Ferhat Mehenni et son MAK s'autoproclame représentant de tous les Kabyles ..

[scorpion-rouge35]

comme d'habitude Ferhat Mehenni et son MAK , Mouvement pour l'autonomie de la Kabyle et ça dernière création en date le Gouvernement provisoire kabyle en Exile (Anavad) se sont autoproclamé porte parole de tous les kabyles :doute1:

après avoir réalisé que la communauté internationale et l'onu ne reconnaissent pas ces revendication , même la france de sarkozy avait officiellement rejeté ces revendications .
par désespoir il tente d'obtenir des soutiens par d'autre moyens.

la dernière en date , une visite en Israël ou il a rencontré les leader de l’extrême droite israélienne pour leurs faire par de similitude entre le peuple juif et le peuple "Kabyle" .

Ferhat Mhenni s’explique sur son voyage controversé : « Pourquoi je suis en Israël »
Mardi, 22 Mai 2012



Un voyage qui passe mal. Une délégation du gouvernement provisoire kabyle (GPK), conduite par son président, Ferhat Mhenni, effectue depuis dimanche 20 mai une visite de quatre jours en Israël, Etat non reconnu par l’Algérie. Ce voyage à l’initiative de ce gouvernement fondé en juin 2010 et qui prononce désormais l’indépendance de la Kabylie et sa séparation de l'Etat algérien suscite polémiques et critiques. Entretien téléphonique.

DNA : Pourquoi ce voyage en Israël ?


Ferhat Mhenni : C’est un voyage décidé depuis très longtemps et auquel rêve toute la Kabylie. Le gouvernement provisoire Kabyle, dès son installation en juin 2010, a pris la décision de prendre des contacts avec des amis pour organiser ce voyage. Celui-ci répond à un besoin de communication de la cause kabyle en général et pour celui de la solidarité ave les peuples qui luttent pour leurs existences et leurs libertés. Sur le plan personnel, je voulais rêver et voir en vrai ce que pouvait être la Kabylie dans 10 ans maitrisant son destin.

Qui aviez-vous rencontré sur place ?

Il y a des rencontres officielles et des rencontres informelles sur lesquelles je ne communiquerai pas beaucoup. Ce qui est du domaine public est la rencontre lundi 22 mai avec le vice-président de la Knesset, le parlement d’Israël, M. Danny Danon, député du Likoud.

Qu’aviez-vous dit à vos interlocuteurs israéliens ?

J’ai expliqué que le peuple kabyle n’est l’ennemi d’aucun peuple et chérit la liberté par-dessus tout. La Kabylie est une chance pour le bassin méditerranéen et pour le monde libre.

Aviez- vous demandé des soutiens ?

Nous ne sommes pas là. La première étape est de se connaitre et de faire connaitre la Kabylie dans cette partie du monde où elle est inconnue ou méconnue, lui donner une existence internationale, du moins sur les tablettes des dirigeants du monde.

Quelles ont été les réactions de vos interlocuteurs ?



Ils ne connaissent pas la Kabylie et ce n’est là qu’une simple prise de position qui en appelle d’autres à l’avenir. Mais, je peux dire que nous avons rencontré beaucoup de sympathie et de compréhension.

Aviez-vous évoqué les relations entre Israël et l’Algérie officielle qui ne reconnait pas l’existence d’Israël ?



Ceci n’est pas notre problème. Si l’Algérie doit défendre sa cause avec Israël, elle n’a qu’à prendre langue avec les dirigeants de ce pays. Nous sommes les ambassadeurs du peuple kabyle et non de l’Algérie.

Vos interlocuteurs israéliens ont-ils évoqué la question avec vous ?

Non, pas particulièrement. Il y a le respect de l’interlocuteur qui était kabyle et non algérien.

Vous vous considérez donc comme Kabyle et non Algérien ?

L’Algérie a un gouvernement et nous ne sommes pas le gouvernement de l’Algérie. Nous défendons la cause de la Kabylie et non celle de l’Algérie.

Donc vous vous définissez comme Kabyle plutôt que comme Algérien…

Nous défendons la cause de la Kabylie, je le répète encore une fois.

Votre voyage en Israël suscite des polémiques et des critiques, vous en êtes conscients ?

Ce sont des non-kabyles qui nous condamnent, des étrangers à la cause kabyle qui nous condamnent. Tous ceux qui nous condamnent aujourd’hui n’ont jamais condamné les massacres de jeunes en Kabylie durant le printemps noir en 2001. Ils n’ont jamais condamné non plus la poignée de main en juillet 1999 entre le président Bouteflika et le Premier ministre d’Israël Ehoud Barak. Que Bouteflika serre la main de Barak et s’entretienne avec lui pendant quelques minutes, tout le monde se tait. Que Ferhat serre la main du vice-président de la Knesset et c’est le tollé. Le courage de condamner n’est animé que par le racisme de ses acteurs. Ceux qui ont nous condamnent ont-ils au moins la décence de reconnaitre le peuple kabyle ?

Comprenez vous que votre voyage puisse choquer alors que l’Etat d’Israël refuse de reconnaitre le droit aux Palestiniens de disposer d’un état libre ?

Je suis en Israël pour défendre la cause kabyle. Ceux qui sont choqués par notre présence sont-ils choqués par le sort réservé par l’Etat algérien au peuple kabyle ? Je me suis promené à Jérusalem et j’ai vu des arabes heureux de vivre dedans…

Vous ne répondez-pas à ma question…

Ceux qui sont choqués me choquent par leur indifférence au déni d’existence du peuple kabyle.

Vous êtes interdit de séjour en Algérie. Pour quels motifs ?

Je suis sous le coup d’un mandat d’arrêt en Algérie et je ne connais pas les motifs. Dernièrement, mon fils a été se faire établir une attestation de perte d’un document à Azzazga. Le préposé au commissariat a refusé de la signer au motif que son père est recherché en Algérie.

Votre gouvernement ne revendique plus l’autonomie de la Kabylie plutôt un autre statut…

Notre gouvernement revendique le droit à l’autodétermination du peuple kabyle. Nous sommes passés du stade de la revendication de l’autonomie à celui de l’autodermination.

C'est-à-dire que vous revendiquez l’indépendance de la Kabylie et sa séparation de l’Etat algérien…

Oui. Cela pourrait aller jusqu’à l’indépendance.

http://www.dna-algerie.com/interieure/f ... n-israel-2

Ferhat Mehenni tente d'amadoué les israéliens en invoquant une pseudo descendance de tribus aux liens supposés avec le Judaïsme

presse israélienne

Ferhat Mehenni, leader du Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie en visite en Israël



Ferhat Mehenni, 61 ans, le leader en exil du Mouvement pour l’Autonomie de la Kabylie (MAK- indépendantiste) et un autre dirigeant du MAK, dont l’identité n’est pas connue, sont arrivés ce dimanche 20 mai 2012 à Jérusalem, pour une visite de cinq jours en Israël.



La visite a été organisée par Jacques Kupfer, chargé des relations extérieures du Likoud – le parti du Premier Ministre Benyamin Netanyahou -, et réputé proche de l’extrême-droite israélienne.

Selon ses proches, la visite de Ferhat Mehenni en Israël vise à drainer de nouveaux soutiens politiques. Le leader kabyle aurait des attaches profondes à la Terre Sainte puisqu’il appartient aux At Ugshalal, l’une des quatre tribus aux liens supposés avec le Judaïsme.

Proche de l’État hébreu, il s’était néanmoins prononcé en 2011 en faveur de la création d’un État palestinien.

En avril 1980, Ferhat Mehenni, chanteur engagé, a été l’un des artisans du Printemps berbère de Tizi Ouzou, ce qui lui a valu d’être arrêté.

Cinq ans plus tard, il a été emprisonné pour son appartenance à la ligue algérienne des droits de l’homme. Il a été relâché, en 1987, à la faveur d’une grâce présidentielle de Chadli Bendjedid.

Il a participé à la création du Mouvement culturel berbère (MCB) dans les années 90.

Sous le coup d’un mandat d’arrêt des autorités algériennes, Ferhat Mehenni vit aujourd’hui en exil. Il dénonce régulièrement « l’oppression du peuple kabyle », comme il l’a fait à l’ONU, le 26 mai 2009, devant l’instance permanente des peuples autochtones.

À Paris, un an plus tard, il proclamait un « Gouvernement provisoire kabyle », l’Anavad, qu’il préside avec des appuis dans la diaspora kabyle en Europe et en Amérique du Nord.

http://www.terrepromise.net/archives/3419

si toute la kabylie soutien Ferhat Mehenni comme il le prétend alors ou sont les manifestation au quatre coin de la kabylie en soutien a ça cause ? :hmar:
pour tant en kabylie comme dans d'autre région du pays il y régulièrement des manifestation pour des revendication de droit sociaux , culturel et autres .

[dawestsides]

Mine de rien il est en train de se tirer dans le pied tout en jouant a un jeu très dangereux...

[scorpion-rouge35]

moi ça me fait trop rigoler son

Ce sont des non-kabyles qui nous condamnent, des étrangers à la cause kabyle qui nous condamnent

donc se lui qui est d'accord avec lui est kabyle et se lui qui ne les pas n'est pas kabyle

en tout cas je ne m'attendais pas a se qu'il se décrédibilise a se point , il devait être complétement désespéré méme les USA l'ont envoyer baladé :boul1:

Il s'est présenté comme un rempart contre Aqmi
En visite aux USA, Ferhat Mehenni demande à être reçu au Pentagone et à la NSA

19/04/2011



Ferhat Mehenni comptait visiblement profiter des tensions au Moyen‑Orient et au Maghreb pour trouver de nouveaux alliés au MAK et au projet d'autonomie pour la Kabylie. Le leader du MAK effectue depuis quelques jours un voyage aux États‑Unis pour « chercher un soutien diplomatique de l'administration américaine et des Nations Unies pour faire pression sur l'Algérie afin qu'elle accepte un référendum pour l'autonomie », a‑t‑il lui même affirmé, rapporte ce mardi 19 avril la chaîne de télévision Fox News qui relate le voyage de Ferhat Mehenni à Washington.
Sa stratégie pour convaincre les Américains ? Surfer sur la menace terroriste et poser son mouvement comme le rempart nécessaire en Algérie contre Al Qaida au Maghreb Islamique, selon le compte‑rendu de la chaîne américaine. Il a également accusé le pouvoir algérien d’avoir envoyé des mercenaires en Libye et de bloquer les initiatives destinées à renverser Kadhafi.

Aux États‑Unis, Ferhat Mehenni a fait de curieuses demandes d’audience. Il a ainsi demandé à être reçu à la NSA (agence de sécurité nationale, une structure d'espionnage) et au Pentagone (le ministère de la Défense). Mais ses demandes sont restées sans réponse, selon Fox News. Pourquoi un homme politique algérien chercherait‑il à s’entretenir avec les responsables de structures militaires américaines ?

Finalement, Ferhat Mehenni s'est simplement entretenu avec des responsables du Département d'État « à un niveau moins élevé », ajoute la chaîne américaine. Il a également rencontré des membres du Congrès américain, dont certains, semblent a contrario penser que les États‑Unis doivent entretenir des contacts plus importants avec le MAK, considéré par ses interlocuteurs comme un « allié » de l'Occident face à la montée de l'intégrisme.

Mais pour un ancien diplomate américain cité par Fox News, le MAK n'aurait pas suscité beaucoup d'enthousiasme au sein de l'Administration américaine, qui semble plutôt vouloir maintenir ses relations au beau fixe avec l'Algérie en matière de coopération dans la lutte anti‑terroriste.

http://www.tsa-algerie.com/politique/en ... 15288.html

bref j’attends avec impatience de voire ça prochaine bourde :ANGRY1:

[feeback]

Ma parole ce mec est un troll ambulant

[Sifax]

ça fait quelques années déjà qu'il s'est autoproclamé ..... et depuis ce temps là personne (ni même lui) ne semble accorder le moindre crédit à cette blague.

C'est pour ça que ce poste me partait un peu bizarre.

Pour sa visite en Israël, appuyer la barbarie sioniste n'est pas le meilleur moyen de récolter la sympathie des algériens, ni de prouver que l'on défend une cause. C'est juste un énième suicide politique pour une personne qui politiquement est déjà inexistante (ça me parait plus une gesticulation médiatique).

Des Algériens font du tourisme-marketing en Israël
Pour poignarder les causes justes (Par Akli Tira)

On apprend presque simultanément qu’un écrivain et un artiste reconverti à la politique, tous deux algériens, se sont rendus en Israël dans un cadre officiel en revendiquant leur destination de voyage par des déclarations saugrenues.

Pour le premier, Boualem Sansal, romancier à succès, il est déjà question de présenter son périple en Israël comme un acte de témérité l’exposant aux gémonies des Arabes à propos desquels il assène des vérités génériques comme on nourrit les pages d’une fiction. Le talentueux écrivain achevant d’illustrer son "courage" par une arrestation imaginaire qui le menacerait lors de son prochain séjour en Algérie. À moins qu’il n’ait avoué quelques faits d’intelligence avec les autorités de l’État sioniste contre les intérêts de son pays d’origine, on ne voit pas pourquoi sa visite en Israël pourrait lui valoir une contrainte par corps.

Soit le sentiment de persécution, bien développé chez les sionistes les plus radicaux, a contaminé notre homme de lettres, soit il tente d’anticiper le retour de manivelle que suppose sa caution morale à l’un des derniers pays qui procède encore à une colonie de peuplement avec son corollaire d’atrocités. Un soutien politique et intellectuel que Boualem Sansal ne parviendra pas à dissimuler sous des contre‑attaques prématurées ciblant la bêtise des autres pour occulter la sienne.

De plus, il n’y a pas que les Arabes pour se démarquer des offenses et crimes quotidiens contre les droits de l’Homme en Israël. Nombre de pays occidentaux, latino‑américains, asiatiques ou africains reprochent à Tel Aviv ses violences contre le peuple palestinien ou contre les pays voisins. Contrairement à ce qu’insinue la petite phrase de Sansal sur les élites arabes : « Les élites intellectuelles ne sont pas encore arrivées à s’autonomiser du pouvoir dans les pays arabo‑musulmans. Et dans cette culture, on a trop sacralisé les choses, que ce soit l’État, qui fait office de calife, ou la religion ». Un énoncé sacrément ridicule a fortiori lorsqu’il s’agit de plaire dans un pays où les religieux sont légion et l’État largement squatté par la pensée théocratique. Enfin, faudra‑t‑il rappeler à Monsieur Sansal que les juifs du monde entier sont aussi très nombreux à s’opposer à la politique d’Israël ?

Que l’écrivain algérien ait choisi de se rendre en Israël, cela le regarde, qu’il insulte les positions politiques et humanistes des autres pour justifier sa couardise, on ne saurait le tolérer. Dans la crise palestinienne, qui dure depuis plus d’un demi‑siècle, ce ne sont pas les supporters mondains du bourreau, récupérés du bord culturel de la victime, qui réécriront l’Histoire. Fussent‑ils des génies de la littérature…

Fussent‑ils chanteurs de la cause identitaire amazighe comme Ferhat Mehenni, devenu militant autonomiste et pensant trouver des appuis politiques en Israël comme on va chercher du soutien chez le diable pour se plaindre des hommes. En reconnaissant Jérusalem comme capitale unique de l’État d’Israël quand aucune solution de paix n’a prévu d’exclure la partie palestinienne d’El Qods.

Les accointances affichées avec Israël s’inscrivent dans un marketing politique à vue courte. Pour vendre ses bouquins ou son projet politique, il existe d’autres voies publicitaires qui ne portent pas préjudice aux enfants damnés de Gaza, des coups médiatiques qui ne poignardent pas le paysan spolié de Naplouse. Nos compatriotes algériens touristes en Israël ne devraient pas l’ignorer.

http://www.tsa-algerie.com/politique/po ... 20841.html

[geronimo]

Je ne vois pas l’utilité de se sujet ces mon point de vus mes amis

[krimbelkacem]

C'est ce que je pensait tout bas, c un sujet à mettre à la poubelle..... sa donne une tribune....

Sa nous montre juste de serrer les rangs entres Algériens et ne laisser personne sur la route du dévellopement des quatre coins du pays....

[Sifax]

Je ne vois pas l’utilité de se sujet ces mon point de vus mes amis

C'est ce que je pensait tout bas, c un sujet à mettre à la poubelle..... sa donne une tribune....

Sa nous montre juste de serrer les rangs entres Algériens et ne laisser personne sur la route du dévellopement des quatre coins du pays....

Tout a fait d'accord avec vous deux les amis :hadarat: c'est ce que je voulais dire par

C'est pour ça que ce poste me partait un peu bizarre.

Personne n'accord aucun crédit aux blagues de ce "chanteur". Ne lui donnant pas la moindre tribune.

[60b]

Je pense que ce n'est pas donner "tribune" que de parler d'un sujet. Que du contraire.De plus, ne pas en parler ne veux sûrement pas dire que cela n'existe pas.Nous sommes suffisement mâture pour dialoguer sur tout type de sujet sans pour cela dériver.J'invite justement tout le monde a dialoguer sur le "pourquoi". Oui, pourquoi ce monsieur a un jour pris ce chemin.Il y a sûrement des raisons mais quelles sont elles??????Et de grâce, ne faisons pas dans le populisme,gardons un esprit cartésien

[scorpion-rouge35]

vue le bonhomme comment il se ridiculiser tout seul au contraire c'est une bonne chose de lire ces bêtises , ça montre au gens a quel point il est déconnecté de la réalité
en fait se bouffant est tellement ridicule que le censuré ou l'ignoré serait lui donnée de l'importance

[l'adjudant/chef]

en a donné trop d'importance a se sujet qui n'a aucun écho meme dans la zone ou il voulez la libérée

je pense quand va arrété se topic une admin prend en charge cette decission de le verouillé

merci mon opinion personnel

[Amarito]

Moi c'est la carte d'identité qui me fait rigoler
Ca me fait penser à ce genre de délires

[video]http://www.youtube.com/watch?v=_zSLAdYBgfs[/video]

Le problème c'est qu'il se prend au sérieux, voir sa photo à Washington et avec le représentant israélien, ça me fait presque de la peine pour lui, il passe pour un idiot complet.

[geronimo]

en a donné trop d'importance a se sujet qui n'a aucun écho meme dans la zone ou il voulez la libérée
je pense quand va arrété se topic une admin prend en charge cette decission de le verouillé
merci mon opinion personnel

Toute a fait d’accord on ferme se sujet il est temps

[malikos]

Algeria's Kabylie craves friendship with Israel By SHARON UDASIN, JAN KOSCINSKI05/27/2012 22:52Kabylie, a geographic sliver of Algeria's northern coast, wants secession; Diplomat: Freedom for Kabylie, eternity for Israel. Photo: Wikimedia Commons
For Ferhat Mehenni, Israel is an ideal partner and friend for Kabylie, a geographic sliver of Algeria’s northern coast whose people wish to secede from the large North African nation’s control.

“We are in a hostile environment,” Mehenni told The Jerusalem Post during an interview on Thursday. “Both countries share kind of the same path, but Israel already exists – that’s the only difference.”

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Mehenni founded the Movement for the Autonomy of Kabylie and has served as president of the Provisional Government of Kabylie from exile in France since Algeria’s “Black Spring” period in 2001, during which the Kabylian people challenged the Algerian government’s ban on their culture and language.

Kabylie, located on the northern Mediterranean coast of Algeria, remained its own country throughout the Middle Ages and the Ottoman days, only to become part of Algeria proper during the French colonization period in the mid- 19th century. The region subsequently suffered many battle scars during the Algerian War of Independence, which occurred from 1954 through 1962.

“Kabylie never accepted losing its independence and this is what led the entire battle for the independence of Algeria,” Mehenni said.

The people of Kabylie, who Mehenni said fill Algeria’s universities, were never from Arab or Muslim backgrounds and are from their own Berber culture and language, however.

As such, he explained, “the Kabylians have always had a bit of sympathy for Israel.”

“During the War of 1967, Kabylie applauded the defeat of the Arabs,” Mehenni added.

The Kabylians have tried repeatedly to assert their rights within the jurisdiction of the Algerian government, but have made little progress, according to Mehenni.

“Lacking means for an armed resistance, our generation has opted for political combat, and we produced the ‘Berber Spring’ in 1980,” he said. “This was a cultural, linguistic initially, because we saw that there was an ‘Arabist’ steamroller on the children in our schools, and since we began a long pacifist walk toward our existence.”

Believing that a democratic government might resolve their problem, the Kabylians were hopeful when a multiparty electoral system fell in place, but the powers of the Islamic regime still held stronger, according to Mehenni.

In 1994, Kabylians took part in an academic boycott stretching from kindergarten to university demanding that their language be recognized, an operation that worked but still did not land Kabylie official administrative recognition, he explained.

“Kabylie has invested in its identity quest, but never was a stronghold for Islam,” Mehenni said. “In 1990, while in Algeria, we observed an Islamist tidal wave; in Kabylie, there hasn’t been a single Islamist official.”

For quite some time, Kabylie remained the “Switzerland of Algeria,” but in 1997 the Algerian army came to an accord with the Islamists and attacks moved to Kabylie, inflicting the region with disruption and chaos, Mehenni explained.

Algeria, meanwhile, does not invest a single dinar in Kabylian development, and even discourages businesses from locating in Kabylie, where the country advocates “Arabization,” he said.

Since Abdelaziz Bouteflika came to power in Algeria in 1999, Kabylie has boycotted legislative and presidential elections.

While Kabylians have remained the backbone of the Algerian administration, they have been removed from all senior positions, and in the army, they are forced to retire before they can gain access to positions of responsibility, Mehenni asserted.

Kabylian women do not wear veils, and Kabylians living in France did not participate in the campaign for legalizing veils in schools, according to Mehenni.

Rather, he said, Kabylians have become quickly enamored by France’s values, including secularism and freedom.

Kabylie has always been engaged in the cause of Algeria, but has always been rejected by the state and now only strives for independence precisely due to this rejection, Mehenni stressed.

Calling the current Algerian country a “rogue state,” Mehenni said the country remains a haven for Islamic terrorism and is in danger of becoming a second “Iran” – a nation with which it shares strong relations since 1995.

Algeria desires a nuclear bomb for itself, and Bouteflika has constructed twice as many mosques during his terms as president than have been built during all of Algeria’s history, he continued. While most countries agree that Kabylie’s situation is one of injustice, many shy away from its defense because of Algeria’s vast oil and gas wealth, according to Mehenni.

“The environment of Israel is more favorable to Kabylie,” he said, stressing the fact that all of the Arab governments in the region favor Algeria and do not side with the Kabylian people. “We definitely hope that the ostracism of the Kabilye government will be repealed by most of the Arab countries in the region.”

Prior to his visit to Israel – his first ever – Mehenni said he was received by the US State Department, the Greek senate and the European Parliament.

Mehenni’s ministers are also all in exile, scattered around what he calls the “diaspora” – Canada, the UK, Germany and Italy.

“By building links, there is recognition,” he said.

During his stay in Israel, Mehenni met with MK Danny Danon (Likud), a representative from the Foreign Ministry’s North African division and Energy and Water Minister Uzi Landau, among others. He described Landau as “very attentive” to what he and international relations minister, Lyazid Abid, presented him.

Kabylie is a region with many mountains and huge amounts of water, so Mehenni said it was a great opportunity to meet with a government minister that manages a complex water system.

Landau could not be reached for comment before press time on Sunday.

Mehenni said that he and his people would continue to pursue a “defiance to the Algerian law, which wants Israel to be boycotted,” and stressed that he hopes “our relations can be intensified.”

While traveling in Israel, Mehenni said he and Abid found a realization of their dream, allowing them to leave with the conviction that Israel should adopt Kabylie as a sister.

“Freedom for Kabylie, eternity for Israel,” he said

http://www.jpost.com/MiddleEast/Article ... 71613&R=R1

TRANSLATE

L'Algérie Kabylie aspire amitié avec Israël

Par SHARON UDASIN , JAN KOSCINSKI
05/27/2012 22:52
Kabylie, un ruban géographique de la côte nord de l'Algérie, veut la sécession; Diplomat: Liberté pour la Kabylie, l'éternité d'Israël.

Pour Ferhat Mehenni, Israël est un partenaire idéal et ami de Kabylie, un ruban géographique de la côte nord de l'Algérie dont le peuple souhaite se séparer de contrôle de la grande Afrique du Nord nation.

"Nous sommes dans un environnement hostile," Mehenni déclaré au Jerusalem Post lors d'une interview le jeudi. "Les deux types de la part des pays le même chemin, mais Israël existe déjà - c'est la seule différence."

Mehenni a fondé le Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie et a servi comme président du Gouvernement provisoire de la Kabylie de son exil en France depuis l'Algérie "Printemps noir" période en 2001, au cours de laquelle les peuple kabyle a contesté l'interdiction du gouvernement algérien sur leur culture et leur langue.

Kabylie, située sur la côte nord de la Méditerranée de l'Algérie, est resté son propre pays à travers le Moyen Age et les jours ottomanes, que de faire partie de l'Algérie adéquate pendant la période de colonisation française dans le milieu du 19e siècle. La région a ensuite subi les blessures de guerre de nombreux cours de la guerre d'indépendance algérienne, qui a eu lieu de 1954 à 1962.

"Kabylie n'a jamais accepté de perdre son indépendance et c'est ce qui a conduit toute la bataille pour l'indépendance de l'Algérie," a déclaré Mehenni.

Les habitants de Kabylie, qui a dit remplir Mehenni universités algériennes, n'ont jamais été de milieux arabes ou musulmans et sont de leur propre culture berbère et la langue, cependant.

En tant que tel, at-il expliqué, "les Kabyles ont toujours eu un peu de sympathie pour Israël."

«Pendant la guerre de 1967, la Kabylie a applaudi la défaite des Arabes», a ajouté Mehenni.

Les Kabyles ont tenté à maintes reprises de faire valoir leurs droits au sein de la juridiction du gouvernement algérien, mais ont fait peu de progrès, selon Mehenni.

"Faute de moyens pour une résistance armée, notre génération a opté pour le combat politique, et nous avons produit le« printemps berbère »en 1980," at-il dit. «Ce fut une culturelle, linguistique d'abord, parce que nous avons vu qu'il y avait un 'arabisant' rouleau compresseur sur les enfants dans nos écoles, et depuis que nous avons commencé une marche pacifiste de longue vers notre existence."

Estimant qu'un gouvernement démocratique pourrait résoudre leur problème, les Kabyles étaient plein d'espoir quand un système de multipartisme électoral est tombé en place, mais les pouvoirs du régime islamique encore plus forte tenue, selon Mehenni.

En 1994, les Kabyles ont pris part à un boycott universitaire qui s'étend de la maternelle à la demande que leur langue soit reconnue, une opération qui a travaillé l'université, mais n'a toujours pas de terres Kabylie reconnaissance officielle administrative, at-il expliqué.

"Kabylie a investi dans sa quête d'identité, mais n'a jamais été un bastion de l'islam", a déclaré Mehenni. "En 1990, alors qu'en Algérie, nous avons observé une vague islamiste marée; en Kabylie, il n'a pas été un seul fonctionnaire islamiste."

Depuis un certain temps, la Kabylie est restée la «Suisse de l'Algérie», mais en 1997 l'armée algérienne est venu à un accord avec les islamistes et les attaques déplacé à la Kabylie, lui infligeant la région avec une perturbation et le chaos, Mehenni a expliqué.

Algérie, quant à lui, n'investit pas un dinar dans le développement kabyle, et décourage même les entreprises de localiser en Kabylie, où le pays prône "l'arabisation", at-il dit.

Depuis Abdelaziz Bouteflika est arrivé au pouvoir en Algérie en 1999, la Kabylie a boycotté les élections législatives et présidentielles.

Alors que les Kabyles sont restés l'épine dorsale de l'administration algérienne, ils ont été retirés de tous les postes supérieurs, et dans l'armée, ils sont obligés de prendre leur retraite avant qu'ils ne puissent accéder à des postes de responsabilité, a affirmé Mehenni.

Les femmes kabyles ne portent pas de voiles, et les Kabyles résidant en France n'a pas participé à la campagne pour la légalisation de voiles dans les écoles, selon Mehenni.

Au contraire, at-il dit, les Kabyles sont devenus rapidement séduit par les valeurs de la France, y compris la laïcité et la liberté.

Kabylie a toujours été engagée dans la cause de l'Algérie, mais il a toujours été rejetée par l'Etat et maintenant s'efforce seulement pour l'indépendance précisément à cause de ce rejet, a souligné Mehenni.

Appel du pays algérien actuel un «Etat voyou», Mehenni a déclaré que le pays reste un havre pour le terrorisme islamique et est en danger de devenir une seconde «Iran» - une nation avec laquelle elle partage des relations fortes depuis 1995.

Algérie souhaite une bombe nucléaire pour lui-même, et Bouteflika a construit des mosquées deux fois plus nombreux au cours de ses mandats en tant que président que ont été construits au cours de toute l'histoire de l'Algérie, at-il poursuivi. Alors que la plupart des pays conviennent que la situation en Kabylie est une injustice, un grand nombre se dérober à sa défense en raison de l'huile vaste de l'Algérie et la richesse de gaz, selon Mehenni.

"L'environnement d'Israël est plus favorable à la Kabylie," at-il dit, insistant sur le fait que tous les gouvernements arabes de la région faveur Algérie et ne sont pas du côté des peuple kabyle. "Nous espérons vivement que l'ostracisme du gouvernement Kabilye sera abrogée par la plupart des pays arabes de la région."

Avant sa visite en Israël - son tout premier - Mehenni a dit qu'il a été reçu par le Département d'Etat américain, le grec Sénat et le Parlement européen.

Ministres Mehenni sont également tous en exil, dispersés autour de ce qu'il appelle la «diaspora» - le Canada, le Royaume-Uni, l'Allemagne et l'Italie.

«Par des liens de construction, il ya la reconnaissance», at-il dit.

Pendant son séjour en Israël, Mehenni a rencontré MK Danny Danon (Likoud), un représentant de la division du Nord du ministère des Affaires étrangères d'Afrique et de l'énergie et de l'eau le ministre Uzi Landau, entre autres. Il a décrit Landau comme «très attentif» à ce que lui et ministre des Relations internationales, Lyazid Abid, lui a présenté.

La Kabylie est une région avec beaucoup de montagnes et d'énormes quantités d'eau, de sorte Mehenni a dit que c'était une excellente occasion de rencontrer un ministre du gouvernement qui gère un système complexe de l'eau.

Landau n'a pas pu être joint pour commenter avant que le temps presse, dimanche.

Mehenni a déclaré que lui et son peuple continuerait à poursuivre une "défiance à la loi algérienne, qui veut qu'Israël soit boycotté," et a souligné qu'il espérait que «nos relations peuvent être intensifiées."

Lors d'un voyage en Israël, Mehenni dit que lui et Abid a trouvé une réalisation de leur rêve, leur permettant de quitter avec la conviction qu'Israël devrait adopter Kabylie comme une sœur.

"Liberté pour la Kabylie, l'éternité d'Israël," at-il dit.

[scorpion-rouge35]

il parlent toujours au nom de tout les kabyles

«Pendant la guerre de 1967, la Kabylie a applaudi la défaite des Arabes», a ajouté Mehenni.

il veut plaire par tout les moyens i compris par des mensonge ridicule que seul des idiots goberaient

le pauvre il est désespéré d’obtenir un soutien