Algérie : Actualité culturelle et artistique

[Sun-Tzu]

Algerie Harlem Shake à l'ambassade des USA à Alger
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[video]http://www.youtube.com/watch?v=-cVMQFbZjYU[/video]

[Djaaf]

En Algérie, « les artistes sont traités comme des sacs de pommes de terre ! »

La célèbre comédienne Bahia Rachedi tire la sonnette d’alarme. Les artistes algériens vivent un véritable « drame », déplore-t-elle en analysant la situation dans laquelle se trouve aujourd’hui les artistes algériens. »Il y a peu de travail pour nous malheureusement. Aujourd’hui, l’artiste cache sa maladie pour qu’il ne soit pas mis de côté dans les projets. C’est une véritable souffrance », a-t-il confié dans les colonnes d’El Watan Week-End.

Bahia Rachedi qui a marqué des générations d’Algériens a dénoncé également »la faiblesse de la production artistique en Algérie ». « La Télévision nationale ne produit presque rien comme œuvre de fiction. Elle achète ce qu’elle diffuse de producteurs privés. Des producteurs qui souvent manquent de professionnalisme et traitent les artistes comme des sacs de pommes de terre ! »

http://www.algerie-focus.com/blog/2013/ ... -de-terre/

[AAF 2020]

Réalisation d’un théâtre d’envergure internationale à Ouargla

Les vestiges du palais datant de l’époque romaine, situé à Ksar El Boukhari, seront classés prochainement. C’est ce qu’a indiqué jeudi, Khalida Toumi, ministre de la Culture en réponse à une question d’un député lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales. Toutefois, la ministre a soulevé le problème du relogement des citoyens qui habitent au niveau de ce grand palais. « Il faut trouver une solution. Les habitants n’ont pas accepté les logements proposés », a-t-elle souligné. Au sujet des mesures prises pour la préservation du Ksar de Temacine dans la wilaya de Ouargla, Mme Toumi a indiqué que le projet est pris en charge par son département. En outre, la ministre a annoncé la réalisation prochaine d’un théâtre de plein air d’envergure internationale à Ouargla, en plus de bibliothèques.

http://www.horizons-dz.com/?Realisation-d-un-theatre-d

[AAF 2020]

13ème édition du Festival du film amazigh à Tizi-Ouzou

TIZI-OUZOU - Le coup d’envoi de la 13ème édition du Festival culturel national annuel du film amazigh, placée sous le sceau de "vivre le cinéma des hommes libres", a été donné dans la soirée du samedi à la maison de la culture de Tizi-Ouzou, par le représentant du ministère de la culture, Slimane Hachi.

La cérémonie d’ouverture de ce Festival, dédiée à la mémoire du défunt réalisateur Abderrahmane Bouguermouh, pionnier du cinéma amazigh, s’est déroulée en présence de la veuve de l’auteur du film "La colline oubliée", de nombreux festivaliers, hôtes de la capitale du Djurdjura jusqu’au 28 mars courant, d’autorités locales, d’hommes de culture et d’artistes de différents horizons, dont Kamal Hammadi et Djamel Allam.

Dans sa brève allocution prononcée au nom de la ministre de la culture, Khalida Toumi, le représentant du ministère, qui a relevé la symbolique de la coïncidence de cette manifestation artistique, cette année, avec la célébration du cinquantenaire de l’indépendance nationale, a tenu à rendre hommage à feu Bouguermouh et "à tous les cinéastes, poètes, chanteurs, plasticiens, dramaturges et autres artistes qui ont porté haut l’étendard de la culture amazigh".

Considérant le 7ème art comme le "reflet de l’âme d’un peuple", M. Hachi, pour souligner l’importance de ce vecteur culturel, a évoqué la citation d’un penseur chilien comparant un peuple sans cinéma à une maison sans miroir, outil symbole ou se reconnaît et se représente toute entité culturelle soucieuse de sa pérennité".

Dans ce contexte, il a rappelé que l’Etat a créé durant la dernière décennie 170 festivals, pour la promotion des arts et de la culture.

Pour sa part, le commissaire du festival, M. Si El hachemi, qui a exprimé son profond dépit pour "l’absence de Abderrahmane Bouguermouh à ce festival, qui fut de son vivant un soutien indéfectible de cette manifestation", a invité les amateurs du 7ème art "à ne pas rater l’occasion" pour partager des moments sensationnels que leur propose ce carrefour culturel adopté, désormais, par la wilaya de Tizi-Ouzou, qui en prend jalousement soin pour son épanouissement".

Cette 13ème édition du film amazigh se poursuivra jusqu’au 28 du mois courant, avec, à son programme, la mise en compétition, de 33 films, dans 17 dans la catégorie "Olivier d’OR" , la plus haute distinction du Festival.

http://www.aps.dz/13eme-edition-du-Fest ... -film.html

[AAF 2020]

Festival de Tétouan (Maroc) : 2 films algériens en compétition

RABAT - Le coup d’envoi du 19ème Festival international du cinéma méditerranéen de Tétouan (nord du Maroc) a été donné samedi soir par la présidente du jury long-métrage, la productrice italienne de films Grazia Volpi.

Deux films réalisés par des Algériens participent à la compétition officielle de cette manifestation culturelle qui s’étalera jusqu’à samedi prochain.

Il s’agit de "Yema" (2012) de Djamila Sahraoui (2012) dans la catégorie long-métrage et de "Demande à ton ombre" (2012) de Lamine Ammar-Khodja dans le genre documentaire.

Par ailleurs, le festival célébrera cette année le cinéma algérien à l’occasion du 50è anniversaire de l’indépendance de l’Algérie et du 55è anniversaire de la production du premier film algérien en proposant une rétrospective à travers la projection de onze films longs et courts métrages ainsi qu’une table ronde sur le septième art en Algérie.

Selon le programme de l’édition de cette année, douze longs métrages produits dans des pays du pourtour méditerranéens sont en compétition officielle pour les différentes récompenses du festival, à savoir le "Grand prix du Festival", le "Prix spécial du jury", le "Prix de la meilleure interprétation masculine", le "Prix de la meilleure interprétation féminine", le "Prix du public" et le "Prix Azzeddine Meddour pour la première £uvre".

Dans la catégorie courts métrages, dix-huit films sont en lice pour le "Grand prix", le "Prix du jury" et le "Prix innovation" alors que dans le documentaire douze films sont en compétition pour le "Grand prix", le "Prix du jury" et le "Prix de la première oeuvre".

Outre le jury long-métrage présidé Grazia Volpi, le jury de la catégorie court-métrage est présidé par le réalisateur tunisien Ibrahim Letaïef tandis que l’acteur marocain Rachid el Ouali a été désigné président du jury du film documentaire.

Au programme de cette manifestation cinématographique, le festival prévoit de rendre hommage au cinéma portugais ainsi qu’à cinq figures du cinéma méditerranéen.

Le festival organisera également un colloque international sur la "Coproduction et distribution en Méditerranée" et deux tables-rondes sur le "Cinéma et histoire des Mauresques : autres points de vue" et "Le cinéma et le roman marocain : quels types de relation entretiennent-ils ?".

http://www.aps.dz/Coup-d-envoi-Festival-du-film.html

[tchpako]

(APS) lundi 25 mars 2013 10 : 41
Un long métrage et un documentaire algériens au Festival du film panafricain à Cannes

ALGER - Le long métrage "Yema" de Djamila Sahraoui et le film documentaire "Lettres intimes à l’Algérie" de Myriam Hammani participent au 10ème Festival international du film panafricain à Cannes (France), prévu du 17 au 21 avril prochain, ont annoncé les organisateurs.

"Yema et "Lettres intimes à l’Algérie" sont en compétition pour le Prix "Dikalo award" et le Prix du Jury, aux côtés de 44 autres films répartis entre longs et courts métrages de fiction, documentaire, film expérimental et film d’animation.

Outre l’Algérie, une vingtaine de pays d’Afrique dont la Tunisie, l’Egypte, la Congo démocratique, le Sénégal, le Kenya, le Cameroun et le Mali, participent aux côtés de la France, du Canada, des Usa ou encore du Honduras au festival.

"Yema" de Djamila Sahraoui a reçu le prix de la meilleure réalisatrice, décerné par la Fédération internationale des critiques de cinéma (Fipresci) lors de la 9ème édition du Festival international du film de Dubaï, tenue du 9 au 16 décembre dernier.

Distingué au 23e Fespaco (Festival panafricain du cinéma et de la télévision d’Ouagadougou) où elle a obtenu le Yennega d’argent pour "Yema", Djamila Sahraoui a déjà eu à représenter l’Algérie dans plusieurs manifestations cinématographiques internationales.

Son film "Barakat" a été primé en 2006 au 30e Festival international du Caire dans la catégorie "Meilleur film arabe".

Parmi les longs métrages de fiction qui participent à ce festival "Au secours (Wallu)" de Omar Ndiaye (2012-Sénégal), "Boulistes" de Nadège Batou et Amour Sauveur (2011-Congo), "Captain of nakara" de Bob Nyanja (2011- Kenya) et "Hill and gully" de Patrice Johnson Chevanes (2008-Usa).

D’un autre côté, "Ceuta, douce prison" de Jenathan Millet et Loic Rechi (2012- France), "Colored confederates" de Ken Wyatt (2012-Usa), "Dégage" de Mohamed Zran (2012-Tunisie) et "I’m tremendousty happy that- I’m going to play golf" de Sameh Estefanos (2013- Egypte), figurent parmi les films documentaires et les films expérimentaux.

Fondé en 2003, le Festival du film panafricain vise à faire connaître les scénaristes et cinéastes africains ou d’origine africaine, de produire et promouvoir leurs projets cinématographiques.

http://www.aps.dz/Un-long-metrage-et-un ... taire.html

[tchpako]

27-03-2013
Culture
Installation de la commission multisectorielle de suivi du projet algéro-européen

La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi, a installé lundi, au siège du ministère à Alger, la commission multisectorielle chargée de la gestion et du suivi du projet algéro-européen de soutien au patrimoine culturel algérien, annonce un communiqué du ministère publié mercredi.

La commission est composée de représentants de plusieurs ministères (Culture, Affaires étrangères, Intérieur et Collectivités locales, Habitat et Urbanisme, Enseignement supérieur et Recherche scientifique, Formation professionnelle et Communication) ainsi que de représentants de l'Union européenne, précise-t-on.

Elle est chargée de la formation générale dans les domaines du patrimoine culturel (restauration, recherche, études et établissement d'inventaire), et de la formation, aux métiers du patrimoine culturel, d'une main d’œuvre et de techniciens qualifiés.

La commission aura, en outre, pour mission de favoriser le partenariat public-privé dans le domaine du patrimoine culturel et d'intensifier la collaboration entre les secteurs concernés.

Par ailleurs, la commission algéro-européenne réalisera des ateliers de formation à la restauration du patrimoine culturel.

M. Zoheir Bellelou, architecte, chargé d'études au cabinet du ministère de la Culture, a été nommé en qualité de directeur national du projet bilatéral dont la durée est de cinq ans.

Une enveloppe financière de 20 millions d'euros devait être débloquée pour la fin 2012 par la délégation de l'Union européenne à Alger au profit du programme d'appui au patrimoine mis en place en partenariat avec le ministère de la Culture, avait annoncé en juin à Alger des représentants de la délégation de l'Union Européenne en Algérie.

http://www.letempsdz.com//content/view/89885/1/

[AAF 2020]

UN RÉALISATEUR ANGLAIS PIQUE DES SÉQUENCES DU FILM ALGÉRIEN: Mister Bean plagie l'inspecteur Tahar

Le film s'intitule également et comme par hasard Les vacances de Mister Bean...
Au moment où on parle de protection de la propriété intellectuelle, notamment dans la chanson où plusieurs titres du patrimoine algérien ont été récupérés arbitrairement par des producteurs étrangers, nous avons découvert que l'un des films les plus célèbres et les plus rentables pour le cinéma algérien Les vacances de l'Inspecteur Tahar, a été plagié par un réalisateur anglais: Steve Bendelack.
En panne de création, le réalisateur anglais n'a pas hésité à piquer plusieurs passages du célèbre film algérien réalisé par Moussa Haddad, pour réaliser un épisode des aventures d'un autre célèbre comique, le britannique Mister Bean. Le film s'intitule également et comme par hasard Les vacances de Mister Bean et reprend plusieurs passages du film algérien. En regardant le film qui est sorti en 2007 et qui ne fut pas un énorme succès pour le célèbre comique britannique, on est frappé par la ressemblance avec certaines scènes du film algérien, parfois même le décor et le rythme de l'action sont identiques, comme c'est le cas de la pairie où se trouve Mister Bean et où il prend un vélo et s'accroche à une voiture pour avoir de l'élan. La scène est d'une ressemblance très frappante avec la même scène avec l'Inspecteur Tahar et l'apprenti. On s'est dit c'était peut être un pur hasard, mais plusieurs autres scènes sont venues nous confirmer que le réalisateur et les scénaristes du film de Mister Bean se sont volontairement inspirés du film algérien produit par l'Oncic et propriété du ministère de la Culture, pour réaliser leur oeuvre. Ainsi, la scène des motards qui escortent le comédien, la scène des policiers qui le coincent pour excès de vitesse ou encore la scène de l'auto-stoppeur, qui s'est transformé volontairement en auto-stoppeuse. A cela s'ajoute bien sûr le titre les vacances....même si Les vacances de Mister Bean, ne s'inspirent pas totalement du film de Moussa Haddad. Le film anglais fait suite au succès du premier long métrage de Mister Bean au cinéma, devenu mondialement célèbre pour ses sketchs mimés et silencieux très comiques. Dans ce film, Mr Bean gagne des vacances au sud de la France, au bord de la mer à Cannes. Cependant, son voyage sera parsemé d'incidents, où il découvrira Paris et la France profonde jusqu'à assister au Festival de Cannes et devenir célèbre grâce au film de son voyage. Le film est réalisé par Steve Bendelack, un réalisateur sans succès en Grande-Bretagne, qui fait ses armes plus dans la publicité. Le scénario a été signé par Hamish McColl et Robin Driscoll d'après le personnage créé par Richard Curtis et Rowan Atkinson (Mister Bean). Mais il est clair que les scénaristes se sont volontairement inspirés du film algérien, profitant du vide juridique et surtout de l'absence d'une institution réelle qui défend les intérêts du cinéma algérien à l'étranger. Ce plagiat a été démasqué grâce à la vigilance de certains de nos concitoyens algériens vivant en Angleterre qui adorent les films de l'inspecteur Tahar et qui se sont rendus compte de la similitude de certaines scènes du film anglais avec le film algérien.
Ce genre d'affaire est du pain bénit pour les avocats des sociétés de production ou des télévisions. Même des grands producteurs et des stars n'y échappent pas. Récemment, le cinéaste Luc Besson, Robert Mark Kamen et la société de production EuropaCorp sont assignés en justice pour plagiat dans le film Colombiana. Le couple de plaignants -deux intermittents du spectacle de Gironde- accuse les deux coscénaristes Luc Besson et Robert Mark Kamen d'avoir pillé le scénario et des scènes d'un court-métrage qu'ils ont réalisé en 2005 intitulé Le fantôme de l'Orchidée. Dernièrement, c'est Angelina Jolie qui a été mise au banc des accusés pour son premier long-métrage, Au pays du sang et du miel. Un romancier prétend que l'actrice s'est ouvertement inspirée de son livre sans lui demander de droits d'auteur. Bref, les autorités algériennes ont une excellente occasion de gagner de l'argent, il suffit pour cela d'engager un avocat qui va détrousser Mister Bean.... Pour la mémoire et l'honneur du défunt Inspecteur Tahar.

http://www.lexpressiondz.com/#rotating_headlines_4

[Djaaf]

Oh ca me rappelle vaguement quelque chose! Oh oui une série marocaine lancée par Inwi. N'empéche le copier coller est pas mal

[anzar]

Je me disais bien que cette daube ne pouvait pas venir d'Algérie... tout s'explique

[Souf]

Je me disais bien que cette daube ne pouvait pas venir d'Algérie... tout s'explique

[Djaaf]

Pourtant les algeriens ont l'air adoré
Ou alors vous aimez la daube

[anzar]

T'as les chiffres d'audimat Non.... donc

[Djaaf]

T'as les chiffres d'audimat Non.... donc

Va voir les commentaires de tes compatriotes sur youtube.
De plus c'est pas une série qui passe sur la télé, juste sur youtube, exactement comme le switchers marocain quoi. Recopier le titre de la série, le scénario, et même le nom des personnages :/. Commentaire d'un algerien sur youtube:
STOP PLAGIA ... Opérateur de merde, sans créativité ! "Ma tensach mnin jit" Quel slogan de merde pour une compagne publicitaire ... Vous voulez surpasser NEDJMA avec une série copier ? Le prix de la lisence de cette série aurai permis l'installation de la 4G LTE bande de cons !
C'est pas avec des vieux directeurs algériens sans expériences placer par des généraux et des idées a deux balles que vous allez surpasser "EL WATANIA".
NOUS SOMMES Bridé ! Donnez une chances aux jeunes putain.
Sinon d'autres ont l'air d'aimer

[anzar]

Youtube n'est pas représentative des algériens et les coms des youtubeux ne sont pas les bienvenues "on en a rien à carrer" ici quant au reste.... c'est de la daube copié sur une autre daube