Crise Financiere Mondiale

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tayeb
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par tayeb »

Mon frère je ne dis pas que tout est blanc ou noir, mais dis toi bien que de ton côté c'est pareil ;)
Laisse tombé Kennedy, ce n'était qu'un gars complexé par le souvenir de son grand frère, drogué et addict au sexe et tenu par les c... par ceux qui l'avais fait élir, ces discours n'étaient que du vent... Tu crois qu'il y croyait à ces discours quand il organisait le fiasco de la baie des cochons!
Franchement t'imagines toi des soldats qui tirent en France sur la population qui manifeste, faut être sérieux un peu.

aucun signal
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par aucun signal »

et bein il non pas a le faire puisqu ils sont volontairement soumis donc jusque là tout va bien .ds 10 ou 20 ;50 ans je ne garantis rien.

Kennedy est mort d une mort violente maintenant je ne sais pas pourquoi.
mais je ne pense pas que se soit a cause des femmes du sexe et de la came
mais son discourt a du deranger a mon sens pas que ça evidemment .
bon on s éloigne de la crise financiière.
:avo: merci pour ce partage mon frère.

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numidia
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par numidia »

la grande force des pouvoirs en occident est la capacité à faire avaler toutes les couleuvres à une population occupée à courir pour payer ses factures
le passage à la violence est proscrit depuis longtemps car
1) les anciennes révoltes n'ont jamais rien transformé de fondamentale et pour cause, elles étaient essentiellement conduite par la bourgeoisie
2) la bourgeoisie une fois au pouvoir a permis à une masse moyenne de se constituer une place et ainsi servir de tampon
permettant ainsi de maintenir un système élitiste et dominant et de lui conserver ses prérogatives
3) les relais sociaux pour canaliser les revendications ont joué un rôle inverse (et calculé) à celui attendu
4) la main mise sur les moyens de communication et l'orientation culturelle est la clé de cette réussite
5) les centres d'intérêts sont accès sur du matérialisme, les valeurs sont considérés comme du luxe culturel (malgré la vulgarisation des arts affichés, le niveau est largement en baisse, dégradation des concepts, des références, des connaissances, ...) ou du politiquement correct (un cadre sans contenu)
6) heureusement, les populations ne sont plus totalement dupes, les réactions sont nombreuses et la participation de plus en plus faible aux élections diverses dénote une constante: la défiance, la perte de confiance, la volonté de libre arbitre, le refus des appareils partisans, le refus des technocrates d'Etat qui utilisent les concepts démocratiques comme des serpillères pour cacher leurs poubelles
7) "occupied wall street" ou les autres mouvements sont des soupapes "bourgeois", les réels affamés, miséreux du système ne se font pas entendre
ce qui montre combien le désespoir est immense, combien le rêve n'est plus permis, marche ou crève.
remarque: les mouvements populaires (je parle des personnes qui ont cru à un changement possible) dits de "printemps arabe" sont justement remarquables du fait de la naïveté politique des "manifestants" (issus de couches populaires ou bourgeoise et/ou estudiantine) de leur manque de culture politique et de l'utopie qui les anime encore.
les choses peuvent en effet changer, l'utopie et le rêve sont des facteurs de développement et de dynamique, le bon sens quant à lui est primordial.
cependant tout tient dans les moyens qui sont mis en oeuvre, les sociétés humaines ont connues constamment des schémas identiques au fil des siècles, les oublier, les écarter est une erreur, les méconnaitre est un suicide politique.
c'est ce qui a conduit à la chronique d'une défaite annoncée, tout prédisposé les pays en question vers une descente aux enfers.
les indicateurs étaient clairs, dès le départ ce soit disant "printemps" nous étions plusieurs à l'avoir dénoncé car la réalité était toute autre, les acteurs ont parfaitement interprétés leurs rôles, le résultat: suicide politique et social, suicide économique, développement de la misère, génération d'enfants soumis à la misère, la peur, la survie. qui peut rêver de cela pour ces enfants ? personne ! tous les indicateurs le montraient pourtant et certains ont foncé tête basse vers le mur. cel n'excuse en rien les régimes et hommes au pouvoir, eux qui ont participé à la dégradation de leur pays respectif.
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par aucun signal »

le passage à la violence est proscrit depuis longtemps
sauf quant il sagit d une certaine population des debats a des heures de grandes ecoutes ds tous les medias les paroles sont lachées envoyez leurs armées meme la populasses y souscrit.

par contre c est vrai pour defendre leurs droits les factures primes

les points 3 et 4 sont essentiel et pourtant ils sont tombés ds escrarcelles de ceux qui decident les médias n en parlons meme tout le monde est d accord médiamensonge
les syndicats sont directement financer par ue maintenant ils servent a accompagnés amortir le mécontentement social sans defendre les concernés la loi sur la retraite est la pour ns le rappeler les assos bidon style pour caricaturer ni pute ni soumise il y en a partout du meme style comme celle venue d ukraine les seins nues ou qui urine sur un portrait homme politique.
la politique version 0.

mais tout le monde n est pas dupe les choses commence a etre dites

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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par numidia »

aucun signal a écrit :
le passage à la violence est proscrit depuis longtemps
sauf quant il sagit d une certaine population des debats a des heures de grandes ecoutes ds tous les medias les paroles sont lachées envoyez leurs armées meme la populasses y souscrit. ...............
absolument, je te suis, en effet, la meute n'est lachée que quand l'élite se sent réellement menacée. pour l'instant elle n'est lachée que sporadiquement sur des boucs émissaires.
c'est de la manipulation politique démagogique et fachisante.
ce n'est pas un mouvement populaire de défense des libertés, des valeurs et d'humanisme.

quant aux associations bidon dont tu parles (khouya t'as été gentil en utilisant un terme poli ;) ) rien à ajouter
elles se multiplient et prolifèrent en parallèle aux points développés plus haut. le niveau zéro a été dépassé, plongeon vers les valeurs négatives.
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par aucun signal »

Salaires. Goldman Sachs propose une baisse générale de 30 % en France
Depuis vendredi, une interview du Huffington Post fait le bad buzz. Un économiste de la banque américaine Goldman Sachs y est interrogé sur la crise financière, la zone euro et la situation en France. Sa « solution miracle » pour redresser l’économie française ? Abaisser tous les salaires d’un tiers.

L’information est relatée dans une interview du Huffington Post de vendredi dernier. Interrogé sur une éventuelle solution pour sortir la France de la crise financière, Huw Pill, économiste en chef de Goldman Sachs en Europe, répond qu’il faudrait baisser la « moyenne salariale d’environ un tiers », précisant toute de même que ce serait « politiquement impossible à imposer ».
16,2 millions de dollars

De quoi faire grincer des dents. Si cette proposition est appliquée, le salaire minimum équivaudrait à un peu moins de 1 000 € par mois alors que l’on parle de centaines de millions de dollars de bonus chez les actionnaires de Goldman Sachs en 2012. Le PDG Lloyd Blankfein, lui, a vu sa propre rémunération augmenter de près de 15 % en 2011, atteignant la somme de 16,2 millions de dollars sur l’année.

Le deuxième volet de la politique miracle à appliquer, d’après l’économiste consiste à « déplacer l’emprise de l’Etat vers le secteur privé. » Car le problème « chronique » de la France serait « incarné par un secteur public bien trop important » ayant pour conséquence une faible exportation. Donc « un manque de compétitivité et des déséquilibres dans ses comptes ».

Mais l’économiste se veut également rassurant, au niveau européen : grâce à ses plans d’économie, l’Union devrait voir « une porte de sortie » de la crise d’ici 2015.
Source : http://www.ouest-france.fr/salaires-gol ... nce-406645

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Re: Crise Financiere Mondiale

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Pourquoi la République tchèque refuse d'entrer dans l'euro (alors qu'elle le pourrait)
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Un bureau de change à Prague. La banque centrale tchèque veut stabiliser sa monnaie au cours de 27 couronnes pour un euro.

La banque centrale tchèque ne recommande pas au pays d'adopter la monnaie unique. Et pour cause: depuis novembre, elle tente d'utiliser l'arme de la dépréciation de la monnaie pour contrer la déflation et la récession.

Dans leur évaluation annuelle publiée ce mercredi, la Banque nationale tchèque (CNB) et le ministère des Finances de la République tchèque ont ce mercredi une nouvelle fois recommandé de ne pas fixer de date pour l'adoption de l'euro. Ce n'est pas une surprise. Certes, Prague remplit une bonne partie des critères de Maastricht qui lui permettrait d'entrer dans la zone euro. Le déficit budgétaire est supérieur à 3 % du PIB, mais la politique d'austérité menée par le précédent gouvernement et qui sera poursuivie par son successeur qui vient d'être formé devrait permettre de rentrer dans les clous.
Pourquoi pas l'euro ?

En théorie, les Traités européens devraient conduire le pays a adopter la monnaie unique à partir de 2015. Mais la République tchèque a de bonnes raisons de ne pas entrer dans l'euro. D'abord, parce que la population y est largement opposée. Ce n'est certes pas une raison suffisante puisque en entrant dans l'UE, Prague s'est engagée à adopter à terme l'euro. Et la Lettonie, qui va adopter l'euro au 1er janvier le fera sans l'appui de sa population, qui y est très majoritairement opposée. Mais surtout, parce que Prague a décidé depuis le 4 novembre d'utiliser l'arme monétaire pour lutter contre la récession et le risque de déflation.
27 couronnes par euro comme nouveau cours pivot

La CNB a en effet décidé d'avancer là où la BCE s'est, pour le moment, arrêtée. Le 7 novembre, la banque centrale tchèque a prévenu qu'elle interviendrait « autant que nécessaire » pour ramener le cours de change à 27 couronnes par euro. La veille de cette intervention, il fallait 25,8 couronnes pour un euro. Le 8 octobre, la couronne tchèque avait atteint un plus haut de sept mois face à la monnaie unique à 25,5 couronnes pour un euro. Le nouveau cours pivot de la CNB représentait donc une dépréciation de 6 % par rapport au 8 octobre.
200 milliards de couronnes sur le marché

Comme on pouvait s'y attendre, la détermination de la CNB a été rudement testée dans les premiers jours de novembre. Du 7 au 20, la banque centrale tchèque a ainsi mis sur le marché pas moins de 200 milliards de couronnes (7,5 milliards d'euros) pour tenir son cours pivot. Il semble qu'elle ait gagné une première manche. Mardi, la monnaie tchèque a encore perdu du terrain face à l'euro, alors que la CNB répétait sa détermination au moins jusqu'en 2015. Ce mercredi, il fallait 27,7 couronnes pour un euro, soit 8,7 % de plus par rapport au 8 octobre.
Armes conventionnelles épuisées

Avec cette action sur la monnaie, la CNB passe à la vitesse supérieure après avoir, de son propre aveu, « épuiser tous les moyens conventionnels » à sa disposition. Depuis l'automne 2012, le taux directeur tchèque se situe à 0,05 %, autrement dit, le refinancement auprès de la CNB est gratuit. Cette dernière a également eu recours au « forward guidance » comme la BCE. Mais rien n'y fait. La situation économique du pays reste préoccupante.
Contraction du PIB au troisième trimestre

Alors que la Hongrie ou la Pologne ont vu leur croissance accélérer au troisième trimestre, le PIB de la République tchèque s'est à nouveau contracté de 0,5 %. L'investissement et les exportations sont particulièrement touchés mais, globalement, le pays manque de moteur de croissance. Ce chiffre est assez préoccupant dans la mesure où il prouve que les produits tchèques n'ont pas profité de la petite croissance en zone euro et singulièrement en Allemagne, le premier client du pays.
La déflation menace

Parallèlement, la demande de crédits des entreprises non financières et des ménages s'est affaissée au troisième trimestre, tandis que les prix, eux, commençait à frôler la zone négative. « L'inflation n'est soutenue que par les prix administrés, la hausse des taxes et les produits alimentaires », explique la CNB qui prévient que ces facteurs ne pourront plus jouer à partir de janvier. Déjà en octobre, l'indice des prix à la consommation en calcul national hors énergie et alimentation a reculé de 0,04 %. L'économie tchèque est donc menacée de déflation.
Stratégie de reprise

Comprimée par la politique d'austérité du gouvernement, la consommation des ménages se compriment (-0,1 % au troisième trimestre et -0,2 % au deuxième trimestre), sans que cela ne produise de véritables effets sur la compétitivité externe du pays. D'où la décision de la CNB de compenser l'austérité par une arme non-conventionnelle : la dépréciation de la monnaie. La banque centrale espère ainsi à la fois renchérir les importations et favoriser la compétitivité externe des entreprises tchèques afin de favoriser une reprise de la demande interne.
La CNB marche sur des œufs

Reste à savoir si cette dépréciation somme toute encore modeste sera suffisante à redonner de l'oxygène à l'économie tchèque. La CNB marche sur des œufs dans un pays où la dévaluation n'est guère goûté et où la culture économique est proche de l'Allemagne. La banque centrale a, du reste, réservé un espace sur son site Internet consacré à l'affaiblissement de la couronne pour expliquer sa politique et « combattre les idées reçues » sur l'arme monétaire. Mais il lui sera difficile de justifier une politique plus aggressive.
http://www.latribune.fr/actualites/econ ... rrait.html

voila le truc c est de rester souverain
pouvoir faire des ajustement évalué ou pas c est a dire aussi devaluer au grée des situations qui se présentent et pas subir

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Re: Crise Financiere Mondiale

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La Chine et l’or
La Chine parle désormais ouvertement d’un remplacement du dollar en tant que devise de référence internationale.

Xinhua, l’agence de presse officielle Chinoise, publiait recemment une lettre ouverte qui commence comme suit :

‘Alors que les politiciens Américains des deux partis font encore des aller-et-retours entre la Maison Blanche et le Capitole sans pour autant parvenir à un accord viable qui permettra au retour à la normalité politique dont ils nous parlent tant, il est peut-être temps pour le reste d’entre nous de construire un monde désaméricanisé’.

Et la Chine sait déjà comment y parvenir. Elle encourage la création d’un marché international en yuans auprès des centres de Hong Kong et de Londres en laissant New York de côté, et fait la promotion d’un commerce hors-dollar en Asie au travers de la Shanghai Cooperation Organisation (SCO). Elle continue également d’accumuler ouvertement de l’or tout en encourageant ses citoyens à en faire de même.

Il n’y a plus l’ombre d’un doute. La Chine se prépare à la chute du dollar, si ce n’est qu’en tant que devise de référence mondiale. Et elle espère se protéger ainsi que ses citoyens grâce à l’or. La Chine a énormément investi sur sa production minière domestique et produit actuellement plus de 440 tonnes d’or chaque année. Elle cherche aussi à acheter des mines à l’étranger. L’or que produisent ses mines n’intègre jamais le marché, il est donc justifié de croire que le gouvernement Chinois accumule silencieusement sa production domestique.

La demande en or du secteur privé Chinois a gonflé au point de dépasser aujourd’hui la production du reste du monde. Le Shanghai Gold Exchange a le monopole de la livraison d’or vers la Chine, et Hong Kong agit en tant que centre d’échanges. Au cours des huit premiers mois de 2013, ils ont à eux seuls livré 1730 tonnes d’or vers des investisseurs privés, un chiffre qui une fois annualisé s’élève à 2600 tonnes de métal.

Le reste du monde produit environ 2260 tonnes d’or par an, ce qui laisse présager une pénurie de métal non seulement pour le Sud-Est de l’Asie et l’Inde, mais aussi pour le reste du monde. Voilà qui laisse penser que l’or monétaire des banques Occidentales est utilisé pour en maintenir le prix à un niveau très bas, notamment parce que les ventes des ETF et l’or de recyclage d’origine non-Asiatique ne suffisent clairement pas à satisfaire cette hausse de la demande.

Pourquoi le gouvernement Chinois aime-t-il tant l’or ? La réponse à cette question est sans aucun doute géopolitique. Il est nécessaire de noter ici qu’au travers de la SCO, la Chine et la Russie, grâce au support d’autres pays, construisent un bloc économique au dénominateur commun : l’or. Alors que le système financier Occidental démonise l’or, tous les membres de la SCO continuent d’en accumuler. L’Asie est alimentée par une veine d’or, et l’Occident s’y expose dangereusement.

La vente de ses réserves d’or par l’occident est le plus gros pari stratégique de l’histoire financière. Nous nous soumettons entièrement aux devises fiduciaires, que nos banques centrales ont aujourd’hui à émettre en de toujours plus grandes quantités. Nous avons offert à la Chine et à la Russie le pouvoir économique ultime.
http://www.24hgold.com/francais/actuali ... leod.&mk=2
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Message par mig 29/32 »

aucun signal a écrit :La Chine et l’or
La Chine parle désormais ouvertement d’un remplacement du dollar en tant que devise de référence internationale.

Xinhua, l’agence de presse officielle Chinoise, publiait recemment une lettre ouverte qui commence comme suit :

‘Alors que les politiciens Américains des deux partis font encore des aller-et-retours entre la Maison Blanche et le Capitole sans pour autant parvenir à un accord viable qui permettra au retour à la normalité politique dont ils nous parlent tant, il est peut-être temps pour le reste d’entre nous de construire un monde désaméricanisé’.

Et la Chine sait déjà comment y parvenir. Elle encourage la création d’un marché international en yuans auprès des centres de Hong Kong et de Londres en laissant New York de côté, et fait la promotion d’un commerce hors-dollar en Asie au travers de la Shanghai Cooperation Organisation (SCO). Elle continue également d’accumuler ouvertement de l’or tout en encourageant ses citoyens à en faire de même.

Il n’y a plus l’ombre d’un doute. La Chine se prépare à la chute du dollar, si ce n’est qu’en tant que devise de référence mondiale. Et elle espère se protéger ainsi que ses citoyens grâce à l’or. La Chine a énormément investi sur sa production minière domestique et produit actuellement plus de 440 tonnes d’or chaque année. Elle cherche aussi à acheter des mines à l’étranger. L’or que produisent ses mines n’intègre jamais le marché, il est donc justifié de croire que le gouvernement Chinois accumule silencieusement sa production domestique.

La demande en or du secteur privé Chinois a gonflé au point de dépasser aujourd’hui la production du reste du monde. Le Shanghai Gold Exchange a le monopole de la livraison d’or vers la Chine, et Hong Kong agit en tant que centre d’échanges. Au cours des huit premiers mois de 2013, ils ont à eux seuls livré 1730 tonnes d’or vers des investisseurs privés, un chiffre qui une fois annualisé s’élève à 2600 tonnes de métal.

Le reste du monde produit environ 2260 tonnes d’or par an, ce qui laisse présager une pénurie de métal non seulement pour le Sud-Est de l’Asie et l’Inde, mais aussi pour le reste du monde. Voilà qui laisse penser que l’or monétaire des banques Occidentales est utilisé pour en maintenir le prix à un niveau très bas, notamment parce que les ventes des ETF et l’or de recyclage d’origine non-Asiatique ne suffisent clairement pas à satisfaire cette hausse de la demande.

Pourquoi le gouvernement Chinois aime-t-il tant l’or ? La réponse à cette question est sans aucun doute géopolitique. Il est nécessaire de noter ici qu’au travers de la SCO, la Chine et la Russie, grâce au support d’autres pays, construisent un bloc économique au dénominateur commun : l’or. Alors que le système financier Occidental démonise l’or, tous les membres de la SCO continuent d’en accumuler. L’Asie est alimentée par une veine d’or, et l’Occident s’y expose dangereusement.

La vente de ses réserves d’or par l’occident est le plus gros pari stratégique de l’histoire financière. Nous nous soumettons entièrement aux devises fiduciaires, que nos banques centrales ont aujourd’hui à émettre en de toujours plus grandes quantités. Nous avons offert à la Chine et à la Russie le pouvoir économique ultime.
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:+1: Bon plan de sortie , il est vrai qu'il faut toujours prévoir des dangers à venir ! peut être que les monarchies du golfe comprendront un jour !

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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par aucun signal »

En cas de crise, les banques pourront prélever de l’argent sur vos comptes
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Le 11 décembre dernier, un accord des représentants de l’Union européenne a été entériné en toute discrétion. Et pourtant, il vient généraliser une pratique mise en place par le secteur bancaire chypriote il y a quelques mois, en autorisant les banques à ponctionner le compte des épargnants en cas de crise.

Cette nouvelle mesure qui entrera en vigueur dès 2016 concerne le renflouement interne des banques en cas de crise et s’appliquera aux 28 États membres. « Nous disposons désormais d’un système solide pour le renflouement interne. Le message est clair: ce sont les actionnaires et les créanciers des banques qui devront supporter les pertes en cas de problème, et non les contribuables. Nous avons également fixé des règles claires pour les cas les plus exceptionnels, qui menacent la stabilité financière globale » s’est réjoui Gunnar Hokmark, en charge de la législation au Parlement. Mais si le contribuable n’est pas directement visé, les épargnants – tous contribuables – le seront.

Selon la directive, lorsqu’une banque se trouvera en difficulté, elle pourra ponctionner les actionnaires et détenteurs d’obligation puis les créditeurs pour couvrir jusqu’à 8% des pertes de la banque. Parmi ces créditeurs se trouvent les épargnants, vous et moi qui déposons de l’argent sur notre compte. Les banques pourront ainsi y prélever de l’argent, du moment qu’elles soient « solvables » et dans le besoin d’une recapitalisation. Les dépôts seront garantis jusqu’à 100 000 euros, au-delà, l’argent pourra être ponctionné. Évidemment, rares sont les personnes à disposer d’un tel montant sur leur compte, mais les entreprises ou ceux qui auraient récemment vendu un bien immobilier pourraient être concernés.

Cet accord devrait rassurer les banques pour qui tout sera fait pour qu’elles ne fassent pas faillite, mais il pourrait également les inciter à être moins prudentes sur les marchés. Après l’adoption définitive de cette directive, les Etats auront 12 mois pour la transposer dans leur législation nationale. Il n’est donc pas encore trop tard pour dire « stop ! ».

L’été dernier, le gouvernement chypriote a accepté de ponctionner le compte des épargnants à hauteur de 80% pour les clients de la banque Laiki et 47,5% pour Bank of Cyprus, le principal établissement du pays. Et voici ce que cela donnait en avril sur le compte d’une entreprise cliente de Laiki :

88-haircut-3
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http://citizenpost.fr/en-cas-de-crise-l ... iCwd2.dpuf

Accord conclu sur la directive "renflouement interne des banques"
http://www.europarl.europa.eu/news/fr/n ... es-banques

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Message par Difaaa »

Le Venezuela entre risque d'effondrement et ajustements

Conforté par les élections municipales du 8 décembre, qui ont vu la nette victoire du Parti socialiste unifié du Venezuela, le président Nicolas Maduro amorce-t-il un virage économique ? Les indicateurs – tous au rouge – et les agences de notation l'y poussent.
Mercredi 18 décembre, Moody's Investor Services a ainsi dégradé la note de la dette vénézuélienne en monnaie locale et étrangère de B1 et B2 à Caa1 et Caa2, respectivement. La semaine dernière, c'était Standard & Poor's qui revoyait à la baisse la note des bons émis par PDVSA, l'entreprise publique de pétrole qui fait vivre le pays, et ceux de la banque centrale.

Moody´s s'inquiète du « risque croissant d'effondrement économique et financier du pays ». Le déclassement, précise l'agence de notation, résulte « des déséquilibres macro-économiques qui deviennent intenables ».

Elle évoque « l'inflation hors de contrôle » - elle dépasse 50% - et la dépréciation du taux de change sur le marché parallèle. Le dollar s'y échange à 64 bolivars, soit dix fois son prix officiel de 6,3 bolivars. Les pénuries de biens de première nécessité ne cessent de s'aggraver.

Et les liquidités du pays continuent de baisser. « Le pays détient encore un montant substantiel d'or et autres actifs liquides, mais les réserves en monnaie étrangères ont beaucoup baissé », dit le rapport de Moody's. Or, la croissance reste faible : elle n'a atteint que 1,4 % au cours des trois premiers trimestres de 2013.

« La situation est difficile, un ajustement inévitable. Mais, fort de ces gigantesques réserves de pétrole - les premières du monde – le Venezuela a encore du lest. La Chine n'est pas la seule à convoiter les ressources de la Ceinture de l'Orénoque. Elle va continuer à prêter, quoi que disent les agences de notation », juge un investisseur français qui ne veut pas dire son nom. Il ne croit pas au « scénario catastrophe », sauf explosión sociale « impossible à prédire ».

DIVISIONS

Selon les agences de notation, les politiques mises en place par le gouvernement de Nicolas Maduro, qui en avril a pris la succession d'Hugo Chavez, ne font qu'exacerber les problèmes. Les divisions au sein de l'équipe dirigeante empêcheraient la mise en place d'une politique d'ajustement cohérente.

Le Venezuela vit, depuis 2003, sous un régime de contrôle de change. L'Etat qui a le monopole de l'attribution des devises distribue les billets verts au terme d'un processus administratif souvent dispendieux. Il alimente le marché noir.

A la veille des élections municipales, Nicolas Maduro avait pris des mesures énergiques pour lutter contre les « spéculateurs bourgeois », responsable à ses yeux de la vie chère. Le président avait envoyé l'armée distribuer les inventaires d'une chaîne d'électroménager et avait annoncé une « loi sur les prix et les bénéfices justes ».

Comme prévu, passées les élections, l'heure de l'ajustement est arrivée. Rafael Ramirez, le tout puissant président de PDVSA et ministre du Pétrole et des Mines, a annoncé, lundi, que les investissements et transactions liés au secteur du pétrole, du tourisme et de l'or ne se feront plus au taux préférentiel de 6,3 bolivars mais à celui résultant des ventes aux enchères de devises, organisées par la Banque Centrale – le dollar s'y vend en moyenne a 12 bolivars.

Les économistes de l'opposition dénoncent une « dévaluation déguisée », la troisième depuis le début de l'année.

AUGMENTATION DU PRIX DE L'ESSENCE

La vraie révolution concerne une éventuelle augmentation du prix de l'essence à la pompe. Elle y est vendue - depuis seize ans – à un centime d'euro le litre. Il en coûte à l'Etat vénézuélien quelque 12,5 milliards de dollars par an.

Mais la politique de l'essence gratuite est profondément ancrée dans les moeurs et dans les coeurs. La modifier est risquée. Hugo Chavez s'était bien gardé d'évoquer le sujet.

Personne n'a oublié le Caracazo, le soulèvement populaire de 1989 qui avait enflammé la capitale et fait des centaines de morts.

Nicolas Maduro a évoqué mercredi une stratégie « progressive et consensuelle » d'augmentation du combustible. « Elle n'est pas pour maintenant ni pour janvier. Et elle ne se fera pas à la va vite », a affirmé Nicolas Maduro.

Le président a appelé de ses vœux un vaste débat national. Une façon comme une autre de préparer les esprits et les portefeuilles. Le moment s'y prête : aucune élection n'est prévue pour 2014.

http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.html
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par aucun signal »

La Bank of China émet à Londres des titres libellés en RMB


La branche londonienne de la Bank of China a émis mercredi des titres libellés en RMB (monnaie chinoise) pour une valeur de 2,5 milliards de yuans (environ 400 millions de dollars US).

Cela constitue le premier titre libellé en RMB émis sur le marché londonien par la branche britannique de la banque chinoise, titre qui sera coté à la Bourse de Londres.

Les fonds levés resteront à Londres pour soutenir le développement du marché en RMB à l’étranger ainsi que le commerce et les investissements bilatéraux entre la Grande Bretagne et la Chine, a indiqué la banque.

"Utilisant la position de leader du groupe Bank of China sur d’autres marchés à l’étranger en RMB, la branche de Londres a introduit un large éventail de produits et services en RMB à Londres, qui sont parmi les titres les plus actifs du marché," a déclaré Fang Wenjian, directeur général de la branche londonienne de la Bank of China.

La Bank of China a joué le rôle de coordinateur mondial pour cette émission, tandis que HSBC, UBS et Merrill Lynch intervenaient en tant que chefs de file associés.
http://french.xinhuanet.com/economie/20 ... 029690.htm

Youma
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par Youma »

Morocco is among them,at the 20 position.
The 22 Most Exciting Emerging Markets In The World

AMANDA MACIAS, LINETTE LOPEZ JAN 29 2014, 11:22 PM

Since the beginning of the year emerging markets have gotten completely routed.

There have been a number of explanations — a Chinese slow down, the davaluation of the Argentine peso, political problems exacerbating economic problems in Turkey — but lets be real, markets come back.

When they do, you should be ready.

For that moment, Bloomberg Markets Magazine has compiled a list of the 22 most exciting emerging markets in the world. These are places where there’s an opportunity around (almost) every turn if you know how to see it.

To calculate the ranking, Bloomberg Markets Magazine awarded countries points based on 19 different indicators including gross domestic product growth, inflation, current-account balance, government debt and total investment. Countries were then given 0 to the maximum number of points for each category for their overall score (which was out of 100).
http://www.businessinsider.com.au/the-2 ... 22-egypt-1

See also: Best Emerging Markets 2014

http://www.bloomberg.com/visual-data/be ... -countries
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medhak
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par medhak »

Le projet Manhattan du 21ème siècle: l'arme fatale de Washington contre la Russie est financière

Les Etats-Unis sont peut-être sur le point de déployer une arme d’un nouveau genre contre la Russie : leur contrôle sur le système bancaire mondial, étayé par leur réseau d’alliances et l’accord résigné des pays neutres, affirme Ambrose Evans-Pritchard dans le Telegraph. Il n’hésite pas à parler de « bombe à neutron financière » pour qualifier cet instrument de guerre économique qu’il a surnommé le « Projet Manhattan du 21ème siècle » (le nom de code du projet qui a abouti au développement de la première bombe atomique aux Etats-Unis).
« Le nouveau jeu géopolitique est peut-être plus efficace et subtil que les compétitions géopolitiques du passé, mais il n’en est pas moins brutal et destructeur », écrit Juan Zarate, un haut fonctionnaire du Trésor américain, dans son livre : « Treasury's War: the Unleashing of a New Era of Financial Warfare », qui est l’un des architectes de ce programme.

Le déclencheur de cette mesure est l’émission d’une « lettre écarlate », dont la procédure est décrite dans la Section 311 de l’US Patriot Act, un ensemble de règles qui ont été édictées après les attentats du 11/9 pour lutter contre le financement du terrorisme. Dès qu’il est avéré qu’une banque participe au financement d’activités terroristes ou de blanchiment d’argent, elle devient « radioactive » et « prise dans l’étreinte fatale du boa constrictor », écrit Zarate. Concrètement, les Etats-Unis vont intervenir pour stopper toutes les transactions qu’elle pourrait avoir avec d’autres institutions financières afin de supprimer ses possibilités de financement et étouffer ses activités. Le procédé est efficace, même si la banque en question n’effectue aucune opération aux Etats-Unis. Les banques européennes et chinoises se soumettent aux diktats des régulateurs américains, et participent à ce boycott.

Ce dispositif aurait été utilisé une première fois contre l’Ukraine en décembre 2002. Les banques ukrainiennes ont été accusées de blanchir de l’argent provenant de réseaux mafieux russes. La Birmanie, Chypre, la Biélorussie, la Lettonie, la Corée du Nord et l’Iran en ont aussi été des cibles.

Mais avec la Russie, cette guerre pourrait prendre une nouvelle dimension. La Russie est le plus gros producteur d’énergie au monde, elle détient un des arsenaux nucléaires les plus puissants du monde, des équipes scientifiques de premier plan, et elle est étroitement liée aux économies de l’Est de l’Europe, ainsi qu’à l’Allemagne. Zarate estime qu’il est déjà trop tard pour reprendre le contrôle en Ukraine, que la Maison Blanche tergiverse trop, et qu’elle aurait déjà dû commencer à resserrer le nœud coulant. « Ils devraient arrêter de prendre des gants. Plus ils attendent, et plus ils devront mettre le paquet », dit-il.

Il pense qu’il s’agira d’une escalade calibrée, et que la « lettre écarlate » serait dans un premier temps émise contre les banques russes qui aident le régime de Bachar el-Assad en Syrie. Les sociétés d’armement russes, celles qui exportent des matières premières et de l’énergie pourraient aussi être ciblées – en essayant de ne pas impacter les intérêts de BP en Russie, précise-t-il. Au pire, les Etats-Unis pourraient tenter d’étouffer Gazprom.

« Le président Poutine sait exactement ce que les Etats-Unis peuvent faire avec leurs armes financières. La Russie avait été incluse dans la boucle à l’époque où les deux pays étaient « alliés » dans la bataille contre le terrorisme jihadiste. M. Poutine avait nommé le loyaliste Viktor Zubkov, l’ex-Premier ministre pour s’occuper des relations avec le Trésor américain », écrit Evans-Pritchard

Les pays qui ont soutenu la Russie dans la crise ukrainienne, le Venezuela, la Bolivie, Cuba, le Nicaragua, la Biélorussie, la Corée du Nord, la Syrie, le Soudan, le Zimbabwe et l’Arménie, sont déjà étiquetés comme des pays « marginaux » et trop peu nombreux pour que Poutine puisse s’appuyer dessus. Depuis le début de la crise, la banque centrale russe tente de défendre la parité du rouble en vendant ses réserves de dollars. Celles-ci ont fondu de 35 milliards de dollars, et poursuivre cette politique risque d’aggraver la récession qui se profile en Russie.

Selon Harold James, un professeur de Princeton, le monde est tellement interdépendant qu’il ne sera pas possible de contenir les effets de cette guerre financière et qu’elle pourrait déclencher une réaction en chaîne comparable à celle qu’a provoquée la chute de la banque Lehman Brothers en 2008. « Lehman était une petite institution comparée aux banques autrichiennes, françaises et allemandes qui sont très exposées au système financier russe. Un gel de actifs russes pourrait être catastrophique pour les marchés financiers européens, et en fait, ceux du monde entier », estime-t-il.

Cependant, la banque de Russie vient d’imposer des stress-tests simulant un gel des comptes et une incapacité de se refinancer à l’étranger pour les banques russes. Selon les premiers résultats, le système bancaire russe tel qu’il était au début de l’année 2014 pourrait survivre à ce scenario.

Pour l’instant, les Américains n’ont sanctionné qu’une seule institution financière russe pour l’annexion de la Crimée, la banque Rossiya. Mais les Russes s’attendent à ce que la plus grande banque russe, Sberbank, se retrouve en ligne de mire. La Russie prépare actuellement un nouveau système de paiement national qui pourrait se substituer à Visa.

D’après Evans-Pritchard, les Russes pourraient riposter en lançant des cyber-attaques, un domaine où ils ont démontré leur expertise en 2007 contre l’Estonie. En 2012, Leon Panetta, le secrétaire de la Défense américain, avait mis en garde contre un possible « Cyber Pearl Harbour » : « Ils pourraient fermer le réseau électrique sur de vastes pans du pays. Ils pourraient faire dérailler des trains de passagers, ou, encore plus dangereux, faire dérailler des trains de passagers contenant des produits chimiques dangereux. Ils pourraient contaminer les sources d’alimentation en eau dans des grandes villes », avait-il dit.
http://www.express.be/business/fr/econo ... ancire.htm

Youma
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Re: Crise Financiere Mondiale

Message par Youma »

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