Documents/Images/Vidéos [Historique]

[moudjahid]

Mai 1956, de droite à gauche : Abane Ramdane, Bazi Safia, Mesli Fadhila, Belmihoub Meriem et Amara Rachid avant qu'il ne tombe au champ d'honneur le 13 Juillet 1956 au même lieu.




LE C.C.E reçu par Bourguiba.
Assis de g.à d: Debbaghine, Krim Belkacem, Ferhat Abbes, Bourguiba, Ben Tobbal, Boussouf
Debout de g.à dr : Ouamrane, Mehri, Mohmoud cherif, Farhat, Abbane Ramdane

[moudjahid]

Le colonel Si Mohand Oulhadj, Tizi-Ouzou 1963.



AÏt Ahmed, Boudiaf, Ben Bella, Khider, Bitat et Boumediene. Photo prise en Tunisie

[AAF 2020]

CINÉMATHÈQUE D’ALGER : Réception de 50 DVD sur l’histoire de la guerre de libération nationale

La cinémathèque d’Alger a reçu, lundi dernier, un don du réalisateur français Bernard Andrieux, consistant en 50 DVD sur l’histoire de la guerre de libération nationale (1954-1962), sous le thème «Chronique de la guerre d’Algérie». Ces importants documentaires renferment des dizaines de témoignages d’acteurs de cette guerre et de personnes ayant vécu cette période, parmi les Algériens et les Français, outre des photos d’archives sur les évènements phares qui ont marqué la Révolution. A cette occasion, un documentaire intitulé «Les différentes facettes de la guerre d’Algérie» (60 mn) a été projeté, résumant le travail global réalisé dans 54 DVD d’une durée de 20mn à 1h40 chacun. Dans un ordre chronologique (1954-1962), le documentaire présente divers témoignages de personnes ayant vécu l’évènement ou qui y ont pris part, chacun selon sa conviction, des témoignages appuyés par des photos d’archives.
La version finale de ce documentaire, d’une durée de 52mn, sera fin prête en 2014. Au sujet du travail global, le réalisateur documentaliste a indiqué que l’objectif (40 heures de photos) consistait à élaborer une base de données sur la guerre de libération, mais pour des raisons matérielles, il a décidé de transformer le projet en un travail documentaire avec ses propres moyens. Le réalisateur a ajouté avoir tenté, en toute objectivité, de recueillir les témoignages de «toutes les personnes concernées par la liberté», pour leur permettre de présenter leur vision des choses, et ce en vue de «présenter une vision globale sur les évènements».
«A l’exception du Moudjahid Youcef Khatib et du réalisateur français René Vautier (ami de la Révolution algérienne), les autres témoignages émanaient de personnes non connues parmi les Algériens (Moudjahidine et étudiants) et Français (soldats), ainsi que des pieds-noirs et des harkis.
Quant aux 4 DVD exclus du don reçu par la cinémathèque, M. Andrieux a indiqué que leurs propriétaires ont refusé de les remettre à l’Algérie.
Le directeur de la cinémathèque d’Alger, Sid Ahmed Semiane, a affirmé que ce travail est susceptible de renforcer les archives de la cinémathèque, ajoutant qu’il sera mis à la disposition des chercheurs et de tous ceux qui s’intéressent à l’histoire de la guerre de libération. Le réalisateur a déposé des exemplaires de ces œuvres au niveau d’institutions françaises.

http://www.depechedekabylie.com/cuture/ ... onale.html

[AAF 2020]

Publication sur la guerre d’Algérie : Un «Livre d’or des martyrs de la ville d’Oran

Mohamed Freha, autodidacte et ancien moudjahid, de surcroît un passionné qui s’est déjà impliqué depuis plus de trente ans dans le domaine de l’écriture de l’histoire en publiant quatre ouvrages, vient de signer son dernier, Le Livre d’or des martyrs de la ville d’Oran, aux Editions Anwar El-Maârifa.
En fait, c’est un album de 300 pages, enrichi de photos d’archives. Ce nouveau livre se lit comme un document de recherches, puisque l’auteur y consacre une part importante à l’histoire d’Oran, quand en l’an 902-903, deux marins andalous, alliés à des tribus locales, s’installent près des sources d’eau qui arrosaient les deux principaux oueds et fondent la cité aux deux lions. Tout est passé en revue, la conquête par l’armada espagnole de Mers El-kebir et d’Oran, en 1505, la période ottomane, la libération de la ville par le Bey Mohamed Ben Othman, plus connu sous le nom de Bey Mohamed El-Kebir, en 1792, l’occupation française et la période de guerre de résistance dirigée par l’Emir Abdelkader.
Le lecteur trouvera une foule d’informations, notamment les listes des Européens assassinés par l’OAS et d’autres, morts pour l’indépendance de l’Algérie, l’attaque de la Poste d’Oran en 1949, et des récit inédits des acteurs de cette opération qui a permis aux résistants l’achat d’armes et de munitions dans la perspective de lancer les opération de guérilla à travers tout le territoire national, à l’aube du 1er Novembre 1954. Des faits marquants sont consignés dans ce livre, notamment l’arrestation des 48 membres de l’OS, dont le martyr Ahmed Zabana, qui sera le premier détenu à passer sous le couperet de la guillotine le 19 juin 1956 à la prison de Barberousse (Serkadji après avoir été blessé et arrêté le 8 novembre 1954, près de Sig (Oran). Le lecteur trouvera également des informations sur les manifestations populaires organisées en 1952, suite à la déportation du souverain marocain Sidi Mohamed Benyoucef (Mohamed V) à Madagascar. Le 1er Novembre 1954 est vécu à Oran par l’attaque de la poudrière du 66e Tirailleurs d’Eckmühl par le groupe de Cheriet Ali-Cherif. Les deux tomes intitulés Du Mouvement national à la guerre de libération ; 1949-1962 ont été publiés en début d’année.
Dans ces deux livres, l’auteur offre aux simples lecteurs ou aux potentiels universitaires et autres chercheurs des informations de première importance sur différentes phases du Mouvement national, les périodes ayant précédé le déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954, notamment la naissance de l’OS (Organisation Spéciale) avec ses cellules, le CRUA (Comité révolutionnaire pour l’unité et l’action) et les groupes chargés des opérations de guérilla en prévision du déclenchement de la lutte armée.

http://www.elwatan.com/hebdo/histoire/u ... 89_161.php

[Tortue]

Les chemins de la rébellion. (documentaire)

[AAF 2020]

Parution d’un dictionnaire dédié aux martyrs de la wilaya d’El Tarf

EL TARF - Un dictionnaire consacré aux martyrs de la wilaya d’El Tarf vient d’être conçu et édité par la direction locale des moudjahidine, a indiqué lundi à l’APS le directeur des moudjahidine, Saïd Charikhi.

Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts déployés pour lutter contre l’oubli de celles et ceux qui se sont sacrifiés pour le recouvrement de l’indépendance du pays, a-t-il précisé ajoutant que ce glossaire comporte la liste, par ordre alphabétique, ainsi que les photographies, des 1.541 chouhadas que compte la wilaya d’El Tarf.

La parution officielle de ce dictionnaire, édité en étroite collaboration avec la direction de la culture de cette wilaya, coïncidera avec la commémoration, le 18 février prochain, de la Journée nationale du chahid, a ajouté la même source.

http://www.aps.dz/Parution-d-un-dictionnaire-dedie.html

[AAF 2020]

Le documentaire "Abd El Kader" présenté à la presse


ALGER- Le film documentaire "Abd El Kader, fondateur de l’Etat algérien" du réalisateur Salem Brahimi, retraçant le parcours politique et spirituel de l’Emir Abdelkader depuis son enfance jusqu’à son emprisonnement et son exil, a été présenté mercredi a Alger à la presse.
Sur un scénario coécrit par le réalisateur et Audrey Brasseur, le documentaire d’une durée de 96mn commence par un micro trottoir pour sonder les connaissances du public sur cette personnalité, avant de s’intéresser à l’enfance et l’éducation religieuse de l’Emir ainsi qu’à son pèlerinage à la Mecque en compagnie de son père.
Le documentaire s’arrête, dans un premier temps, sur les principales étapes de la vie et du combat de l’Emir depuis la "Moubayaâ" (allégeance) en 1832 jusqu’à sa reddition, en 1847, en passant par ses efforts pour unifier les puissances tribales, la fondation des lignes de citadelles comme Tagdempt (Tiaret) et la création, après la destruction de ces villes par l’armée coloniale française, de la "Smala", sa capitale itinérante.
Le film s’appuie sur des témoignages d’historiens et spécialistes algériens et étrangers comme Chamil Boutaleb président de la fondation Emir Abdelkader, Kaddour M’hamsadji, Mustapha Khyati, Michèle Levallois et Stani Combo qui a analysé la structure architecturale de la Smala.
Le documentaire intègre aussi des séquences d’animation en ombres chinoises pour compenser l’absence d’images d’époque, et la voix off d’Amazigh Kateb, devenu pour l’occasion "Goual", vient à chaque fois ponctuer les étapes importantes du film.
Le séjour carcéral de l’Emir et de la centaine de personnes qui l’accompagnaient dans les différentes geôles françaises des châteaux de Toulon, de Pau et d’Amboise après la fausse promesse d’un exil à Saint Jean d’Acre (Palestine) ou à Alexandrie (Egypte), est également abordé.
Prisonnier, l’Emir s’était "enfermé" dans une tente imaginaire s’astreignant à une vie intérieure, faite de spiritualité et détachée de toute considération matérielle, témoignent les directeurs des châteaux, lieux de détention de l’Emir Abdelkader, aujourd’hui musées.
Le réalisateur s’intéresse aussi à l’exil de l’Emir -après sa libération en 1852 par Napoléon III et les honneurs reçus par les monarques d’Europe- d’abord à Brousse en Turquie puis à Damas en Syrie.
Lors de ces dernières étapes il se consacre à l’étude des textes et de la doctrine de son guide spirituel Ibn Arabi, avant de suivre les traces du "Grand maître" du soufisme à Damas où l’Emir élit domicile.
Cette étape de sa vie est marquée par sa défense des chrétiens de la ville contre les attaques de musulmans Druzes à instigation du gouverneur ottoman à cette époque. Cette défense a valu à l’Emir Abdelkader reconnaissance et respect de toute la chrétienté.
Les témoignages d’historiens et universitaires consacrent aussi l’Emir comme l’un des fondateurs des droits humains ayant inspiré la Convention de Genève sur le traitement des prisonniers de guerre, tout en mettant en relief son rôle dans le rapprochement entre l’Orient et l’Occident et le dialogue inter religieux. D’un point de vue technique et artistique, le documentaire produit par l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (Aarc) dans le cadre de la manifestation Tlemcen capitale de la culture arabe 2011, reste très satisfaisant.
La bande original composée par Mehdi Haddab ajoute à l’aspect attractif du film servi, par ailleurs, par un scénario narratif cernant les grandes étapes de la vie de l’Emir Abdelkader, ainsi que par un usage judicieux des illustrations.

http://www.aps.dz/Le-documentaire-Abd-El-Kader.html

[AAF 2020]

Histoire : Projection à Annaba du film Bentobbal, biographie et parcours

Le film documentaire Bentobbal, biographie et parcours (sira oua massar) a été projeté dimanche à la bibliothèque publique d’Annaba, en présence du moudjahid Amar Benaouda, d’universitaires, de chercheurs et d’étudiants, a-t-on constaté. La projection a été organisée par la bibliothèque, en collaboration avec le département des Sciences de l’information et de la communication de l’université Badji-Mokhtar d’Annaba. Le film est classé «document consultable» à la bibliothèque publique d’Annaba, selon son responsable. D’une durée de 56 minutes, le documentaire retrace les étapes importantes du parcours militant de Lakhdar Bentobbal. Le réalisateur Abdelbaki Sellai a traité de trois étapes : la vie familiale de Bentobbal, son éducation, son engagement politique et sa participation à la lutte pour l’indépendance du pays.

http://www.elmoudjahid.com/fr/flash-actu/12732

[AAF 2020]

Révolution : vers la récupération de 50 millions de documents sur la torture d’Algériens

SETIF - La direction générale des Archives nationales s’emploie, de concert avec le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), à récupérer "50 millions de documents relatifs à la torture d’Algériens dans les prisons et les camps durant la Révolution", a affirmé, dimanche à Sétif, le directeur des Archives nationales, Abdelmadjid Chikhi.
Intervenant au cours d’une journée d’étude organisée à la maison de la culture Houari-Boumediene, à l’occasion du 150e anniversaire de la fondation du CICR et du Croissant-Rouge algérien (CRA), M. Chikhi a affirmé que cette récupération prendra toutefois "quelques temps". Il a ajouté qu’un accord sera signé en ce sens entre la direction générale des Archives nationales et le CICR.
Les documents "mettront davantage de lumière sur des évènements peu connus de cette période", a-t-il noté, soulignant à ce propos "le rôle, durant la Révolution, du Comité international de la Croix-Rouge qui avait fait, au début de 1955, +infiltrer+ au journal Le Monde un rapport sur les pratiques de torture d’Algériens à l’intérieur des geôles françaises.
Le DG des Archives nationales a également soutenu que ce comité a œuvré, dès les premiers mois de la lutte armée, à dénoncer les pratiques inhumaines subies par les Algériens à l’intérieur des prisons françaises, donnant quelque fois lieu à la libération de certains militants.
Il a aussi relevé que le Front de libération nationale (FLN) avait noué de "bons rapports" avec cette organisation humanitaire, ce qui lui avait permis d’étendre ses relations, entretenues jusque-là avec les seuls gouvernements.
M. Chikhi a indiqué que les Archives nationales s’attellent, avec le concours de cette organisation, à numériser l’important fonds archivistique existant, de sorte à mieux servir la recherche historique, notamment celle liée aux souffrances du peuple algérien sous l’occupation française.
Le secrétaire général du CRA, Fodil Mahres, abondant dans le même sens, a également mis l’accent sur le soutien apporté par le CICR à la cause algérienne et à la libération de nombre de détenus durant la guerre libération nationale.
Yasmine Praz Dessimoz, chef des opérations du CICR pour l’Afrique du Nord et de l’Ouest, a rappelé quant à elle le passage à Sétif d’Henri Dunant, cofondateur en 1853 de l’organisation de la Croix-Rouge, ainsi que l’engagement de cette organisation en faveur de la defense des prisonniers algériens, dont ceux internés au camp de concentration Ksar Ettir, au sud de Sétif.
Elle a également souligné la confiance dont jouissait le CICR auprès des leaders de la Révolution algérienne, "permettant à des membres de l’organisation humanitaire de rencontrer des soldats français faits prisonniers par l’Armée de libération nationale et d’en faire libérer certains".

http://www.aps.dz/Guerre-de-liberation-vers-la.html

[M1a2 Abrams]

[KHAYBAR]

ALN 1962

[tayeb]

[draganov]

Alger 1917

FB

[draganov]

BOUCHEKARA

FB

[draganov]