemple, si un agriculteur met tout son argent et ses efforts dans la culture des pastèques et des melons et que l’année est mauvaise, le fellah se retrouve livré à lui-même. Perdant toutes ses économies, l’année d’après, il optera pour une autre culture, ce qui déséquilibre le marché…

Autre chose et pas des moindres, nous sommes soumis à un passavant, autrement dit, on ne peut acheminer nos produits d’une daïra à une autre sans passer par la douane pour obtenir l’autorisation de circuler.
Une procédure administrative qui ralentit notre activité et nous met dans une situation de suspects». Et dire que l’Etat, au début des années 2000, a créé le FNDRA, un fonds consistant à aider et subventionner les agriculteurs pour, espérait-on, produire plus et mieux.

Et ce n’est pas moins de 600 milliards de centimes qui ont été débloqués pour ce programme dans la wilaya de Tlemcen qui possède 124 000 hectares de terres emblavées.
Tout cela pour qu’une dizaine d’années plus tard, la pomme de terre est écoulée à 100 DA le kilogramme.
Echec d’une politique sans véritable étude, ni contrôle.
Pourtant, la plaine de Maghnia et son périmètre irrigué ont cette réputation de terres fertiles ayant obtenu, dans les années 1990, le titre de la 1ère région dans la production de la pomme de terre.

Quant aux vergers d’agrumes dans les localités de Remchi, Bensekrane, Hennaya, Ouled Mimoun et Maghnia qui faisaient la fierté de l’extrême ouest du pays, ils ont été, pour la plupart, convertis en plateformes pour l’érection d’habitats.
Le peu de terres arables qui restent se rétrécit comme une peau de chagrin à cause de la convoitise des hommes cupides aidés par des responsables inconscients et mus par les ristournes des transactions illégales.

A Maghnia, toute une forêt a été détruite pour des constructions démesurées au vu et au su de tout le monde.
«Alors, ne parlez pas d’agriculture dans ces conditions où tout le monde grignote au détriment d’une richesse terrienne», rage un agriculteur qui reconnaît que «nous comparer aux Marocains dans ce domaine est de la pure insulte».
En attendant d’en prendre conscience, les habitants de la région se nourrissent, aussi, des produits agricoles marocains. Une vérité difficile à dire pour certains.
http://www.elwatan.com/regions/ouest/ac ... 55_222.php

LANDSKNECHT
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Message par LANDSKNECHT »

Exportations céréalières : Hausse importante de la demande algérienne depuis janvier 2015

Amorcée en 2014, la tendance haussière des importations algériennes en céréales se confirme dès le début de l’année en cours (2015). S’approvisionnant principalement sur le marché français, notamment en blé (tendre et dur), l’Algérie continuera sur la même lancée pour les mois à venir, attestent les différents éléments d’analyse de ce marché de 40 millions de consommateurs et dont les besoins en blé seulement s’élèvent à plus de 8 millions tonnes (MT) par année.

Dors et déjà, le bilan du Centre de l’informatique et statistiques (CNIS), affiliée aux Douanes algériennes, pour le premier trimestre 2015 fait état d’une hausse de 28% en volume et plus de 17% en valeur des importations céréalières par rapport aux trois premiers mois de l’année d’avant (2014). L’Algérie a importé pour 940 millions de dollars de janvier à la fin mars dernier contre 797 millions US$ à la même période de comparaison de l’année d’avant. En volume, cette facture correspond à des importations qui ont atteint 3,51 MT pour les seuls trois premiers mois de l’année en cours contre 2,74 MT à la même période de l’année d’avant.

Nouveaux records

Le blé reste le principal produit céréalier importé par l’Algérie et dont les quantités acquises entre janvier et mars 2015 ont enregistré une croissance de près de 20% comparativement au 1er trimestre 2014. En volume, 2,06 MT de blé jusqu’à la fin mars dernier contre 1,72 MT seulement l’année d’avant. Lesquelles quantités ont généré pour cette année une facture de pas moins de 625,82 millions US$ en trois mois contre 548,59 millions US$ au 1er trimestre 2014, soit une hausse de 14%, selon les Douanes algériennes.

Pour ce qui est du blé, la particularité qu’il y a lieu de noter pour l’année en cours c’est la hausse inhabituelle qu’observent les importations en blé dur qui ont évolué de 54% par rapport à l’année précédente, alors que traditionnellement le blé tendre a toujours été le principal produit céréalier importé par l’Algérie.

Outre le blé, tous les autres types de céréales, y compris celles destinées à l’alimentation animales, ont connu une même tendance haussière. Pour l’orge, les importations entre janvier et mars derniers ont atteint le volume de 286 052 tonnes pour une valeur de 70 millions US$, contre 212 979 tonnes pour 53,5 millions US$ à la même période de comparaison de l’année précédente, soit une hausse de 26%. Les importations du maïs ont aussi connu une hausse de plus de 30% avec un volume de 1,16 MT au 31 mars 2015, pour une facture de 243,26 millions US$, contre 801 197 tonnes pour 191,2 millions US$ au 1er trimestre de l’année d’avant.

Une hausse de 80% pour le blé dur

Cette évolution à la hausse des importations se révèle comme une suite logique du déficit considérable qu’a enregistré la production locale durant la campagne 2014 et qui a avoisiné les 40% lorsque les récoltes de céréales en Algérie ont baissé jusqu’à près de 3,4 MT alors que durant la campagne d’avant les récoltes ont dépassé les 5 MT. Le déficit de la filière céréalière algérienne a été entraîné par des conditions climatiques défavorables avec une baisse sensible de la pluviométrie durant les mois de mars et avril à travers toutes les régions céréalières du pays. Depuis, l’Algérie multiplie son recours aux importations afin de combler ce déficit de la production locale et répondre aux besoins exprimés. Dans le même sillage, les importations en blé (dur et tendre) observent une hausse exceptionnelle. Se situant habituellement entre 5 et 6 MT, les importations en blé ont atteint 7,41 MT à la fin 2014. Durant cet exercice, les importations en blé dur ont connu une hausse qui a avoisiné les 80% passant de 1,09 MT en 2013 à 1,978 MT à la fin 2014.

En perspective, tous les indicateurs confirment la poursuite de la tendance haussière des importations en blé durant les mois à venir, du moins jusqu’à la mise sur le marché des récoltes de la campagne en cours, dont les moissons-battages se dérouleront entre juin et juillet prochains. Ainsi, si l’Algérie a importé quelque 2,06 MT de blé entre janvier et mars seulement, ce volume atteindra probablement les 8 MT à la fin de l’année. Une hypothèse à ne pas écarter sachant que de nombreux céréaliculteurs locaux ont été dissuadés par le fiasco de la saison dernière et, en conséquence, ils ont opté pour l’orge ou autres cultures fourragères au lieu du blé, craignant la réédition des conditions climatiques de l’année précédente.

Tendance des exportations françaises ?

Au volet relatif à l’origine des céréales importées par l’Algérie, le marché français demeure la voie privilégiée notamment pour le blé tendre et dur. Avec une proportion de 70 à 80% de parts de marché, les céréales françaises sont les plus consommées en Algérie. Les exportations céréalières de la France vers l’Algérie ont dépassé les 5 MT en 2014. Ce qui fait du marché algérien, le premier client de la France hors Europe dans la catégorie des exportations agricoles.

Pour l’année en cours, les exportateurs français ont la possibilité de conquérir la filière des céréales destinées à l’alimentation animale, dominée jusqu’ici par les pays latino-américains, comme le Brésil, l’Argentine ou le Mexique, notamment pour le maïs. Ceci peut être largement favorisé par la proximité géographique mais aussi et surtout la dépréciation que connait dans la conjoncture actuelle la monnaie européenne face au dollar américain.

Outre les 8 MT de blé nécessaires pour la couverture des besoins des ménages, l’Algérie a des besoins d’une moyenne de 4 MT de céréales destinées à l’alimentation animale dont 3 MT en maïs importés dans la totalité.
http://www.revenuagricole.fr/focus-gest ... nvier-2015

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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par Firdaous »

Doublon désolé
Dernière modification par Firdaous le 27 avril 2015, 23:58, modifié 1 fois.

Firdaous
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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par Firdaous »

LANDSKNECHT a écrit :
Exportations céréalières : Hausse importante de la demande algérienne depuis janvier 2015

Amorcée en 2014, la tendance haussière des importations algériennes en céréales se confirme dès le début de l’année en cours (2015). S’approvisionnant principalement sur le marché français, notamment en blé (tendre et dur), l’Algérie continuera sur la même lancée pour les mois à venir, attestent les différents éléments d’analyse de ce marché de 40 millions de consommateurs et dont les besoins en blé seulement s’élèvent à plus de 8 millions tonnes (MT) par année.


Tendance des exportations françaises ?

Au volet relatif à l’origine des céréales importées par l’Algérie, le marché français demeure la voie privilégiée notamment pour le blé tendre et dur. Avec une proportion de 70 à 80% de parts de marché, les céréales françaises sont les plus consommées en Algérie. Les exportations céréalières de la France vers l’Algérie ont dépassé les 5 MT en 2014. Ce qui fait du marché algérien, le premier client de la France hors Europe dans la catégorie des exportations agricoles.


Les voisins marocains continuent d'importer du blé en provenance d'ukraine et de russie car de meilleure qualité et moins cher que le blé pourri importé de france qui le melange avec d'autres blé d'autres pays pour lui donner une meilleire squalité, mais les notres persistent toujours a importer 80 % de blé cher et de mauvaise qualité, importé en provenance de France parce que tout simplement au Maroc il s'agit d'importateur privé, c'est pas l'argent public d'un état dirigé par des traitres mais celui d'operateurs privés.

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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par LANDSKNECHT »

Firdaous a écrit :
LANDSKNECHT a écrit :
Exportations céréalières : Hausse importante de la demande algérienne depuis janvier 2015

Amorcée en 2014, la tendance haussière des importations algériennes en céréales se confirme dès le début de l’année en cours (2015). S’approvisionnant principalement sur le marché français, notamment en blé (tendre et dur), l’Algérie continuera sur la même lancée pour les mois à venir, attestent les différents éléments d’analyse de ce marché de 40 millions de consommateurs et dont les besoins en blé seulement s’élèvent à plus de 8 millions tonnes (MT) par année.


Tendance des exportations françaises ?

Au volet relatif à l’origine des céréales importées par l’Algérie, le marché français demeure la voie privilégiée notamment pour le blé tendre et dur. Avec une proportion de 70 à 80% de parts de marché, les céréales françaises sont les plus consommées en Algérie. Les exportations céréalières de la France vers l’Algérie ont dépassé les 5 MT en 2014. Ce qui fait du marché algérien, le premier client de la France hors Europe dans la catégorie des exportations agricoles.


Les voisins marocains continuent d'importer du blé en provenance d'ukraine et de russie car de meilleure qualité et moins cher que le blé pourri importé de france qui le melange avec d'autres blé d'autres pays pour lui donner une meilleire squalité, mais les notres persistent toujours a importer 80 % de blé cher et de mauvaise qualité, importé en provenance de France parce que tout simplement au Maroc il s'agit d'importateur privé, c'est pas l'argent public d'un état dirigé par des traitres mais celui d'operateurs privés.
En tant que Makhzeno-fasciste :king: , j'espere que les algériens comme toi resterons l'exception

sepof

Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par sepof »

En plus d'avoir un pseudo de mercenaire, tu te donnes toi même le qualificatif qui te revient ... Il faudrait déjà que les algériens comme lui soient l'exception pour qu'ils le restent. En tout cas ce que tu viens de dire montre bien, encore une fois, ton ignorance. Les algériens sont sincères et directs même quand il s'agit de dire que certaines choses se font mieux chez le voisin. Encore faudrait-il que les voisins arrivent à en faire de même. Osez donc critiquer les mauvaises politiques et décisions de votre pays et de votre roitelet :king: que vous considérez comme un être divin et parfait. On commencera déjà à vous prendre un peu plus au sérieux :clown:

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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par LANDSKNECHT »

sepof a écrit :En plus d'avoir un pseudo de mercenaire, tu te donnes toi même le qualificatif qui te revient ... Il faudrait déjà que les algériens comme lui soient l'exception pour qu'ils le restent. En tout cas ce que tu viens de dire montre bien, encore une fois, ton ignorance. Les algériens sont sincères et directs même quand il s'agit de dire que certaines choses se font mieux chez le voisin. Encore faudrait-il que les voisins arrivent à en faire de même. Osez donc critiquer les mauvaises politiques et décisions de votre pays et de votre roitelet :king: que vous considérez comme un être divin et parfait. On commencera déjà à vous prendre un peu plus au sérieux :clown:
Difficile de critiquer Sa Majesté quand , quels que soient les a priori que l'on pourrait avoir sur le systeme monarchique, force est de reconnaître qu'il fait le job!
Ainsi nous au moins pouvons affirmer , plagiant l'eveque d'autun, « QUAND NOUS NOUS CONSIDÈRONS NOUS NOUS DÉSOLONS, MAIS QUAND NOUS NOUS COMPARONS NOUS NOUS CONSOLONS ».
Quand tu pourras en dire autant...

sepof

Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par sepof »

Tu ne croie pas si bien dire :clown: quand je vois des gens qui prétendent croire en Dieu se prosterner devant un homme, je suis consolé effectivement. Battir une économie basée sur le don et le trafic, la sous-traitance, la vente de sa population et la culture massive de substances poussant à la démence, coloniser et massacrer , se soumettre au pire de ce qui peut se trouver sur cette terre ... Oui le job a été fait effectivement ... Je préfère être libre d'esprit et manger de la boue que d'adhérer à ce que tu défends. Tu as tellement trouvé de quoi te consoler que tu continues de creuser d'après ce que je vois :face:

JustOneMessage
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Re: L'agriculture en Algérie [planification et développement

Message par JustOneMessage »

Ce que je ne comprends pas, c'est la présence d'un Marocain sur un forum Algérien.

Yaani, vous n'avez pas de forums ?

Faut vraiment être atteint d'une maladie pour mettre tout ce temps et cette énergie à troller sur des forums étrangers. :D
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