Si c'est pas le bon topic,merci de déplacer ce message
On connais tous la provenance de ce Kif.
Sidi Dahou (Sidi Bel Abbés): 50 quintaux de drogue saisis sur l’autoroute est-ouest
Une quantité de 50 quintaux de drogue (kif traité) a été récupéré, lundi 22 juillet vers 13h, par la brigade mobile de la douane sur l’autoroute est-ouest, à hauteur de la commune de Sidi Daho, daïra de Ben Badis, à 40 kilomètres au sud-ouest de la ville de Sidi Bel Abbès.
Cette importante quantité de drogue était dissimulée à bord d’un camion de transport de marchandise dont le conducteur a pris la fuite à la vue d'un barrage fixe des douanes, indique une source sécuritaire.
Quelque 200 colis de drogue ont été saisies par les douaniers qui viennent d’opérer là l’une des plus importantes prises de drogue depuis presque trois ans.
Rappelons que dix quintaux de résine de cannabis ont été saisis, vendredi 12 juillet, toujours sur l’autoroute Est-Ouest, à hauteur de la commune de Sidi Ali Boussidi. Cette drogue a été découverte par les éléments de la section de recherche de la Gendarmerie nationale à bord d’un véhicule abandonné de marque Mercedes, selon le lieutenant-colonel Réda Boukhenfouf, commandant du groupement de la Gendarmerie nationale de Sidi Bel Abbès.
Le trafic de drogue en provenance du Maroc connait un véritable boom ces dernies mois, se traduisant notamment par des saisies importantes sur le tronçon autoroutier traversant la wilaya de Sidi Bel Abbés, devenue véritable zone de transit du kif provenant du nord du royaume de Mohamed VI.
Deux malfaiteurs récidivistes appréhendés à Boumerdès. Deux dangereux malfaiteurs, spécialisés dans le vol et le racket de commerçants, ont été arrêtés mardi par les éléments de la gendarmerie nationale entre Larbatache et Boudouaou, à 7 km à l’ouest de Boumerdès.
Selon une source locale, ces bandits qui sèment la terreur dans la région sont des récidivistes qui avaient bénéficié de la grâce présidentielle le 5 juillet dernier. L’un d’eux répond aux initiales de B.M (35 ans), originaire de Blida alors que son acolyte, O.D (34 ans) est natif de Rouiba, dans la Wilaya d’Alger.
Ils avaient commis plusieurs actes de vol, dont le dernier en date a été perpétré contre un commerçant de Larbatache auquel ils ont dérobé une somme de 112 millions de centimes sous la menace d’arme blanche, ajoutent nos sources. Une semaine auparavant, ils s’en sont pris à un autre commerçant qui a avoué à la police qu’ils lui avaient subtilisé une somme de 57 millions de centimes.
Les mis en cause circulaient à bord d’une moto cylindrée ; ils auraient commis plusieurs autres cas de vol dans les wilayas de Bouira et Blida, indique-t-on. Les deux malfaiteurs avaient été placés sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs, racket, vol, menaces de mort et agression.
87 tonnes de résine de cannabis saisies au 1er semestre 2013 L'Algérie «noyée» par le kif du makhzen
L'Algérie est un pays que son voisin de l'ouest, le Maroc, tente inlassablement d'inonder de quantités innombrables de cannabis acheminées par des narcotrafiquants agissant en réseaux bien lotis en armes et logistique (armes et véhicules). Il est question d'une catégorie de criminels ayant pour seule et unique mission de conduire sans cesse des convois de kif traité destinés à la consommation locale et à transiter via le territoire algérien. Leur mission a été avortée à maintes reprises par les corps de sécurité algériens mobilisés pour le contrôle de nos frontières.
D'importantes saisies de drogue ont été en effet réalisées par ces mêmes services depuis le début de l'année en cours. Des saisies totalisant une quantité de 78 tonnes de résine de cannabis qui a été récupérée durant le premier semestre de l'année en cours, a indiqué hier l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONTLD).
«Au total, 77 920 kg de résine de cannabis ont été saisis durant le premier semestre de l'année 2013 (janvier-juin) contre 71 482 kg de résine de cannabis saisis durant la même période de l'année 2012», précisera Mohamed Zouggar, directeur dudit office cité par l'APS. «Les quantités de drogue saisies régulièrement, voire quotidiennement, dénotent que le trafic de drogue est en hausse, et démontrent parallèlement les efforts colossaux déployés par les trois services de lutte (Douane, Gendarmerie, Police), ainsi que leur bonne maîtrise et leur professionnalisme en matière de lutte contre ce phénomène», a-t-il ajouté.
Le colonel Kerroud Abdelhamid, chargé de la communication au sein de la Gendarmerie nationale affirme pour sa part que «les narcotrafiquants tentent par tous les moyens de faire passer le maximum de marchandises en recourant à différents subterfuges».
Précisant que parmi les 78 tonnes saisies, la majorité de cette quantité (près de 47 tonnes) a été récupérée par la gendarmerie, le même officier supérieur atteste en outre dans ses propos du renforcement du mécanisme de lutte contre les trafiquants de drogue.
«Nous avons opéré de grosses prises y compris pendant ce mois de Ramadhan où il y a eu des saisies de plusieurs quintaux de kif traité. Cela est le résultat d'une parfaite synergie dans l'action des différentes sections de la gendarmerie impliquées dans le dispositif de lutte. Il est question, outre le Groupement des gardes-frontières (GGF), des sections de sécurité et d'intervention (SSI) et de la sécurité routière (SR).
Toutes ces sections si bien sensibilisée sur la nécessité de resserrer l'étau sur les narcotrafiquants opèrent en étroite collaboration et échangent des informations en temps réel. On nous expliquera par ailleurs que l'effervescence constatée du côté des trafiquants de drogue ne cessant de multiplier les acheminements de convois de drogue est due à l'instabilité régnant dans plusieurs pays d'Afrique du nord.
«Les narcotrafiquants tentent actuellement de tirer profit de la dégradation de la situation sécuritaire en Tunisie, en Libye et en Egypte. Ils font en sorte ainsi d'acheminer le maximum de leur marchandise et il savent pertinemment que dans le cas où la drogue n’est pas saisie par les services algériens, elle parviendra assurément à sa destination finale», assure-t-on.
Deux malfaiteurs récidivistes appréhendés à Boumerdès. Deux dangereux malfaiteurs, spécialisés dans le vol et le racket de commerçants, ont été arrêtés mardi par les éléments de la gendarmerie nationale entre Larbatache et Boudouaou, à 7 km à l’ouest de Boumerdès.
Selon une source locale, ces bandits qui sèment la terreur dans la région sont des récidivistes qui avaient bénéficié de la grâce présidentielle le 5 juillet dernier. L’un d’eux répond aux initiales de B.M (35 ans), originaire de Blida alors que son acolyte, O.D (34 ans) est natif de Rouiba, dans la Wilaya d’Alger.
Ils avaient commis plusieurs actes de vol, dont le dernier en date a été perpétré contre un commerçant de Larbatache auquel ils ont dérobé une somme de 112 millions de centimes sous la menace d’arme blanche, ajoutent nos sources. Une semaine auparavant, ils s’en sont pris à un autre commerçant qui a avoué à la police qu’ils lui avaient subtilisé une somme de 57 millions de centimes.
Les mis en cause circulaient à bord d’une moto cylindrée ; ils auraient commis plusieurs autres cas de vol dans les wilayas de Bouira et Blida, indique-t-on. Les deux malfaiteurs avaient été placés sous mandat de dépôt pour association de malfaiteurs, racket, vol, menaces de mort et agression.
Oui, c'est la grâce du président rassembleur qui veut faire de notre société une vraie Tchaktchouka, maintenant, le simple citoyen il a peur de sa sécurité plus que son avenir et son gagne pain, c'est plus pire que les années noirs du terrorisme
Beaucoup de nos représentations à l’étranger sont sources de scandales et de polémiques. Après celles dont les responsables «tabassent» des concitoyens (en France) ou les mettent en prison (Qatar), voila qu’un employé de l’ambassade d’Algérie à Washington, aux Etats-Unis, est écroué pour avoir escroqué plusieurs citoyens américains qui voulaient se rendre en Algérie et détourné des sommes d’argent de l’institution dans laquelle il travaille.
L’information a été révélée, aujourd’hui, par le quotidien arabophone El Khabar. Celui-ci indique que le nommé, Ali Khedraoui, 47 ans et ayant la double nationalité, algéro-américaine, chargé des visas au niveau de cette ambassade, arrêté après son entrée récente au territoire national, a été condamné, hier, à deux ans de prison ferme alors que le procureur avait requis sept années pour les chefs d’inculpation d’escroquerie, de détournement des deniers publics et de falsification. L’affaire remonte à l’année passée lorsqu’un Américain s’était plaint à l’ambassadeur d’Algérie à Washington, Abdallah Baali, à propos du comportement de Khedraoui qui lui aurait réclamé la somme de 50 dollars contre l’accélération de la procédure de visa. L’Américain était un homme d’affaire qui devait se rendre en Algérie pour signer un contrat.
Son excellence l'ambassadeur Baali rédige aussitôt un rapport et une enquête est enclenchée. Le journal révèle que l’ambassadeur d’Algérie à Washington n’a pas voulu déposer plainte sur le territoire américain, dans le souci d’éviter de «médiatiser» une affaire qui risque de «ternir» encore davantage l’image de la diplomatie algérienne. En perquisitionnant son bureau, les enquêteurs des Affaires étrangères ont retrouvé des chèques de plusieurs milliers de dollars. Ils se sont également rendus compte que des milliers d’autres dollars de l’Ambassade ont disparu. Le concerné a été employé de l’Ambassade de la période allant de 2006 à 2012.
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
Sincèrement je ne flirte pas, je réagis à l'article. 2 ans pour ces faits c'est grave. C'est beaucoup trop peu, surtout eu égard aux réquisitions du Procureur !
Mostaganem : crime odieux sur une fillette de 3 ans
C’est la consternation dans le vieux quartier de Tigditt, une fillette âgée d’à peine 3 ans vient d’être assassinée.
Son corps a été découvert hier matin, peu après 9h, par son père. Alors qu’il était plongé dans un sommeil approximatif dû essentiellement à une longue insomnie, le père de B. Nadia a été réveillé en sursaut par le jet de deux cailloux qui sont venus cogner la porte de sa demeure, dans le quartier de Kadous El Meddah, une excroissance du vieux quartier de Tigdit dont il contrôle l’accès à partir de la ville européenne.
Disparue la veille, jeudi, en début d’après-midi, alors qu’elle jouait dans la rue, la fillette aurait fait l’objet d’un enlèvement. Son père est allé faire part de sa disparition aux services de police du commissariat de Tigditt. Malgré une forte mobilisation des proches et des voisins de la famille, la fillette ne sera pas retrouvée. Ses ravisseurs, après l’avoir mutilée, l’auraient frappée à la tête, elle porte une large blessure au menton, ce que certains témoins assimilent à une tentative d’égorgement.
Remis au service des urgences, le corps a été déposé à la morgue de l’hôpital en attendant une autopsie. La nouvelle, qui s’est répandue comme une traînée de poudre, a mis en émoi toute la population de Mostaganem. A la demeure familiale, les voisins et parents se sont rassemblés pour présenter leurs condoléances à la famille de la victime, formant un énorme attroupement.
Mostaganem
Une mère et son fils responsables de la mort de Nadia
La police vient d’interpeller une voisine des parents de Nadia, l’accusant d’être la principale responsable de sa mort. Son fils, âgé de 9 ans, est lui aussi impliqué dans ce meurtre.
En effet, d’après les éléments de l’enquête policière, c’est le fils de B. Nadia, une mère divorcée, âgée de 32 ans, qui serait à l’origine de la disparition de la petite fille. Jeudi dernier, alors que Nadia jouait tranquillement devant le domicile familial, il l’invite à le suivre à l’intérieur de la maison. Une fois derrière les murs, il n’hésite pas à abuser sexuellement de la fillette. Lorsque sa mère a probablement constaté les dégâts causés sur la fillette par son garçon, elle décide de l’éloigner en l’envoyant chez son père dont elle est divorcée. Ensuite elle élabore un plan diabolique. Afin de ne pas éveiller les soupçons et éviter les cris ou les pleurs de la gamine, elle commence par l’étouffer à l’aide d’un foulard et finit par la tuer par strangulation. Une fois la fillette sans vie, elle lui porte pas moins de 33 coups de couteau à la gorge et au cou. Restée seule avec le cadavre, elle décide d’aller voir le comportement de la famille de la victime qui vient de constater la disparition de la petite fille.
C’est elle qui accompagne le père jusqu’au commissariat de police afin d’informer de la disparition de la fillette. Elle fait partie des équipes qui se déploient pour chercher la disparue, évitant de ce fait que l’on fouille sa propre maison, là où gît la petite Nadia. Vendredi matin, après l’avoir enroulée dans un morceau de tissu, elle décide de jeter le cadavre devant la maison de ses parents et de les alerter en jetant deux cailloux sur la porte. C’est le grand-père qui le premier ouvre la porte pour découvrir le macabre spectacle. C’est encore une fois la voisine qui pousse les premiers cris d’horreur et qui se débarrasse de son hidjab courant et se frappant le visage. Poussant l’hypocrisie à son paroxysme, elle exige d’accueillir le cadavre dans sa propre demeure, jusqu’au moment de l’enterrement. Ensuite, contrairement aux coutumes, elle s’infiltre dans le cortège funéraire et parvient jusqu’au cimetière où a lieu l’enterrement.
De là, elle se joint aux manifestants qui décident d’aller occuper l’esplanade de la mairie, où ils exigeront la pendaison de l’auteur de ce crime abject. C’est au même titre que ses voisins qu’elle sera entendue par la police. Connue des services pour s’adonner à la prostitution en transformant sa demeure en un lieu de débauche, B. Nadia, 32 ans, divorcée et mère d’un garçon, ne parvient pas à cacher trop longtemps son criminel double jeu. Devant les faits, elle finit par reconnaître son implication directe dans le meurtre de Nadia. Son fils mineur sera poursuivi pour enlèvement, séquestration et viol sur mineure. Cet épilogue tragique met fin à 3 jours de tension et de frayeur vécus dans le recueillement, l’abattement et la colère par la population de Mostaganem.
Mostaganem : Un dangereux groupe de malfaiteurs mis hors d’état de nuire à Ain Tédelès
Les agents de la Sûreté de daira d’Ain Tédelès (Mostaganem) ont mis hors d’état de nuire un groupe dangereux composé de 17 malfaiteurs et saisi un important lot d’armes blanches, selon la direction de la Sûreté de wilaya.
Les faits de cette affaire remontent au 29 juillet lorsque 17 personnes ont été appréhendées au centre-ville d’Ain Tedèlès, à bord de deux véhicules avec en leur possession des armes blanches.
Les enquêtes menées ont démontré que cette bande utilisait les armes blanches pour mener des agressions contre des citoyens.
Les éléments de cette bande âgés entre 19 et 37 ans ont été présentés, mercredi, devant le procureur de la République près le tribunal d’Ain Tédelès qui a mis douze d’entre eux en détention provisoire, les cinq autres ont écopé des citations directes pour constitution d’association de malfaiteurs et port d’armes blanches prohibées dans le but de mener des agressions.(Aps)
Connue des services pour s’adonner à la prostitution en transformant sa demeure en un lieu de débauche, B. Nadia, 32 ans, divorcée
Ce que je deplore dans cet article d'El Watan, malgre le crime crapuleux commis par cette criminelle, est l'utilisation du terme "divorcee", pas moins de 3 fois.
Terrible amalgame pour la grande majorite des divorcees qui se debattent dans d'innombrables problemes au milieu d'une societe telle que la notre.
Algérie Telecom a enregistré 113 actes de vandalisme sur son réseau depuis le début de l’année 2013
(Agence Ecofin) - Depuis janvier 2013, l’opérateur historique des télécommunications Algérie Telecom dit avoir enregistré pas moins de 113 actes de vandalisme sur son réseau. Ces destructions, qui ont surtout concerné les vols de câbles téléphoniques en cuivre, ont plusieurs fois interrompu les services de communication dans plusieurs communes comme Arzew, Gdyel Oran ou encore Es-Sénia. Conséquences, des milliers d’abonnés pénalisés et un énorme préjudice financier pour la société.
Parmi les utilisateurs, ce sont surtout les cybercafés et les entreprises qui utilisent le téléphone à des fins professionnels qui souffrent le plus de cette situation. Viennent ensuite les particuliers. Contrairement aux années précédentes, cette année, le nombre de citoyens qui signalent des activités nocturnes douteuses a augmenté.
Pour combattre ces actes de vandalisme qui affecte fortement Algérie Télécom, l’opérateur s’est associé à la Gendarmerie nationale pour la mise en place d’un nouveau système de surveillance qui donne l’alerte dès qu’un câble est menacé. Ce système d’alarme est déjà opérationnel. Dans les prochains mois, il devra être étendu à tout le territoire national
Attentats à la pudeur et viols
65 cas constatés en un mois
Les attentats à la pudeur et les viols ont sensiblement repris avec ce sinistre bilan enregistré durant le mois de Ramadhan.
En effet, selon les services de la PJ relevant de la Gendarmerie nationale, pas moins de 50 individus et familles ont fait l’objet d’attentats à la pudeur alors que 16 autres cas de viols ont été déclarés aux mêmes services par des victimes dont des mineurs. Ces chiffres s’ajoutent à 99 autres cas liés aux atteintes aux bonnes mœurs et aux familles, mais aussi aux 44 homicides volontaires. Au total, ce sont 47 individus impliqués dans ces crimes intervenus dans cette période. Il faut dire que les enfants occupent la première ligne de ces crimes et délits commis par des pervers sexuels qui sont allés plus loin en violant leur propre progéniture, comme fut le cas dans une localité de Mostaganem.
Aussi, relève-t-on que les gendarmes ont arrêté 5 190 hommes et 174 femmes impliqués dans des affaires de criminalité durant la même période, alors que 220 dossiers liés aux affaires de drogue ont également été traités. Au chapitre de la contrebande, les mêmes services ont constaté 286 affaires avec une moyenne quotidienne de 9 cas traités par les gardes frontières (GGF) qui ont renforcé leurs dispositifs afin de juguler le trafic de drogue, de carburant et la lutte contre l’immigration clandestine. En ce sens, les gendarmes ont déjoué 4 tentatives de harragas à travers le littoral de l’ouest du pays. Ces harragas s’apprêtaient à embarquer des jeunes candidats à l’immigration clandestine par voie maritime, et ce, au moment où les gendarmes avaient installé des postes d’observation et de surveillance dans le cadre du plan Delphine.
Par ailleurs, la PJ-GN relève 1 205 cas de vols de domiciles et de locaux commerciaux et 1 118 coups et blessures volontaires perpétrés par des agresseurs au moyen de couteaux, de sabres et de bombes lacrymogènes.
Les différentes opérations coup-de-poing effectuées ont abouti au démantèlement de 47 gangs, notamment dans les grandes villes, comme Alger, Blida, Boumerdès, Tipasa, Oran, Sidi Bel-Abbès, Annaba, Bordj Bou-Arréridj, Ouargla et Biskra.
mais qu'est ce qui fonctionne pas chez certains ... 
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