Merci pour la vidéo Tchpako, mais il était e train de faire quoi au juste ?! essayer de remonter sur le bateau ?! je ne pense pas , parce que la grue ce trouve sur tribord du remorqueur, pas à l'arrière ?!!
Tchpako il va nous expliquer cette manœuvre, il a suivi ça en directe
Merci anzar J'ai toujours pensais qu’elle été obligatoire pour la marine nationale et je n'ai pas l'intelligence de le demander a mes nombreux amis marins. merci encore
Intervention des Forces navales pour circonscrire un incendie à bord d’un navire étranger
Les Forces navales algériennes ont intervenu dimanche pour circonscrire un incendie déclaré à bord d’un navire marchand, battant pavillon tanzanien, navigant à 43 miles de Jijel, a indiqué lundi un communiqué de l’Armée nationale populaire (ANP).
“Suite au signalement, le 8 septembre 2013 à 8 h 25 mn, par le patrouilleur militaire français +Commandant Birot+ d’un incendie à bord d’un navire marchand + Lunas-s + battant pavillon tanzanien, à son bord huit (8) personnes à 43 miles Nord-Nord Est de Jijel, un plan de recherche et de sauvetage a été activé”, a précisé la même source.
Ce plan de sauvetage comprend “l’intervention d’un remorqueur de haute mer, un hélicoptère de recherche et de sauvetage des Forces navales, une vedette de sauvetage du Groupement Territorial des Gardes-côtes de Annaba et une vedette du Groupement Territorial des Gardes-côtes de Jijel”, a expliqué le communiqué, précisant que “le remorqueur de haute mer a participé à l’extinction de l’incendie et au refroidissement des parois du navire”.
“Cette opération (de sauvetage) a pris fin le même jour (dimanche) à 16 h 25 mn et le navire en question a repris sa route avec une vitesse réduite, à son bord une partie de l’équipage”, a fait savoir la même source.
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.