La Santé en Algérie

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sadral
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Re: La Santé en Algérie

Message par sadral »

Le traitement du diabète très onéreux:
Il revient à 28 millions de dinars par mois


La maladie du diabète connaît des proportions alarmantes dans la société. Plus de 2,5 millions de personnes sont atteint de cette maladie chronique en Algérie, dont 90% des cas sont de type 2. Lequel provoque des complications chez le malade.

La maladie du diabète coûte très cher aussi bien au malade qu’à l’Etat, selon le Dr. Samir Aouiche diabétologue au CHU Mustapha qui s’est exprimé ce matin l’ors d’une conférence de presse organisée par le laboratoire pharmaceutique Pfizer et portant sur la face caché du diabète.

« Une maladie qui est très coûteuse». Par ailleurs faute d’études sur le terrain, « nous n’avons pas assez de statistiques ou d’études qui peuvent nous donner le chiffre exact de l’étude mais je sui certains que que les complications, à elles seules représentent prés de 25% du coût globale.

Le Dr Aouiche site l’exemple des Etats-Unis où le coût des pansements nécessaires au traitement d’un diabétique est l’équivalent d’un salaire d’une infirmière. Pour le président de l’association des diabétiques d’Alger le Dr. Ouhadda Fayçal, le coût moyen des traitements hors complications, autrement dit juste le médicament lié à l’insuline, avoisine les 14000 Da par mois. Ce qui nous donne le chiffre de 28 millions de dinars par mois. Surtout si l’on sait que 30% des malades n’émargent pas à la sécurité sociale, ce qui complique encore leur capacité à se faire traiter.

Selon certains malades rencontrés sur place, le traitement du diabète est très coûteux, « N’eut été l’aide de l’Etat qui subventionne a 100% l’insuline et les pansements, je n’aurais jamais pu ma traiter », a déclaré un malade de la wilaya de Bejaia.

Selon ses dires, le plus grand souci réside dans le soin des complications, une hémodialyse coûte 18000 DA et les malades qui ne sont pas assurés ne peuvent pas en bénéficier. Cela, outre les analyses à effectuer de manière permanentes que les diabétiques doivent effectuer périodiquement.

Pour rappel, l’Etat prend en charge tous les soins des malades assurés à la CNAS. Ce n’est pas le cas pour les autres qui doivent se débrouiller autrement.
http://www.leconews.com/fr/actualites/n ... 67_290.php
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.

Rebell
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Re: La Santé en Algérie

Message par Rebell »

sou7ane allah...je trouve sa très grave dans le domaine de la santé qui devrait être favoriser et de gros moyen doivent être mie avec la construction d’hôpitaux et clinique et former des médecin dans tout les pays developper et doté nos université de médecine du meilleur enseignement possible et avec les moyen que nous avons nous pourrons!!!! si on le ait pas c'est qu'on veux pas!!!!! les haute autorité préférè allé se soigné en France!! :evil: c honteux!!!!!

A LIRE!!!!!
En Algérie, « si tu as le cancer et pas de relations, tu meurs »



Trois centres anticancer pour un pays de 38 millions d’habitants, un secteur médical corrompu : en Algérie, les cancéreux sont abandonnés à leur sort. Reportage.

Les locaux de l’association El Badr, à Blida (Farid Ikken)

Cancer
Selon les chiffres de l’Institut national algérien de santé publique, le nombre de nouveaux cas de cancer en Algérie est de 40 000 par an. Sur les 48 wilayas (départements) du pays, seuls trois centres anticancer existent en Algérie : à Oran, à Blida et à Alger.

(De Blida) Au 79 boulevard Larbi Tebessi, à Blida, la maison qui abrite les locaux de l’association El Badr d’aide aux malades du cancer ne désemplit pas en ce mois de septembre, ni à d’autres périodes de l’année d’ailleurs. Souvent, des malades sont renvoyés vers d’autres associations.

Au fond du couloir de la maison est accroché le portrait du propriétaire de la bâtisse, le martyr Othman Tolba Mohamed exécuté durant la guerre de libération nationale.
« Un toit sur la tête »

Sa famille a fait don de la bâtisse pour l’association afin d’aider les cancéreux qui sont loin de chez eux. Avant d’aller à la rencontre des malades, les responsables de l’association, le docteur Moussaoui, Mohamed Reda et Salima, nous invitent à visiter les différentes salles réservées aux malades :

« Ce n’est pas le luxe mais les malades ont au moins un toit sur la tête quand ils viennent pour leurs différents examens ou pour la radiothérapie. »

Salima, la cinquantaine, travaille ici comme bénévole depuis déjà deux ans :

« Nous avons tout le temps des personnes à héberger. Des femmes, des hommes et des enfants. Pour les rendez-vous en radiothérapie, un contrôle ou un examen médical, les personnes qui viennent de loin n’ont d’autre choix que de s’adresser aux associations. »

Sans « relations », pas de rendez-vous

Trouver un rendez-vous pour une opération chirurgicale ou de la radiothérapie sans recourir aux « relations », comme on dit ici, relève de l’impossible aujourd’hui en Algérie. Tout le monde ne peut pas, comme le président Bouteflika, se faire soigner au Val-de-Grâce.

Les « relations », cela peut être un ami « bien placé » – un haut fonctionnaire de l’Etat, un officier de l’armée, un chef d’entreprise – ou « bien introduit ». Cela va du promoteur immobilier ayant un large répertoire de contacts au professeur d’université « qui a des collègues au ministère ».

Kamel Ben Saibi, vice-président de l’association El Fejr de Blida, ne mâche pas ses mots lorsqu’il évoque le phénomène :

« Recourir aux “relations” est devenu une chose banale chez nous. Il faut dire que la maladie du cancer en Algérie est tellement mal prise en charge que le malade se sent dans une situation de désespoir total. La famille cherche tous les moyens pour se procurer le fameux rendez-vous pour l’opération ou pour les séances de la radiothérapie. »

Son association aide aussi les malades à trouver un rendez-vous, poursuit-il :

« Notre travail consiste à être aux côtés des cancéreux. Leur trouver un rendez-vous, les placer dans un centre d’accueil et, parfois, financer leurs examens médicaux. »

Les bénévoles hébergent les familles

Salima et le docteur Moussaoui au siège de l’association El Badr, à Blida (Farid Ikken)

Le rendez-vous pris, il faut ensuite assurer l’hébergement du malade et souvent de son conjoint ou un membre de la famille durant le traitement. Dans beaucoup de cas, les bénévoles n’hésitent pas à héberger les malades chez eux :

« Que faire lorsque une famille ou des enfants sont contraints de passer la nuit ici alors qu’ils ne connaissent personne dans cette ville ? Il est hors de question de les laisser dehors. »

« Les nantis – dont les gens du pouvoir et au pouvoir – n’ont aucun problème pour obtenir des soins que ce soit en Algérie ou à l’étranger, principalement en France et en Tunisie », dénonce Djilali Hadjajd, ancien médecin, ancien journaliste et actuel président de Transparency International Algérie :

« Et pour les plus “chanceux” d’entre eux, c’est la Cnas [Caisse nationale des assurances sociales, ndlr] qui reçoit l’ordre de financer : l’argent des 5 millions d’assurés sociaux sert quelques centaines de privilégiés de la “nomenklatura”. »

Au siège de l’association El Badr, les patients sont heureux de se confier mais demandent à rester anonymes. Par pudeur ou par peur de représailles des autorités, chacun ses arguments. Il faut dire que ces centres d’accueil n’ont pas l’habitude des visites des gros médias, de la télévision et de la radio nationales qui demeurent sous le contrôle de l’Etat.

Ici, pas de traces non plus de hauts fonctionnaires de l’Etat, d’enfants de ministres ou de hauts gradés de l’armée. Chahra, 63 ans, atteinte d’un cancer du sein, témoigne :

« J’ai fait mes examens médicaux chez un privé á Béjaïa car le CHU de Béjaia ne dispose pas de matériel médical pour ce genre d’examens. Actuellement, je suis les séances de chimiothérapie et de radiothérapie. Bien sûr, j’aurais aimé les suivre chez moi et éviter de me déplacer plus de 400 km, mais le CHU de Béjaia ne dispose pas de centre anticancer. »

Chahra a cinq enfants à charge, son mari est décédé il y a deux ans et la maladie l’a beaucoup fatiguée physiquement, mais elle garde le sourire. « Ici, il y a ma deuxième famille », continue-t-elle.
« La maladie m’a fait découvrir mon pays »

Autour d’une table en plastique placée sur la terrasse de la maison, Djamila, 45 ans, a hâte de prendre la parole. Chez elle, à Bordj Bou Arreridj, à plus de 200 km d’Alger, ses enfants en bas âge attendent son retour avec impatience. Une femme au grand cœur et au rire facile. Elle lâche : « Si tu n’as pas de relations pour trouver un rendez-vous, tu meurs. »

En juillet, elle découvre qu’elle est atteinte d’un cancer et commence alors le parcours du combattant pour elle et son mari. D’abord, il faut réaliser les examens médicaux. Une cytoponction chez un privé à Bordj Bou Arreridj, une mammographie à Sétif, l’opération chirurgicale au centre Marie Curie de Mustapha Bacha à Alger et la radiothérapie à Blida.

Dans la tragédie de ces familles, l’humour demeure une échappatoire pour ne pas sombrer dans le désespoir. Djamila plaisante :

« Cette maladie m’a fait plus de bien que de mal. Elle m’a fait découvrir mon pays, j’ai visité plus de cinq villes pour les besoins des différents examens. Mon mari m’a dit qu’il m’emmènerait en Tunisie l’année prochaine pour un autre examen. Un rêve qui va se réaliser. »

« Toutes ses économies pour l’opération »

Elle doit suivre 30 séances de radiothérapie au centre Frantz Fanon de Blida. Aujourd’hui, un appareil est tombé en panne, Djamila en profite pour aller rendre visite à ses enfants. C’est aussi la rentrée des classes dimanche, et elle est aux anges à l’idée de revoir ses enfants :

« Ils se débrouillent comme ils peuvent à la maison. Leur père leur prépare à manger et lave leurs vêtements. Sans voiture avec une distance pareille, c’est une bénédiction de trouver ce centre d’accueil. »

Avant de prendre congé, elle ajoute :

« Vous, les journalistes, devez dénoncer ces responsables qui ne font rien. Cet Etat doit prendre en charge ses citoyens, chaque wilaya doit avoir son centre. Il y a des familles et femmes qui ne trouvent pas de rendez-vous ou d’endroit où loger. C’est une catastrophe, ma meilleure amie n’a encore pas trouvé de rendez-vous pour l’opération, une autre femme que je connais a été obligée d’aller vers le privé et elle a déboursé toutes ses économies pour les besoins de l’opération, avec une séance à 9 000 dinars algériens. »

« Les gens meurent en silence »

Plusieurs téléphones portables sonnent en même temps. Ce sont les proches des malades qui demandent des nouvelles :

« Oui, j’ai dormi, ne t’inquiète pas, je vais bien. »

« Oui Fatima, je viens aujourd’hui, j’ai pris mes vêtements oui. »

« Je suis encore à l’association, je viens aujourd’hui. »

Le téléphone des bénévoles aussi ne cesse de sonner.

D’autres malades nous apostrophent dans le couloir. L’un d’eux insiste sur le cas des cancéreux qui succombent à leur maladie dans le silence :

« Personne ne sait combien de malades ont succombé à cause des grèves répétées dans les hôpitaux ou à cause du manque de rendez-vous. Je vous dis, c’est une hécatombe. Les gens meurent en silence dans ces centres ou chez eux. Personne ne se soucie d’eux. Si vous n’avez pas de relations, vous êtes foutus. »

Dans le registre des doléances de l’association, on retrouve des témoignages poignants de patients qui sont passés par ici comme le cas de ces jeunes femmes répudiées ou délaissées par des membres de leurs familles après avoir découvert la maladie. Elles témoignent leur gratitude aux membres de l’association.
En Kabylie, aucun centre anticancer

A Tizi Ouzou, en Kabylie, les malades du cancer connaissent aussi la même dure réalité. Avec des centaines de malades de cancers diagnostiqués par an, la région n’est toujours pas dotée de centres anticancer.

Le cas de ce couple qu’on rencontre à Blida illustre bien la situation dans cette région. Hakim se bat aux côtés de sa femme Nacera foudroyée par un cancer quelques mois après son mariage. La vie du couple a complètement basculé. Ce sont les associations d’El Fejr, El Badr et Anissa qu’ils trouveront à leurs côtés. « Sans ces associations, personne ne peut dire ce qui serait arrivé. On est totalement dépendants d’eux et tellement reconnaissants », avoue Hakim.

A Béjaia, un service de l’hôpital de la municipalité d’Amizour, à une dizaine de kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Béjaia, offre depuis quelques années la possibilité de suivre des séances de chimiothérapie. Mais les opérations chirurgicales liées aux maladies du cancer ou encore les séances de radiothérapie ne sont toujours pas prises en charge.
Envoyé au Japon via Internet

Les cancéreux seront donc expédiés par centaines chaque année aux centres de Blida et d’Alger. Nombreux sont les malades contraints à lancer des appels de détresse sur Internet pour s’en sortir, comme cet appel partagé par un internaute d’Amizour d’un malade qui a trouvé une prise en charge au Japon :

« C’est vraiment rare que je publie des annonces pour aider les gens. Mais cette fois-ci, j’ai cédé à l’appel de cet enfant de 14 ans de la région d’Amizour et qui souffre d’un cancer (ostéosarcome)... Ses parents venaient de déposer un dossier de demande d’aide pour des soins à l’étranger (Japon) pour un montant total de 60 000 dollars. Si chacun de nous met sa main dans la poche, on aura souhaité ensemble que cet enfant vive aussi longtemps. »


Le docteur Medjdoub (Farid Ikken)

Selon le docteur Medjdoub, chirurgien depuis 1995 au centre anticancer de l’hôpital Frantz Fanon de Blida, il est difficile aujourd’hui de ne pas admettre la faillite du système de santé quand il s’agit de la prise en charge du cancer. Il confie :

« Tout Algérien a un droit élémentaire à la santé. S’il tombe malade, normalement il doit être pris en charge entièrement par les organismes étatiques. Notre centre peut traiter de 2 000 à 3 000 cas par an mais là, on se retrouve avec des nombres beaucoup plus importants. Au moins 10% des cancers traités sont des cancers de l’enfant, ensuite il y a le cancer du sein et du rectum. »

Le budget de la santé grevé par la corruption

Djilali Hadjajd, le président de Transparency International Algérie, est sans concession :

« Dans le secteur des soins médicaux, la corruption est malheureusement florissante à l’image de tous les autres secteurs. Non pas que le ministère de la Santé n’ait pas suffisamment d’argent pour assurer des prestations de qualité pour tous – bien au contraire, les budgets alloués sont faramineux.

Tout le monde se sert au passage pour le plus grand “bonheur” de quelques importateurs corrupteurs et des grandes firmes internationales qui déversent toutes sortes de matériel sur le marché algérien. Très souvent, on utilise le prétexte de l’urgence pour avoir recours systématiquement au “gré à gré” dans la gestion des marchés publics du secteur. »

Selon lui, des dizaines et des dizaines de centres anticancéreux auraient pu être construits avec l’argent dérobé aux caisses de l’Etat. Plus grave selon lui : l’Algérie ne dispose pas à ce jour d’un plan national anticancer sur le moyen et le long terme. Pour les médicaments, ça serait encore pire : la facture à l’importation ne cesse de grossir, et les inégalités face à l’accès aux médicaments pour tous ne cesse de prendre de l’ampleur.

Une enfant atteinte d’un cancer avec le vice-président de l’association El Fejr, Kamel Ben Saibi (El Fejr)
« Val-de-Grâce pour tous »

Pourtant, l’article 54 de la constitution algérienne est claire sur la prise en charge médicale : « Tous les citoyens ont droit à la protection de leur santé. »

Depuis quelques mois, et suite à l’hospitalisation du président Bouteflika au Val-de-Grâce en France et plusieurs autres hauts responsables de l’Etat envoyés aux frais du contribuable dans des hôpitaux européens, des médecins et des intellectuels algériens en Algérie et en France, scandalisés par la situation de la prise en charge médicale en Algérie, ont lancé sur les réseaux sociaux une initiative intitulée « Val-de-Grâce pour tous » afin de mobiliser la société autour de la question de la prise en charge médicale en Algérie.

Dans cette situation tragique, les autorités multiplient les promesses pour calmer la contestation mais sur le terrain, les choses ne s’améliorent pas.
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anzar
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Re: La Santé en Algérie

Message par anzar »

SVP mettre la source de l'article
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tayeb
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Re: La Santé en Algérie

Message par tayeb »

anzar a écrit :SVP mettre la source de l'article
http://www.rue89.com/2013/09/24/algerie ... urs-246008
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sadral
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Re: La Santé en Algérie

Message par sadral »

On appelle ça l'effet "Val de Grâce" :P
L’Algérie construira dix CHU modernes et un super hôpital à Bouchaoui (Alger)

L’Algérie va construire dix centres hospitalo-universitaires durant les cinq prochaines années a appris Algérie1 vendredi de source bien informée. La décision a été prise par le président de la république juste après son retour de France où il avait hospitalisé au Val de Grâce.

Pour ce faire, confie notre source, le ministère de la santé et de la réforme hospitalière à donné hier jeudi le coup d’envoi d’une «campagne d’inspection» à travers toutes les wilayas du pays. Celle-ci, devrait établir un rapport sur la situation des hôpitaux et de toutes les structures sanitaires opérationnelles en Algérie.

Ces «enquêteurs» du ministère de la santé devraient ainsi poser un diagnostic sur l’état des infrastructures existantes aussi bien en terme d’équipements que celui des moyens humains. Une fois l’opération bouclée, les travaux de restauration et de «mise à niveau» seront aussitôt enclenchés.

Par ailleurs, nous apprenons que les dix nouveaux CHU seront construits selon les normes internationales sous forme de monobloc, et non pas “multipavillonnaire” comme c’est le cas de tous les hôpitaux existants. Ce système de construction permettrait d’après les spécialistes de faire «l’économie du temps et de l’argent», puisque tous les services seront placés dans un même espace comme cela se fait ailleurs.

Un «Val de grâce» à Bouchaoui

On apprend également que trois villes au moins sont sûres d’avoir leur CHU ultra moderne. Il s’agirait de Tizi Ouzou, Tlemcen et Alger en attendant l’affectation des sept restants en tenant compte de l’équilibre régional et de la densité de la population. Les études sont d’orées et déjà lancés pour ces trois projets alors que pour les autres ce sera fait d’ici quelques mois souligne la même source.

Dans le même ordre d’idées, nous apprenons de même source, que l’Algérie construirait son Val de Grâce à elle. Là aussi, c’est le président Bouteflika qui a décidé d’ouvrir ce chantier pour permettre aux responsables algériens de se soigner chez eux au lieu d’aller à l’étranger compte tenu de la sensibilité de leurs postes.

Ce Val de Grâce «algérien», serait localisé à Bouchaoui, prés de Chéraga d’après la même source. Pour s’y préparer, l’université de Bejaia a été chargée officiellement de former le personnel paramédical qui sera réparti sur les différents CHU en chantiers. Ces infirmiers et autres techniciens de la santé seront formés suivant le système LMD après obtention du BAC. Les professeurs ayant dépassé les 15 années d’expérience seront eux aussi affectés à la gestion des grands hôpitaux.
http://www.algerie1.com/actualite/lalge ... oui-alger/
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
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anzar
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Re: La Santé en Algérie

Message par anzar »

Le problème n'est pas tant les structures que les personnels hospitaliers.... la purge doit commencer par le personnel paramédical dont 80% ne mérite même pas de travailler dans ce secteur
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Rebell
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Re: La Santé en Algérie

Message par Rebell »

même si on multiplie les hôpitaux il faudrait des personne compétente dans ce domaine la le malterie egalement mais il nous faut de vrai médecin je sais pas si pour vous c'est normal mais moi je trouve sa honteux que notre président va se soigné chez l'ancien colonisateur limite il leur dit qu'on et des bon a rien...alors on prend les joueur former en France la plus haute autorité se soigne la bas tout ce qui et consommable viens de la bas..c'est trop
wine rak ya boumedienne??? de sont temps il prenez rien de la France je dit pas sa pour le voir d'un sentiment anti français loin de la mais d'une fierté personnelle 50 ans âpre faut developper notre pays pas revenir chez l'ex colonisateur alors que chez nous on fait que consommer l'argent facile (pétrole/gaz)

pourquoi sa serait si compliqué que sa de prendre les meilleur diplômer chaque année et leur faire une sorte de contrat pour qui v'on étudier a l’étranger et revenir au pays par la suite? au bien ramenez les meilleur professeur et faire des cooperation universitaire avec les meilleur au monde pour que notre niveau d’étude sois très élever? pourquoi rien n'est fait??il et temps de faire un grand ménage dans les hôpitaux
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KHAYBAR
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Re: La Santé en Algérie

Message par KHAYBAR »

anzar a écrit :Le problème n'est pas tant les structures que les personnels hospitaliers.... la purge doit commencer par le personnel paramédical dont 80% ne mérite même pas de travailler dans ce secteur
+1 "anzar", la conscience professionnelle et l'humanisme sont presque inexistant chez le personnel paramédical dans les hôpitaux algériens...
:algerie01:

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Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

Athena médical center : un centre anticancer privé voit le jour
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Cette structure vient à point nommé au secours des malades du cancer, notamment ceux nécessitant une radiothérapie, dont des milliers sont en attente d’un rendez-vous.


Athéna Médical Center est le premier centre anticancer du secteur privé, de l’investisseur Dr Mehdi Bouzidi, oncologue. Erigé sur le boulevard dit des Cliniques, à la cité Zouaghi (Aïn El Bey), ce mégaprojet a coûté 120 milliards de dinars, et devra atteindre les 200 milliards d’ici son achèvement. Selon sa P.-D.G., Dr Ghania Belkhodja, il sera partiellement opérationnel avec notamment le service de radiothérapie, qui accueillera les patients souffrant du cancer à partir de la fin du mois en cours. Les autres services, comme ceux de chirurgie de la médecine nucléaire, d’anatomopathologie et de chimiothérapie, ouvriront l’année prochaine.

Notre interlocutrice nous explique : «Ce centre est une première à l’échelle nationale ; il a vu le jour grâce au dévouement d’une jeune équipe, l’oncologue Mehdi Bouzidi, mon fils, le physicien médical Dr Mohamed-Saleh Bali et le radiothérapeute Dr Brahim Sahli. Cette équipe a galéré durant ces six dernières années à cause de la bureaucratie et de l’incompétence de certaines administrations, qui, honnêtement, nous ont fait vivre un vrai calvaire. Eu égard à mon âge et à ma carrière de 30 ans en tant que médecin, je croyais peu à la réussite d’un tel projet en Algérie, finalement ces jeunes ont pu mener cet investissement à bon port.»

Et d’ajouter : «C’est la détresse des malades du cancer qui a suscité en nous la volonté de leur venir en aide ; l’équipe a travaillé dur, depuis 2007, pour la concrétisation de ce projet.» Notons que le service de radiothérapie est équipé de deux accélérateurs de type Rapid arc, et d’un scanner pour la simulation, un nouveau matériel essentiel à une bonne radiothérapie. Selon le physicien médical, Dr Mohamed-Saleh Bali, c’est un équipement de dernière génération, importé des Etats-Unis, qui permet «la fixation du malade selon le repositionnement souhaité, la reproduction du traitement et la réduction des effets secondaires de la radiation, sans compter le gain de temps».

Le staff médical de radiothérapie est composé d’un oncologue, de deux spécialistes en radiation, de trois physiciens médicaux et d’une équipe de manipulateurs en radiologie. Le coût des consultations, du traitement et de l’hospitalisation d’un patient, encore en cours d’étude, sera fixé en fonction du nombre de séances de radiothérapie, nous dit la directrice. A titre d’exemple, un cancer de la prostate nécessite 35 séances de radiothérapie. Mais la bonne nouvelle est que les tarifs appliqués seront, selon notre interlocutrice, largement inférieurs à ceux appliqués en Tunisie. Il convient, cependant, de noter que pour le moment il n’existe aucune convention entre le centre et la CNAS, c’est-à-dire que le patient doit assumer tout seul la totalité des frais de soins.
http://www.elwatan.com/regions/est/cons ... 15_129.php
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geronimo
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Re: La Santé en Algérie

Message par geronimo »

Un tel investissement incombe a l’état :shock:
:algerie01: :algerie01: :algerie01:

Rebell
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Re: La Santé en Algérie

Message par Rebell »

en effet c'est a l’état de lancer ce genre de projet et de mettre un budget pour developper la médecine algérienne et une bourse pour soigné les malade grave et qui on pas forcement les moyen
J'AI EU MON 1ER SEMESTREUHHH NANANINANANREUUU!!!!!! :p

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Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

Santé : Tlemcen aura son nouveau CHU ultramoderne
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L’étude de ce projet, qui sera réalisé dans la commune de Chetouane, a été menée par 11 bureaux pour un montant de 750 millions de dinars.


Trois nouveaux centres hospitalo-universitaires ultramodernes seront prochainement construits dans le pays dont un à Tlemcen, selon une source du ministère de la Santé et de la Population. La même source indique, en outre, que sept autres CHU seront réalisés dans d’autres wilayas sans préciser lesquelles. Concernant le projet du nouveau CHU de Tlemcen, qui est en phase d’évaluation, il sera réalisé dans la commune de Chetouane. «L’ensemble sera situé à proximité du centre de transfusion sanguine et du centre anticancéreux ainsi que de la clinique d’ophtalmologie, ce qui devrait, une fois tous ces projets achevés, constituer un vrai pôle médical», a précisé la direction de la Santé de la wilaya de Tlemcen. L’étude a été menée par 11 bureaux pour un montant de 750 millions de dinars.

Ce nouveau CHU aura pour objectif d’appuyer l’actuel CHU déjà saturé, puisqu’il offre ses prestations à toutes les wilayas limitrophes, notamment celles du sud-ouest. «Ce nouveau CHU sera doté d’une capacité d’accueil de 4 00 lits, il répondra aux critères internationaux, avec un plateau technique et des services pour toutes les pathologies», ajoute la direction de la Santé.
http://www.elwatan.com/regions/ouest/tl ... 93_139.php

numidia
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Re: La Santé en Algérie

Message par numidia »

Les supporters auraient dû prendre leurs précautions
ne pas partir les yeux fermés ... très triste affaire
qui nous faut une grave crise sanitaire en plus de l'aspect responsabilité
Multiplication des cas de supporters de retour d’Ouagadougou atteints de malaria : une affaire d'Etat ?
Article | 6. novembre 2013 - 11:27
Le déplacement des supporters à Ouagadougou a-t-il été traité à la légère ? D. R.


Les conséquences sanitaires du déplacement des supporters algériens au Burkina Faso, au mois d’octobre, prennent les contours d’un véritable scandale qui risque d’éclabousser les plus hautes autorités. Les informations qui parviennent des couloirs de l’hôpital El-Kettar où sont isolés plusieurs supporters des Verts sont inquiétantes et renseignent sur la légèreté avec laquelle certains responsables et voyagistes ont traité le déplacement des supporters dans une zone à risque sanitaire. Nous sommes peut-être face à une véritable affaire d’Etat. Il y a eu mort d’homme. Un caméraman de la télévision algérienne a été emporté par la malaria à son retour à Alger. Un autre technicien compte parmi les malades admis à l’hôpital d’El-Kettar. Ces informations ont levé le voile sur cette affaire et font remous au sein de la population. Le nombre de cas qui va en augmentant a-t-il poussé les services spécialisés à ouvrir une enquête ? Les autorités et les différents intervenants dans l'affaire du déplacement d'un millier de supporters algériens au Burkina Faso ont-ils négligé un aspect médical important ? Certes, il a été question de vaccin contre la fièvre jaune et la dengue à l'Institut Pasteur, mais tous les supporters ont-ils été avisés qu'ils devaient suivre un traitement sous forme de comprimés contre le paludisme, la méfloquine ? Le ministère de la Santé doit en urgence prendre les mesures qui s’imposent en convoquant tous les supporters qui ont fait le déplacement au Burkina Faso, pour leur faire subir un examen médical. Jusqu’à présent rien n’a été fait. Ce n'est pas normal. Il faut savoir qu’en plus des vaccins contre la fièvre jaune, un traitement assez lourd est indiqué contre le paludisme sous forme de comprimés. Les journalistes qui ont eu à couvrir des événements en Afrique connaissent bien ce médicament. La contrainte qui peut dissuader certains voyageurs réside dans le fait qu’il faut prendre le traitement avant le départ et le poursuivre après le retour de la zone à risque, pendant plusieurs semaines. Les comprimés sécables peuvent avoir, en général, des effets secondaires insupportables – nausées, vertiges, mélancolie, voire des envies suicidaires, ce qui pourrait avoir aussi découragé certains de poursuivre le traitement. Les consignes sanitaires recommandent également d’éviter les piqûres de moustiques, qui transmettent le paludisme, en se protégeant avec des vêtements couvrants et de la citronnelle, car le traitement n’est pas un vaccin totalement immunisant. Ces précautions, le ministère de la Jeunesse et des Sports et celui de la Santé devaient absolument les communiquer aux jeunes supporters pour leur expliquer les dangers du déplacement, malgré l’euphorie et l’excitation du départ. La qualification à la Coupe du monde est un objectif sportif qui est poursuivi aussi pour ses dividendes politiques. La nouvelle de la maladie de nombreux supporters, à Alger et dans d’autres villes, risque d’anéantir bien des efforts si les autorités se retrouvent suite à ce scandale au banc des accusés.
Meriem Sassi
http://www.algeriepatriotique.com/artic ... ne-affaire
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Re: La Santé en Algérie

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Re: La Santé en Algérie

Message par AAF 2020 »

MALADIES CHRONIQUES : le glaucome menace les populations du Sud
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La nécessité d'intégrer le glaucome dans la liste des maladies chroniques a été «vivement» recommandée par les participants.
La présidente de la Société algérienne du glaucome (SAG), le Pr Malika Tiar, a indiqué que les missions médicales effectuées par son organisme dans plusieurs régions du pays, notamment dans les régions du Sud, ont conclu à «l'existence d'une forte prévalence de la maladie dans ces régions, faute de soins». Pour leur part, des spécialistes en glaucome ont tiré à Alger la sonnette d'alarme sur la propagation de cette grave pathologie pouvant entraîner la cécité dans les localités du sud du pays.
Ils ont plaidé, lors de la tenue de la 5e journée de la Société algérienne du glaucome (SAG), pour une prise en charge médicale dans ces régions enclavées, en mettant sur pied une «formule» permettant aux patients d'accéder aux soins «très rapidement». Le Pr Aberkane Djallal, membre de la SAG, a indiqué, dans son intervention, que son organisme avait effectué plusieurs enquêtes de dépistage dans plusieurs régions du pays, notamment dans les régions du Sud où une «forte» prévalence de cette pathologie a été constatée par les spécialistes. «Les enquêtes réalisées par la SAG ont révélé une prévalence assez importante de ce glaucome dans les régions du Sud, plus particulièrement dans la région de Timimoun où une très importante prévalence a été observée», a-t-il souligné. Aussi, la nécessité d'intégrer la maladie du glaucome dans la liste des maladies chroniques a été «vivement» recommandée samedi dernier, à Alger par les participants à cette journée de la SAG. Ces derniers ont insisté sur l'«urgence et l'impératif» que cette maladie soit intégrée dans la liste des maladies chroniques, tout en relevant que son traitement à base de «collyres» doit être à la portée de tous les patients car «sa négligence pourrait provoquer la cécité». «Il existe des molécules puissantes qui permettent de contrôler cette maladie mais elles sont chères», ont-ils souligné. «Il faut faire bénéficier les patients atteints de cette maladie du système de remboursement automatique dans le cadre des maladies chroniques afin qu'ils puissent bénéficier promptement de ce traitement», ont-ils encore recommandé. Le Pr Aberkane Djallal a souligné, dans ce cadre, que la maladie du glaucome est une «maladie chronique» au même titre que l'hypertension artérielle ou le diabète nécessitant un traitement à vie d'où l' «urgence» de l'intégrer dans la liste des maladies chroniques. «Le traitement du glaucome est coûteux et les patients à faibles revenus ne peuvent pas le payer. Il faut faire en sorte qu'il soit à la portée du malade afin qu'il puisse suivre correctement son traitement», a encore plaidé le Pr Aberkane. Le Pr Malika Tiar, présidente de la SAG, a indiqué, pour sa part, que son organisme «milite» depuis cinq ans pour une révision de la liste des maladies chroniques, afin que la maladie du glaucome y soit intégrée.«La SAG n'a pas réussi à obtenir cette révision, malgré que cette maladie nécessite un traitement régulier qui est coûteux, dont la plupart des malades sont des personnes âgées et certains ne sont même pas assurés», a-t-elle déploré. «L'arrêt du traitement peut entraîner la cécité d'où l'urgence d'intégrer cette maladie dans la liste des maladies chroniques», a-t-elle insisté.
http://www.lexpressiondz.com/actualite/ ... u-sud.html
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