Construction automobile en Algérie
-
- Raïd (رائد)
- Messages : 2068
- Inscription : 09 décembre 2012, 13:17
- Has thanked : 2 times
- Been thanked : 5 times
Re: Construction automobile en Algérie
C’est déjà très bien une capacité a court terme de 300 000 vehicules avec lignes se soudure et intégration à 30 pour cent
C’est pas mal du tout franchement pourvu que sa se concrétise
Ensuite le taux d’intégration ne fera qu’augmenter à mesure que des sous-traitants s’installent ou naissent, cela fera avancer l’industrie dans tous les autres domaines.
C’est pas mal du tout franchement pourvu que sa se concrétise
Ensuite le taux d’intégration ne fera qu’augmenter à mesure que des sous-traitants s’installent ou naissent, cela fera avancer l’industrie dans tous les autres domaines.
-
- Arif Awal (عريف أول)
- Messages : 394
- Inscription : 31 mars 2012, 12:50
- Localisation : france
- Been thanked : 4 times
Re: Construction automobile en Algérie
En effet c'est un très bon début, n'empêche comme beaucoup je ne peux m'empêcher d'avoir la rage en voyant toutes ces années passées et le temps perdu pour rien à cause d'escrocs et leurs usine de boulonnage avec la complicité du gouvernement de l'époque!amg a écrit : ↑23 mars 2023, 23:11C’est déjà très bien une capacité a court terme de 300 000 vehicules avec lignes se soudure et intégration à 30 pour cent
C’est pas mal du tout franchement pourvu que sa se concrétise
Ensuite le taux d’intégration ne fera qu’augmenter à mesure que des sous-traitants s’installent ou naissent, cela fera avancer l’industrie dans tous les autres domaines.
-
- Raïd (رائد)
- Messages : 2068
- Inscription : 09 décembre 2012, 13:17
- Has thanked : 2 times
- Been thanked : 5 times
Re: Construction automobile en Algérie
La conjoncture et le climat des affaires n’étaient pas du tout approprié
Il y a eu un changement radical depuis le départ de Bouteflika et on commence à en voir la couleur
Il faut progresser dans notre lancée et profiter de l’inertie pour avancer le plus possible nous pouvons rattraper notre retard mais il faut se retrousser les manches à tous les niveaux.
Il y a eu un changement radical depuis le départ de Bouteflika et on commence à en voir la couleur
Il faut progresser dans notre lancée et profiter de l’inertie pour avancer le plus possible nous pouvons rattraper notre retard mais il faut se retrousser les manches à tous les niveaux.
Re: Construction automobile en Algérie
Pour comprendre les vrais causes de l'arrêt remonte à novembre 2012 ou ils avaient signé un accord sans queue ni tête avec Renault il a fallu l'expiration de cet accord pour voir les choses se débloquer
-
- Muqaddam (مقدم)
- Messages : 3071
- Inscription : 17 septembre 2012, 23:17
- Localisation : Not in Algiers
Re: Construction automobile en Algérie
Baddari est ministre de l'enseignement supérieur. De quoi se mêle-t-il? J'aimerais bien entendre Aoun dire ce qu'il en pense.
Tous et toutes des grosses gueules qui devraient être interdits de parole. Sérieusement, car ils ne racontent que des conneries et font des fausses promesses pour plaire a leur chef.
Tous et toutes des grosses gueules qui devraient être interdits de parole. Sérieusement, car ils ne racontent que des conneries et font des fausses promesses pour plaire a leur chef.
-
- Muqaddam (مقدم)
- Messages : 3497
- Inscription : 27 octobre 2012, 23:59
- Has thanked : 5 times
- Been thanked : 16 times
Re: Construction automobile en Algérie
C'est vrai,question communication c'est tous des médiocres il n'y a pas pour rattraper l'autre.Ils cherchent tous à se faire bien voir au lieu de faire leur boulot.tahiadidou a écrit : ↑18 avril 2023, 21:26Baddari est ministre de . De quoi se mêle-t-il? J'aimerais bien entendre Aoun dire ce qu'il en pense.
Tous et toutes des grosses gueules qui devraient être interdits de parole. Sérieusement, car ils ne racontent que des conneries et font des fausses promesses pour plaire a leur chef.
Ce sinistre aurait dû déja réclamer à cor et à cri plus d'argent pour l'enseignement supérieur.
Re: Construction automobile en Algérie
Sérieusement
« Une page est tournée ; l'Algérie est d'abord fille de son histoire, qu'elle ait surmonté l'épreuve coloniale et même défié l'éclipse, atteste, s'il en était besoin, de cette volonté inextinguible de vivre sans laquelle les peuples sont menacés parfois de disparition.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
L'ornière qui nous a contraints à croupir dans l'existence végétative des asphyxies mortelles nous imposa de nous replier sur nous-mêmes dans l'attente et la préparation d'un réveil et d'un sursaut qui ne pouvaient se faire, hélas ! que dans la souffrance et dans le sang. La France, elle-même, a connu de ces disgrâces et de ces résurrections. » Le président Houari Boumediene.
-
- Muqaddam (مقدم)
- Messages : 3071
- Inscription : 17 septembre 2012, 23:17
- Localisation : Not in Algiers
Re: Construction automobile en Algérie
OSV qui fait maintenant partie de Open Motors.
Plus sérieusement cette histoire me rappelle également l'histoire des drones DZ fabriqués par le centre de ...soudure, et je me rappelle le ministre de l'époque ou le directeur de recherche du MES faire des commentaires similaires.
-
- Musaïd Awal (مساعد أول)
- Messages : 998
- Inscription : 07 août 2013, 13:01
- Has thanked : 8 times
- Been thanked : 6 times
Re: Construction automobile en Algérie
https://lalgerieaujourdhui.dz/ali-aoun- ... _5mwbY_Uxw
Ali Aoun a rencontré à Turin les responsables d’Iveco : Le constructeur italien ambitionne de s’implanter en Algérie
Lors des rencontres B2G (business to government) tenues lundi à Turin en marge du forum sur les perspectives de développement de l’industrie automobile en Algérie, Ali Aoun, qui conduisait la délégation algérienne, s’est entretenu, entre autres, avec les responsables du groupe Iveco, spécialisé dans la fabrication de véhicules industriels.
PAR BRAHIM AZIEZ
Ces derniers ont manifesté leur intention de s’implanter sur le marché algérien et de s’ouvrir vers le marché africain à travers la réalisation d’un projet de production de véhicules utilitaires de type moyen et gros tonnages.
L’ambition des responsables italiens étaient à la recherche d’un partenaire privé algérien pour produire environ 1000 unités par an. Pour sa part, le ministre de l’industrie a souligné la nécessité de s’inscrire dans la lignée du nouveau cahier des charges de la filière automobile et de respecter ses dispositions, notamment en ce qui concerne le respect du taux local d’insertion établi.
Il est utile de signaler que le groupe Iveco qui compte 48 ans d’existence est présent en Algérie depuis 1999 à travers son ancien distributeur officiel Ival.
En fait, c’est suite à l’union de 5 grandes entreprises européennes (Magirus-Deutz, Fiat, Lancia, Unic et OM) qu’Iveco a été créée en juillet 1975. Iveco est présent dans plus de 160 pays et possède 17 usines de fabrication, de production et de montage en Europe, en Chine, en Australie, au Brésil, en Afrique (Afrique du Sud et Ethiopie), ainsi que 16 centres de recherche et développement, et il était question d’implanter une unité d’assemblage en
Algérie, en partenariat avec le groupe Ival.
Un projet Iveco devait être lancé en 2016 à Bouira
Le projet avait été annoncé par l’ambassadrice d’Italie en Algérie en septembre 2015, et les travaux ont été entamés l’année suivante à Oued El-Berdi, dans la wilaya de Bouira. En parallèle, un séminaire avait été organisé le 10 décembre 2015 (hôtel El-Aurassi) pour intéresser la soixantaine d’opérateurs algériens présents à se lancer dans la production de pièces de rechange localement, en partenariat avec des équipementiers étrangers.
L’évènement avait même été rehaussé par la présence du PDG d’Iveco, Pierre Lahutte, qui s’était déplacé à Alger à la tête d’une délégation de responsables de l’entreprise pour marquer leur adhésion au projet et discuter avec les éventuels fournisseurs locaux.
Le président du constructeur italien rappelait alors qu’Iveco appartient au groupe CNH Industrial, qui fabrique aussi bien des camions (Iveco, Magirus), que des bus (Magelys), d’engins de travaux extrêmes (Astra), de moteurs et autres.
Il était alors question d’assembler 1000 à 1500 camions et véhicules utilitaires par an,
avec un taux d’intégration qui devait se situer entre 17 et 20%, selon lui. A long terme, la capacité de l’usine devait atteindre 13.000 unités/an, avec une partie qui devra être exportée vers certains pays d’Afrique.
La part des exportations a été estimée, selon le responsable, à 15%, un volume négocié avec le constructeur. Le premier modèle au programme était l’Iveco Daily en version châssis cabine, décliné en plusieurs configurations et empattements (benne, carrosserie, nacelle). Par la suite, les camions Eurocargo et Stralis devaient suivre.
Parmi les pièces produites localement, il y avait une boîte de vitesses ZF, fabriquée à travers une joint-venture entre la SNVI (entreprise nationale de véhicules industriels) et le
constructeur de boîtes de vitesses ZF. Cette joint-venture devait, par la suite, fournir les
boîtes de vitesse nécessaires au montage du fourgon Iveco.
" L'art de la guerre, c'est soumettre l'ennemi sans combat "
Re: Construction automobile en Algérie
A l'époque, Iveco Algérie avec Ival avait réussi à faire une ambulance intégrée à 40% (carrosserie fournie par FrigoCar et 100% des câbles fournis par Elec El Djazair, en plus des éléments en plastique produit localement, L'EMO devait intégrer le moteur mais ça n'a pas abouti..) donc si la maison mère s'investit encore plus c'est très très prometteur
De plus, Iveco Algérie possède déjà un accord d'exportation/représentantation au Mali
De plus, Iveco Algérie possède déjà un accord d'exportation/représentantation au Mali
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.