Affrontements Algéro-Marocains à AMGALA [1976 AMGALA 1 et 2]

[ANP4DZ]

Ce n'est pas important et c'est HS.

[amg]

pour le point 1. de ton commentaire, le document ci-dessous, de la CIA parle d'étudient Sahrawi à Rabat, Bonne lecture

https://www.cia.gov/library/readingroom ... 0003-7.pdf

Mais ces étudiants sahraoui ils avaient quel passeport ? Pourquoi ils faisaient leurs études a Rabat ? Mohamed Abdelaaziz il est né où ?
Donc ils font partie d'un peuple qui va être colonisé par le Maroc , et ils font leurs études dans la capitale marocaine ne faites pas les personnes qui ne veulent pas comprendre

D'ailleurs le rapport parle aussi d'opérations terroristes du polisario car militairement ils etaient impuissants.
Et du soutien critique de l'Algérie pays neutre ?

Tu voulais qu'ils étudient ou ? A Tindouf ??

[ANP4DZ]

Je suis curieux de voir ce document (National Intelligence Bulletin)

Pour fermer la parenthese, j'ai trouve un autre document de la CIA ci-dessous, il parle d'ambuscade Algérienne en 1984 a des forces Marocaines avec 4 mort et 31 prisoniers du coté FAR.
Fichier dans le lien ci-dessous:(dernier pararagraphe, collone1, page 8 sur 21 du fichier, ou page 1 dans la numerotation en bas de page), la page suivante montre un carte avec les dates et lieu des confrontation entre ANP et FAR. Toujours aucun detail sur Amgala. désolé pour le HS, c'est le dernier.

https://www.cia.gov/library/readingroom ... 0001-6.pdf

[amg]

ARCHIVES


La polémique continue entre Alger et Rabat sur la seconde bataille d'Amgala
Tandis que la polémique continue entre Rabat et Alger - les autorités marocaines accusant les troupes algériennes d'avoir attaqué Amgala et les dirigeants algériens se défendant d'avoir participé à cette opération, menée, disent-ils, par le Front Polisario, - le président Senghor, du Sénégal, qui visite actuellement la Guadeloupe, a affirmé lundi, à Pointe-à-Pitre, qu'une guerre entre l'Algérie et le Maroc " serait la pire des solutions ". Selon lui, une négociation est encore possible, et les pays arabes sont les mieux placés pour offrir leurs bons offices.Dans une dépêche datée d'Aïn-Bentili, l'agence France-Presse annonce que des forces mauritaniennes comptant quelque quatre cents hommes sont entrées, sans combat, samedi, dans ce petit poste frontière situé à l'extrême nord du pays. Cette localité avait dû être évacuée un mois auparavant, à la suite de violentes attaques du Front Polisario, aidé, selon les responsables mauritaniens, par l'armée algérienne.

Le Monde
Publié le 18 février 1976 à 00h00 - Mis à jour le 18 février 1976 à 00h00
Temps deLecture 1 min.


D'après des indications recueillies à Rabat par notre correspondant, les récents combats d'Amgala auraient résulté d'une action de représailles de l'armée algérienne à la suite de la défaite subie fin janvier dans cette oasis par une de ses unités. Menée avec des effectifs largement supérieurs en nombre à la garnison marocaine réduite qui occupait ce point stratégique, l'opération a débuté dans la nuit du 14 au 15 février, vers 23 heures.

La puissance de feu mise en œuvre avec de l'armement lourd a fait plier la résistance de la garnison. Celle-ci put faire appel cependant à l'appui des troupes cantonnées à Smara. Mais, s'il faut environ une demi-heure pour aller en hélicoptère de Smara à Amgala, où les avions ne peuvent se poser, il y a approximativement 120 kilomètres de piste à parcourir pour se rendre d'une localité à l'autre. Quand les renforts arrivèrent, le combat était terminé. Les unités de l'armée algérienne, dit-on à Rabat, avaient décroché en direction de la Mauritanie. De même source, on estime que les assaillants appartiendraient à des unités de l'A.N.P. dont la présence a été observée au nord de la Mauritanie. C'est d'ailleurs dans cette région qu'un F-5 de l'aviation marocaine a été abattu par un missile Sam-6 à la fin de janvier.

Les accusations des autorités marocaines font l'objet à Alger, nous indique notre correspondant dans cette ville, d'un démenti catégorique. Un communiqué officiel publié lundi soir à l'issue d'une réunion conjointe du Conseil de la révolution et du conseil des ministres déclare qu' " aucune unité de l'armée nationale populaire ne se trouve sur le territoire du Sahara occidental " et invite " l'opinion mondiale à le constater sur place ". Le texte poursuit : " Quant à l'accrochage du 14 février entre le Polisario et les forces marocaines d'occupation, il n'a qu'une signification : c'est que le peuple sahraoui existe, et qu'il est décidé à défendre son territoire national. "


Un membre du comité des relations extérieures du Front Polisario, M. Habib Allah, a également démenti la présence de troupes étrangères aux côtés des guérilleros sahraouis. Dans une conférence de presse tenue lundi soir à Alger, il a indiqué que l'attaque d'Amgala faisait partie d'un vaste plan offensif du Polisario contre les troupes royales, qui subissent actuellement des actions continues de harcèlement à Jdiria, Smara et Haouza (le Monde du 16 février).

Le Monde