AAF 2020 a écrit :Formation maritime : Projet de coopération entre l’ENSM de Bou Ismail et l’université de Kobehttp://www.elmoudjahid.com/fr/actualites/24499Un projet de coopération pour la formation de master en sciences maritimes a été lancé dimanche entre l’Ecole nationale supérieure maritime (ENSM) de Bou Ismail (Tipasa) et l’université de Kobe au Japon, au cours d’une cérémonie organisée au sein de l’école. La cérémonie a été présidée par le secrétaire général du ministère des Transports, M. Mehareb M’hamed, en présence de l’ambassadeur du Japon à Alger, M. Kawada Tsukasa, et celui de la République démocratique du Congo, ainsi que de représentants des ambassades du Niger et du Gabon. Ce projet, destiné à relever le niveau académique de la formation au sein de l’ENSM, s’inscrit dans le cadre de la convention signée en 2011 entre le ministère des Transports et l’Agence internationale de coopération japonaise (JICA) en vue de faire de l’ENSM un pôle de formation au niveau africain et arabe. Ce projet, dont l’objectif est de promouvoir la formation des cadres de l’administration maritime, consistera en des mises à niveau du personnel qui seront prises en charge par des professeurs japonais, dont cinq (5) sont déjà programmés au niveau de l’ENSM et par des séjours à l’université de Kobe. D'une durée de trois années (2012-2015), ce projet fera l’objet d’une évaluation par la tripartite déjà mise en place (JICA, ministère des Transports et ENSM) et aboutira, si l’expérience est concluante, à l’ouverture d’une école doctorale en sciences maritimes à Bou Ismail.
AAF 2020 a écrit :Ils ont tenu hier un sit-in devant le siège de L’UGTA
Les détenteurs du DEUA réclament la réhabilitation de leur diplômehttp://www.liberte-algerie.com/actualit ... gta-173156Les détenteurs du DEUA (bac + 3), qui ne trouvent aucune difficulté à se faire une place dans une université étrangère, sont classés par la Fonction publique au même titre que les techniciens supérieurs et autres fonctionnaires qui n’ont pas décroché le bac.
Après une année de combat, de contacts et d’organisation dans “la clandestinité”, les détenteurs du diplôme d’études universitaires appliquées, DEUA (bac +3), investissent le terrain de la protestation. Fini les dénonciations via la Toile, place désormais à l’action sur le terrain jusqu’à ce que le diplôme soit réhabilité. C’est la détermination affichée, hier, par les centaines de jeunes fonctionnaires ayant un DEUA lors d’un rassemblement national tenu au siège de la Centrale syndicale. Le choix de ce lieu n’est pas fortuit.
“Nous avons opté pour ce lieu car nous voulons rencontrer le SG de l’UGTA et non les autres secrétaires afin de finaliser les procédures de la création de notre syndicat pour pouvoir lancer notre combat sur le terrain”, explique l’un des membres du comité national de la défense des DEUA dont la naissance officielle tarde à voir le jour en raison d’“un blocage que nous n’arrivons pas à comprendre”. N’ayant d’autres choix que de se tourner vers le parrainage de l’UGTA pour la création de leur syndicat, les DEUA se sont structurés à travers les wilayas et ont tenu l’assemblée générale au mois de janvier. “Et depuis, on attend la remise du PV d'installation du comité. Des responsables de l’UGTA nous disent que le document est prêt et d’autres nous demandent de patienter encore”, soutient l’un des membres. Et d’ajouter : “Nous ne pouvons plus patienter, alors nous sommes là aujourd’hui pour solliciter l’intervention de Sidi-Saïd.” Une délégation du comité a été reçue, hier, par deux responsables de l’UGTA chargés de leur dossier. Une commission ad hoc a été installée pour prendre en charge sérieusement le dossier. En attendant la fin de la réunion, les manifestants se concertaient sur les meilleures formules de protestation. “Il faut profiter de cette période de campagne électorale pour faire pression”, propose l’un d’eux. Et d’expliquer que les
100 000 détenteurs du DEUA à travers le territoire national “font face à une situation professionnelle des plus catastrophiques. C’est un véritable drame que nous ne pouvons plus tolérer”, est le constat fait par le comité. Les nombreux manifestants venus très tôt des quatre coins du pays n’ont pas caché leur grande déception et colère face à “une injustice” qu’ils n’arrivent pas à comprendre. Exhibant des correspondances officielles, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur les raisons qui font que “notre diplôme soit dévalorisé, alors que des universités françaises et canadiennes le reconnaissent”. Pis, les DEUA sont classés par la Fonction publique au même titre que les TS autres fonctionnaires qui n’ont même pas le niveau de terminale (10 B). Ceci, alors que d’autres fonctionnaires ayant un bac + 3, à l’image des paramédicaux, sont classés à la catégorie 11. Les manifestants expliquent, toujours documents à l’appui, que le diplôme de TS délivré par des instituts privés est reconnu pour les non bacheliers, mais pas pour les DEUA. “C’est un simple diplôme en plus qui ne leur sert à rien.” À signaler, enfin, que l’éternel problème d’équivalence des diplômes et des passerelles se pose également pour les diplômés des études supérieures, DES, qui, eux aussi, s’organisent pour lancer leur combat.
boussouf abdelkader a écrit :http://www.aps.dz/Congres-des-mathematiciens.html
Congrès des mathématiciens : 350 participants à Annaba
ANNABA - Près de 350 participants issus de toutes les wilayas du pays sont attendus à Annaba où ils prendront part, mercredi et jeudi prochains, aux travaux du Congrès des mathématiciens algériens, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Première du genre, cette manifestation scientifique, organisée par la Société des mathématiciens algériens (SMA) et l’université Badji-Mokhtar de Annaba, a pour but de "rassembler enseignants-chercheurs, doctorants et étudiants pour échanger et partager leurs expériences, présenter les résultats de leurs recherches dans le domaine et s’imprégner des nouvelles idées émises en la matière", a précisé la même source.
Ce congrès constitue également une occasion pour réunir la communauté des mathématiciens qui s’attache à rendre les mathématiques plus "plus visibles et plus intéressantes", a-t-on soutenu.
Des communications traitant de divers thèmes liés aux mathématiques, figurent au programme de ce rendez-vous scientifique qui sera mis à profit pour faire le point sur les avancées mathématiques récentes concernant la recherche et l’enseignement de cette discipline.
sifax a écrit :Lire la suite ici: http://www.elwatan.com/actualite/la-cri ... 57_109.phpUniversité d’Alger II
La crise au département d’anglais s’aggrave
Depuis les délibérations contestées, le département d’anglais de l’université d’Alger II vit une situation particulière. Le nombre d’étudiants non admis est trop élevé au point d’engendrer un véritable conflit entre enseignants et administration. Le bras de fer entre les deux parties se durcit. Les étudiants, l’administration et les enseignants demandent une enquête ministérielle.
AAF 2020 a écrit :MEDEA: Une convention pour la recherche scientifiquehttp://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5165656L'université Dr Yahia Farès de Médéa, à travers sa faculté des Sciences et de la Technologie, continue de s'ouvrir sur le monde extérieur, pour une meilleure prise en charge du cursus universitaire de ses étudiantes et étudiants, en signant une autre convention de coopération avec, cette fois-ci, le Centre national de recherche en soudage et contrôle (C.S.C.), sis à Chéraga (Alger) et relevant du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique (MESRS).
Une signature de convention dont la cérémonie officielle a eu lieu dans la salle de conférences de ladite faculté, sise au pôle universitaire, situé à Haouche Bazid à Médéa. Une cérémonie à laquelle étaient présents notamment le Dr Mostefa Yahi, directeur général du C.S.C., le Dr Saâdane Chebaïki, recteur de l'U.D.Y.F. de Médéa, le Dr Saâdane Adik, doyen de la faculté hôte et initiateur de cette rencontre, les directeurs des laboratoires de recherches (quatre opérationnels et deux nouvellement agréés) de l'U.D.Y.F. de Médéa, les enseignants ainsi que des étudiantes et étudiants de ladite faculté. Une assistance nombreuse évaluée à près de 200 personnes, à laquelle le Dr Mostefa Yahi, a d'abord présenté, lors d'une intéressante conférence – débat, le Centre national de recherche en soudage et contrôle, à travers un film documentaire qui a retenu l'attention des présents pour les multiples services que cet organisme peut offrir aux étudiantes et étudiants tout autant qu'au corps enseignant. Une conférence-débat portant sur le thème: «expérience, défi et fécondité» et qui s'est étalée longuement sur «la valorisation de la recherche scientifique», «la manière de gérer efficacement des laboratoires de recherches», «l'indispensable contact avec les opérateurs et industriels privés et étatiques», «l'indispensabilité de l'accréditation des laboratoires scientifiques, universitaires et autres», «les différentes conventions de coopération qui ont été signées entre le C.S.C. et une dizaine d'universités et de centres universitaires du pays», et, enfin, «la présentation d'une plate-forme technologique pour la promotion d'un pôle scientifique au sein de nos établissements universitaires».
sifax a écrit :Il ne s'agit pas vraiment d'université, mais ça toute ça place dans l'enseignement supérieur en Algérie:Lire suite ici: http://maghrebemergent.info/actualite/f ... terre.htmlCréation à Adrar d’une école spécialisée dans la construction en terre
La ministre de la Culture, Khalida Toumi, a annoncé la création à Adrar d’une école de formation de techniciens et d’architectes spécialisés dans la construction en terre.
En réponse à une question orale d’un membre du Conseil de la Nation sur la réhabilitation des vieux Ksour du sud, la ministre a estimé que cette école qui sera réalisée à Adrar sera "un pôle d’excellence" pour cette wilaya qui compte la plupart des vieux Ksour construits avec ce matériau naturel dans le sud du pays.
Mme Toumi a indiqué qu’il y a cinq architectes seulement spécialisés dans la construction en terre à travers le territoire national, soulignant que ce mode de construction nécessite "le respect" des matériaux et des techniques entrant dans cette opération pour préserver sa spécificité.
sifax a écrit :Lire l'article ici: http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5165908Chlef: Le département de biologie voit grand (par Abbad Miloud)
L'université Hassiba Benbouali de Chlef abrite, durant la période s'étalant du 18 au 21 de ce mois, le deuxième workshop de formation en biologie moléculaire sur l'initiation théorique et pratique aux techniques de l'ADN recombinant, organisé par le laboratoire de microbiologie moléculaire du département de biologie de cette même université, en étroite collaboration avec le laboratoire des techniques avancées en génomique et clinique (TABG) de l'université de Luminy à Marseille. Au menu des travaux de ce workshop figurent six ateliers pratiques, trois conférences et une vidéoconférence.
Parmi les travaux en ateliers pratiques, nous pouvons citer : «Purification de l'ADN chromosomique à partir d'une culture bactérienne», «Discrimination des clones recombinants par test «blanc bleu», «Purification des plasmides recombinants», «Analyse des plasmides recombinants par cartographie de restriction», etc.
Concernant les objectifs de cette manifestation scientifique, nous avons interrogé M. Belhocine Mohamed chercheur à l'université de Marseille qui nous déclara : «D'une manière générale, en Algérie, il y a peu de connaissances en biologie moléculaire et notamment génomique et cela, par rapport à des problèmes d'infrastructures et de matériel dans les laboratoires de recherche algériens. Le volet a été délaissé par les responsables concernés. C'est dans un souci de relancer ce domaine, afin de rattraper l'énorme retard accusé ces dernières années par rapport aux laboratoires étrangers, que nous avons décidé d'organiser ce workshop pour présenter à la communauté scientifique (enseignants, doctorants et magistérants) les principes de base de ce vaste domaine aussi bien du côté théorique que pratique».
«Nous avons invité un chercheur de renommée mondiale, le docteur Salvatore Spicuglia du laboratoire TAGC de l'université de Marseille, qui animera deux conférences plénières ayant pour thèmes : «Epigénétique et régulation de l'expression génique : concepts récents et approches d'étude à l'échelle du génome», et «Cancer et épigénome» et son étudiant en thèse, spécialiste en bioinformatique. La bioinformatique est un nouveau domaine mais qui peut être exploré en Algérie car ne nécessitant pas des infrastructures importantes et peut apporter des avancées spectaculaires aussi bien dans le domaine fondamental que clinique».
Nous avons interrogé le docteur Salvatore sur les objectifs de sa première conférence citée, il nous déclara : «Je pense que l'objectif principal est d'apporter les bases de la biologie moléculaire moderne qui se base sur ce qu'on appelle maintenant l'ère post-génomique. Jusqu'au début des années 2000, la biologie moléculaire s'est focalisée sur la caractérisation du génome humain. Aujourd'hui, avec les technologies modernes d'analyses génomiques, nous essayons de comprendre comment le génome est organisé de façon fonctionnelle. C'est ce que nous essayons de faire dans notre laboratoire TAGC à Marseille».
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AAF 2020 a écrit :La réalisation de la ville universitaire va bon trainhttp://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5166325Le taux de réalisation de la ville universitaire de Ali Mendjeli a atteint les 70%, les travaux concernant l'école polytechnique qui ont connu un léger retard se situent 50%, alors que ceux de l'Ecole normale supérieure sont à 60%.
Selon le Directeur du logement et des équipements publics (DLEP) de la wilaya de Constantine, M.Bentayeb Leulmi qui intervenait sur les ondes à la radio régionale, la poursuite de la réalisation de la ville universitaire en question a nécessité une réévaluation au mois de janvier dernier de plus de 1.000 milliards de centimes. Une réévaluation qui servira à relier ce complexe d'enseignement supérieur à l'autoroute Est-Ouest, mais aussi à la construction de réservoirs d'eau ainsi que l'aménagement intérieur de cette ville universitaire.
Et d'ajouter que «tout est fait pour que sa réception soit effective à la rentrée universitaire prochaine, et, dans cette perspective, nous sommes sur le point de lancer les travaux de raccordement aux différents réseaux de voirie, d'AEP, d'assainissement, etc., de sorte que cela puisse être un exemple pour les autres villes universitaires du pays». Car ce projet, dira-t-il, est considéré comme unique en son genre à l'échelle nationale, du fait qu'il participera à la formation de l'élite algérienne.
En effet, cette ville comprend 10 grandes écoles d'un niveau de formation des élites, une faculté spécialisée en médecine et pharmacie et 19 résidences universitaires pour une capacité de 44.000 étudiants, dont près de 38.000 résideront sur place.
AAF 2020 a écrit :Université de Sétif : Progrès remarquable du nombre de publications
http://www.setif.info/article6368.htmlLe nombre de publications de l’université de Sétif enregistrées selon la base mondiale « Scopus » pour l’année 2011 est de 174 articles scientifiques. Lors d’un point de presse tenu ce dimanche au pôle « El-Bez » le Pr Baki, recteur de l’université a souligné que le nombre de publications est en nette progression par rapport aux années précédentes .
Avec ce chiffre et avec moins d’encadrement , l’université Ferhat Abbas de Sétif se positionne à la 4e place à l’échelle nationale après les universités Mentouri de Constantine (270 articles), Sciences et Technologies d’Oran (244 articles) et Houari Boumedienne de Bab Ezzouar d’Alger (188 articles). En une année seulement, l’université de Sétif est remontée dans le classement mondial de la 6326 à la 4771ème place, selon la base Webometrics.
L’université de Sétif compte actuellement 49 744 étudiants dont plus de 4 700 inscrits en post-graduation. Elle emploie 1843 enseignants et 1512 fonctionnaires. Plus 280 projets de recherche CNEPRU (Commission Nationale d’Evaluation des Projets de Recherche Universitaire) et PNR (Projet National de Recherche) sont en cours de réalisation et de suivi au sein des 43 laboratoires agréés que compte l’université. Elle est également dotée d’un fonds documentaire de 406 335 ouvrages repartis entre la bibliothèque centrale et celles des facultés , soit une moyenne de 10 ouvrages par étudiant.