Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Venez discuter de l'actualité internationale (Politique, Economie, Société...etc)
Répondre
Avatar de l’utilisateur

Amine Ind
Aqid (عقيد)
Aqid (عقيد)
Messages : 5265
Inscription : 28 septembre 2012, 13:44
Localisation : LFBO

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Amine Ind »

Pour eux on est tous marocain lol
Image

matrixx23
Djoundi (جندي)
Djoundi (جندي)
Messages : 44
Inscription : 15 mai 2013, 19:43
Been thanked : 1 time

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par matrixx23 »

manifestement oui , tout le monde est originaire de ce territoire , même Hillary Clinton , si son cas relève de la psychanalyse ,le leur, relève du maraboutisme , genre Fkih ,et je leur préconise d'aller faire un crochet ou une ziara chez Sidi-Lakhdar-benkhlouf et tourner des milliers de fois autour de sa tombe , suivi d'une rokia bien sûr :bounce:

algiersprogress
Djoundi (جندي)
Djoundi (جندي)
Messages : 5
Inscription : 20 mars 2016, 18:31

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par algiersprogress »

ramtane lamamra est originaire d'amizour dans la wilaya de B'gayet bejaia, la famille lamamra y est connus et respecté pour sa probité. c'est la commune d'origine de ma mere.
Avatar de l’utilisateur

Chifboubara
Naqib (نقيب)
Naqib (نقيب)
Messages : 1703
Inscription : 17 mars 2016, 23:21

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Chifboubara »

Bon, on leur laisse le raï vulgaire (sauf Hassni of course) avec Khaled alias "les dents de la mer" :rabbit: alias "Comme il a dit lui" en bonus :cheers: et on garde le couscous :super: ?
Unesco : l’Algérie revendique l’invention du raï et fait enrager le Maroc

6 SEP , 2016 À 23:12
Alger a annoncé, la semaine dernière, avoir déposé devant l’Unesco un dossier afin que le raï, musique populaire, soit inscrit comme « chant populaire algérien » au patrimoine culturel immatériel. Les Marocains ne l’entendent pas de cette oreille.

Qui du Maroc ou de l’Algérie peut revendiquer la paternité du raï ou du couscous ? Le débat passionne les deux pays. À croire que la musique et la gastronomie sont les nouvelles armes d’un conflit aussi vieux que la guerre des Sables (1963), les symboles d’une méfiance historique entre l’Algérie et le Maroc. La bataille est menée devant l’Unesco, cette instance des Nations unies qui distribue chaque automne le label de patrimoine immatériel.

Le raï devait être défendu l’année dernière par le Maroc devant l’Unesco, mais finalement, Rabat n’a pas donné suite. Et ce sont les instances algériennes, cette fois, qui ont annoncé officiellement leur démarche que le 29 août : elles ont déposé en mars 2016 un dossier pour faire reconnaître le raï comme « chant populaire algérien » et ses textes de poésie tels qu’ils avaient existé au début du siècle dernier. Le président du Conseil des arts et des lettres en Algérie, Abdelkader Bendameche, veut défendre une « forme d’expression musicale et poétique féminine ». Car à l’origine, le raï, cette poésie chantée, était interprétée par les bédouines.

Mais la bataille ne se livre pas uniquement devant l’Unesco. En effet, au sein de chaque pays, plusieurs villes se disputent ainsi la naissance de cette musique : En Algérie, Oran met en avant ses artistes tels que Khaled, Cheba Zahouania ou encore Cheb Hasni, le « rossignol du raï », assassiné en 1994 dans les rues de la ville. La ville de Saïda, elle, a vu grandir Cheb Mami, et Sidi-Bel-Abbès est le berceau de Cheikha Rimitti, chanteuse de raï traditionnel.

De l’autre côté de la frontière, au Maroc, il y a Oujda, où se tient chaque année un festival international du raï. Mais comment les départager sans rendre un jugement de Salomon ? « C’est comme distinguer un chanteur du sud de la Belgique d’un autre qui viendrait du nord de la France », compare le critique musical marocain Nidam Abdi.

Ce fin connaisseur de l’histoire du raï résume cet impossible arbitrage par une anecdote : « J’ai suivi la tournée du chanteur algérien Boutaiba Saïdi en 1989. Nous devions passer la frontière franco-italienne. Et il a fallu longuement négocier, au poste de douaniers, pour deux musiciens… marocains, qui venaient de Oujda ». Les sources rythmiques du raï sont appelées Allaoui en Algérie et Raguada au Maroc. « C’est la même origine », renchérit Rabah Mezouane, journaliste musical interrogé par RFI.

« Pas plus d’intérêt qu’une ‘médaille en chocolat' »

La bagarre semble d’autant plus vaine que ce label, patrimoine immatériel de l’Unesco, est aujourd’hui un simple cachet de notoriété pour développer le tourisme. À l’origine destiné à mettre en valeur un patrimoine menacé par le temps, les conflits et la mondialisation, la démarche de l’Unesco a été noyée par le nombre et la variété des dossiers acceptés. Il n’a aujourd’hui pas plus d’intérêt qu’une « médaille en chocolat », persifle un expert à l’origine du projet de l’Unesco,interrogé sous couvert de l’anonymat par Télérama. C’est en effet une appellation distribuée avec largesse aux pays qui en font la demande, que ce soit pour faire valoir le festival des fruits du marula en Namibie, l’art de l’improvisation poétique au Kazakhstan et Kirghizistan, les joutes oratoires au Niger, l’art de l’équitation à Vienne ou une certaine idée du repas en France. La liste est longue, très longue, et accessible par un moteur de recherche sur le site de l’Unesco. Les propres concepteurs de ce label onusien sont les premiers critiques de ses dérives : « Il y a un grand malentendu sur cette liste représentative, regrette Cécile Duvelle, chef de la section du Patrimoine immatériel de l’Unesco, interrogée par Télérama. C’était juste un outil de communication, pas un classement, mais les États se sont précipités pour y apparaître comme s’il s’agissait d’un tableau d’honneur. Aujourd’hui, c’est devenu le concours de Miss Monde ».

Le patrimoine est à Barbès

Il existe bien une autre liste, beaucoup plus restreinte celle-là, de « sauvegarde urgente » du patrimoine immatériel de l’Unesco, destinée à dénombrer les genres artistiques et patrimoniaux dont la survie est menacée : on y retrouve la fabrication de sonnailles au Portugal, le rituel pour amadouer les chamelles en Mongolie, ou la tradition orale Koogere des Basongora, Banyabidi et Batoora en Ouganda. Mais la différence entre les deux listes n’est pas connue du grand public.

Et, tant qu’à défendre la culture algérienne ou marocaine, le spécialiste Nidam Abdi aurait largement préféré que des formes artistiques peu médiatisées, comme la musique allaoui, soit mise en valeur. « Prenez le ‘bahr’, cette métrique de poésie improvisée aussi belle que du Baudelaire. Je connais un homme qui le pratique toujours. Il habite Barbès à Paris, il touche le RSA (revenu minimum en France). C’est lui qu’il faut protéger, pas le raï qui est devenu une forme de variété internationale ».

Quel raï défendre, celui des origines ou celui transformé – pour ne pas dire défiguré – par l’industrie de la variété ? Et d’ailleurs quel couscous défendre… avec quels légumes et quelle cuisson ? « Est-il besoin d’en faire tout un plat ? », ironise le site marocain Le 360.

L’Unesco devra s’armer de bien du courage pour départager les deux voisins jaloux. L’Algérie n’a pas encore annoncé formellement avoir déposé un dossier consacré au couscous, mais elle a d’ores et déjà parlé de la défense d’un « couscous maghrébin », pour ménager son voisin marocain. Concernant le raï, l’instance onusienne ne devrait prendre sa décision qu’en 2018
Source : http://m.algerie360.com/?p=2334
«Partout où je vais les gens me tendent la main pour demander quelque chose, sauf en Algérie où les gens m'ont tendu la main pour, au contraire, m'offrir quelque chose» Yann Arthus Bertrand
«Le grand art, c'est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système» Napoléon Bonaparte
Avatar de l’utilisateur

Chifboubara
Naqib (نقيب)
Naqib (نقيب)
Messages : 1703
Inscription : 17 mars 2016, 23:21

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Chifboubara »

Bon, on leur laisse le raï vulgaire (sauf Hassni of course) avec Khaled* alias "les dents de la mer" :rabbit: alias "Comme il a dit lui" en bonus :cheers: et on garde le couscous :super: ?

* Khaled c'est un bon deal, il ne risque pas de critiquer moulana momo (critiquer n'est même pas dans son vocabulaire limité à alcool, drogue, zina...). Il était algérien mais un jour en tombant il s'est.... mal reçu.... et le courage à disparu toussa toussa....
Unesco : l’Algérie revendique l’invention du raï et fait enrager le Maroc

6 SEP , 2016 À 23:12
Alger a annoncé, la semaine dernière, avoir déposé devant l’Unesco un dossier afin que le raï, musique populaire, soit inscrit comme « chant populaire algérien » au patrimoine culturel immatériel. Les Marocains ne l’entendent pas de cette oreille.

Qui du Maroc ou de l’Algérie peut revendiquer la paternité du raï ou du couscous ? Le débat passionne les deux pays. À croire que la musique et la gastronomie sont les nouvelles armes d’un conflit aussi vieux que la guerre des Sables (1963), les symboles d’une méfiance historique entre l’Algérie et le Maroc. La bataille est menée devant l’Unesco, cette instance des Nations unies qui distribue chaque automne le label de patrimoine immatériel.

Le raï devait être défendu l’année dernière par le Maroc devant l’Unesco, mais finalement, Rabat n’a pas donné suite. Et ce sont les instances algériennes, cette fois, qui ont annoncé officiellement leur démarche que le 29 août : elles ont déposé en mars 2016 un dossier pour faire reconnaître le raï comme « chant populaire algérien » et ses textes de poésie tels qu’ils avaient existé au début du siècle dernier. Le président du Conseil des arts et des lettres en Algérie, Abdelkader Bendameche, veut défendre une « forme d’expression musicale et poétique féminine ». Car à l’origine, le raï, cette poésie chantée, était interprétée par les bédouines.

Mais la bataille ne se livre pas uniquement devant l’Unesco. En effet, au sein de chaque pays, plusieurs villes se disputent ainsi la naissance de cette musique : En Algérie, Oran met en avant ses artistes tels que Khaled, Cheba Zahouania ou encore Cheb Hasni, le « rossignol du raï », assassiné en 1994 dans les rues de la ville. La ville de Saïda, elle, a vu grandir Cheb Mami, et Sidi-Bel-Abbès est le berceau de Cheikha Rimitti, chanteuse de raï traditionnel.

De l’autre côté de la frontière, au Maroc, il y a Oujda, où se tient chaque année un festival international du raï. Mais comment les départager sans rendre un jugement de Salomon ? « C’est comme distinguer un chanteur du sud de la Belgique d’un autre qui viendrait du nord de la France », compare le critique musical marocain Nidam Abdi.

Ce fin connaisseur de l’histoire du raï résume cet impossible arbitrage par une anecdote : « J’ai suivi la tournée du chanteur algérien Boutaiba Saïdi en 1989. Nous devions passer la frontière franco-italienne. Et il a fallu longuement négocier, au poste de douaniers, pour deux musiciens… marocains, qui venaient de Oujda ». Les sources rythmiques du raï sont appelées Allaoui en Algérie et Raguada au Maroc. « C’est la même origine », renchérit Rabah Mezouane, journaliste musical interrogé par RFI.

« Pas plus d’intérêt qu’une ‘médaille en chocolat' »

La bagarre semble d’autant plus vaine que ce label, patrimoine immatériel de l’Unesco, est aujourd’hui un simple cachet de notoriété pour développer le tourisme. À l’origine destiné à mettre en valeur un patrimoine menacé par le temps, les conflits et la mondialisation, la démarche de l’Unesco a été noyée par le nombre et la variété des dossiers acceptés. Il n’a aujourd’hui pas plus d’intérêt qu’une « médaille en chocolat », persifle un expert à l’origine du projet de l’Unesco,interrogé sous couvert de l’anonymat par Télérama. C’est en effet une appellation distribuée avec largesse aux pays qui en font la demande, que ce soit pour faire valoir le festival des fruits du marula en Namibie, l’art de l’improvisation poétique au Kazakhstan et Kirghizistan, les joutes oratoires au Niger, l’art de l’équitation à Vienne ou une certaine idée du repas en France. La liste est longue, très longue, et accessible par un moteur de recherche sur le site de l’Unesco. Les propres concepteurs de ce label onusien sont les premiers critiques de ses dérives : « Il y a un grand malentendu sur cette liste représentative, regrette Cécile Duvelle, chef de la section du Patrimoine immatériel de l’Unesco, interrogée par Télérama. C’était juste un outil de communication, pas un classement, mais les États se sont précipités pour y apparaître comme s’il s’agissait d’un tableau d’honneur. Aujourd’hui, c’est devenu le concours de Miss Monde ».

Le patrimoine est à Barbès

Il existe bien une autre liste, beaucoup plus restreinte celle-là, de « sauvegarde urgente » du patrimoine immatériel de l’Unesco, destinée à dénombrer les genres artistiques et patrimoniaux dont la survie est menacée : on y retrouve la fabrication de sonnailles au Portugal, le rituel pour amadouer les chamelles en Mongolie, ou la tradition orale Koogere des Basongora, Banyabidi et Batoora en Ouganda. Mais la différence entre les deux listes n’est pas connue du grand public.

Et, tant qu’à défendre la culture algérienne ou marocaine, le spécialiste Nidam Abdi aurait largement préféré que des formes artistiques peu médiatisées, comme la musique allaoui, soit mise en valeur. « Prenez le ‘bahr’, cette métrique de poésie improvisée aussi belle que du Baudelaire. Je connais un homme qui le pratique toujours. Il habite Barbès à Paris, il touche le RSA (revenu minimum en France). C’est lui qu’il faut protéger, pas le raï qui est devenu une forme de variété internationale ».

Quel raï défendre, celui des origines ou celui transformé – pour ne pas dire défiguré – par l’industrie de la variété ? Et d’ailleurs quel couscous défendre… avec quels légumes et quelle cuisson ? « Est-il besoin d’en faire tout un plat ? », ironise le site marocain Le 360.

L’Unesco devra s’armer de bien du courage pour départager les deux voisins jaloux. L’Algérie n’a pas encore annoncé formellement avoir déposé un dossier consacré au couscous, mais elle a d’ores et déjà parlé de la défense d’un « couscous maghrébin », pour ménager son voisin marocain. Concernant le raï, l’instance onusienne ne devrait prendre sa décision qu’en 2018
Source : http://m.algerie360.com/?p=2334
«Partout où je vais les gens me tendent la main pour demander quelque chose, sauf en Algérie où les gens m'ont tendu la main pour, au contraire, m'offrir quelque chose» Yann Arthus Bertrand
«Le grand art, c'est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système» Napoléon Bonaparte
Avatar de l’utilisateur

yayoune
Raïd (رائد)
Raïd (رائد)
Messages : 1919
Inscription : 29 décembre 2015, 14:31

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par yayoune »

Immigration clandestine : 84 Marocains arrêtés par l’armée

Image

Des unités des gardes-frontières de la wilaya de Tlemcen relevant de l’armée nationale « ont appréhendé, le 11 septembre, quatre-vingt-quatre (84) immigrants clandestins de nationalité marocaine et saisi 1920 litres de carburant destinés à la contrebande », annonce le ministère de la Défense nationale dans un communiqué publié ce lundi.

Par ailleurs, « des éléments des Gardes-côtes d’Annaba ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de 23 personnes à bord d’une embarcation artisanale, à 26 milles nautique environ 48 km de Ras El-Hadid, wilaya de Skikda », ajoute le communiqué.
http://www.tsa-algerie.com/20160912/imm ... es-larmee/

Youma
Banni Définitivement
Banni Définitivement
Messages : 3343
Inscription : 30 mars 2012, 19:24
Localisation : Forcesdz

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Youma »

Avatar de l’utilisateur

Chifboubara
Naqib (نقيب)
Naqib (نقيب)
Messages : 1703
Inscription : 17 mars 2016, 23:21

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Chifboubara »

Propagande/ Non, aucun officier militaire algérien n’a été arrêté par le Maroc !
Politique, Une octobre 17, 2016octobre 17, 2016 Abdou Semmar

Une dangereuse propagande médiatique a été enclenchée par certains médias marocains qui versent, violant les principes élémentaires de la déontologie, dans la manipulation pour semer la zizanie entre les deux pays voisins, l’Algérie et le Maroc.

Les deux médias :peeg: Assabah et le 360.ma :peeg: ont fait croire à leurs lecteurs que des officiers militaires algériens armés ont été interpellés sur le territoire marocain. Une information entièrement fausse et infondée démentie par une source proche du ministère de la Défense nationale. Les autorités algériennes ne vont même pas réagir officiellement à ces rumeurs malsaines :super: :super: :super: qui visent à créer des tensions politiques entre deux pays voisins en désaccord sur la question du Sahara Occidental.

Un désaccord que tente d’instrumentaliser :peeg: certains médias marocains réputés pour leur servitude vis-à-vis du Makhzen :peeg: . C’est dans ce contexte que ces deux médias marocains ont effrontément rapporté que “semaine passée” l’armée marocaine aurait interpellée des :clown: « militaires du Polisario, :clown: accompagnés de :clown: :clown: six officiers algériens :clown: :clown: , dont un :clown: haut gradé :clown: . Tous les individus ont été arrêtés et les différents équipements militaires qui se trouvaient en leur possession ont été saisis, dont des :clown: :clown: :clown: mitraillettes, des jeeps et des petits canons » :clown: :clown: :clown: . Un mensonge qui ne s’appuie sur aucun élément fondé. Le Polisario a démenti, de surcroît, officiellement cette information fantaisiste. Malheureusement, certains apprentis sorciers utilisent les médias pour creuser un fossé de haine et d’incompréhension entre le peuple marocain et algérien.
Source : http://www.algerie-focus.com/2016/10/pr ... ete-maroc/

:lol!:
«Partout où je vais les gens me tendent la main pour demander quelque chose, sauf en Algérie où les gens m'ont tendu la main pour, au contraire, m'offrir quelque chose» Yann Arthus Bertrand
«Le grand art, c'est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système» Napoléon Bonaparte

Tortue
Musaïd Awal (مساعد أول)
Musaïd Awal (مساعد أول)
Messages : 860
Inscription : 03 septembre 2012, 06:20

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Tortue »

Flashback : Curieuse posture de l'envoyé spécial de Hassan Dos.

Image

Youma
Banni Définitivement
Banni Définitivement
Messages : 3343
Inscription : 30 mars 2012, 19:24
Localisation : Forcesdz

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Youma »


Youma
Banni Définitivement
Banni Définitivement
Messages : 3343
Inscription : 30 mars 2012, 19:24
Localisation : Forcesdz

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Youma »


Djaaf
2nd classe (FAR-Maroc)
2nd classe (FAR-Maroc)
Messages : 3577
Inscription : 20 février 2013, 14:34

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Djaaf »

LAKHDAR BRAHIMI APPELLE À LA RÉOUVERTURE DES FRONTIÈRES ALGÉRO-MAROCAINES
Nageant à contre-courant du pouvoir algérien, le diplomate Lakhdar Brahimi a appelé à la réouverture des frontières algéro-marocaines.

"Il est impossible de parler du grand Maghreb tant que les frontières qui séparent les deux états frères (l'Algérie et le Maroc) demeurent fermées", a affirmé dimanche Lakhdar Brahimi, ancien envoyé spécial de l’ONU en Afghanistan et en Irak, en animant une conférence sur "les relations internationales, réalités et horizons".

L’ancien ministre des Affaires étrangères algérien, dont les propos ont été cités lundi par la presse locale, a estimé que l’heure était venue que les deux pays "laissent de côté le problème du Sahara occidental afin de construire une économie commune basée sur les échanges", contestant ainsi les déclarations de responsables algériens qui ont toujours prétendu que la réouverture des frontières n’était pas conditionnée par ce conflit.

M. Brahimi a appelé à suivre le modèle de l'Inde et de la Chine, deux états dont les frontières sont restées fermées pendant plus de 40 ans.

La réouverture de leurs frontières s'est soldée par l'augmentation en flèche du volume des échanges commerciaux qui s'élevait en 2005 à 18,7 milliards de dollars et par la signature en 2015 à Shanghai de 21 accords commerciaux et de coopération, représentant un montant total de 22 milliards de dollars, argumente le diplomate algérien.
http://fr.le360.ma/politique/lakhdar-br ... ines-99347
http://www.algerie-focus.com/2016/12/al ... rontieres/




Le diplomate algerien de renom appele donc à l'ouverture des frontiéres, mais qui l'ecoutera ?
Avatar de l’utilisateur

tahiadidou
Muqaddam (مقدم)
Muqaddam (مقدم)
Messages : 3071
Inscription : 17 septembre 2012, 23:17
Localisation : Not in Algiers

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par tahiadidou »

Non, il n'a pas appelé directement a l'ouverture des frontières mais a juste dit qu'il n'était pas normal qu'elles soient fermées. D'ou la nuance. Quand meme, le bonhomme n'est pas con et fou. Entre la fermeture et l'ouverture il y a un processus qui devra se mettre en place et si les conditions amenant a ce processus ne sont pas établies on tournera en rond.

Tu as dit "qui l'écoutera?" Voyons... tu devrais savoir qu'il a l'oreille de Boutef en personne.

A mon avis, je spécule évidemment, c'est un ballon-sonde que Boutef a envoyé pour juger des reactions ici et la.

Djaaf
2nd classe (FAR-Maroc)
2nd classe (FAR-Maroc)
Messages : 3577
Inscription : 20 février 2013, 14:34

Re: Les Hauts et les Bas des Relations Algéro-Marocaines

Message par Djaaf »

A mon avis, et je specule aussi, ca fait déjà un bail que bouteflika ne commande plus rien en Algerie et Mr Brahimi est soit un ballon-sonde comme tu dis (envoyé par les decideurs), soit il prepare le terrain pour une eventuelle ouverture des frontiéres pour l'aprés Boutef. C'est un des débats futurs en Algerie et il y a vraisemblablement pas de voix unanime sur cette quesion, ni au sein du peuple ni au sein des politiques.
D'ailleurs, les extremes se laissent influencer par les pulsions/emotions et ne reflechissent pas rationnellement. En effet, Que ce soit les 100% pro ouverture dont les arguments sont la religion, la culture, la langue, les liens de sang; et les Pro fermeture (nombreux sur ce forum) qui sont toujours coincé dans les conflits ideologique de la guerre froide, le bien etre des peuples semble être le dernier des soucis.
Quand des voix comme Brahimi s'expriment du haut de leur expérience, il faut les ecouter..
Répondre

Revenir à « Actualités Internationales »